European League for Economic Cooperation fonds

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European League for Economic Cooperation fonds
LIGUE EUROPEENNE DE COOPERATION ECONOMIQUE - L.E.C.E.
EUROPEAN LEAGUE FOR ECONOMIC CO-OPERATION - E.L.E.C.
Le 29 mars 1991
Notre réf.467jCté fr.
Cher Monsieur,
Procès-verbaux des réun10ns des Secréta1res Généraux.
Sous pIi séparé 11mprimés", je vous envoie photocopie du
résultat de mes recherches, c'est-à-dire :
- Ies années 1953, 1958, 1962, 1978, 2 P.V. pour l'année
1980 (vous en avez un mais je ne sais pas lequel),
1982 et 1988.
Je ne trouve rien pour les années 1966, 1967, 1972.
En 1986, il n1y a pas eu de réunion. En 1989, non plus.
Par contre, il y a eu une réun10n en décembre 1990, mais
pas de procès-verbal.
Puis-je par la meme occasion vous rappeler ma lettre du 5
février (réf.412) par laquelle je vous demandais de nous
envoyer un ou deux exemplaires des publications de 1 à
lO, et le n° 40, ainsi quI une dizaine de publications
n° 63 IILa fiscalité européenne ll • Merci d'avance.
Croyez en mes sentiments les meilleurs.
Françoise BOeL-LAMBIN
M. Lucien de SAINTE LORETTE
Ru e de Na m u r 2 - 10 00 BRU X ELL ES
A ss o c ia r i o n in tc r na tio na le à bu t scicn t ifi q uc
( Loi b clge d u 25 o ctobrc 191 9 )
T él.: 3 2 ( 2) 512 20 8 9 ·
Fax: 32 ( 2) 511 161 0
e! r
LIGUE EUROPÉENNE DE COOPÉRATION ÉCONOMJQIlE
SECTION FRANç AISE
106 bis, RUE DE RENNES -
75006 PARIS -
TÉLÉPHONE : (1) 45481925 APRÈS·MIDI
Pd ris, le 15 Md rs 1991
Chère Arnie ,
Comme vous le d isie z l'dutre jour , i l fd ut bien q ue I d vie c ontinue e t
v ou s é cr i s d onc pou r des questions professionnelles .
je
Vous Sdvez q ue nous mettons de l ' o r d r e ddns nos pdp iers . Nous serons Sdns
doute dppel és à vous dérdnger à plus ieurs reprises . Aujourd 'hu i , il s ' dgit
des r é u n i o n s des secrétdires générdux
Nous
Nous
Nous
Nous
Nous
Nous
dvons u n
en d vons
en dvons
en dvons
en dvons
en dvons
p z oc èa -c v e.r ba I pour 1965 -~ - .1.Q - 71 ,
t rois pour 19ft .
u n pour 1~74 - 75 - 76
qua t r e pour 1977~ 'l0un pour 1 9 7 9 - 08 0 - .~ - 83 .
deu x pour 1984 - 85 - 87 - jdnvier 88 .
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Y en d-t ' il e u dVdnt 1965 ?
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Croy e z , je vous p rie à mes s ouveni rs dmic dux .
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Mddame Françoise LAMBIN
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SAINTE LORETTE
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Si te 1 é tdit le CdS, serdit-il poss ible d'dvoir un e xempld ire ou une photocopie de chdc un de ceux q ui nous mdnquent ?
Pd r d o n de v ou s d érdnger dinsi (et ce n 'est pdS fini ! )
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V
LIGUE EUROPEENNE DE COOPERATION ECONOMIQUE - L.E.C.E.
EUROPEAN LEAGUE FOR ECONOMIC CO-OPERATION - E.L.E.C.
Le 5 février 1991
Réf.412jCté fr.
Cher Monsieur,
Je nlai pas oublié votre demande relative aux activités
de nos divers comités nationaux, et vous envoie sous ce
pli une note à ce sujet.
En fait, i l s'agit d'un chapitre de notre prochain
rapport d'activités qui, je crois, reflète bien ce que
certains comités ont réalisé au niveau national en 1990,
et je pense que ces quelques pages intéresseront un
éventuel candidat à la reprise de notre comité français.
Par ailleurs,vous m1avez dit que vous procédiez à des
rangements et triages et vous m1avez demandé quelles
publications de la LECE nous manquaient ici à Bruxelles.
Notre collection est complète, mais il nous serait très
agréable de recevoir 1 ou 2 exemplaires des publications
de 1 à lO, ainsi que le n° 40.
De plus, nous sommes presque totalement à court de la
publication n° 63 uLa fiscalité européenne" et cela nous
rendrait grand service d'en recevoir une dizaine, si cela
vous était possible.
Je vous en remercie d'avance et vous prie d1agréer, Cher
Monsieur, l'expression de mes sentiments les meilleurs.
~~
Françoise LAMBIN
M. Lucien de SAINTE LORETTE
Rue de Namur 2 : 1000 BRUXELLES
A s so ci a ti o n internationale à but scientifique
(Loi beIge du 25 octobre 1919)
Tél. : 32 (2) 5122089·
Fax : 32 (2) 511 1610
LIGUE EUROPEENNE DE COOPERATION ECONOMIQUE - L.E.C.E.
EUROPEAN LEAGUE FOR ECONOMIC CO-OPERATION - E.L.E.C.
Le 31 janvier 1991
Réf.403/Cté fr.
Le Secrètaire Général
Monsieur le Président,
J'ai bien reçu par l'intermédiaire de mon ami, M. Lucien
de SAINTE LORETTE, la convocation pour les Premières
Assises des Associations à Vocation Européenne, réunion à
laquelle il s'était d'ailleurs inscrit et à laquelle il
comptait participer.
Je regrette vivement que des contraintes d'agenda
m'empèchent d'ètre présent à Strasbourg les 1er et 2
février. Je prends cependant grand intéret à vos travaux.
Pourrais-je vous.demander de me faire parvenir tous
documents ou conclusions qui auraient été préparés dans
le cadre de ces assises ? Merci d'avance.
Espérant participer à des réunions ultérieures, je vous
prie d'agréer, Monsieur le Président, l'expression de mes
sentiments très distingués.
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Thierry DEMEURE
Monsieur Claude-Laurent GENTY
Président
Centre E.C.D.H.
5, rue Wencker
F-57000 STRASBOURG
Rue de Namur 2 - 1000 BRUXELLES
Association intcrnationalc à but scientifique
(Loi beig e du 25 octobrc 1919)
Tél.: 32 (2) 512 20 89·
F ax: 32 (2) 51116 lO
LIGUE EUROPEENNE DE COOPERATION ECONOMIQUE - L.E.C.E.
EUROPEAN LEAGUE FOR ECONOMIC CO-OPERATION - E.L.E.C.
Le 25 janvier 1991
Ref./396/Cté fr.
Cher Monsieur,
c'est avec grand plaisir que nous avons reçu vos voeux
pour 1991 accoompagnés d'une superbe gravure de l'oeuvre
d'Albert Bitran "Passage d'ocre et de vert" .
Je vous en remercie très vivement et vous souhaite à mon
tour une très bonne et fructueuse année 1991.
Croyez, cher Monsieur, à mes sentiments les meilleurs.
Françoise BOeL-LAMBIN
Monsieur Jean-Pierre BRICE
Direction financière
ARJOMARI
3 , rue du Pont-de-Lodi
F-75006 PARIS
Ruc dc Nam u r 2 - 10 00 BRUXELL ES
Associ ation in ternati onale il bu t scientifiq ue
(Lo i be Ige du 25 octobre 191 9 )
T é l. : 3 2 (2) 512 20 89 ·
Fa x : 32 (2) 511 16 10
No FAX :3 3- 1- 463 47332
LrG UE
E URO Pf ENNE
DE
Coo.pERA'fION
29 JA N 91 17: 38 No.020 P. 02
ECONO.MIQ1!E
SEcnON PRANçAISB
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LUCIEN DE SAINTE LORETTE
VICE·PRÉSIDENT D ÉLÉGUÉ DE LA SECTION FRANçAISE
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106 BIS. RUE DE RENNES. 75006 PARIS
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, PREMIERES ASSISES DES ASSOCIATIONS AVOCATION EUROPEENNE
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A l'initiative du Centre pour l'Europe des Citoyens et des Droits de l'Hornme, sont convìées
à STRASnOURG les ler et 2 FEVRIER 1991,
LES PREMIERES ASSISES DES ASSOCIATIONS A VOCATION EUROPEENNE
sous le patronage du Secrétaire Général du Conseil de l'Europe et des Institutions de la
Communauté Européenne.
.
Ces Assises se tiendront le ler Février 1991 de 10h à 19h et le 2 Février de 9h à 12h. Les langues
de travail seront le Français, l'Allemand et l'Anglais. Ces assìses pennettront aux responsables de
plus de 150 Associations à vocation européenne de se rencontrer, d'établir des liens,
d'échanger leurs préoccupations, de décider d'éventuelles actions communes.
Ces Assises pennettront également d'approfondir :
- d'une part, le ròle des Associations pour
les Droits de l'Homme, la Paix, le Développement, les échanges internationaux,
l'ouverture de l'Europe Centrale et Orientale,
l'Europe des Citoyens et la vie dans la cìté,
- et, d'autre part, les moyens des Associations, notamment la communication, Ies media, la
reconnaissance juridique, etc...
Si ces Assises répondent à vos propres préoccupations, vous ètes priés de confirmer votre préinscription par le bulletin ci-joint.
.
Si vous comptez venir à Strasbourg Ies 1er et 2 Février prochains, il vous est conseillé de réserver
dès à présent votre chambre d'hotel.
