de nouveaux et vastes débouchés sur les marchés d

Transcrição

de nouveaux et vastes débouchés sur les marchés d
magazine gratuit d’infomation
inf
N° 0 décembre 2006
nos collègues assurent...
dans ce numéro le
PORTRAIT
de Jacqueline KARMAN (page 3)
[dossier]
Directeurde publication :J-P VILAS • Rédacteur:David DUM ORTIER • Créditphoto :OCEF
• Réalisation Tam Tam • Tirage 200 ex.parM ultipress
L’équipe de maintenance
Indicateurs
La filière squash
Noël du C.E.
Récompenses
2
3
4
7
8
exportation
la filière
SQUASH
L’agriculture calédonienne est confrontée
à des problèmes récurrents de surproduction. La chute des cours constatée lors de
ces phénomènes, pèse
lourdement sur
l’économie rurale.
[édito]
Vous êtes sur
INFOCEF
L’OCEF est encore une jeune entreprise qui a besoin d’enrichir ses contacts avec ses partenaires, éleveurs, bouchers, cultivateurs, institutions et acteurs du développement de nos filières.
Mais c’est avant tout à l’ensemble du personnel de l’OCEF
que s’adresse INFOCEF. C’est pour cette raison que ce
numéro “0” lui est exclusivement destiné.
Tous les jours, sans même nous rencontrer, en exerçant
des métiers parfois si distants, nous assurons la mission
de l’OCEF.
MIEUX SE CONNAÎTRE
ET SE FAIRE CONNAÎTRE
Trois fois par an les huit pages d’INFOCEF vont nous aider
à davantage nous connaître, à révéler nos rôles et nos
valeurs individuelles ou collectives.
C’est un espace d’information, d’expression mais aussi de
reconnaissance qui s’ouvre. Chacun, chaque métier en
devient le sujet et le participant. C’est une fenêtre
d’échanges, de témoignages et d’expériences humaines
qui s’ouvre pour savoir et mieux comprendre.
Je salue la création de notre magazine.
Je compte que tous, nous profitions de cet élan et que cette
initiative contribue à développer nos relations, notre culture.
INFOCEF, c’est parti !
Jean-Pierre VILAS
Directeur général
VENDRE SUR DES MARCHÉS ETRANGERS
Pour résoudre ce problème, des filières
exports ont été initiées. Cependant nos
coûts de production élevés, la pauvreté
de notre desserte maritime et la proxi-
mité de gros pays producteurs sont
autant de freins au développement de
nos exportations.
[focus]
Une immersion au cœur d’un servive
l’équipe du service
Apprendre à mieux se connaître, c’est l’idée
proposée dans cette rubrique. L’OCEF fait partie des plus importantes entreprises du territoire. Les métiers et les hommes y sont nombreux. Dans chaque numéro nous vous proposons une immersion au cœur d’un service.
maintenance
L’équipe de m aintenance Noum éa au com plet.
De gauche à droite
Sylvain Nassare :organisation etsuivides opérations
de m aintenance préventive etdes contrôles périodiques
Cédryc Revert :Frigoriste (tem poraire )
Stéphane Guisguant :Ouvrierpolyvalent
François Tuitoga :Apprentifrigoriste
Paul Auteret :Frigoriste
Pierre Ofatuku :ouvrierpolyvalent– entretien chaîne
PDT Néa + 4G
Stéphane Tullo :Frigoriste
Daniel Hanne :Responsable du service de
m aintenance
Eric Beaumont :Directeurdes services techniques
achats-roulage
DE LA SOUS-TRAITANCE AU SERVICE INTERNE
Il y a 40 ans, l’installation, l’entretien et la réparation de nos outils de travail étaient presque
entièrement sous-traités. Il faut dire qu’à cette époque notre société était bien moins développée et se résumait à quelques chambres froides d’entreposage. A partir de 1977, l’OCEF
se développe (chambres froides, extension des bureaux, stations pomme de terre, abattoirs,
etc) et la sous-traitance ne répond plus aux contraintes. Le service maintenance est créé.
Rendons iciun chaleureux hom m age à Narcisse
CLAVEL,heureux retraité quia servil’OCEF
durant29 ans au service m aintenance.
UNE ÉQUIPE COMPLÉMENTAIRE ET POLYVALENTE
Le circuitde refroidissem entm anque de gaz.Paulet
Cédryc interviennentsans perdre de tem ps après
avoirtrouvé etrebouché la fuite.
