de nouveaux et vastes débouchés sur les marchés d
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de nouveaux et vastes débouchés sur les marchés d
magazine gratuit d’infomation inf N° 0 décembre 2006 nos collègues assurent... dans ce numéro le PORTRAIT de Jacqueline KARMAN (page 3) [dossier] Directeurde publication :J-P VILAS • Rédacteur:David DUM ORTIER • Créditphoto :OCEF • Réalisation Tam Tam • Tirage 200 ex.parM ultipress L’équipe de maintenance Indicateurs La filière squash Noël du C.E. Récompenses 2 3 4 7 8 exportation la filière SQUASH L’agriculture calédonienne est confrontée à des problèmes récurrents de surproduction. La chute des cours constatée lors de ces phénomènes, pèse lourdement sur l’économie rurale. [édito] Vous êtes sur INFOCEF L’OCEF est encore une jeune entreprise qui a besoin d’enrichir ses contacts avec ses partenaires, éleveurs, bouchers, cultivateurs, institutions et acteurs du développement de nos filières. Mais c’est avant tout à l’ensemble du personnel de l’OCEF que s’adresse INFOCEF. C’est pour cette raison que ce numéro “0” lui est exclusivement destiné. Tous les jours, sans même nous rencontrer, en exerçant des métiers parfois si distants, nous assurons la mission de l’OCEF. MIEUX SE CONNAÎTRE ET SE FAIRE CONNAÎTRE Trois fois par an les huit pages d’INFOCEF vont nous aider à davantage nous connaître, à révéler nos rôles et nos valeurs individuelles ou collectives. C’est un espace d’information, d’expression mais aussi de reconnaissance qui s’ouvre. Chacun, chaque métier en devient le sujet et le participant. C’est une fenêtre d’échanges, de témoignages et d’expériences humaines qui s’ouvre pour savoir et mieux comprendre. Je salue la création de notre magazine. Je compte que tous, nous profitions de cet élan et que cette initiative contribue à développer nos relations, notre culture. INFOCEF, c’est parti ! Jean-Pierre VILAS Directeur général VENDRE SUR DES MARCHÉS ETRANGERS Pour résoudre ce problème, des filières exports ont été initiées. Cependant nos coûts de production élevés, la pauvreté de notre desserte maritime et la proxi- mité de gros pays producteurs sont autant de freins au développement de nos exportations. [focus] Une immersion au cœur d’un servive l’équipe du service Apprendre à mieux se connaître, c’est l’idée proposée dans cette rubrique. L’OCEF fait partie des plus importantes entreprises du territoire. Les métiers et les hommes y sont nombreux. Dans chaque numéro nous vous proposons une immersion au cœur d’un service. maintenance L’équipe de m aintenance Noum éa au com plet. De gauche à droite Sylvain Nassare :organisation etsuivides opérations de m aintenance préventive etdes contrôles périodiques Cédryc Revert :Frigoriste (tem poraire ) Stéphane Guisguant :Ouvrierpolyvalent François Tuitoga :Apprentifrigoriste Paul Auteret :Frigoriste Pierre Ofatuku :ouvrierpolyvalent– entretien chaîne PDT Néa + 4G Stéphane Tullo :Frigoriste Daniel Hanne :Responsable du service de m aintenance Eric Beaumont :Directeurdes services techniques achats-roulage DE LA SOUS-TRAITANCE AU SERVICE INTERNE Il y a 40 ans, l’installation, l’entretien et la réparation de nos outils de travail étaient presque entièrement sous-traités. Il faut dire qu’à cette époque notre société était bien moins développée et se résumait à quelques chambres froides d’entreposage. A partir de 1977, l’OCEF se développe (chambres froides, extension des bureaux, stations pomme de terre, abattoirs, etc) et la sous-traitance ne répond plus aux contraintes. Le service maintenance est créé. Rendons iciun chaleureux hom m age à Narcisse CLAVEL,heureux retraité quia servil’OCEF