Maurice RIEUTORD
Délégué Général du Collège
Claude-Laurent GENTY
Pr ésident
des Organismes Associés
du Centre E.CD.II.
Secrétariat des Assises : Cell!r\; E.C.D .l!. · 6, me We/lcker F-67000 STRASnOURG· Tél. : (33) 88.24.18.12
LIGUE EUROPEENNE DE COOPERATION ECONOMIQUE - L.E.C.E.
EUROPEAN LEAGUE FOR ECONOMIC CO-OPERATION - E.L.E.C.
Le 8 janvier 1991
Réf. 365/Cté fr.
Le Secrétaire Général
NOTE POUR LE PRESIDENT
en vue de son entretien ave c Jean DEFLASSIEUX à Paris le
vendredi 11 janvier 1991 à 17 heures
Banque des Echanges Internationaux
55, avenue Kléber PARIS 16ème
*
*
*
Le comité français de la LECE a deux présidents:
Jean DEFLASSIEUX
et
Olivier GISCARD d'ESTAING.
Un Vice-Président Délégué: Lucien de SAINTE LORETTE
ayant jusqu'à présent joué le r6le de Secrétaire Général,
Jacqueline de BEAUMONT en ayant le titre; elle vient
d'ailleurs de donner sa démission.
De très belles activités:
En 1990 par exemple:
Le 12 j anvier: Colloque "Demain l'an 2000 - Quelle
Europe voulons-nous ?
Le 21 mai : Déjeuner et allocution par Jean FRANCOISPONCET.
Le 19 octobre: Colloque sur l'Europe centrale et
orientale - Investir et commercer Où ? Quand ? Comment ?
MAIS :
- Problèmes de rajeunissement :
Absence de Secrétaire Général
(Madame Françoise BILLON, First Vice President, Caisse
Nationale du Crédit Agricole, serait intéressée, mais
craint de n'avoir pas le temps d'assumer cette
charge) .
Ruc dc Namur 2 - 10 00 BRUXELLES
A ss ociati on i n tc r nut i o n n lc à but sc ie nt iflq uc
( Lo i beige c.lu 25 o ct o b rc 1919)
T él. : 3 2 (2) 512 20 89 ·
F ax: 3 2 (2) 511 J(, 10
- Problèmes financiers:
Perte du soutien traditionnel du CNPF et plus récemment
de grandes entreprises.
Risque à terme de perdre de très grandes facilités que
leur offre le Président du 8énat, Alain POHER.
En ce qui concerne sa cotisation, le comité français a
payé jusqu/à fin 1989.
Pour 1990, sa cotisation est de 378.000,- Frs belges
moins 100.000 ,- Frs représentant notre intervention
dans ses travaux, soit 278.000,- Frs belges.
~
~
).
I .
~
Thierry DEMEURE
LA SECTION FRANçAISE
Présidcnt d'honncur
Edouard DONNEFOUS
Présidents
Jean DEFLASSIEUX
Olivier GISCARD d'ESTAING
Vice-Présldent délégué
Lucien dc SAINTE LORETTE
Vlce-Présldents
Pierre dc CALAN
Jcan-Yvcs HADERER
LolK LE FLOCH PRIGENT
Trésorier
Raymond AXELROUD
Secrétaire générul
Jacqucline dc DEAUMONT
La scction Irançalse de 111 L.E.C.E. réunlt dcs commissions ct groupes dc
travail, publie un bullctln d'ìnformatlon et organlsc dcs réunlons, dcs tablcs rondcs,
des pancls, ainsi quc des déjcuncrs-débats doni Ics hOICS d'honncur soni dcs pcrsonnalltés politiques (mcmbres du Gouverncment Irançals ou dc la Commisslon dc
Bruxelles), patronalcs, syndicaIcs ou unlvcrsitalrcs.
Les commissions et groupcs dc travail sont présldés par Marcel Boltcux
(flscalìté curopécnne), AndréCellard (transports), Françols Ceyrac (économ le),Jcan
Dcflasslcux (rnonnaic), Jacques Tcsslcr (social).
La scction Irançalse de la L.E.C.E. dévcloppc son actlon dans Ics grandcs
vlllcs dc province.
La scctlon Irançulse de la L.E.C.E. particlpc activcrncnt aux travaux dc
l'Organisation Irançaisc du Mouvcrncnt curopécn, preside par Jcan François Poncet,
aux còtés des Fédéralisics, dc la Gaucho curopécnnc Cl dc dlvcrscs asscclutlcns
natlonales (cnscignants curopécns, [uristcs curopécns, ctc.).
Actlvltés 1989·1990
Colloqucs
Flscalité curopécnne
O.P.A. et Fusions en Europc
Dcmain l'an 2000 : Quelle Europc voulons-nous?
L'Europc sociale ct lcs problèmcs de l'lrnrnlgratlon
Déjcuncrs
.
Jacqucs de LAROSIERE • Gouvcrncur dc la Banquc de France
Frédéric d'ALLEST· Présldcnt d'ARIANESPACE
Martin BANGEMANN • Ylcc-Présldcnt dc la C.E.E.
Robcrt MAXWELL • Chainnan MAXWELL Communication
Juan DURAN LORIGA • Ambassadeur d'Espagnc en France
Jcan FRANçOIS PONCET· Présldcnt dc l'Organlsation Françaisc du Mouvement Europécn
Pressentls"
Mauricc ALLAIS • Prix Nobcl d'Economie
Jacqucs ATIALI • Présldcnt de la DERD
Jacqucs DELORS • Présidcnt de la Commission des Comrnunautés
Européenncs
Wilfricd GUTH • Présldcru du Consci! dc survcillance dc la Deutsche Bank
Cathcrinc LALUMIERE • Secrétairc généralc du Consci! de l'Europe
Jcan-Claudc PAYE- Sccrétalrc général dc l'O.C.D.E.
Ligue Européenne de Coopération Economique
Section Française : 106 bis rue de Rennes • 75006 Paris
Tél.: (1) 4548 1925
Secrétariat international : 2, rue de Namur
1000 Bruxelles - Tél.: (2) 5122089
OLIVIER GISCARD O'ESTAING
101 avenue Henri Martin
75116 PARIS
TEL. (1) 45.04.25.63 - FAX.
(1) 45.04.27.62
FACSIMILE MESSAGE
TO :
Monsiéur CAROON de LICTHBUER - L.E.C.E. / Bruxelles
Fax nO
FROM
01iviar Giscard d'Estaing
DATE
29 novembre 1990
Nombre do pages (y compris cel1e-ci)
Number of pagos (including this ona)
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la part et avec les compliments d'Olivier GISCARD d'E$TAING"
"Pour information".
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QUINTA.r=EJRA. 22 DE NOVEMBRO DE 1990
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'~ I't~;i.u!
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Europa deve manter
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investimento no Paisi
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lEDA 8ECX
.9 Brasil nào deve temer a passi-
:
D~ acordo coI!l ele, a balança co-l :
merCl;al. d.o Brasil com a Europa é .
defi~1 tana para os europeus, O :
bilidade deperder possiveis investimentos europeus paraospalses do Brasi! exportou USS 34 bilhòes cm .
Leste. Ao contrario, deve persistìr 1989, sendo 27,6% paraa Europa e :
nos contatos com a Cornunidadc 25,8% para os Estados. Unidòs. :
Econòmica Europèia (CEE), quejì "Em cornpensaçào, s6 irnportou .
temcom o Pais umrelacicnamento
USS 18,1 bilhòes, sendo 21,5% da :
comercial intenso e Iavoràvel ao Europa e 20,8% dos EUA" infor- ;
. Brasil, Esta é a principal tese a ser ma. Oex:cutivo acredlta qu~ o me- :
. defeodida hoje pelo executivo Iran- . lhorcarninho para os empresàrios .
cés Olivier Giscard d'Estaing ém brasileiros entrarern no mercado .
palestra em Sào Paulo, Giscard europeu é ode"manter o maior nùd'~~aing é presidell~e da Liga ~u- I D}ero possivel de contatos profis- :
ropeia de Cooperaçào Econòmica sìonals Intemacionals",
:
Desses contatos podem resultar :
e membro do conselho deadrninls·tra.çào de vàrias grandes cornpa- acordos de soustraitance, palavra .
nhias, como IBM França, Jonhson que designa nlio urna simples sub- :
francesa e Generali.
coll.lrataçao, mas um centrate es- :
Giscard d'Estaing, que é irmào pecial com Iornecedores especiali- i
mais novo do ex-presidente da zados paraa Iabricaçào departes e .
França, està em Sào Paulo a convi- peças de um deterininado produto.
te do Grupo IOD e do Grupo de Nesse caso, pequenas e médias inCoimbra, associaçào de 24 univer- dùstrias brasìleiras poderiam sehasidades europèias ligada à CEE. billtar como Iornecedores de granEle fala hoje, às 16 horas, no Suo des empresas curopéias nas areas
Paulo Hilton Hotel, sobre estratè- de autornobillsmo, informatica
gias para o Brasi! na CEE.
eletrénlca ou aeronàutica, entr~ ,;
Segundo ele, o processo de Ior- outras. Outra alternativa esta na :
rnaçào da comuriidade européia
area da alta tecnologia, em que ;
ao contrario doque sediz, fa vo~ grandes companhias europèlas po- ;
a relaçào do continente com a denaro usar o Brasil como plata- : .