MIEUX VAUT PRÉVENIR QUE GUÉRIR
« A la maintenance, on doit savoir tout faire et notamment travailler en équipe ! » nous
assure Daniel HANNE dont la spécialité est l’électricité industrielle. Daniel est entré à l’OCEF
en 1977 avec pour mission de remettre aux normes toute l’électricité. Depuis il est resté et
c’est aujourd’hui lui le responsable de l’équipe de maintenance de Nouméa.
Il s’est entouré de quatre personnes ayant chacune leur spécialité (cf. photos) mais avec le
temps tout le monde est devenu très polyvalent.
La maintenance est sous la responsabilité directe de M. Eric BEAUMONT, directeur des services techniques.
Ce pourrait être la devise de nos cinq hommes. En effet, contrairement à ce que nous pourrions penser, l’essentiel de l’activité du service est axé sur la prévention et l’entretien.
« Si nous ne faisions pas de préventif, ça ne fonctionnerait pas ! » s’exclame Daniel.
Effectivement dans le cadre de l’intervention préventive, l’action est planifiée, organisée et
ne perturbe pas le travail, elle est intégrée. En revanche en cas de panne, c’est tout le
contraire.
UNE ORGANISATION RODÉE
Danieldans la centrale A.Seulluietles 2 frigoristes
sonthabilités à intervenirsurles arm oires de
contrôle des centrales frigorifiques.
Daniel est un homme organisé et minutieux. Il aime que « les choses soient carrées ». Alors
il a mis en place une organisation serrée. Tous les lundi matin les deux frigoristes, Paul et
Stéphane, font le tour des installations, leur check liste à la main. Grâce à leur rapport, Daniel
peut planifier leur semaine. Pendant ce temps là il a déjà envoyé le reste de l’équipe en intervention.
UNE ZONE D’INTERVENTION ÉTALÉE
Stéphane intervienten cham bre négative.Le blouson
rem bourré n’estpas superflu !
P.2
A l’exception de l’abattoir de Bourail qui a sa propre unité de maintenance (qui fera d’ailleurs
l’objet d’une présentation dans un prochain numéro), Daniel et ses hommes interviennent
sur l’ensemble de nos sites (Siège de Nouméa, Sections PDT Nouméa, La Foa et Bourail, et
abattoir de Bourail). Les déplacements sont donc fréquents et demandent une grande disponibilité.
[portrait]
[indicateurs]
Jacqueline KARMAN
Jacqueline est
entrée à l’OCEF le
20 février 1986
quelques mois à
peine après l’ouverture du site de
Bourail.
VENTE MENSUELLE DE POMMES DE TERRE* (en tonnes)
250000
230000
220000
210000
200000
190000
180000
170000
160000
150000
C’est M. MAGOT, Directeur de l’abattoir de l’époque qui l’a recrutée. Elle
se souvient encore de ses premiers
mots : « …voilà votre bureau, ça
c’est votre standard …débrouillezvous, moi je n’y connais rien ! ».
2006
2005
2004
240000
Jan Fév Mar Avr Mai Jui Jui Aou Sep Oct Nov Déc
Après un débutd'année difficile (-6% vs 2005 surles 4
prem ierm ois),les ventes de PDT
se sonttrès nettem entam éliorées à partirde m ai.Le
cum uldes ventes des 10 prem iers m ois place l'année
2006 devant2005 (+ 5,6% ).
* Ces chiffres intègrentles volum es transférés à la 4èm e gam m e
VENTE MENSUELLE DE VIANDE (en tonnes)
La place n’est pas des plus confortables mais Jacqueline a du caractère, de la
volonté et une bonne couche de conscience professionnelle, autant de qualités
qui vont lui permettre de bâtir son poste au fil des années. S’il ne s’agit au début
que de gérer le standard téléphonique et l’accueil des visiteurs, Jacqueline s’approprie rapidement de nouvelles responsabilités (visites de l’abattoir, relations
avec le service du personnel du siège, avec Carol CASAROLI pour la gestion du
planning d’abattage, avec Freddy KATODIMEDJO pour l’aspect administratif de la
maintenance des véhicules, etc.)
600000
500000
400000
LOCALE
300000
200000
En plus de son engagement professionnel, Jacqueline est Présidente de l’association « le Wahoo Bouraillais ». Avec Didier, son mari passionné de pêche au gros, ils
ont créé cette association il y a 5 ans pour promouvoir l’activité et fédérer tous les
passionnés du coin. Aujourd’hui c’est un franc succès puisque le club est reconnu
par la Fédération Française de
NOM :
pêche au gros et y est affilié. Chaque
Jacqueline KA RM A N ,
année ce ne sont pas moins de 5
Poste :
concours qui sont organisés.