durant29 ans au service m aintenance. UNE ÉQUIPE COMPLÉMENTAIRE ET POLYVALENTE Le circuitde refroidissem entm anque de gaz.Paulet Cédryc interviennentsans perdre de tem ps après avoirtrouvé etrebouché la fuite. MIEUX VAUT PRÉVENIR QUE GUÉRIR « A la maintenance, on doit savoir tout faire et notamment travailler en équipe ! » nous assure Daniel HANNE dont la spécialité est l’électricité industrielle. Daniel est entré à l’OCEF en 1977 avec pour mission de remettre aux normes toute l’électricité. Depuis il est resté et c’est aujourd’hui lui le responsable de l’équipe de maintenance de Nouméa. Il s’est entouré de quatre personnes ayant chacune leur spécialité (cf. photos) mais avec le temps tout le monde est devenu très polyvalent. La maintenance est sous la responsabilité directe de M. Eric BEAUMONT, directeur des services techniques. Ce pourrait être la devise de nos cinq hommes. En effet, contrairement à ce que nous pourrions penser, l’essentiel de l’activité du service est axé sur la prévention et l’entretien. « Si nous ne faisions pas de préventif, ça ne fonctionnerait pas ! » s’exclame Daniel. Effectivement dans le cadre de l’intervention préventive, l’action est planifiée, organisée et ne perturbe pas le travail, elle est intégrée. En revanche en cas de panne, c’est tout le contraire. UNE ORGANISATION RODÉE Danieldans la centrale A.Seulluietles 2 frigoristes sonthabilités à intervenirsurles arm oires de contrôle des centrales frigorifiques. Daniel est un homme organisé et minutieux. Il aime que « les choses soient carrées ». Alors il a mis en place une organisation serrée. Tous les lundi matin les deux frigoristes, Paul et Stéphane, font le tour des installations, leur check liste à la main. Grâce à leur rapport, Daniel peut planifier leur semaine. Pendant ce temps là il a déjà envoyé le reste de l’équipe en intervention. UNE ZONE D’INTERVENTION ÉTALÉE Stéphane intervienten cham bre négative.Le blouson rem bourré n’estpas superflu ! P.2 A l’exception de l’abattoir de Bourail qui a sa propre unité de maintenance (qui fera d’ailleurs l’objet d’une présentation dans un prochain numéro), Daniel et ses hommes interviennent sur l’ensemble de nos sites (Siège de Nouméa, Sections PDT Nouméa, La Foa et Bourail, et abattoir de Bourail). Les déplacements sont donc fréquents et demandent une grande disponibilité. [portrait] [indicateurs] Jacqueline KARMAN Jacqueline est entrée à l’OCEF le 20 février 1986 quelques mois à peine après l’ouverture du site de Bourail. VENTE MENSUELLE DE POMMES DE TERRE* (en tonnes) 250000 230000 220000 210000 200000 190000 180000 170000 160000 150000 C’est M. MAGOT, Directeur de l’abattoir de l’époque qui l’a recrutée. Elle se souvient encore de ses premiers mots : « …voilà votre bureau, ça c’est votre standard …débrouillezvous, moi je n’y connais rien ! ». 2006 2005 2004 240000 Jan Fév Mar Avr Mai Jui Jui Aou Sep Oct Nov Déc Après un débutd'année difficile (-6% vs 2005 surles 4 prem ierm ois),les ventes de PDT se sonttrès nettem entam éliorées à partirde m ai.Le cum uldes ventes des 10 prem iers m ois place l'année 2006 devant2005 (+ 5,6% ). * Ces chiffres intègrentles volum es transférés à la 4èm e gam m e VENTE MENSUELLE DE VIANDE (en tonnes) La place n’est pas des plus confortables mais Jacqueline a du caractère, de la volonté et une bonne couche de conscience professionnelle, autant de qualités qui vont lui permettre de bâtir son poste au fil des années. S’il ne s’agit au début que de gérer le standard téléphonique et l’accueil des visiteurs, Jacqueline s’approprie rapidement de nouvelles responsabilités (visites de l’abattoir, relations avec le