Arnèrica Latina, "A Europa vai-se» ~(9nn(l ?e.e~por~ça? p.3!~ a; ttm,éri' "
tornar mais forte, terà U013 moeda, ca Latina e outras regiòés,
•
a ECU, multo mais estive! que o
Paraisso, etc considera essencial .:.
dola! e seu papel politico no cenaoro clima d é grande llberdade de :
no lnternacional ser:i multo mais ciJculaçào finaoceira e cemerci<ll. :
importante", pondera Giscard com o minimo possivel de empcci' :
d'Estaing. Nesse G,ll3dro, o Brasil lhos adminislrolÌ\'Os e de inlervcn· '
seci um parceiro muito inleressan- çao do Eslado. Nesse sentido, con· ;
te, "porque ja é urna potencia in- sidera muito positiva a açào do ~
duslrial f.\portldora para ;l Eurrr atual governo, que podem reverler
pa e, como havera um crescimento o desaquecimeolo dos investimen :
da Europri, CS$;1S exporl:lçDes ten- las europeus no Pais, resultado
dero J crescer juoto".
Lamocm da alta inllaçao.
I
-
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.1 . , •
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' • •
,
I
~
.)
, '
l.,: . .
·
o presidente da Liga Européia
de Cooperaçào : Economica da
França , , , o 01lvier "Glsca rd
D'EsCalng, afìrrnou ontem 'que o o
Bnisil precisa "rnudar lima certa
lmagern negativa" que possui pe- :
rante os palseseuropeus. '
,
Ele atribui o fato a tres fatores,
Um deles, 'segundo D'Esl.aing.
r~ide no "tradicional protcciorusmo que sempre caracterlzou a
politica, de comércio exterlor do
pars", D' Estaing 'aflrmou no entanto, "estar bem impr~siona­
do" com as recentes meclidu!>
governamentals com relaçào M
setor, que reduzirarn -as barreirns
alfandegarias.
.. Elas
lndlcam
urnaclara abertura do mercado'o.
Alérn desse aspecto, D'Estalng
.destacou '''a5 altas taxas de lnflaç:io e o elevado crescimento populaclonal ,do pats", Ele acha que
o ambiente lnflaolonario "atrapalha o planejamento dos investimentos", Na opiniào 90 presi'dente da llga francese, o crescimento demografico 'do Brasi! "é
urn Iarde multo pesado p:lru o
pafs carregar",
.
Com relaçào ao desernpenho dà
indLis~a brasileira, ele disse que
o ,"pcllsamento do ernpresariado
europeu, e em particular os Iranceses, de conflança de que Cl
parque fabrll brasileiro possa se
modernlzar, aprimorando sua
qualldade e produtlvldade", '
"Compram-se aviòes brasilelo
o
é
ros de excelente qualidade' ,
aflrmou: Ele disse, no entanto,
que a "menl3..1idade lndustrlnl e
administrativa" precisa caminhnr
no sentido de conceitos mais mo-
dernos de organizaçào, como
"trabalhar com métodos 'just-intlme' e nìves de éstoque mais
baixos" •
D'Estalng se refere neste caso,
à~
'Iécnica!l dc pr(louç50 que.
r:; atrav,éstde aJl~h1ç6es na..organlza~~ ~
" çàO! da' fabrlca, .permlrem dìml-"'
. • nulr o tempo de fabrlcaçdo, au; .
rnentando a flexlbilidade : para
produzir novos lotes e, censequentemente; acabando com a
.
_- - - - - -
necessidade de grandes estoques
de reserva. Essas técnlcas, largamente utìllzadas nas empresas
do Japào e rnuito difundidas na
Europa e nos Estados Unidos,
ganhararn, nos I111im05 8110S,
rnalor destilque no Brasil,
A Europa como urn lodo tem
adotado medidas severas P:Ir4l Ilscallzar a qualldade industriaI.
Um3 delas foi a adoçào da norma
ISO 9000, documento que serve
de base para garantir a qualidade
de proolll~, inclllr.j<,'c squeles
:1(t{lt1frJ(r~ de outros oa($e5 •
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i"::' '.,:' a ..de que a Europa, uma vez. lodo~, .;/em partlciilar - para ' :« : ti":
. . " , '. uniflcada, Vai ,ser protecionlsta, Brasil, que leCl! boas oportunlda- r .
. , .•. voltando-se mais para o seu pro- : desdene[T6cio'~r J••• >.: ..;'-(:';-.1:1:-. .• ,:• .
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: • ~ prlo rnercado, A outra é a de que'
. >. -os lnvestlmentos vao sè destinar Ele admltiu,' no' entarìlo.':qui! o " l: ·
l :':.: ~ :111.ai5 para '05 pafses do Leste Bràsi! precisa mudar sua lmagem . ,'f
'iiii~~~!ij=~~~iii~~i~:-]' :e~r?p:u -q~e estào passando..ç1o : negallva. pe.ranl.e os pafses euro-. :.
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.socialismo' para ' a economia de", peu~ Jleul ICX{O so rado.!. Do totnl .
.' . mercado-x, ern detrilncnto dos de . exp0e:ta1òes ' ~o ;Brasil'em 89' .
. w,veslirnenlos em outrospalsès,l , ; t..: (US~' 34 bIIN>es), 21,6,% Ioram ..I
:~. :..t:- .afì.rm~çao f01 Ieita ontern pO(i; d;-'itina~ds, à•C~~I' Da~ Importa- : ;
.... Ollvier" GISCàId D'Estàing, 6Z;.: çoes . brasJlelrB~; que ' SOIlI:WII1l, . .
: .. l'residente' dà l Liga Europçia' de~~ ; US$ ~8. t bi1h5eS no ano passado.'i .1
L CQ,.opernçao' EconOm,ica da Froo".J: ZLS % fo~. n.dq~.irldos d,os 'paI-: I:.. ~:
,1 . p • .D' Estalng .(que é içmao de
~es da CEE. 11Jlt,~:. .... ;li.:~II: '·II~:.!",~ : 1\':.
:•.' :Val ~ry Giscard O·E.staing, pre.'ii-··:' O ex~utivo '; tri\flc~ .:a(j~I~u " 't
d:ole da França de;1974 a 1981) "que h tres ' [enòmenos essenciais~,1 ~.
disse que a Eu.rapa quer s~r ~:um ~ COp'~liluem' alllalm~nte ~s' pri~c.i. J.. 'f
gronde.. p~rcelro. cOlnerclal do . pal.s..pre~upaçòe$ ·da Europa ,'
i.'
. ' ll1~n~o ., e que ~~a bill~,n~ ,c~.. (int ' dos . r~gi!l1~ ~ 8oclalist~~.fd.a .'.}
merclal esIli eqlllhbracla "
.1 Europa do .LèSle, o grande dc.. 1....
• ' Segundo os d:ldo~ da Llga, o Vsenvolvimènlo da economiòjapo.1 . ~
I volume de e~p?rt:lç~ de I.?d~ a , nesa e' os efeilos ' d:i':..'crise :no : f·
CEE ~CoJllumdade Econolluca GolCo Pérsico ,,~.:, .. . ~" '."':'~: , fi , I'. _ :.
Europél:l) para o reslo do Illundo '.' •
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CCrS .50 14 trilhòe.'l · no c4mbio ' 11m, Br]Jpo. de empres<inos braSI·
Iivre) anuais. 1\ CEE Importa, de; leiros ha · pales~rll '.I~Estratégia!.' i
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I) 1111111,' ~k·vç·l'I.' no fato da ala, de: .' O"Oiiipo:dei Coimbra eslA'iCea~ t
:.: ' " 1'1ll1\1:II,.i" Icr I\ido feiUl na Univer,:~)lizando, ··':'segt.lOdor:iThel,1iér,q.umli
! ,•. . sic/arll: dc Coimbra, em Porlugal. .,'':; C:1dastÌ'llmenlo : de'.. todo~· ,bs.:',e;Jl;.a"{:I:
i:' :. .Segllndo Rog.elio Thellier, 69,. • IUnCl~' (b~lisileiro~ .OU· lest~ngéiros l.
" . do escrit6rio de Sao l'aulo do, residente$ :nq·.13Jl1sil) 'quo tenham
. gnJPO. · a.,> alividades da associa- e.<;lud~~o ~ezn p.rii~{t;l]id~~éS · euro~i:
çiio se desenvolyem em toda a péi<i.s. ti obietIV(L'des~ uab3!1\0 él .
. América ;LalIna~ No Brasi! ele '. facilitar o w[cio d9 processo de!
est.a inslalado desde 1988, .sob a .. inlercamblo:~' que l. envolvem ' 41
,
.coordennçfio
de Thellier.' . ' . ' ',: ·'Lroc.a H : de p'rofe.o;sore.s e',COli (e·'
Sexta·feira.