Secrétaire de l’abattoir de Bourail
Situation fam iliale :
Et s’il ne fait pas assez beau pour
M ariée,4 garçons de 4 à 20 ans
aller pêcher, pas de problème ?!
Passion :
Pêche au gros,plantes et fleurs
Jacqueline s’occupe de ses plantes
qui, si l’on en croit la rumeur, font
[revue de presse]
La filière bovine en crise
(LNC :Agriculture -Pêche -Article du 17.06.06)
« La filière bovine,fleuron de l’agriculture calédonienne,esten crise.Le nom bre de bêtes abattues a chuté de 1 100 têtes l’an
dernier.L’im portation a atteint
un som m etavec 252 tonnes en
un trim estre,le double de toute
l’année dernière.Les politiques
préparentun train de m esures.
Est-iltrop tard ?… »
Les éleveurs font bloc pour un meilleur revenu
(LNC :Agriculture -Pêche -Article du 01.08.06)
« Dans une situation qu’ils jugentcritique,les
éleveurs veulent150 F de plus parkilo de
viande.Excédés de ne pas être
entendus,ils sontdécidés à
hausserle ton età unirleurs
forces au sein d’un seulsyndicat… »
Crédit photo : LNC
100000
IMPORT
0
2004
2005
2006
On rem arque très nettem entl'augm entation des ventes
de viande im portées depuis 3 ans avec une accélération
depuis début2006.Notons que les ventes sontplus
im portantes sur2006 que sur2005 (+8,3% surles 11
prem iers m ois)avec un m ois d'octobre record au dessus des 500 tonnes vendues.
ABATTAGE PAR TYPE* (en têtes)
15000
12000
L’agriculture calédonienne …
(LNC :Agriculture -Pêche Article du 01.07.06)
« … Débats quin’ont,bien entendu,pas fait
l’économ ie des principaux problèm es quiagitent
actuellem entle m onde rural:la flam bée des
prix du foncier,la m ise en valeurdes terres coutum ières,l’érosion des revenus des agriculteurs,
les problèm es de com m ercialisation,les difficultés rencontrées parles jeunes pourleurinstallation à la terre,les financem ents,la recherche...»
Guy Monvoisin nouveau président du
syndicat des éleveurs
(LNC :Agriculture -Pêche -Article du 08.08.06 )
« Signe de leurm obilisation face aux difficultés
rencontrées parleurfilière,une bonne centaine
d’éleveurs se sontretrouvés sam ediau Colisée
de Bourailpourparticiperà l’assem blée générale du syndicatdes éleveurs.Signe égalem ent
de leurunité retrouvée… »
9000
6000
3000
0
2004
GROS BOVINS
JEUNES BOVINS
VEAUX
2005
2006
PORCS
CERFS
DIVERS
Les abattages déclinentsurtoutes les espèces (2005 vs
2004 :-5,5% ).M ais la baisse la plus spectaculaire revient
aux gros bovins quisontpassés de 7500 à 4400
anim aux abattus en deux ans.
* Le m ois de décem bre de l'année 2006 a été estim é
P.3
[dossier]
exportations
la filière
SQUASH
suite de la page 1
Produire et
exporter quand
la concurrence
ne le peut pas.
SQUASH
• 300 ha cultivés chaque année
• Les squashs sont récoltés entre le
75èm e et 100èm e jours après sem is
• un squash pèse entre
1,3 et 2.7 kg
• 500 em plois directs et indirects pendant la saison
• 40 agriculteurs
• 100 m illions reversés aux producteurs
RÉPARTITION DES PRODUCTEURS
PAR COMMUNES EN HA EN 2006
Bourail 180 ha
La Foa 43 ha
Ponérihouen 6 ha
Pouembout 2 ha
Canala 4 ha
Le squash estcultivé chaque année un peu
partouten Nouvelle Calédonie m ais les 2/3
de la production proviennentde Bourail
PAYS EXPORTATEURS DE SQUASHS
VERS LE JAPON EN 2005
Nelle-Zélande 69%
Mexique 17%
Tonga 10%
ex URSS 1%
Nelle-Calédonie 2%
Australie 1%
La Nouvelle-Zélande,auprès de quinous
avons trouvé toutl’appuitechnique nécessaire,estle prem ierexportateurde squash
au Japon.La Nouvelle-Calédonie,avec seulem ent2% de partde m arché estun des
plus petits producteurs,m ais dépasse la
Russie etl’Australie.