service du personnel du siège, avec Carol CASAROLI pour la gestion du planning d’abattage, avec Freddy KATODIMEDJO pour l’aspect administratif de la maintenance des véhicules, etc.) 600000 500000 400000 LOCALE 300000 200000 En plus de son engagement professionnel, Jacqueline est Présidente de l’association « le Wahoo Bouraillais ». Avec Didier, son mari passionné de pêche au gros, ils ont créé cette association il y a 5 ans pour promouvoir l’activité et fédérer tous les passionnés du coin. Aujourd’hui c’est un franc succès puisque le club est reconnu par la Fédération Française de NOM : pêche au gros et y est affilié. Chaque Jacqueline KA RM A N , année ce ne sont pas moins de 5 Poste : concours qui sont organisés. Secrétaire de l’abattoir de Bourail Situation fam iliale : Et s’il ne fait pas assez beau pour M ariée,4 garçons de 4 à 20 ans aller pêcher, pas de problème ?! Passion : Pêche au gros,plantes et fleurs Jacqueline s’occupe de ses plantes qui, si l’on en croit la rumeur, font [revue de presse] La filière bovine en crise (LNC :Agriculture -Pêche -Article du 17.06.06) « La filière bovine,fleuron de l’agriculture calédonienne,esten crise.Le nom bre de bêtes abattues a chuté de 1 100 têtes l’an dernier.L’im portation a atteint un som m etavec 252 tonnes en un trim estre,le double de toute l’année dernière.Les politiques préparentun train de m esures. Est-iltrop tard ?… » Les éleveurs font bloc pour un meilleur revenu (LNC :Agriculture -Pêche -Article du 01.08.06) « Dans une situation qu’ils jugentcritique,les éleveurs veulent150 F de plus parkilo de viande.Excédés de ne pas être entendus,ils sontdécidés à hausserle ton età unirleurs forces au sein d’un seulsyndicat… » Crédit photo : LNC 100000 IMPORT 0 2004 2005 2006 On rem arque très nettem entl'augm entation des ventes de viande im portées depuis 3 ans avec une accélération depuis début2006.Notons que les ventes sontplus im portantes sur2006 que sur2005 (+8,3% surles 11 prem iers m ois)avec un m ois d'octobre record au dessus des 500 tonnes vendues. ABATTAGE PAR TYPE* (en têtes) 15000 12000 L’agriculture calédonienne … (LNC :Agriculture -Pêche Article du 01.07.06) « … Débats quin’ont,bien entendu,pas fait l’économ ie des principaux problèm es quiagitent actuellem entle m onde rural:la flam bée des prix du foncier,la m ise en valeurdes terres coutum ières,l’érosion des revenus des agriculteurs, les problèm es de com m ercialisation,les difficultés rencontrées parles jeunes pourleurinstallation à la terre,les financem ents,la recherche...» Guy Monvoisin nouveau président du syndicat des éleveurs (LNC :Agriculture -Pêche -Article du 08.08.06 ) « Signe de leurm obilisation face aux difficultés rencontrées parleurfilière,une bonne centaine d’éleveurs se sontretrouvés sam ediau Colisée de Bourailpourparticiperà l’assem blée générale du syndicatdes éleveurs.Signe égalem ent de leurunité retrouvée… » 9000 6000 3000 0 2004 GROS BOVINS JEUNES BOVINS VEAUX 2005 2006 PORCS CERFS DIVERS Les abattages déclinentsurtoutes les espèces (2005 vs 2004 :-5,5% ).M ais la baisse la plus spectaculaire revient aux gros bovins quisontpassés de 7500 à 4400 anim aux abattus en deux ans. * Le m ois de décem bre de l'année 2006 a été estim é P.3 [dossier] exportations la filière SQUASH suite de la page 1 Produire et exporter quand la concurrence ne le peut pas. SQUASH • 300 ha cultivés chaque année • Les squashs sont récoltés entre le 75èm e et 100èm e jours après sem is • un squash pèse entre 1,3 et 2.7 kg • 500 em plois directs et indirects pendant la saison • 40 agriculteurs • 100 m illions reversés aux producteurs RÉPARTITION DES PRODUCTEURS