23. de novembr'o
de 1990 ,I ":
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Viena, um escritòrio para supervisào dc eleiçòes livres, cm
Varsòvia, um secretariado permanente da CSCE, cm Praga, c
um conselho da CSCE, que reunira urna vez por ano os ministros das Relaçòes Exteriores oa
organizaçìio e funcionaria
como forum centrai para consu\tas pollticas. Este ultimo organismo pode ser o primeiro
passo para a criaçào da Casa
Européia, idéia lançada ha um
ano por Gorbachev. O Iider soviético acredita que a integraçào européia, vinculada il dissoluçào dos blocos militares, pode
significar urna salda para a crise na URSS,
que se beneficiaria de cooperaçào econòmica mais intensa. A idéia nào teve grande
repercussào, mas podeganhar vulto nesse
Ila aqueles que se preocupam nào ape- çào, o presidente suiço, Amokl Koller, disse
com 05 conflitos étnicos, mas também
que seu pais, neutro , que tem quatto idioirn a divisào da Europa entre paises pomas oficiais, se beneficiou das diversas in ~
'es e ricos o que poderia colocar em risco
Iluèncias culturais. Mas a proposta Suiça de
criaçào de uma estrutura que defend a 05 di; ideais defendidos pela Carta de Pas. O primeiro-ministro belga, Wilfried
reitos das minorias encontrou a resistència processo de integraçào europeu. Em seu
lartens, alertou para as dificuldades que
de Paris, que teme que IIlII onda naciona - discurso de encerramento o presidente Mit« ìerào surgir com o movimento migralista possa tornar a Franca ingovernàvel. terrand afirmou que "o continente tem dez
-rio il rnedida que se agravarem 05 probleApesar das divergèncias quanto aos no- anos de hoje atè o final do mllènio para venlas econòmicos "OS paises do Leste e na
vos obst àculos para a integraçào do conti- cer a corrida para 05 europeus", referindo'RSS. "Niio Ialo de um risco, mas de urna nente, ficaram estabelecidos a criaçào de se aos obst àculos para a viabilizaçiio das
. rte za", afirmou Martens. Em contraposium centro de prevençiio de conflit os, em decisòes descritas na Carta de Paris. •
'PJwzm
.'DM'IZMP1mm.Wj'I'~WI'!l!\~m~lU11ll/l1lS!M'
atv.fjm:llllll&nlli\l\1iiWJiNiLU.A
...
vimento contnirio, .dos EUA para a Eu- ,
ropa . Outro ponte a ser destacado é que :
no Brasil, especificamente, o volume de ex-,
portaç òes para a CEE é de US$ 34 bi- :
Europeus continuam interessados na América Latina
lhòes e de importaçòes de USS 18 bilhòes. i
Uma balança favoràvel ao Brasil.., .' ' ~i
pretendem direcionar suas atividades para
~ llvler Giscard D'Estaing esteve no
P
Outra
lnstdncla
que
se
discute
dentro
i
a Europa Orientai, porque o Estado em
Brasi! para encontrar-se com ernpresàrlos
do
comérclo
internaclonal
é
a
politica
prol!
.
ruinas
destas
naçòes
nào
permite
investic desmltlflcar a idéia de que haverla um
teclonista da CEE em relaçdo à pràduçdo ,)
movimento maclço de investimento de camentos rentàveis a curto prazo. E quando
agricola. ampiamente subsidlada. De que
se é empresàrio investe-se onde ha possibipital no Leste europeu desde a queda dos
forma esta politica poderia comprometer ,!
governos socialistas, no final do ano pasIidade maior de lucro. No Leste, ha muito
as relaçiies comerciais com os produtores :
SII do. D'Estning foi um dos fundadores da
o que ser reconstruido e o poder de comagricolas do Tercelro Mundo?E dentroda ;
Escola de Admlnlstraçào e Negéclos de
pra é relativamente pequeno.
dlscussdo do Gatt (Acordo Geral sobre ;
Fontainebleau, deputado pelo Parla- . p - Mas IIGO se pode dizer que haja 11111 inmento francès. Atualmente, ocupa a prevestimento europeu maciço na América Tarifas e Comércio) de que manelra tsto i
pode comprometer as negoclaçàes?
, "
sl<.l ancla da L1ga Européia de Cooperaçào
Latlna?
[\CCll1(1mlca.
R - Sobre esta questào ha dois aspectos.
R - Importamos mais produtos agricolas t
l' - É passive! aflrmar que desde a queda
que exportamos, isto devido .i
Apenas 20% dos indos governos socialistas haveria III/la tenaos produtos agricolas tropi- J
vestimentos mundiais
d ència de transferéncia de investimento em
cais como o açùcar e algumas ;
và o para 05 paises do
paises do Tercetro Mundo para o Leste eufrutas que nao podemos culti- ;
Terceiro Mundo. O
ropeu?
var em nossos paises. É diflcil, ]
que precisa ser esclaisso sirn, penetrar em setores !
recido é a exportaçào
Il - Estou no Brasi! justamente para desonde trabalhamo~ com urna I
fazer essa idéia. O orçamento para 1991
de capitai da Eurocapacidade de prcduç ào i
da Comunidade Economica Européia
pa para 05 EUA,
prevè um aumento de investimentos nos
acima de nossas necessidades. l
hoje maior que o rnopaises do Terceiro Mundo, ao contrario
Nao podemos impedir que 05 :
O'Estaing
do que vem se difundindo. Além disso, ha
paises
europeus produzam '
Da Liga Europ éia
as atividades das multinacionais, pois sào
o~ boa carne,. bom lette
_ para fa- ::
de Coopereç éo
elas as criadoras de riquezas. Estas nào
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vorecer
a
ìmportaçao.
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EcontJmica
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oLeste nàn é ameaça
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LIGUE EUROPÉENNE DE
COOPÉRATION ÉCONOMIQQE
SECTION FRANçAISE
106 bis, RUE DE RENNES -
75006 PARIS -
THEpHONE : (i) 45481925 APRÌJS-MIDI
CONSEIL D'ADMINISTRATION DU 3 DECEMBRE 1990
PROCES-VERBAL
***
Présents; J. ANCELIN, R. AXELROUD, M. BOITEUX, G. de CARMOY, A. CELLARD,
H. CORSON, J. DEFLASSIEUX, P. GERMA, O. GISCARD d'ESTAING, Ph. GODET,
J. LANSIER, P. MENTRE, L. de SAINTE-LORETTE, J. THOME-PATENOTRE,
R. VIAUD.
Excusés : M. ALBERT, J . de BEAUMONT, G. BEAUX, A. BENHAMOU , F. BILLON,
E. BONNEFOUS, J.P. BRICE, P. de CALAN, H. CAYRE, F. CEYRAC, Y. CHASSAGNE,
L. DURAND-REVILLE, E. GEORGES-PICOT, R. GERONIMUS. J.Y. HABERER, D. JOUVE,
A. LEVY-LANG, J. MAISONROUGE, J. MATTEOLI, H. NOUYRIT, o . d'ORMESSON,
A. ROBIN, R. ROCHEROLLES, D. TULASN E, P. VAJDA, J.L. VILGRAIN, J. WAHL.
de la
La séance, qui se tient ex ceptionnement dans une salle du Ministère
Recherche, est ouverte à 17 h 30 sous la présidence de J. DEFLASSIEUX.
x
x x
Procès-verbal de la précédente réunion
Le pracès-verbal est adopté, saus réserve des remarques suivantes :
- p. 1 du pracès-verbal, 9 1ignes avant la fin
après le nom de Martin
BANGEMANN, remplacer 1es mots "la C.E.E." par "la' construction européenne".
- p. 5, concernant les élections, in fine ajoute r
:
" René VIAUD, dont le mandat d'administrateur de la L .E.C.E. viendra à expiration en 1991, serait heureux que le Conseil fasse appe1, pour le rempla cer, à Antoine LAVAL qui fut vice -président du Comitè é c o n omi q u e et sacial
des communautés européennes et préside actuellement une ca isse régionale
d'assurance maladie".
. . . / ...
-2-
Situation financière
Raymond AXELROUD, trésorier, présente le compte rendu financier pour
les onze premiers mois de l'année 1990 : la situation n'est ni vraiment mauvaise,ni vraiment satisfaisante. Et l'avenir reste incertain.
Le ler janvier 1990, le solde était de 4 000 F (44 000 F en banque
et en caisse mais 40 000 F de dettes).
Au 30 novembre ,l e solde est de 17 000 F (63 000 F en banque et en caisse
mais 46 000 F dus au titre de la cotisation internationale 1990) et il reste
encore un mois à courir avant le 31 décembre.
Les incertitudes concernant les activités futures de la L.E.C.E. ne '
permettent pas, aujourd'hui, de proposer au Conseil d'Administration un projet
de budget raisonnable pour 1991. Si les activités peuvent se maintenir au
rythme actuel, il faut tabler sur 400 000 F environ. si les activités sont
r édu Lt.es , sur 200 000 F environ.
Problèmes de
secrétar ia t
L. de SAINTE LORETTE, vice président délégué, expose les difEicultés
qui obèrent l'avenir de la section française de la L.E .C.E.
A/ Plus de locaux
De 1946 à 1974, L. de SAINTE LORETTE a domicilié et hébergé qratuitement
dans ses-locaux professionnels les bureaux de la L.E.C.E. 1 depuis 16 ans
nous louons deux pièces au tarif - très raisonnable - de 32 000 F par an
mais nous devons les quitter au printemps prochain. Or nous ne pouvons pas
payer les prix normalement pratiqués à Paris. Qui donc pourrait nous héberger ?
8/ Moins d'argent
D'autre part autrefois le président international de la L.E.C.E., le
regretté Comte 80EL, assumait une grande part des dépenses du secrétariat
international 1 aujourd'hui notre cotisation internationale se monte à
62 000 F, ce qui excède nos possibilités , actuelles
c/
Plus de secrétariat
Secrétaire générale depuis 14 ans, Jacqueline d e BEAUMONT a donné sa
démission lors de la précédente r éun ì.o n du Conseil d' administration pour concrétiser une décision prise de longue date
L. de SAINTE LORETTE, à la demande de Jacqueline de BEAUMONT, avait
au cours des dernières années, en plus de ses responsabi1ités de vice président délégué, rempli une partie notable des fonctions de secrétaire général.
Il a décidé d'y mettre fin.
... / ..
-
3 -
Henri CORSON a bien voulu, depuis plusieurs mois, aider è. la préparation
du colloque "Est-Ou est" at aux autres activités du secrétHriat général .
En outre, nutre collaboratrice, Jacqueline BOUVET, qui joue un grand r I e
au sein de notre Association, va également partir pour s'installer en province dans six mois, et son adjointe pour les jours de "coups durs", Annette
SIMON1N, nous quitte aussi .