P.4
TROUVER LE BON PRODUIT
Le squash s’est avéré être la solution. En
effet cette cucurbitacée est très prisée au
Japon dont la production ne couvre pas la
demande de 700T par jour. Notre climatologie nous permet de produire quand ce
n’est pas possible ailleurs. Ainsi nous
sommes assurés de pouvoir écouler toute
notre production. Les autres pays producteurs sont la Nouvelle-Zélande, l’Australie,
l’URSS, le Mexique et les Tonga.
ATTEINDRE LE NIVEAU DE
QUALITÉ REQUIS
Nos acheteurs étant très exigeants quant
à la qualité des produits, nos agriculteurs,
peu qualifiés pour la culture spécifique du
squash devaient bénéficier d’un soutien
technique. Nous avons trouvé ce soutien
auprès de nos voisins néo-zélandais avec
qui nous avons développé un partenariat
technico-commercial. Les techniciens
des Provinces (DDR & DDEE) et l’OCEF
encadrent également les producteurs.
LA QUALITÉ C’EST AUSSI
UN ENGAGEMENT
DU PRODUCTEUR
Le producteur s’engage à respecter une
liste de produits phytosanitaires et à remplir un cahier de traitement faisant état
des produits utilisés. En effet nos clients
japonais sont très regardant sur cet
aspect qualitatif et demandent même à
ce que des analyses de résidus soient
réalisées avant expédition.
OPTIMISER LES RENDEMENTS
Chaque année, les différents techniciens
ainsi que notre spécialiste néo-zélandais
suivent les parcelles de squashs depuis
leur préparation jusqu’à leur récolte. Ils
surveillent le bon développement des
plantules et conseillent personnellement
chaque agriculteur pour lui permettre de
mener les bonnes actions afin d’optimiser la production.
CRÉER UNE STRUCTURE POUR
GÉRER L’ASPECT COMMERCIALE
Pour encadrer le lancement de la filière
squash et pour développer les exportations, une société a été créée le 6 septembre 1994, il s’agit de la FCTE SA. C’est une
joint-venture comprenant 50% de capitaux
Notre débouché com m ercialau Japon n'estpas lim itatif,plus nous produisons,plus nous vendrons.M ais attention,le critère qualité estincontournable.
néo-calédoniens et 50% de capitaux néozélandais. Le principal actionnaire calédonien est la Sodexport (filiale de l’OCEF) et le
principal actionnaire néo-zélandais est la
société DM Palmer NZ Ltd, un exportateur
de squashs, d’oignons et de pommes
ayant une grande expérience du marché
japonais.
SQUASH
Le squash est une cucurbitacée.Ilest
produit pour le m arché japonais où il
est consom m é en soupe,cuit à la
vapeur ou légèrem ent frit.C’est un
légum e quicontient beaucoup de calcium ,de fer,de vitam ines A & C et de
fibres.
La variété de squash la plus connue et
la plus répandue est la D elica.Son rendem ent est élevé et régulier.Ilexiste
d’autres variétés que les japonais préfèrent (Kofuki,A jiheiet Em iguri)m ais
leurs rendem ents sont généralem ent
inférieurs et elles sont donc peu com m unes en N ouvelle Calédonie.
PRIX PRODUCTEUR DEPUIS 1993
100
90
80
70
60
50
40
30
20
10
0
1993
1995
1997
1999
2001
2003
2005
Depuis 2002 l’ERPA a m is en place un fond
de stabilisation squashs.Ilvise à assurerau
producteurun revenu m inim um com pris
entre 55 et62 cfp/kg.
P.5
[dossier]
exportations
exigences & critères
de qualité
pour exporter
le conditionnement
des produits
au Japon
Une fois arrivés au Japon,les
squashs sont em ballés dans des
cartons de 10 kg puis ils sont distribués aux com m erçants.