PAR COMMUNES EN HA EN 2006 Bourail 180 ha La Foa 43 ha Ponérihouen 6 ha Pouembout 2 ha Canala 4 ha Le squash estcultivé chaque année un peu partouten Nouvelle Calédonie m ais les 2/3 de la production proviennentde Bourail PAYS EXPORTATEURS DE SQUASHS VERS LE JAPON EN 2005 Nelle-Zélande 69% Mexique 17% Tonga 10% ex URSS 1% Nelle-Calédonie 2% Australie 1% La Nouvelle-Zélande,auprès de quinous avons trouvé toutl’appuitechnique nécessaire,estle prem ierexportateurde squash au Japon.La Nouvelle-Calédonie,avec seulem ent2% de partde m arché estun des plus petits producteurs,m ais dépasse la Russie etl’Australie. P.4 TROUVER LE BON PRODUIT Le squash s’est avéré être la solution. En effet cette cucurbitacée est très prisée au Japon dont la production ne couvre pas la demande de 700T par jour. Notre climatologie nous permet de produire quand ce n’est pas possible ailleurs. Ainsi nous sommes assurés de pouvoir écouler toute notre production. Les autres pays producteurs sont la Nouvelle-Zélande, l’Australie, l’URSS, le Mexique et les Tonga. ATTEINDRE LE NIVEAU DE QUALITÉ REQUIS Nos acheteurs étant très exigeants quant à la qualité des produits, nos agriculteurs, peu qualifiés pour la culture spécifique du squash devaient bénéficier d’un soutien technique. Nous avons trouvé ce soutien auprès de nos voisins néo-zélandais avec qui nous avons développé un partenariat technico-commercial. Les techniciens des Provinces (DDR & DDEE) et l’OCEF encadrent également les producteurs. LA QUALITÉ C’EST AUSSI UN ENGAGEMENT DU PRODUCTEUR Le producteur s’engage à respecter une liste de produits phytosanitaires et à remplir un cahier de traitement faisant état des produits utilisés. En effet nos clients japonais sont très regardant sur cet aspect qualitatif et demandent même à ce que des analyses de résidus soient réalisées avant expédition. OPTIMISER LES RENDEMENTS Chaque année, les différents techniciens ainsi que notre spécialiste néo-zélandais suivent les parcelles de squashs depuis leur préparation jusqu’à leur récolte. Ils surveillent le bon développement des plantules et conseillent personnellement chaque agriculteur pour lui permettre de mener les bonnes actions afin d’optimiser la production. CRÉER UNE STRUCTURE POUR GÉRER L’ASPECT COMMERCIALE Pour encadrer le lancement de la filière squash et pour développer les exportations, une société a été créée le 6 septembre 1994, il s’agit de la FCTE SA. C’est une joint-venture comprenant 50% de capitaux Notre débouché com m ercialau Japon n'estpas lim itatif,plus nous produisons,plus nous vendrons.M ais attention,le critère qualité estincontournable. néo-calédoniens et 50% de capitaux néozélandais. Le principal actionnaire calédonien est la Sodexport (filiale de l’OCEF) et le principal actionnaire néo-zélandais est la société DM Palmer NZ Ltd, un exportateur de squashs, d’oignons et de pommes ayant une grande expérience du marché japonais. SQUASH Le squash est une cucurbitacée.Ilest produit pour le m arché japonais où il est consom m é en soupe,cuit à la vapeur ou légèrem ent frit.C’est un légum e quicontient beaucoup de calcium ,de fer,de vitam ines A & C et de fibres. La variété de squash la plus connue et la plus répandue est la D elica.Son rendem ent est élevé et régulier.Ilexiste d’autres variétés que les japonais préfèrent (Kofuki,A jiheiet Em iguri)m ais leurs rendem ents sont généralem ent inférieurs et elles sont donc peu com m unes en N ouvelle Calédonie. PRIX PRODUCTEUR DEPUIS 1993 100 90 80 70 60 50 40 30 20 10 0 1993 1995 1997 1999 2001 2003 2005 Depuis 2002 l’ERPA a m is en place un fond de stabilisation squashs.Ilvise à assurerau producteurun