ò
Depuis trois ans, Jacqueline de BEAUMONT, ainsi queles pr ésidents et viceprésident ont cherché unte) secrétaire générale (e) pouvant consacrer bénévolement è. la L.E.C.E. 5 demi journées pa r semaine, dy narn ì.que et c apa b Le de
chercher l'argent
nécessaire è. la vie d'une association
L'idéal serait
qu'il dispose déjè. d'un bureau et d'un secrétariat .
Jusqu'ici, toutes nos démarches ont été infructueuses, tant auprès des cadres
de 40 ans - que des dirigeants de 50 ans ou des retraités de 60 ans .
C'est pourquoi tous les membres du Conseil d' administration sont invi tés
è. nous faire part de leurs suggestions, sans tarder, car le temps nous est
désormais très limi té
Sinon, nous nous trouverons b Le.n t t; sans locaux,
sans secrétaire général et sans collaboratrices.
ò
L'avenir de la L.E.C.E.
Les personnali tés sollici tées de p re nd r e en charge le secrétar ia t
nous demandent tou tes : " A quoi sert la L.E.C.E. ? "
général
Non pas è. quoi elle a servi, car nous leur rappelons le r Le primo rdial
qu'elle a joué dans la création du Mouvement européen et du Conseil de l'Europe, pu s de l'Union Européenne de Paiements
sa lutte en faveur de la
création du Marché Commun alors que les oppositions étaient si vives entre
1955 et 1958, et meme au-delè. .
ò
ì
Nous leur rappelons
Commun, et, depuis
Monétaire Européen,
Cnetrale Européenne,
aussi nos études concernant l'élargissement du Marché
15 ans, celles qui ont abouti è. promouvoir le Système
l'utilisation courante de l'ECU, le projet de Banque
études couronnées de succès .
Nous leur rappelons nos travaux approfondis sur les transports en Europe,
sur la fiscalité européenne, sur Le s Lnve s t Ls s emen t s 8n Europa centrHlp., sur
l'immigration
immigration classique inter-communautaire, immigration autorisée en faveur de ressortissants de pays tiers, immigration clandestine,
(la plus dangereuse actuellement), enf in immigration venant du centre de
l'Europe (potentiellement la plus massive) .
Malgré ces r a p p e l s qui ne concernent pas seulement le pass é, mais le présent
et le futu r immédiat, nos interlocuteurs ne sont pas toujours convaincus
de l'utilité de la L.E.C.E.
11s font notamment valoir qu'il n'y a plus personne qui ne dispose actuellement è. Bruxelles d'un groupe de pression pour défendre ses Ln t r t s
11s reformulent alors leur question : " Quel avenir pour la L.E.C.E. ? •
é
.. . / ..
è
- 4 -
Et celles de ces personnalités qui nous connaissent déjè et nous apprécient,
ajoutent
• L'EUROPE A CHANGE - LA L.E.C.E. DOIT CHANGER •
Certains souhai tent aussi que
spécifiques des entreprises
la
L. E. C. E.
réponde
D'autres évoquent l à poss ibili té d I un rapprochement
è vocation européenne, sans préciser lesquelles .
davant age
aux
besoins
avec des As s oc ì.e t Lons
Le vice président délégué n'est pas décourdgé par cet ensemble de difficultés
Sien dU con t r a r e . Il estime qu I elles imposent un s ur s au t de notre
pdrt .
ì
Une fois trouvés un minimum de locdux, un secrétaire général et un secrétdriat, la Section f r ança s e de Id L.E.C.E. pourrait peut -etre survivre en
n'étant qu'un simple club de réflexions parmi d'autres, dvec des activités
limitées ,
ì
Ne doit-on p a s p Lu t t chercher une o r Len t a t ì.on nouvell e avec des moyens
de fonctionnement nouveaux susceptibles de répondre aux dspirations de jeunes
dirigeants d' entreprise ou des syndicats, a ì.ns
qu' dUX jeunes économistes
et membres de p rofessions libérales que nous cherchons en vdin è attirer,
soit dans notre Conseil, soit au sein de nos commissions et groupes d'études
à Paris et en province ?
ò
ì
Sien entendu, ces r e ma r q u e s concernant l'dvenir de la L.E.C.E. sont vdlables
pour la L.E.C.E. internationale et ses 21 comités nation aux autant que pou r
Id section frdnçaise .
Il serait peut-etre utile de réunir Sdns tarder un groupe de r é f l e x i o n restreint, composé en mdjorité de jeunes, qu'ils appartienn ent ou non à notre
Association, afin de servir de base de discussion lors d'une prochaine réunion du Conseil d'administration .
***
Un échange de vues animé s' engdge è
président délégué .
la sui te de la c ommun c a tion du v ice
ì
Pdul MENTRE pense qu'il faut effectivement élargir nos activités vers d'autres pays et ve rs d' autres thèmes
Il propose aus s ì, de -c c n t ac t e r une Association qu'il connait et qui pourrait peut-etre nous accueillir
Jacques ANCELIN dffirme que Id L.E.C.E., dont un des atouts est de regrouper
des représentants de tendances très diff érentes, ne doi t pa s se mettre au
service d' Ln t r t s catégoriels
En tout CdS, les options fondamentales
de lo. L.E.C.E. dev ront etre reprises par le groupe de réflexion qu'il faut
créer .
é
è
. . . 1· .
-
5 -
Pierre GERMA approuve lui aussi cette c réation, mais l es id ées nouvelles
sont difficiles à trouver
tous les membres du Conseil doi vent en chercher et nous les communiquer por tél éphone, ou mie ux enco re por éc r t
(car le secrétariat n'est ouve rt que l'après-midi ) .
ì
Janine LANSIER aimerait que lo L.E.C.E. reprenne les méthodes de lancement
d' idées de Jean MONNET
Elle suggère de prendre contact avec l'AFEUR
Enf in, elle
et le TEPSA qui font des études sur des suj ets ponctuels
envisage que de tels rapports puissent etre vendus .
Philippe GODET se demande si le Conseil de l'Europe où lo L.E.C.E. bénéficie d'un statut consultatif ne pourrait commanditer de telles études.
Olivier GISCARD d'ESTAING, d'accord sur l'idée d'un g roupe de réflexion
et de proposition, souligne que les problèmes d'aujourd'hui ne sont pas
ceux de demain . Malheureusement, les jeunes patrons ne sont pas motivés
comme autrefois .
Jean DEFLASSIEUX confirme
nous avons été les pionn ie rs, puis les militants de l'Europe . On croit trop souvent qu'on n'a pl us besoin de militants . Or, l'Europe n'est pas faite et des difficultés apparaissent que
nous pouvons aider à résoudre . La L.E.C.E. peut enco re rendre de grands
services . Pour l'instant, lo section française a ses problèmes immédiats,
mais cela n'empeche pas de préparer l'avenir de lo L. E.C.E. et de l'Europeo
Sur proposition du Président, le Conseil décide, à l'unanimité, de confie r
au Bur-eau le soin de consti tuer au plus t6t un g r oupe de réf lexion et
de proposi tion pouvant comprendre des personnali tés extérieures à la
L.E.C.E., et animé pa r un jeune de 40 ans qui Va
t r e contacté ce soir
meme aU cou rs du diner .
è
***
Cooptations aU Conseil
Lors de lo précédente r éunion, le Conseil aVait décidé d' app rocher diverses
personnali tés nommément désignées pour remplacer Pie r re-Bernard COUSTE,
André GIAUQUE, Claude GUYARD, Christine MORIN POSTEL . Depuis cette date,
Jean-Michel FOLIOT et Patrick BERTRAND ont démissionné .
Au vu des réponses r e çu e s , le vice président délégué propose aU Conseil
de coopter :
- Michel CASSOU - Directeur du développement de la Lyonnais e d es Eau x
- Roger LOUET - Ancien secrétaire géné ral du Comité économique et social
des Communautés Eu rop éennes
- Aymeri de MONTESQUIOU FEZENSAC - Parlementaire europ éen - Conseiller général
du Gers
et d'attendre la r é po ns e de Marc BLONDEL qui cherche un r emplaçant à André GIAUQUE.
En outre, il sugg è re de coopter au Conseil notre tré so rier adjoint, JeanPierre BRICE, qui s'efforce d'a ide r la L.E.C.E. de multiplies façons,
et dont lo jeunesse et l'efficacité mér itent notre r e c o n na i ss a nc e
Ces propositions sont adoptées à l'unanimité
-
6 -
Olivier GISCARD d' ESTAING propose de trouver d' ici lo. prochaine r eun ì.on
un remplaçant à Jean-Michel FOLIOT
En l'absence de Henri CORSON qui a dG quitter lo séance, le Conseil l'appelle au poste de secrétaire général par interim, sous réserve de son
acceptation .
***
La séance est levée à 18 h 30 a f in de permettre aUX membres du Conseil
d'assister à lo. conférence donnée par Maurice ALLAIS. Prix Nobel d'économie,
membre de l'Institut et ancien administrateur de lo L.E.C.E., ainsi qu'au
diner-débat qui suit cette conférence •
***
N. B. -
Henri CORSON, devant quitter Paris prochainement,
cliner cette aimab1e proposition .
Jean-Pierre BRICE veut bien accepter d' a n Lrne r
de proposition .
regr.ette de devoir dé-
le groupe de réf lexion et
NOH
LA LIGUE EUROPEENNE
DE COOPERATION ECONOMIQUE
Prénom
EUROPE CENTRALE ET ORIENTALE
Qual.i~!!:
La Ligue Européenne de Coop èratfon Economique
(L. E.C.E.), association apolitique fondée en 1946,
Adresse
compte 21 sections nationales en Europe Occidentale
Sera accompagnJ de
Investir et Commercer
OÙ .? Quand? Comment?
et des associés dans certains pays de l'Est •
... .....
