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ASVG Renraku juin 2006 • numéro 3 Bulletin de liaison de l’Association sportive de Villeneuve-la-Guyard section judo, ASVG judo Siège social de l’ASVG en Mairie de Villeneuve-la-Guyard, 89340 (Yonne). Le Renraku est gratuit. Rédaction et impression ASVG judo. © ASVG judo ou les auteurs cités. Ne pas jeter sur la voie publique. w w w. a s v g - j u d o . c o m Le Mot du président Après vingt-trois ans de judo dont huit en tant que président de section, c’est toujours avec une certaine émotion que je vois arriver la fin de saison en votre compagnie. Au côté de Roger BABANDO, professeur de mes débuts, et des membres actifs du club, nous avons su faire évoluer notre association, tout en respectant les règles élémentaires du Code moral du judo. • La politesse ; c’est le respect des autres, être à l’heure, saluer, se taire lorsqu’un autre prend la parole, écouter les consignes. • Le courage ; c’est faire ce qui est juste, aller au bout de soi et de ses engagements. • La sincérité ; c’est s’exprimer sans déguiser sa pensée, être honnête envers soi-même et les autres. • L’honneur ; c’est être fidèle à la parole donnée. • La modestie ; c’est parler de soi-même sans orgueil, savoir être humble dans la victoire comme dans la défaite. • Le respect ; sans respect, aucune confiance ne peut naître. Si on ne respecte pas les autres, on ne se respecte pas soi-même. • Le contrôle de soi ; c’est savoir se taire lorsque monte la colère, ne pas céder à la provocation. • L’amitié ; c’est le plus pur des sentiments humains. La communication a été notre priorité cette saison. Notre site Internet (www.asvg-judo.com) a été mis à jour. Il a été agrémenté de photographies, de documents destinés à aider les jeunes à se préparer à la compétition et aux passages de grades. D’autre part, les parutions régulières de Info-judo et du Renraku contribuent à notre promotion. Outre le judo, la saison prochaine, vous pourrez participer aux cours de jujitsu (self-défense), une nouveauté ASVG judo que dirigera Roger BABANDO, le vendredi soir de 20h15 à 21h15. Pour finir, je vous invite à venir compléter les rangs des judoka mais également ceux des effectifs d’encadrement de l’ASVG judo. Merci à tous et à la rentrée prochaine, c’est-à-dire dès samedi 9 septembre 2006. Jacky DECANTE, président ASVG judo le père de Hugo – merci encore – en direction d’un hôtel clermontois. Après un début de nuit quelque peu agitée (n’est-ce pas Jacky ?), nous nous sommes tous rendus au Palais des sports où nous avons, Mohamed et moi, été très impressionnés par ce bâtiment immense, surtout au moment ou moi, personnellement, j’ai vu les surfaces de combats encerclées par les tribunes (cela m’a beaucoup mis la pression !). Nous nous sommes ensuite rendus à la pesée où j’ai eu une très grande déception qui m’a tout de suite rendu pessimiste sur le résultat escompté car je n’étais plus au bon poids et suis donc passé dans la catégorie supérieure… Dès le tournoi annoncé, tous les judoka, en fonction des catégories, se sont retrouvés confinés dans des boxes, attendant leur tour. Mon premier combat s’est très bien passé, mais le second beaucoup moins. J’ai commis beaucoup de fautes et ai donc eu des pénalités ; quant à mon adversaire, il m’a beaucoup déstabilisé par sa garde très particulière. Pour Mohamed je ne sais pas ce qu’il a ressenti mais selon Jacky, il est parti perdant dès le départ. Il n’était pas dans sa compétition ce jour-là ! certainement trop impressionné, lui aussi, par ces adversaires-là. Maxime FERNANDEZ (13 ans, ceinture marron) Saint-Dizier Dimanche 15 avril 2006, nous sommes allés en tournoi international à Saint-Dizier avec le nouveau professeur du samedi, Luc, et Omar (mon père). Si la taille du dojo était moins grande que celle de Clermont-Ferrand et notre impression moindre, par contre, la catégorie cadet était de