L’origine « N ouvelle-Calédonie »
est un gage de qualité et les acheteurs peuvent identifier la provenance des squashs grâce au
packaging.N otre production est
réputée au Japon quiattend
chaque année nos « Island
squashs » avec im patience
LE TRI, UNE ÉTAPE DÉCISIVE
Les clients de la FCTE SA
La FCTE a mis en place
ERPA
OCEF
imposent des critères
une commission des
SOUTIEN DES PRIX PROD.
de qualité. Tous les
prix visant à inforTRI - ASS. TECHNIQUE
FINANCEMENT
ASS. TECHNIQUE
squashs récoltés ne
mer les producrépondent pas à
teurs des décices critères, il faut
sions
stratéAGRICULTEUR
FCTE
SIVAP
PRODUCTION
donc les trier.
giques en temps
EXPORTATION
CONTRÔLE PHYTO
L’OCEF, qui s’ocréel. Choix des
cupe
chaque
clients, prix de
année du tri de
vente, planning
APPUI TECHNIQUE DDR
QAS EXPERTISE
ET FINANCIER DDEE
toute la récolte de
de
livraison, qualité
CONTRÔLE QUALITÉ
pommes de terre, se
font partie des sujets
LES INTERVENANTS
charge de cette étape décide discussion au sein de
sive dans sa station de La Foa.
cette commission.
EXPORTATIONS DE SQUASHS
PAR LA FCTE DEPUIS 1993
3500
3000
2500
2000
1500
1000
DES CARGOS SPÉCIALEMENT
AFFRÉTÉS
500
0
1993
1995
1997
1999
2001
2003
2005
La production de squash a m is environ 4
ans à se m ettre en place.Entre 1997 et
2002 elle s’estam éliorée etdepuis la production eststable.La technique de culture
estm aintenantm aîtrisée.Pouraugm enter
les volum es,ilfaudraitdévelopperles surfaces cultivées.
P.6
LA COMMISSION DES PRIX
Arrive le temps de l’expédition au Japon.
Un bateau est pour cela spécialement
affrété par la FCTE. Les squashs sont transportés dans leurs caisses en bois dans des
cales réfrigérées. Le transport jusqu’au
Japon dure entre 12 et 14 jours et chaque
navire transporte 1000 à 1500 tonnes de
squashs.
Noë l
2006
LE COIN DU C.E.
Selon la tradition, le Comité
d’Entreprise a organisé le Noël OCEF.
Cette année nos organisateurs ont eu
l’idée de fixer le rendez-vous au nouveau parc d’attraction du rond point
des sports à Boulari.
Les enfants ont pu profiter de toutes
les attractions (chateaux gonflables,
mini kart, pedalo, etc) en attendant la
distribution des cadeaux et la séance
photo avec le Père Noël en personne !
BON Appé tit
recettes
Un grand m ercià M lle Sylvana DEM ENE,Secrétaire de la section PDT
età M lle M arine BRANCALEONI,Responsable Qualité pourleurparticipation.
Confiture de squash
Squash aux fruits de mer
Ingrédients :
• 1/2 litre d’eau • 1 kg de squash
• 650 g de sucre
• 2 gousses de vanille
Ingrédients :
• 1 squash • 1 cocktailde fruits de m ercongelés
• 2 à 3 crevettes parpersonne • 1 oignon
• 250 m lde crèm e fraîche liquide voire plus sile squash estgros
• Sel,poivre,noix de m uscade.
Eplucher le squash et le
couper en gros carrés.
Mettre la chair dans un faitout
de bonne taille, y verser l’eau
puis les morceaux de squash,
le sucre et la vanille coupée.
Laisser mijoter le tout à grand feu en tournant régulièrement.
Ecumer l’eau de temps en temps.
Une fois le mélange porté à ébullition, réduire le
feu et continuer à tourner.
Lorsque la mixture a pris consistance de
pâte, la confiture est prête. Il ne reste plus
qu’à la mettre en pot.
Dé tente…
Laver le squash à grande eau.
Sur le dessus, au niveau du pédoncule, découper un chapeau en
forme de pentagone sur 8 à 10cm. Réserver le chapeau et enlever les graines.
Faire chauffer le four à 180°C.
Emincer l’oignon et décortiquer les crevettes.
Dans une poêle légèrement huilée, faire revenir l’oignon jusqu’à ce qu’il devienne translucide.
Rajouter les fruits de mer et porter à feu vif.
Laisser cuire jusqu’à complète évaporation en rajoutant les crevettes 3 minutes avant la fin
de la cuisson afin de leur donner une légère coloration.
Saler, poivrer et râper de la noix de muscade (ne pas hésiter sur la quantité).
Verser le mélange dans le squash et recouvrir avec la crème fraîche.
Refermer le squash avec le chapeau, le placer dans un plat à gratin et mettre au four pour une heure.
Servir en plat unique accompagné d’une bonne salade verte et d’un vin blanc
7 différences séparent ces deux photos...
à vous de jouer.