La· L.E.C.E. groupe des dirigeants du secteur public
Colloque international
et du secteur privé, des syndicats et cles profes-
organisé par la
sions libérales, désireux de promouvoir une plus
s'inscrit pour le colloque du 19 octobre 1990
*
ne s'inscrit pas pour le col1oque du 19 octobre 1990
2 300 F. / pers.
Tarif norma!
*
grande coopération européenne dans les domaines écc-
SECTION FRANCAISE
nomique, agricole, monétaire, soc ìal . Son président
de la
. est Daniei CARDON de LICHTBUER, anden
p rés i dent
de l' Association bel ge des banques
La section française de la L.E.C.E. réunit des
LIGUE EUROPEENNE DE COOPERATION ECONOMIQUE
en liaison avec
commiss ions e t groupes de trav ail, publie un
Tarifs réàuits
bulletin d ' informat ion e t organise des réunions,
- Membres de
la L.E.C.E.
l' Institut de l' Entr ep rise
la C.N.C.?'.
la Maison de l'Europe
l 800 F. / pers.
ta bl es rondes, panels et déjeuners-d éb ats dont l es
La CHAMBRE NATIONALE
h6tes d' honneur sont des perscnnalités politiques
des CONSEILS-EXPERTS FINANCIERS
(membr es du Gouvernement français cu d e la Commission de Bruxelles ) , patronales , syndicales ou
uni ve r s ìraì r es .
Second iI:sc:,it cl 'une
mème emrep r ise
500 F. /
perso
Présid~~t
d'hcnneur
Présidents
( * : rayer la cent ion inutile)
Accompagne ce !lalletin d'un chèque de ?
Signature
La MAJSON de l'EUROPE
•••
500 F. I perso
Etucliants
A
L ' INSTITUT de l'ENTREPRISE
le
Edouard EONNEFOUS
Jean DEFLASSIEUX
Ol i v.ìer GI SCARD d' ESTAING
Vice-Président délégvé Luc ìen d e SAINTE LORETTE
Vice-Présidents
Pierre de CALAN
Jean-Yves HABERER
Loik LE FLOCH PRIGENT
•••
LE VENDREDI 19 OCTOBRE 1990
de 8 h 30 à 17 h 30
à la Salle Médicis du Sénat
15 ter , Rue de Vaugirard - PARIS (6ème)
•••
--- _. _.- ---
PROGRAMME DE LA JOURNEE DU 19 OCTOBRE
8 h 30
Formalités è 'ac c uei1
1 3 h 00
9 h 00
DE.JEUNER
Co ll o q ue .. EUROPE CENTRALE et ORIENTALE '"
ENVIRONNEMENT POLITIQUE
Sous la presi dence d 'ho nneur è'Alain POHER
19 Octobre 1990
Présidence : Jean DEFLASSlEUX
Hote d 'honneur : Jean-Claude PAYE
Secrétalre genér a l d e l 'O .C . D.E .
La si t u a tio n pol i tique ùans les pays
de l'Europe centrale et or ientale
~
OUelques remarques sur la problématique éConomique du
r a p p r och emen t EstjOuest
Cather ine LALUHIERE
Secrétaire général du Consei1 de l 'Europe
Coupon-réponse à r etou r ner au
lO h 00
15 h 00
Sec r èt ar at d e l a L.E.C .E.
ì
ENVI RONNEMENT ECONOHIQUE
EXPERIENCES VECUES
Présiéence : Ol ivier GISCARD d'ESTAING
Les garanties gouvernementales auX éChanges éConomiques
~
106 bis , Rue d e Rennes
Pau1 RAVIER
So us-Directeur è la Direction òes Re lations
Economiques Ext érieures (DREE )
accom pagné du chèq ue
~ledias
~
et
Mauri zio FRANCINI
Chef adjoint de la d él é g a t i o n òe la Commi s sion
de la C.E.E. a up rès òe l 'O .C.D.E .
libellé à l ' or d r e de l a L. E.C.E.
Jérbme CLEMENT
Présiòent de la Société è ' Eèi ti ons ò e
Programme s de Télévision ( La SEPT)
Rapports C.E. E. - Pays d e l'Est
Otto de HABSBOURG LORRAINE
Membre éu Parlement Eu r o p é e n
75006 - PARIS
Présidence : Pierre d e CALAN
Membre de l'Institut
c orrespondant à l ' inscription
Le mon tant de s inscriptions e st l e sui vant :
~
Norbert WALTER
Directe ur général adjoint ò e la De u tsche Ba nk
Tarif no rmal
Tar i fs
pe r s ,
2 300 F. /
réduits
Industrie:
Privatisatio ns et ouvertures a ux investissements
é tran g e r s d ans l es Pays de l 'Est
Phi lippe GISCARD d 'ESTAING
Prési dent du Comitè in t ernatio na1 de THOMSON
-
I-.le mb r e s de
la L.E .C .E .
l ' I n s t tut de l 'Emreprise
l a C.t\.C.r .
l a ,\ \a i son de l ' Europe
l 800 F. I p er s ,
ì
~
: J e an-Pierre SALTIEL
Gérant òe la Ba n g ue LAZARD
et
: Boguslaw SOSNOWSKI
Cons e i l l e r commercial d e
Serge RASLOVLEFF
Dèlégué pour les Pays de l'Est ò e la
Cie PECHINEY
l 'A~bassaàe
de Pologne
Csaba BARATH
Directe ur géneral ad j o i n t d e VI DEOTON
Le r ole des banques dans l es éChang es éConomiques
Est/Oues t
~
Al exis WOLKENSTEIN
e:.
l o ur i PONOKAREV
\'lce-Président è 'EUROBANK
Direc~eur
général
adjoin~ .ò u
Créd it Lyonna i s
17 h 00
~
: Daniel CARDON d e L I CHTBUER
Pre sid ent d e l a L .E.C .E . inte r natio na1e
re de l 'açriculture e:. dcs
Republig ue oe Tchécoslo vaguie
Les
for~~s
ì
...
a e la
ora~eurs
Il
s 'expri meront en : r a n ç a i s o u e n ang lais
n ' v aura oa~ .de ~ra dU=:'1D~ s~cultanèe
l 500 F. / p e r s .
500 F. I
p er s ,
Ln r eçu e t un laisser-passer nominat if
( ex i Eé Dar l e s se r\'iees de séeu~ité du ~énal
vo us seronl
Bohumil KUBAT
~:i nis:.
Et ud a nt s
SYNTHESE DE LA JOURNEE
Le point de vue de la TchéCos lovaquie
~
Sec on d inseri t d 'une
rnèrne ent r e nr i s e
e ~vo vès
Dar re tou r
deo do e01n/,-It"nzenlo ck .:
L1GUE EUROPÉENNE DE COOPÉRATION ÉCONOMIQUE
SECTION FRANçAISE
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106 bis, RUE DE RENNES, 75006 PARIS
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TÉL. 45 48 19 2 5 APR~ S · MIDI .
LIGUE EUROPÉENNE DE COOPÉRATION ÉCONOMIQQE
SECTION FRANçAISE
106 bis, RUE DE RENNES -
75006 PARIS -
THEpHONE : (l) 45 481925 APR!jS·MIDI
Paris, le 17 Septembre 1990
J'ai le pl a isir d e vous remettre jointe l 'invitati o n pou r l e c oll oq u e
du 19 octobre que vous avez bien vou1u accepte r d'honorer de votre participation acti ve
Si vous souha itez recevoir d'autres cartons d'invit a tion, nous v o u s l es
ferons pa rvenir aussit6t, à moins que vous ayez l'amabilit é de nous indiquer l'ad resse des destinataires suggérés par vous
Pourriez-vous, en t out cas, nous indique r si vous a cceptez d' etre n otre
h6te au d éjeuner qui aura 1ieu dans 1es Sa10ns de la Présid ence du Sénat?
Je vous r enouve11e l'expression de tous nos remerciements p ou r votr e
venue et vous prie d' agréer l'expression de ma considération très dist inguée .
Le vice président dé1 égué
L.
de SAINTE LORETTE
fJ· C~~
LIGUE EUROPÉENNE DE COOPÉRATION ÉCONOMJQQE
SECTION FRANçAISE
106 bis, RUE DE RENNES -
75006 PARIS -
TÉLÉPHONE : (1) 45481925 APRÈS.MIDI
Cher Secrétaire général,
-1_ En vue de notre colloque Est/Ouest du 19 octobre prochain,
je vous serais
reconnaissant de nous indiquer les noms des Hongrois et des Tchèques avec
lesquels la L.E.C.E. est restée (ou entrée) en contact, en nous indiquant
ceux que nous pourrions inviter, soit comme orateurs, soit comme participants.
Par avance, merci de votre réponse .
2 _ Malgré
votre aimable suggestion, je ne pourrai pas me rendre à Dublin pour
le co1loque du Mouvement Européen sur 1'environnement
Croyez, cher Secrétaire général, à l'expression de mes sentiments les
meilleurs .
Le vice
~
~~LORETTE
Monsieur Thierry DEMEURE
~.
LI e UE EU R O P E EN NE D E C OO PE RATIO N E CONOMIQU E
EU RO PE AN
L E AGU E
FO R
ECO NO M IC
C OO P E R A T I O N
c hè re Armande,
Comme promis voici le programme non définitif
(mais déjà assez prestigieux, je trouve) du coU
l oq u e de Paris du 19 octobre. Ne le diffusez
p as car II s era remani-é~se-vous l 'envoie
uniquement pour votre information.