niveau plus élevée. Clermont-Ferrand Le 5 mars 2006 s’est déroulé le tournoi interrégional, catégorie Minimes à Clermont-Ferrand. Nous étions, Mohamed et moi, accompagnés par Jacky, Christian (mon père) et Omar. Nous sommes partis, la veille de la compétition, avec une voiture prêtée très gentiment par Mohamed BOUMACHOUENE et Maxine FERNANDEZ dans les coulisses du tournoi de Saint-Dizier. Photographie anonyme. À la suite des cadets, ce fut notre tour : les minimes. On avait vraiment la pression ; surtout pour le premier combat car c’est le plus important. Après mon premier combat, j’avais bien pris l’esprit de compétition et j’avais vraiment envie de monter sur le podium. Après avoir terminé mes combats de poules, je suis directement aller en quart de finale puisque dans ma catégorie nous étions peu nombreux. Puis, en demi-finale, j’ai eu un petit malaise. J’ai reçu un coup dans les côtes flottantes puis j’ai vomi sur le tatami. Enfin un secouriste est venu pour me conduire à l’infirmerie. J’ai attendu que la douleur se passe mais je n’ai pas eu le droit de poursuivre la compétition. J’ai donc fini troisième et suis monté sur le podium. Malgré tout, c’était sympa, Maxime et moi ne regrettons pas d’y être allés. Mohamed BOUMACHOUENE (13 ans, ceinture marron) L’Arbitrage Dans les règles officielles du sport, il y a toujours un arbitre. Au judo, il est le garant de l’esprit de notre discipline. L’arbitre officiel dans les compétitions départementales ou « nationales 1 » est au minimum ceinture noire premier dan. Chaque combat est arbitré par trois arbitres, les décisions sont prises à la majorité. S’il n’y avait pas d’arbitre durant les compétitions, il n’y aurait jamais de combat. Sofian MAMMAR (13 ans, ceinture orange-verte) Tournoi de Montereau-fault-Yonne Voici, en chiffres et en images, le tournoi qui s’est tenu le 25 mai 2006 à Montereau-fault-Yonne. Chez les Benjamins : Rémy F ERRASE 5 ième, Hugo LELANDAIS 2ième. Les Poussins : dans des poules différentes, Lukas F ERRASSE 4 ième, Gautier P ECQUEUR 3 ième, Samir BOUMACHOUENE 1er. Même poule, Aubin GOUYON 2ième, Valentin ZBINDEN 4ième. Même poule, Albane CADIER 1ère, Laura HEDREVILLE 2ième. Même poule, Caroline DOS SANTOS, Corentin BLANC et Rémy CARRÈRE 2ième ex æquo. Les Pré-poussins : Thomas AUDET 4ième, Ronan LAMOTHE ième 3 , Aurélien DENIS 3ième, Julie SINEAU 3ième, Tom CARRÈRE 2ième. Sur les dix-sept clubs présents, l’ASVG judo termine 4ième ex æquo avec cent quatorze points. Pour nos Pré-poussins et Poussins, contrairement aux « animations de secteurs » organisées par le Comité de l’Yonne, ce fut une réelle compétition, comme les plus grands, avec un vrai classement et une remise de médailles sur le podium. Nos plus jeunes judoka étaient très heureux de monter sur ces podiums. Comme la journée a fini avec la catégorie la plus jeune et que la seule fille était Julie SINEAU, elle fut désignée d’office pour aller chercher la coupe des clubs. Bettina MAYOR Le Respect de l’arbitre Le respect des autres commence par le respect de soi : être propre, correctement vêtu, connaître les règles de la vie. Pour respecter les autres (ses camarades, ses adversaires, ses amis, un arbitre…), il faut apprendre à juger, analyser les différentes situations au cours de notre judo. Il faut aussi faire des concessions et admettre parfois que les autres peuvent se tromper, il faut l’accepter même si c’est injuste. Moi, par exemple, j’ai du mal à accepter les erreurs des autres, surtout si c’est injuste car nous ne sommes que des adolescents. Quentin LAMOTHE (12 ans, ceinture verte) Les Benjamins étaient représentés par Hugo LELANDAIS, à gauche et Rémy FERRASSE, à droite. Photographie Montereau. Errare humanum est Certes, il est de la nature de l’homme de se tromper : errare humanum est. Et l’erreur est quelques fois si humaine qu’elle peut paraître inhumaine, ce qui la rend difficile à supporter. Voici