Résumé

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Résumé
RECHNUNGSWESEN
Bernhard Bellinger, Cash-Flow-Kalkulationen für einzelne Geschäftsbereiche, Produkte und Kunden
stellt, wenn sie im nachhinein erfolgt,
eine Nachkalkulation dar. Bei Vorkalkulationen des Zuflusses an Liquiden
Mitteln, die ein Unternehmen von
einem einzelnen Kunden je Periode erwarten kann, genügen häufig rein überschlägige Rechnungen. Sie gehen von
dem erwarteten Umsatz und den daraus aus Cash-Flow-Raten abgeleiteten
Cash-Flows aus, die nach der Zahlungsweise des Kunden auf die kommenden Perioden verteilt werden.
projiziert werden können. In solchen
Fällen lassen sich Vorkalkulationen der
Cash-Flows für Kunden mit einer vergleichsweise grossen Genauigkeit aufstellen.
Hierzu ist anzumerken, dass in gut
geführten Unternehmen monatliche
Abrechnungen erfolgen. Bei dieser
Vorgehensweise fallen monatlich Bilanzen, Bewegungsbilanzen und Erfolgsrechnungen an. Dies bedeutet,
dass dann auch monatlich Cash-FlowRechnungen erstellt und entsprechend
Cash-Flow-Kalkulationen können und
sollen Gewinn-, Kosten- oder ErlösKalkulationen nicht ersetzen, sondern
nur ergänzen. Die Geschäftspolitik
einer Unternehmung muss ihre laufende Geschäftstätigkeit daran orientieren, auf welche Weise sie langfristig
den vergleichsweise höchsten Gewinn
6. Cash-Flow-Kalkulationen –
kein Ersatz für Kosten-,
Erlös- oder Gewinnkalkulationen
erzielt. Richtet sie sich nur an der
Liquidität aus, kann dies zu schweren
Fehlentscheidungen führen.
Anders liegen die Dinge, wenn besondere Liquiditätsprobleme bestehen.
Dieser Fall tritt immer dann ein, wenn
Umsatzrückgänge stattfinden und damit die Refinanzierungsmöglichkeiten
der bisherigen Vorfinanzierung aus
Eigen-, Fremd- und Subventionskapital schwinden. Die Cash-Flow-Kalkulation gewinnt dann besonderes Gewicht, wenn Zahlungsschwierigkeiten
eintreten oder gar die Gefahr einer
Insolvenz droht. Ebenso wird sie hilfreich, wenn für bestimmte grössere
Investitionsvorhaben eine grössere
Summe an Liquiden Mitteln aus dem
Unternehmen bereitgestellt und ihm
damit entzogen werden soll.
RESUME
Les calculs de cash flow pour certains secteurs
d’exploitation, produits et clients
Les décomptes d’exploitation constituent des documents d’analyse pour le
commerçant. La qualité de ces décomptes préalables décide habituellement du succès ou de l’échec de
l’entreprise. Alors qu’il existait jusqu’à
maintenant des méthodes de calculs
pour les produits, les coûts et les résultats de l’entreprise, ses secteurs d’exploitation, ses produits et ses clients, on
constate dans une large mesure l’absence de méthodes de calculs pour les
flux de fonds provenant du chiffre d’affaires, des différents secteurs, produits
et clients. L’article est un des premiers
à tenter de combler cette lacune dans la
pratique de la gestion d’entreprise.
La solution proposée est basée sur les
calculs de cash flow selon la méthode
ancienne qui partent également de variations de bilan tels les calculs de cash
flow plus récents mais dans lesquels le
chiffre d’affaires est introduit en plus.
Ceci a lieu en ce sens que le poste «résultats» du tableau des variations du
bilan est expliqué selon une méthode
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brute par différence entre les produits
et les charges. Ces produits et charges
sont ensuite corrigés des produits et
charges sans effet monétaire. Le résultat de ce calcul est le cash flow en tant
que flux supplémentaire de liquidités
provenant du chiffre d’affaires. Si le
cash flow est négatif, le chiffre d’affaires n’aura pas suffi à financer les dépenses de la période, c’est-à-dire que
des liquidités supplémentaires auront
été nécessaires. Ce lien fondamental est
représenté au tableau 3 à l’exemple
d’un pré-et refinancement d’une commande sur un certain laps de temps.
Les calculs de cash flow pour toute
l’entreprise, certains secteurs, produits
et clients partent dans leur décompte
d’exploitation de la comptabilité interne et des calculs des résultats d’exploitation habituels, des calculs des
centres de charges et de prix de revient
ainsi que des décomptes par clients. Les
cash flows sont aussi bien basés sur des
données budgétaires que sur des données réelles. La manière d’établir les
concordances est en outre indiquée
pour chaque mode de calcul. Ces concordances sont basées sur le fait que la
différence entre les encaissements et
les décaissements d’une période doit
toujours correspondre aux fluctuations
des liquidités entre le début et la fin
d’une période déterminée.
Les procédés présentés ont un niveau
élevé de nouveauté. Ils font naître chez
le lecteur quelques doutes sur les avantages de calculs de cash flows nouveaux
par rapport à des calculs plus anciens,
pour lesquels la relation entre le chiffre
d’affaires et le cash flow en découlant
était encore expliquée. Dans un cas de
perte, les calculs de cash flows d’un
nouveau genre ne permettent pas de
déterminer si et dans quelle mesure le
chiffre d’une période a entraîné des
pertes de liquidités. Ils ne permettent
donc pas non plus d’identifier ces pertes au moyen du calcul de cash flow des
différents secteurs, produits ou clients.
BB/RB
L’Expert-comptable suisse 9/00