Le co l l oq u e à Barcelone est définitivement
fixé au 15 no vembre; le programme doit me
p ar v e ni r cette semaine encore. Avez-vous la
n ou velle adresse de Lorenzo GASCON, il dit
n 'a voir pas reçu votre lettre (AKZO, Calle
F. Ag u l l o, S E-OS021 Barcelona~
fì \.tA"l tuw \
:,:~,u;';,R :~::,:;S;::E '\ ~ NAMUR
y
T EL : 51 2 2 0 8 9
F AX:5 11161 0
10 0 0 BRU XE LLES
. ~'
..:
LIGUE EUROPEENNE DE COOPERATION ECONOMIQUE - L.E.C.E.
EUROPEAN LEAGUE FOR ECONOMIC CO-OPERATION - E.L.E.C.
Le 28 juin 1990
Notre réf ./183/Cté fr .
COLLOQUE
IIINVESTISSEMENTS ET ECHANGES EST/OUEST"
PARIS, vendredi 19 octobre 1990
Salle Médicis au Sénat
MATINEE
9 heures: Présidence:
MM. Jean DEFLASSIEUX et Olivier GISCARD
d'ESTAING, Présidents du Comité
français de la LECE.
1) Les garanties gouvernementales aux échanges
économigues
- P. RAVIER
2) Les rapports CEE/Pavs de l'Est
- Raymond PHAN van PHI, Chef de la Délégation de la CEE
à Paris
- M. NEMESH, conseiller commercial à l'Ambassade tchèque
3) Les privatisations et l'ouvertures aux investissements
étrangers
- J .P. SALTIEL, Lazard
M. SOSNOWSKI, conseiller commercial auprès de
l'Ambassade de Pologne
4) Le rOle des bangues dans les échanges économigues
Est/Ouest
- M. VOLKENSTEIN, en charge des questions Est/Ouest
au Crédit Lyonnais
- M. POMONAREF, Directeur Général de EUROBANQUE
à Paris
5) Les échanges agricoles et aaro-alimentaires
- M. KUBA chef de la divison agro-alimentaire de l'OCDE
- Le Ministre de l'Agricu lture tch è q ue
R u e d e Nam ur 2 - 10 00 BR U X ELLE S
A s soci ation in terna tiona le à b u t scienti fig ue
( L o i beIge du 25 o c tob r e 191 9 )
Tél. : 32 (2) 512 20 89 ·
Fax : 32 (2) 51 1 161 0
Déjeuner prés1dé par M. Ala1n PORER .
I n v it é d'honneur : (voir P .S. c i- d es s ous ) .
APRES-MIDI
Expériences vécues:
Présidence : Michel GRANCOURT, de l'Institut de
l'Entr eprise
Georg KRUPP, de la Deutsche Bank Dtisseldorf
Gi ovanni AGNELLI , de Fiat (à contact er par DEFLASSIEUX
M. RASLOVLEF, de Pechiney
Philippe GISCARD d'ESTAING (cousin), Directeur Géné ral ,
Thomson
Robert MAXWELL (presse) ?
M. CLEMENT (télévision) , Président du Directoire
de la Sept
M. BORATH (Hongrie) , Vice-Président de Videoton
*
*
*
Sy nthèse par Pierre de CALAN.
*
*
*
ClOture par Dani el CARDON de LICHTBUER.
P.S. Invité d'honneur au déjeuner :
Accord de Catherine LALUMIERE
Il
"
du Secrétariat de Otto de HABSBOURG ( sera à Paris)
de Bernard ATTALI pour la présence d e s o n frèr e
Jacques ATTAL I.
HOte d' ho nne u r: l'Amba s s adeur d'URS S à Pa r i s
Je an -Cl aude PAYE, Secré tai re Général de l 'OCDE ?
LIGUE EUROPEENNE DE COOPERATION ECONOMIQUE - L.E.C.E.
EUROPEAN LEAGUE FOR ECONOMIC CO-OPERATION - E.L.E.C.
Le 28 juin
19;1-0-~
Réf./182/Cot.~
COTISATIONS - COMITE FRANCAIS
Avec la Grèce et l'Irlande, la France est en retard pour
le paiement de sa cotisation; il doit en effet la moitié
de la cotisation 1989, soit 189.000,- Frs, et toute
l'année 1990, soit 378 .000,- Frs.
Il ressort d'un entretien téléphonique de ce jour avec
M. de SAINTE LORETTE que, malgré ses nombreuses
activités, le comité français est en très mauvaise
situation financière:
- il leur reste 500,- FF en caisse
- les cotisations rentrent mal
- le Créd1t Lyonnais leur doit les cot1sations 1989
et 1990
- 11s doivent payer la publication de leur dernier
colloque tenu à Paris en janvier à la Fondation
Polignac
- bref, ils doivent emprunter.
Le comité français paiera le solde de 1989, comme cela a
été promis, et M. de SAINTE LORETTE suggère que M. CARDON
de LI CHTBUER lui adresse une lettre, très compatissante,
qulil communiquera immédiatement lui-m~me à ses deux
présidents, qui sont, paralt-il, très ennuyés de cette
situation.
Qu1en pensez-vous ?
Françoise LAMBIN
Rue de Namur 2 - 1000 BRUXELLES
Associat io n io re cna rio n alc à b u t scientifique
( Loi b eige du 2 5 o c to b re 1919)
Té l. : 32 ( 2) 51 2 2 0 89 ·
F a x : 32 (2) 511 1610
LIeVE EUROPÉENNE DE COOPÉRATION ÉCONOMIQ1IE
SECTION FRANçAISE
106 bis, RUD DD RDNNES -
75006 l'ARIS - THI::PHONU : (1) 45481925 Al'RllS.MIDI
lo 24 Octobre 1989
Pa~is,
Che~
S ec ~étai I:e
Géné~al,
Le P~ésident Ca~don do Lichtbuer a c~u bion d'éc~ire directement aux deux
présidents do la section f~ançaiso pour lour ~éclamor le versement de la
cotisation due par nous pour l'annéo 1989 .
Cela nous a d' autant p1us s u rp r s qua v ou s aviez, le Pl.·ésident cacdon de
Lichtbuet: et vou s-snème , été I nf o rrné s v e rba L emen t que nous ne pourr Lons
rien payer avant le mois de décembre et ne savions pas si nous saurions
verser le reste plu~ ta~d I
ì
Puisque vous le demandez, nous ef f ec t ue r on s , avant le 1er décembt:e, la
première moitié de notre versement, mais faisons des réserves pour la suite.
Comme vous le savez, nous avons ,cette ann e , des difficultés gt'aves I
s upp r e s s on de la subvention gouvel.'nementale, démission de o e r t a Lns t r ès
anciens adhé~ents, tandis que los dépenses sont loin de diminuer I
é
ì
Nous nous joignons à certaines sections nationa1es pour vous suggérer d'étudier d'aut~es sou~ces de finaneement du soeI:étariat international que les
seules cotisations des sections nationales .
Cer t a i ne s sections, et c'est le eas en F'ranc c , comme
ont beaucoup d'aetivités nationalos et intoI:nationales
c h e r . Quant à l 'Italio, elle fait du t rava I SUl.' le
c on t r a i r e , les sections peu aetivos pouvont c cns ac r e r
leurs ressources au versement international •
ì
en Gl:ande-Dl.'etagne,
et cela leur coQte
p Lan national • l\u
une gL'ande pe r t de
Il me pa.r a t ra Lt p a r s onn e Ll ement juste qu e les eotisations soient fixées
chaque année pour ehaque seetion en fonetion inverse de 1eurs activités.
Cela L'écompensel'ait eeux qui font qu e Lque c ho s e et incitel.·ait ceux qui
ne font rien à ehanger de proeédé : eertains eomités ne sont présents que
lo jour du Conseil CentraI, n'onvoient porsonno aux réunions de commissions
et ne font rion non plus ehez eux !
ì
Croy cz, che!: Sec!:étaire Général, à l'cxp!:cssion do mes sontimcnts les meilLe u rs
.
Mon sicur ThicI:I:Y DEMEURE
1
TEXTE DE L I ALLOCUnON PRONONCEE PAR Jean FRANCOIS-PONCET
AU DEJEUNER ORGANISE PAR
LA LIGUE EUROPEENNE DE COOPERA nON ECONOMIOUE
LE 21 HAI 1990
***
Monsieur le Président,
Messieurs les Ambassadeurs,
Chers Amis,
Il n1y a pas de plus grand honneur, pour un sénateur, que d'é tre
reçu au Sénat par des non-sénateurs. C'est un privilège d'au tan t plus
rare qu 1il slagit de la Ligue Européenne de Coopération Economique que je
connais et dont je suis les activités depuis très longtemps , ainsi que
celles de Monsieur de SAINTE LORETTE , qui est un de mes partenaires
européens de toujours.
Clest dire que je sais à quel point chacun de ceux qui sont ici
aujourd1hui suit ces problèmes européens, les connalt, en mesure les incertitudes et en meme temps les espoirs.
Je voudrais, en premier lieu, vous faire part de quelques observations et de réflexions qui permettront dlanimer la discussion que nous
aurons ensu ite.
2
Evoquer
dans
le
cadre
d1une
réflexion
sur
la
Communauté
Européenne l'Europe de l'Atlantique à Vladivostok aurait été,
il y a
quelque temps, inattendu. Comment ne pas le faire aujourd'hui? Comment
ne pas sortir d'une Europe qui, pendant près d'un demi-siècle, a été à
peu près immobile? L'Europe a connu sur le plan économique et social, à
l'Quest, une évolution extraordinaire, au rythme des "trente glorieuses",
qui ont transformé une Europe détruite en une Europe prospère ...