pourquoi l’arbitrage des combats de judo est contrôlé par trois personnes : un arbitre central et deux autres latéraux. Ce qui n’empêche pas les défauts d’appréciation mais les minimise. Par contre, si un judoka insulte ces arbitres-là, ce sont trois témoins officiels, trois représentants du judo et de son Code moral qui entendent, qui voient, qui jugent du mauvais comportement de ce judoka et, inéluctablement, de son club. Voilà qui serait injuste. LORENZATO (responsable de l’éthique ASVG judo) Les Pré-poussins, de gauche à droite : Ronan LAMOTHE, Julie SINEAU, Tom C ARRERRE , Aurélien D ENIS et Thomas A UDET . Photographie Montereau. Plus nombreux étaient les Poussins, de gauche à droite, en arrière plan : Aubin GOUYON, Samir BOUMACHOUENE, Corentin BLANC, Rémy CARRERE, Valentin ZBINDEN et Gautier PECQUEUR ; au premier plan : Lukas FERRASSE, Albane CADIER, Caroline DOS SANTOS et Laura HEDREVILLE. Photographie Montereau. La Nuit du judoka Pour les plus grands, nous avons organisé, au dojo du SIVOM, la Nuit du Judoka. Lors du troisième cours, deux mamans, Olga LAMIDET et Djamila FERNANDEZ, ont fait une surprise à leurs enfants : elles ont enfilé un judogi et sont montées sur les tatami. Et elles ont tenu tout le cours. Djamila n’a pas fait de cadeau à son fils Max, comme en témoigne la photographie ci-après. Ensuite, nous avons fait une soirée pizza, salade de fruits, mousse au chocolat et boissons à volonté. Comme les pizzas n’arrivaient pas de très bonne heure, nos judoka qui restaient pour la nuit ont participé au préliminaire du cours de jujitsu. Cours qui sera officiellement mis en place dès la saison prochaine. deux judoka féminines étaient déjà réveillées, je me suis levée avec elles pour préparer le petit déjeuner : café, chocolat, thé, pains au chocolat et croissants. Chacun à émergé à son rythme, tout le monde a pris son petit déjeuner dans le hall où le SIVOM nous avait installé des tables et des bancs. Digestion et douche obligatoire avant l’entraînement du matin, auquel notre président Jacky DECANTE est venu afin de préparer nos sportifs au Grand prix technique du judoka du 3 juin 2006 à Auxerre. Pour cette Nuit (presque blanche) du judoka, étaient présents huit judoka et quatre encadrants : Olga LAMIDET, Claude LORENZATO, Michel BLANC, qui a pu se libérer malgré des obligations professionnelles, et moi-même. Roger BABANDO, notre professeur, nous a fait l’honneur de rester au dîner. Ce fut une expérience très chaleureuse et nous espérons pouvoir la renouveler une fois par an. Bettina MAYOR Judo d’été La Mairie de Paris, la Fédération française de judo, la Direction régionale et la Direction départementale de la jeunesse et des sports de Paris - Île-de-France organisent un dojo d’été, du 3 juillet au 25 août 2006 à l’Institut du judo (25 avenue de la Porte de Châtillon, 75014 Paris). Le centre sera animé par des professeurs diplômés d’État. Une participation aux frais, de dix euros, sera demandée pour un mois (gratuité pour les centres aérés), prêt de judogi et assurance gratuite. • De 6 à 16 ans, du mardi au vendredi, de 14h à 18h. • Adultes, les lundi, mercredi et vendredi, de 19h à 21h, un cours débutant, un cours ceintures de couleurs, deux cours ceintures noires (technique et compétition). Pour tout renseignement, Ligue de Paris 01 45 43 80 07. Le Bureau directeur Du japonais Madame FERNANDEZ (6ième kyu) répète le Kime no kata avec son fils en uke, le sourire au visage. Nous la voyons ici dans la technique Ushiro-dori (saisie des épaules par l’arrière). Photographie Bettina MAYOR. Puis chacun a joué le temps de la digestion. Ensuite, passage à la douche obligatoire pour tous avant l’installation sur les tatami… pour y dormir ! Certains ont eu du mal à s’endormir avec les lumières des blocs de sécurité et l’éclairage urbain. De plus, il y avaient deux gros ronfleurs – dont nous tairons les noms –, donc