1 :Logo O cef im prim é sur la poitrine / 2 :Logo O cef im prim é sur la m anche / 3 :Tuyau sur le poteau à gauche / 4& 5 :Vis et num éro de l’étau / 6 :M asque suspendu à gauche / 7 :Casque rouge
P.7
inf
[ressouces humaines]
Cé ré monie de remise des mé dailles
2006
M édaille Verm eilpourDanielBATHEOTE
(Découpe Bourail)
M édaille Grand OrpourFélicien KIKI
(Abattage Païta)
Le 8 décembre dernier s’est déroulée la cérémonie de remlise de
médailles et de départ à la retraite
REMISE DES MÉDAILLES,
cérém onie du 08/12/06
JOYEUX ANNIVERSAIRE
JA N VIER
M édaille d’A rgent :
Paul AUTERET (Maintenance Nouméa)
M édaille Verm eil:
Daniel BATHEOTE (Découpe Bourail)
Rock POATIBA (Abattage Bourail)
Serge BOEWA (Bétail vif Païta)
Oiafeta MARE (Section PDT Nouméa)
Missol WABEALO (Abattage Bourail)
Fernand PETAZIG (Abattage Bourail)
Raymond REISEN (Section Viande Nouméa)
Graziella GOUJON (Secrétariat DRH)
M édaille Grand O r :
Félicien KIKI (Abattage Païta)
Narcisse CLAVEL (Maintenance Nouméa)
DÉPART À LA RETRAITE EN 2006 :
Le 31 juillet : Marcel RANGASSAMY (Abattoir de Bourail)
Le 8 septembre : Narcisse CLAVEL (Maintenance Nouméa)
Le 7 Novembre : Selemia MAILAGI (Sect. Viande Nouméa)
Le 30 Novembre : Jean-Claude PIERSON (Sect. PDT Nouméa)
NAISSANCES :
Darell, le 24 août 2006 chez Pierre OFATUKU
(4ème Gamme Nouméa)
Sabrina, le 25 septembre 2006 chez Franck PALLOIS
(Découpe Bourail)
Mallaurie, le 24 mars 2006 chez Nicolas THOMAS
(Directeur Abattoir Bourail)
Jahlian, le 10 juin 2006 chez Stéphane TULLO
(Maintenance Nouméa)
RECRUTEMENT 2006 :
Pierre OFATUKU, le 1er mars 2006 (Entretien 4ème
Gamme Nouméa)
René CARAMESSY, le 1er février 2006 (Cariste
Station PDT La Foa)
Jean Michel ODINO, le 1er février 2006 (Cariste
Station PDT La Foa)
Achille KASOVIMOIN, le 1er février 2006 (Cariste
Station PDT Bourail)
P.8
Jean Pierre VILAS
Eddy YOSHIYAMA
Jean-Paul GOUE
Paul AUTERET
Marie Paul GASPARD
le 05/01
le 16/01
le 21/01
le 22/01
le 25/01
FEVRIER
Herbert JEULIN
Carol CASAROLI
Daniel BATHEOTE
René CARAMESSY
le 02/02
le 13/02
le 18/02
le 28/02
M A RS
Falakiko NOFU
Marius THY
Albert MITCHAM
Alain BERGER
Félicien KIKI
Christophe HONS
Marine BRANCALEONI
Steven SALIKAN
le 01/03
le 03/03
le 08/03
le 10/03
le 12/03
le 15/03
le 20/03
le 30/03
Avril
Upinué SIEJIRD
Adeline CRETIN
Ismaël EL ARBI
Patrick CHARDON
Marc André STEFANI
James JOUANNO
Max HUGHENY
Nicolas THOMAS
Eric PRATI
Joël VOISIN
Ginette TUILALO
Lucien NUNEWAIE
Hervé VELAYOUDON
Sylvain NASSARE
Michel BOUEARAN
le 02/04
le 03/04
le 03/04
le 04/04
le 05/04
le 09/04
le 11/04
le 13/04
le 16/04
le 16/04
le 18/04
le 19/04
le 22/04
le 23/04
le 30/04
M édaille Verm eilpourGraziella GOUJON
(SecrétariatDRH)
M édaille Verm eillpourNissolW ABEALO
(Abattage Bourail)
M édaille Verm eilpourRock POATIBA
(Abattage Bourail)
Départà la retraite de Jean-Claude PIERSON
(Section PDT Noum éa)
Départà la retraite de M arcelRANGASSAM Y
(Abattoirde Bourail)

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