Mais le paradoxe vient de ce que sur le plan politique, sur le
plan stratégique , rien en Europe n'est changé depuis 1945. Non que cette
Europe ait été satisfaisante : une Europe divisée,
dominée,
surarmée,
inhumaine pour sa moitié orientale, mais une Europe stable et prévisible ; en définitive, rien n'était plus stable et plus paci fique que
l 'équilibre de l'intérieur !
Au momen t où autou r de nous tout basculait -llAfrique a entièrement chargé de eouleur politique, l'Asie aussi, l'Amérique Latine auss il'Europe surarmée demeurait comme un ilot de stabilité.
Et voiei qu1en deux ans et demi, nous sommes passés de l 'Europe
des certitudes à l I Europe des interrogations.
A une Europe qui bouge si vite que nous sommes saisis. Que les
Européens regardent leur Europe avee des yeux stupéfa its, sans savoir
s'ils doiven t pavoiser ou s'ils doivent s'inquiéter, s'ils doi vent rire
ou s'ils doivent pleurer. Que les Européens s'interrogent sur leur des tin.
3
Vous m avez demandé de répondre à certa i nes de ces i nterrogaI
tions, et en particulier
à
celles qui concernent l'Europe communautaire,
celle dont nous cherchons à promouvoir le développement. Il y a , à mon
sens, dans cette Europe en fusion dont il est difficile de déterminer les
contours futurs, deux cert itudes nouve 11 es, deux acqui s qu i mod ifi ent
profondément le cadre dans lequel nous avons l'habitude de raisonner. Le
premier changement concerne l'Europe centrale et orientale; le deuxième,
la réunification allemande.
Premier changement
la libération de l'Europe centrale et
orientale. L'effondrement du système communiste dans cette partie de
l'Europe me para'ìt irréversible, parce que ce régime, ce système qui
s'était établi, étai t malgré tout un système i déol ogi que et un système
mi li taire;
le
système idéologique
s'est totalement effondré et
le
système mil itaire est en train de basculer.
La
gagnée
guerre
idéologique,
Cela paralt indiscutable
l'Occident
l'a
donc
définitivement
il est meme extraordinaire de penser
qu'un système qui s'était présenté camme irréversible ait pu disparaltre
si vite avec si peu de violence. La Roumanie fait, certes, exception à la
règ l e. Ma i s dans l a majorité des anci ens sate 11 i tes , avec si peu de
violence, nous avons vu les dirigeants communistes se renier, se débaptiser et pratiquer des politiques contraires à celles qui peu de mois auparavant étaient présentées comme les seules applicables.
Cette implosion idéologique se passe, aujourd'hui, de commentaires et rend le retour en arrière difficile . Surtout quand on songe que
s vy est ajouté un basculement stratégique qui est à moitié accompli, en
4
ce sens que 1e pacte de Varsov i e a ces sé d I exi ster -et qu I il éta it un
élément du système ancien. Il a cessé d'exister politiquement, puisque
sur le sujet essentiel qui est celui de savoir si la République allemande
unifiée de demain entrera ou non dans l'OTAN, l'Union Soviétique et ses
partenaires
se
sont
divisés.
Polonais,
Hongrois,
Tchécoslovaques,
Roumains, tous, sont partisans de l'entrée de l'Allemagne dans l'OTAN
l'Union Soviétique ne l'est pas, pour le moment, ni sans conditions.
Deuxièmement
parce que,
dans une
perspective militaire,
personne n'imagine que l'Union Soviétique ait encore des Alliés disposés
à faire avec elle une guerre contre l'Occident.
Reste la réalité juridique du pacte de Varsovie qui existe
toujours et a laquelle, manifestement, ni l'Union Soviétique, ni les
autre pays , ne mettront un terme avant qu1une autre structure n'ait été
définie.
L'autre aspect du basculement stratégique est en cours, mais
n1est pas accompli. C'est le retrait des forces soviétiques déployées en
Europe centrale et orientale. Vous savez que l'Union Soviétique a signé
avec la Tchécoslovaquie et la Hongrie des engagements fixant des délais
pour ce retrait. Rien n'indique que ces engagements soient remis en
cause.
J'ai assisté, avec une mission de sénateurs, au premier retrait
des troupes soviétiques de Hongrie. C'était un évènement historique. Mais
il
n1en demeure pas moins que s'agissant de l'Allemagne orientale,
l'Union Soviétique vient d'interrompre des retraits qui se situent dans
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un autre cadre, celui de la réduction unilatérale qu'elle avait décrétée
pour ses forces. Il slagit, manifestement, d'un levier dans les négociations sur le désarmement.
D'un levier dans la négociation pour savoir
quel serait le statut militaire autour de l'Allemagne. Tout indique, en
effet, qu 'il s'agit d'une manoeuvre tactique et que l'Union Soviétique
entend que ses troupes demeurent un élément essentiel,
dans un pays
devenu démocratique et qui ne veut pas accepter les moyens de pression
qui pourraient slexercer sur ses propres terres.
Deuxième observation
la réunification de l'Allemagne est faite
ou va s'achever.
Je crois qu'il y a, à propos de la réunification de l'Allemagne,
dans le conscient, dans le subconscient, dans ce qui s'éc rit et dans ce
qui se pense en France, un contresens.
Je ne ero i s pas me tromper en di sant que pour l a pl upart des
Français, tout au moins dans les milieux qui écrivent dans la presse, la
réunification de l'Allemagne est considérée camme le prix qu'il faut bien
payer pour l'effondrement de l'ordre communiste. Or clest un contresens
de considérer que la réunification de l'Allemagne est quelque chose de
négatif dont il faut payer quelque chose de positif.
Je suis convaincu qu'il nly aurait jamais eu de pai x allemande
avec une Allemagne divisée . Que la réunification est la condition d'une
pai x durable. QUi il nly avait pas d'alternative que la paix armée. Mais
qu'il ne pouvait y avoir de désarmement dans la division, sinon par la
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neutralisation qui n'aurait été, hélas, qu1une étape vers des lendemains
dramatiques.
Parce que je ne crois pas,
construire
llEurope
unie
à
laquelle
d'autre part,
nous
qu10n aurait pu
pensons avec une
moitié
d'Allemagne. Nos amis allemands, à un moment ou à un autre, se seraient
demandé si la réunification n'était pas mise en cause par une unité européenne véritable ; je ne suis pas éloigné de penser qu1une certaine
tiédeur croissante de la République Fédérale, à l'égard de l'unité européenne, était due au fait que la réunification depuis le début des années
quatre-vingt était devenue plus improbable qu'elle ne l'était meme immédiatement après
la guerre. Par conséquent, au lieu de considérer la
réunification comme un prix à payer, mieux vaut considérer que clest un
point de passage obligé vers la paix et l'unité de l'Europe.
Cela ne veut pas dire, à l'évidence, qu'elle ne crée pas de
problèmes. Il est certain que l'apparition d'une Allemagne très sensiblemen t plus puissante, plus pesante, plus forte que ses autres partenaires
-alors que la division de l'Allemagne avait par miracle créé une situation d'équilibre- va obliger à vivre avec ce déséquilibre.
conforme
à
~lais
il est
la nature des choses. Il nous permet de construire, mainte-
nant, une Europe réelle au lieu de construire une Europe artificielle.
Il nous appartient de faire en sorte que l'Europe puisse se
poursu i vre,
ma l gré cet obstac l e nouveau, grace à cette ouverture qu i
désorma i s nous permet de trouver l es choses mi ses au net et non pas
telles que nous voudrions qu'elles soient.
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Ayant formulé ees deux observations -et je erois qulil y a là
deux aequis- on peut évoquer les ineertitudes qui,
Ior-squ von parle de
l'Europe de l'Atlantique à Vladivostok, pèsent sur les destinées de ce
eontinent euro-asiatique.
C1est
la
question
de l'avenir de l'Union
Soviétique. Ne sloeeuper que de notre jardin européen serait, en effet,
faire preuve d'une immense légèreté. Ce qui ne veut done pas dire qu10n
ne puisse se poser de questions, mais bien qulil faut se les posero
Une
mission
d'information
de
la
Commission
des
Affaires
Eeonomiques et du Plan du Sénat slest rendue dans les pays de l'Europe de
l'Est, réeemment. Il faut bien reconnaltre que les eonelusions de ehaeun
sont eelles d'unegrande inquiétude. Pourquoi? Paree que personne, pas
plus
les
Soviétiques
l ' impasse économique
OÙ
que
les observateurs,
ne voit
de solution
à
se trouve l'Union Soviétique. Parce que personne,
pas plus les Soviétiques que nous, ne voit sortir de l'impasse nation ale,
dans laquel le se trouve cette mosalque de peuples, un pays qu10n appelle
l'Union Soviétique.
Impasse économique bien que, d'une manière surprenante , ceux qui
réfléchissent en Union Soviétique savent parfaitement
OÙ
ils veulent
a11er. A cet égard, les choix sont faits ; ce ne sont pas les choix de
tou s, ma i s les cho i x de ceux qu i sont au sommet, ou qu i conse i 11 ent l e
sommet
c1est décidément lléconomie de marché, et pas une éconamie
mixte. Une écanomie de marché pure et dure.
Ainsi, le cansei11er écanamique de N. Garbatchev, M. Petrakaff,
que naus avans rencantré, est un hamme à la fois très intelligent et très
far t : une personnalité taut-à-fait impressionnante.