ceux qui n’ont pas eu la chance de s’endormir avant ont piqué un de ces fous rires en me voyant faire le tour du dojo tout doucement pour identifier les fautifs (l’un d’entre eux nous avait bien gentiment prévenus). Très tôt le matin, en voyant que nos Difficile de retenir le nom des prises au judo. Difficile surtout de les prononcer correctement, ou à peu près bien, dans cette écriture « peinte »1 qui fonctionne par images, où les sons « l » et « r » – entre autres – n’existent pas, où aucune similitude n’existe avec notre alphabet latin. Donc, pour communiquer, nos linguistes ont dû établir une notation faisant correspondre à chaque phonème japonais une sorte de « mot », nouveau, destiné à la prononciation de cette langue. La transcription de ces sonorités japonaises dans l’alphabet latin se nomme romaji. Mais le romaji n’est cependant pas totalement uniformisé ; s’expliquent alors les variations orthographiques d’une source à l’autre, d’un continent à l’autre. L’usage tend à utiliser le système appelé kunreishiki ou Hepburn dont quelques clefs figurent ci-dessous. Les voyelles sont proches de l’italien : - e se prononce é (matte ne se dit pas « mate » mais « mater »), sauf en début de syllabe où il se prononce presque ye ; - u se prononce ou (uki se dit « ou qui »), sauf après s, devant m ou à la fin des mots où il s’élide et correspond à notre e muet ; - pas trop de problème pour les a, i et o qui conservent le son français. Les consonnes se rapprochent de l’anglais : - g est toujours dur (guruma se dit « goût roue ma », jamais comme le g de « girafe ») ; - s est toujours sourd (même lorsque le s se situe entre deux voyelles, comme osae komi, il faut prononcer « o sa et commis » et non « oza et commis ») ; - ch se prononce tch (comme « tchèque ») ; - sh se prononce ch (comme « chinois ») ; - j se prononce dj (comme « djinn » ou « jean’s ») ; - h est aspiré (comme dans « houx ») ; - r est un intermédiaire entre les sons français « r » et « l » ; - w se prononce oue, comme « watt » et non comme « wagon ». Un accent, généralement circonflexe ou quelquefois un court trait horizontal, marque habituellement (mais pas toujours) les voyelles longues – comme dans jûdô (judo). Certains préfèrent doubler la voyelle pour éviter le problème des accents, notamment chez nos voisins Anglais (judo s’écrierait alors juudoo). Quant aux substantifs japonais : pas de marque de féminin, ni de masculin, ni de pluriel (exemple : des tatami). Enfin, à l’inverse de notre culture, l’usage japonais veut que le patronyme (nom de famille) précède le nom personnel (prénom). Dans un texte, afin d’éviter toute confusion, il est souhaitable d’utiliser une typographie différente : les bas de casse (a, b, c…) sont réservés aux prénoms (comme le corps du texte), les minuscules ou petites majuscules (A, B, C…) sont utilisées pour les patronymes alors que tous les noms propres commencent par une capitale ou majuscule (A, B, C…). Exemples : Victor HUGO (et non HUGO Victor), TANIZAKI Jun.ichiro (et non Jun.ichiro TANIZAKI). LORENZATO 1. Bien longtemps après la Seconde Guerre mondiale, et ce malgré l’emprise américaine, nombreux encore étaient les Japonais qui prenaient le pinceau pour écrire. Pour de plus amples informations sur l’écriture du japonais, voyez : Wolfgang HADAMITZKY et Pierre DURMOUS, Kanji et Kana, manuel et dictionnaire de l’écriture japonaise, Berlin, éditions Ostasien verlag, 1984 ; voyez également : Hans MIHM, Kanji et Kana, mots composés japonais (Kanji und Kana, Japanische komposita), Berlin, éditions Ostasien verlag, 1985. Voyage au pays du soleil levant Le Japon reste un horizon lointain et mystérieux. Du volcan Fuji-Yama 1, aperçu au loin, avec sa couronne enneigée, à la grande métropole de Tokyo, qui a su garder, malgré l’industrialisation poussée, ses jardins zen et ses temples d’or, on laisse le charme particulier du pays du soleil levant