revenu m inim um com pris entre 55 et62 cfp/kg. P.5 [dossier] exportations exigences & critères de qualité pour exporter le conditionnement des produits au Japon Une fois arrivés au Japon,les squashs sont em ballés dans des cartons de 10 kg puis ils sont distribués aux com m erçants. L’origine « N ouvelle-Calédonie » est un gage de qualité et les acheteurs peuvent identifier la provenance des squashs grâce au packaging.N otre production est réputée au Japon quiattend chaque année nos « Island squashs » avec im patience LE TRI, UNE ÉTAPE DÉCISIVE Les clients de la FCTE SA La FCTE a mis en place ERPA OCEF imposent des critères une commission des SOUTIEN DES PRIX PROD. de qualité. Tous les prix visant à inforTRI - ASS. TECHNIQUE FINANCEMENT ASS. TECHNIQUE squashs récoltés ne mer les producrépondent pas à teurs des décices critères, il faut sions stratéAGRICULTEUR FCTE SIVAP PRODUCTION donc les trier. giques en temps EXPORTATION CONTRÔLE PHYTO L’OCEF, qui s’ocréel. Choix des cupe chaque clients, prix de année du tri de vente, planning APPUI TECHNIQUE DDR QAS EXPERTISE ET FINANCIER DDEE toute la récolte de de livraison, qualité CONTRÔLE QUALITÉ pommes de terre, se font partie des sujets LES INTERVENANTS charge de cette étape décide discussion au sein de sive dans sa station de La Foa. cette commission. EXPORTATIONS DE SQUASHS PAR LA FCTE DEPUIS 1993 3500 3000 2500 2000 1500 1000 DES CARGOS SPÉCIALEMENT AFFRÉTÉS 500 0 1993 1995 1997 1999 2001 2003 2005 La production de squash a m is environ 4 ans à se m ettre en place.Entre 1997 et 2002 elle s’estam éliorée etdepuis la production eststable.La technique de culture estm aintenantm aîtrisée.Pouraugm enter les volum es,ilfaudraitdévelopperles surfaces cultivées. P.6 LA COMMISSION DES PRIX Arrive le temps de l’expédition au Japon. Un bateau est pour cela spécialement affrété par la FCTE. Les squashs sont transportés dans leurs caisses en bois dans des cales réfrigérées. Le transport jusqu’au Japon dure entre 12 et 14 jours et chaque navire transporte 1000 à 1500 tonnes de squashs. Noë l 2006 LE COIN DU C.E. Selon la tradition, le Comité d’Entreprise a organisé le Noël OCEF. Cette année nos organisateurs ont eu l’idée de fixer le rendez-vous au nouveau parc d’attraction du rond point des sports à Boulari. Les enfants ont pu profiter de toutes les attractions (chateaux gonflables, mini kart, pedalo, etc) en attendant la distribution des cadeaux et la séance photo avec le Père Noël en personne ! BON Appé tit recettes Un grand m ercià M lle Sylvana DEM ENE,Secrétaire de la section PDT età M lle M arine BRANCALEONI,Responsable Qualité pourleurparticipation. Confiture de squash Squash aux fruits de mer Ingrédients : • 1/2 litre d’eau • 1 kg de squash • 650 g de sucre • 2 gousses de vanille Ingrédients : • 1 squash • 1 cocktailde fruits de m ercongelés • 2 à 3 crevettes parpersonne • 1 oignon • 250 m lde crèm e fraîche liquide voire plus sile squash estgros • Sel,poivre,noix de m uscade. Eplucher le squash et le couper en gros carrés. Mettre la chair dans un faitout de bonne taille, y verser l’eau puis les morceaux de squash, le sucre et la vanille coupée. Laisser mijoter le tout à grand feu en tournant régulièrement. Ecumer l’eau de temps en temps. Une fois le mélange porté à ébullition, réduire le feu et continuer à tourner. Lorsque la mixture a pris consistance de pâte, la confiture est prête. Il ne reste plus qu’à la mettre en pot. Dé tente… Laver le squash à grande eau. Sur le dessus, au niveau du pédoncule, découper un chapeau en forme de pentagone sur 8 à 10cm. Réserver le chapeau et enlever les graines. Faire chauffer le four