P-Seminar: La ville Louvre (Q 11) Französisch/Kunst
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P-Seminar: La ville Louvre (Q 11) Französisch/Kunst
P-Seminar: La ville Louvre (Q 11) Französisch/Kunst - Parisaufenthalt im Februar 2014 – Sur les pas du peintre- écrivain Eugène Delacroix Neben dem Algemeinwissen zu Paris und dem Louvre stand dieses Mal u. a. der französische Maler Eugène Delacroix (1798 – 1863) samt seinen repräsentativen Werken in der Stadt Paris und im Louvre-Museum auf dem Programm. Zwei Schülerinnen ließen sich spontan von dem peintre – écrivain (von dem Maler und Schriftsteller) inspirieren und haben zwei Briefe an den Meister, dessen facettenreiches Oeuvre zu einem Leitmotiv des diesjährigen Parisaufenthalts wurde, verfasst. Regensburg im März 2014 Lieber Eugène Delacroix, seit deinem Tod 1863 haben unzählige Menschen deine Bilder gesehen und wurden davon inspiriert, berührt oder einfach nur ästhetisch angesprochen. Die Lebhaftigkeit deiner Fantasie und dein ebenso großer Drang, alles so realistisch wie möglich darzustellen, haben zeit deines Lebens Bilder geschaffen, die, egal ob sie überlebensgroß oder winzig klein sind, verschiedensten Menschen ein einzelnes Gefühl geben, das sie alle gleich macht. Wie kein anderer hast du es geschafft, Lebendigkeit in deine Bilder einzufangen, während du einen Moment aus dem Leben eines anderen zeigst. Ob es die verzweifelte Trauer der jungen Waise („Tête d’étude, dite aussi Jeune fille assise dans un cimetière“, 1824) oder der stolze Tod des gesamten Hofes des assyrischen Königs Sardanapal ist, deine Bilder wirken dank deiner genauen Recherchen und deiner Kenntnis in Sachen Farbe einzigartig traurig, verstörend, aber auch Hoffnung gebend. So auch „Die Freiheit, die das Volk anführt“ („La Liberté guidant le peuple“, 1830) oder selbst der „Tod des Sardanapal“ („La mort de Saradanaple, 1827-1828), der alle, die ihn umgeben, und all seinen Besitz mit sich in den Tod reißt und bei dem man unwillkürlich denkt: „Tu es nicht!“ Mein persönliches Lieblingswerk von dir ist das „Massaker von Chios“ („Scènes des massacres Scio“, 1824). So traurig der Titel und das Thema des Werkes auch sein mögen, berührt mich immer wieder das kleine Kind, das sich in stiller Verzweiflung an seine sterbende Mutter klammert, während alle anderen nur zusehen können, wie zwei junge Frauen von einem Osmanen verschleppt werden. Das mag morbide klingen, aber es ist nun einmal dein Stil, durch deine Bilder auf Skandale hinzuweisen. Und so sehr man es auch versuchen mag, kann sich doch keiner der düsteren Stimmung des Bildes entziehen. Bis wieder jemand kommt, der dir ähnlich ist, müssen wir alle selber sehen, wie wir dir ein bisschen ähnlich sein können, mit deiner Offenheit gegenüber anderen Kulturen und deinem Sinn für Ungerechtigkeiten, und auch in deinem Sinn für Sachen, die andere Menschen nicht ohne Weiteres wahrnehmen würden. Vielleicht bemerkst du in einer kleinen Nebenstraße einen am Boden sitzenden Menschen, auf den ein außergewöhnliches Licht fällt. Danke, lieber Eugène Delacroix, dass du so vielen Menschen die Augen öffnest, für so vieles in der Welt. Liebe Grüße Elisabeth (Elisabeth Hofer, Q 11) Ratisbonne, 6 mars 2014 Cher M. Delacroix, Comme nous avons visité votre maison située rue Furstenberg, dans le quartier SaintGermain- des- Prés à Paris, je voudrais vous écrire un message, pour vous donner mon opinion sur vos œuvres et votre caractère, même si je ne vous connais pas. En ce qui concerne vos œuvres, moi personnellement, je préfère les esquisses de votre voyage au Maroc en 1832 et vos aquarelles des personnes en tenues orientales. J’aime les couleurs et l’ambiance que vous avez créée. On a vraiment l’impression d’être dans le paysage ou dans la chambre peinte. Même les odeurs peuvent être senties. J’imagine que c´était un grand plaisir de travailler dans cet atelier avec vue sur votre petit jardin au cœur de Paris. Au Louvre, j´ai pu voir les sculptures animalières de votre ami Antoine Louis Barye (1795 – 1875), un peintre animalier, avec qui vous étiez souvent dans le Jardin des Plantes pour observer des animaux du zoo. On voit que Barye les aimait beaucoup et qu´il voulait représenter leur âme. Vous aussi, vous avez peint des animaux, n´est-ce pas ? Dans votre maison on a la possibilité d’acheter des cartes postales avec vos esquisses, et moi, je me suis décidée pour une carte avec des chats portant le titre « Trois études de chats allongés, la tête vers la droite ». Ils sont tellement doux et on peut les voir sous ses yeux. On a l’impression que vous étiez un amateur de ces animaux,… mais aussi un homme à femmes, n’est-ce pas, Monsieur? J’ai entendu dire au Louvre que vous étiez un vrai macho. Maintenant on peut se poser la question : qui ne l’ était pas à cette époque, quel homme ne l’est pas encore de nos jours? Pardon! Mais je vous demande : pourquoi ? C’est dommage qu’on soit obligé(e) de faire la différence entre la personne et l’art en question. Le tableau « Femmes d’Alger » (1834) par exemple, est fort beau - mais il montre la situation assez triste des femmes dans un pays oriental, je trouve. Toujours enfermées à la maison, elles n’avaient pas la possibilité de voir d’autres personnes et de découvrir la vie en dehors. Vraiment, ces femmes étaient privées de beaucoup de choses. Et vous, vous n’étiez pas contre cette vie restreinte? Je dois dire que ça ne me semble pas sympathique du tout, mais comme j’ai déjà dit : vous n’étiez pas le seul à avoir une telle attitude « macho »? Comme vous avez peint plusieurs de mes tableaux favoris, je vous pardonne – mais pas entièrement, cher Monsieur, … Vos rêves peints des pays orientaux existent encore aujourd’hui, quand même la réalité a beaucoup changé. L’univers de vos peintures orientales, c’est un petit monde dans lequel on trouve les souvenirs du passé et c’est exactement ce qui me fait plaisir quand je regarde vos esquisses et tableaux. Bien à vous ! Sarah (Sarah Kobler, Q 12)