nous emporter. Notre groupe était composé de quarante-deux enseignants, de Michèle LIONNET, 6ième dan, Cadre technique régional (CTR) et de Maître AWAZU, 9ième dan ainsi que d’une délégation de la Fédération française de judo, jujitsu, kendo et disciplines associées (FFJDA) qu’il faut remercier vivement pour ce voyage. Nous avons découvert le Japon au moment de la floraison des cerisiers dont la beauté éphémère est appréciée et célébrée depuis plus de dix siècles au travers de la Fête des cerisiers, Sakura matsuri 2. Notre voyage sportif a débuté dans l’une des quatre principales îles situées en bordure de l’Océan pacifique nord, l’île de Shikoku, et plus particulièrement dans la ville de Matsuyama, où l’accueil fut des plus chaleureux. Nous avons passé là quelques jours au cours desquels nous avons travaillé en profondeur les techniques du judo avec de grands maîtres japonais, et découvert, outre les bains d’eau sulfurée à quarante degrés – l’île est volcanique –, le montage astucieux d’un tatami hydraulique. L’impressionnant tapis hydraulique de la ville de Matsuyama. Photographie Roger BABANDO. Nous avons ensuite rejoint la capitale, Tokyo, qui malgré ses onze millions d’habitants, n’est « que » la troisième plus grande ville du monde, et n’a rien perdu de ses traditions ; les arts de la céramique, de la calligraphie, de l’arrangement floral (Kadô ou Ikebana) sont toujours aussi raffinés, et les simples mais élégantes maisons de bois ont toujours les pièces au sol recouvert de nattes de jonc (tatami) séparées par des parois de papyrus. Les jardins invitent à la méditation ou prolongent l’espace habité en jardins de colline ou de rocaille parfois minuscules. Pays de tradition des samurai prêts à donner leurs vies pour l’empereur, des geisha, du sake (alcool de riz) et du riz consommé sans modération, c’est aussi le berceau du judo, puisque le kodokan, « maison où l’on étudie la Voie » est la fameuse école fondée par le Maître KANO Jigoro Shihan, en 1882, à l’origine de cet art martial non violent signifiant « voie de la souplesse ». Devenu sport national japonais, il fut inscrit au programme des Jeux olympiques de Tokyo en 1964, et continue, même s’il est maintenant détrôné par le base-ball, à attirer de nombreux sportifs en quête de perfectionnement et de nouvelles techniques. C’est dans cet endroit illustre qu’est implanté le musée du judo, avec notamment le kimono de KANO Jigoro, et que l’on trouve les plus hauts gradés du Japon, même si ce sport suscite moins d’engouement qu’auparavant. Avant de quitter ce pays, nous avons assisté au Championnat du Japon toutes catégories, au cours duquel nous avons pu voir à quel point la technique japonaise est précise dans les ippon obtenus et dans les kata. Notre séjour s’est ainsi terminé, le rêve devenu réalité. « Sayonara ! »3. Roger BABANDO 1. Le Fuji-Yama, Montagne Fuji, est la dénomination française de Fuji-San, Mont Fuji. Ce volcan, dont la dernière éruption remonte à 1708, culmine le Japon de 3 776 mètres. 2. Les curieux pourront consulter : Laurence CAILLET, Fêtes et rites des quatre saisons au Japon, notes Gabriel FEAT, Josef KYBURZ, François MACÉ, Watanabe KOZO, cartographie Gabriel FEAT, Paris, éditions Publications orientalistes de France (POF), collection La Bibliothèque japonaise, (1980) 2002. 3. Devons-nous traduire ? : « Au-revoir ! ». Nos aimables partenaires Passion bois 03 86 66 42 96, menuiserie générale Appia Est Île-de-France 01 64 81 24 10, travaux publics La Scudéria 03 86 66 43 80, pizzas à emporter Escale 87 03 86 66 42 56, restaurant gastronomique Peugeot 03 86 66 42 25, garage principal Thierry Pillette 03 86 66 40 47, pâtissier Jardi flore 03 86 66 47 64, jardinage et plantes exotiques Maison de la presse 03 86 66 43 59, journaux Boulangerie Mahr 03 86 66 44 89 Le Narval 03 86 66 42 32, bar tabacs
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