à 180°C. Emincer l’oignon et décortiquer les crevettes. Dans une poêle légèrement huilée, faire revenir l’oignon jusqu’à ce qu’il devienne translucide. Rajouter les fruits de mer et porter à feu vif. Laisser cuire jusqu’à complète évaporation en rajoutant les crevettes 3 minutes avant la fin de la cuisson afin de leur donner une légère coloration. Saler, poivrer et râper de la noix de muscade (ne pas hésiter sur la quantité). Verser le mélange dans le squash et recouvrir avec la crème fraîche. Refermer le squash avec le chapeau, le placer dans un plat à gratin et mettre au four pour une heure. Servir en plat unique accompagné d’une bonne salade verte et d’un vin blanc 7 différences séparent ces deux photos... à vous de jouer. 1 :Logo O cef im prim é sur la poitrine / 2 :Logo O cef im prim é sur la m anche / 3 :Tuyau sur le poteau à gauche / 4& 5 :Vis et num éro de l’étau / 6 :M asque suspendu à gauche / 7 :Casque rouge P.7 inf [ressouces humaines] Cé ré monie de remise des mé dailles 2006 M édaille Verm eilpourDanielBATHEOTE (Découpe Bourail) M édaille Grand OrpourFélicien KIKI (Abattage Païta) Le 8 décembre dernier s’est déroulée la cérémonie de remlise de médailles et de départ à la retraite REMISE DES MÉDAILLES, cérém onie du 08/12/06 JOYEUX ANNIVERSAIRE JA N VIER M édaille d’A rgent : Paul AUTERET (Maintenance Nouméa) M édaille Verm eil: Daniel BATHEOTE (Découpe Bourail) Rock POATIBA (Abattage Bourail) Serge BOEWA (Bétail vif Païta) Oiafeta MARE (Section PDT Nouméa) Missol WABEALO (Abattage Bourail) Fernand PETAZIG (Abattage Bourail) Raymond REISEN (Section Viande Nouméa) Graziella GOUJON (Secrétariat DRH) M édaille Grand O r : Félicien KIKI (Abattage Païta) Narcisse CLAVEL (Maintenance Nouméa) DÉPART À LA RETRAITE EN 2006 : Le 31 juillet : Marcel RANGASSAMY (Abattoir de Bourail) Le 8 septembre : Narcisse CLAVEL (Maintenance Nouméa) Le 7 Novembre : Selemia MAILAGI (Sect. Viande Nouméa) Le 30 Novembre : Jean-Claude PIERSON (Sect. PDT Nouméa) NAISSANCES : Darell, le 24 août 2006 chez Pierre OFATUKU (4ème Gamme Nouméa) Sabrina, le 25 septembre 2006 chez Franck PALLOIS (Découpe Bourail) Mallaurie, le 24 mars 2006 chez Nicolas THOMAS (Directeur Abattoir Bourail) Jahlian, le 10 juin 2006 chez Stéphane TULLO (Maintenance Nouméa) RECRUTEMENT 2006 : Pierre OFATUKU, le 1er mars 2006 (Entretien 4ème Gamme Nouméa) René CARAMESSY, le 1er février 2006 (Cariste Station PDT La Foa) Jean Michel ODINO, le 1er février 2006 (Cariste Station PDT La Foa) Achille KASOVIMOIN, le 1er février 2006 (Cariste Station PDT Bourail) P.8 Jean Pierre VILAS Eddy YOSHIYAMA Jean-Paul GOUE Paul AUTERET Marie Paul GASPARD le 05/01 le 16/01 le 21/01 le 22/01 le 25/01 FEVRIER Herbert JEULIN Carol CASAROLI Daniel BATHEOTE René CARAMESSY le 02/02 le 13/02 le 18/02 le 28/02 M A RS Falakiko NOFU Marius THY Albert MITCHAM Alain BERGER Félicien KIKI Christophe HONS Marine BRANCALEONI Steven SALIKAN le 01/03 le 03/03 le 08/03 le 10/03 le 12/03 le 15/03 le 20/03 le 30/03 Avril Upinué SIEJIRD Adeline CRETIN Ismaël EL ARBI Patrick CHARDON Marc André STEFANI James JOUANNO Max HUGHENY Nicolas THOMAS Eric PRATI Joël VOISIN Ginette TUILALO Lucien NUNEWAIE Hervé VELAYOUDON Sylvain NASSARE Michel BOUEARAN le 02/04 le 03/04 le 03/04 le 04/04 le 05/04 le 09/04 le 11/04 le 13/04 le 16/04 le 16/04 le 18/04 le 19/04 le 22/04 le 23/04 le 30/04 M édaille Verm eilpourGraziella GOUJON (SecrétariatDRH) M édaille Verm eillpourNissolW ABEALO (Abattage Bourail) M édaille Verm eilpourRock POATIBA (Abattage Bourail) Départà la retraite de Jean-Claude PIERSON (Section PDT Noum éa) Départà la retraite de M arcelRANGASSAM Y (Abattoirde Bourail)