ISÊaiiasD - Presse régionale

Transcrição

ISÊaiiasD - Presse régionale
Bdfîton de Tonlonm
-JXRDTF AOUT 1921^308 Année - N° 10.408
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Chèque Posta)
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DXH£IOTION
C. N* 4.99»
« Culture " raisonnée de la jobarderie
courir après les lézards, épouvanter les
grenouilles et tftter discrètement des prunes ou des cerises du voisin 1 Bonne Madame de Ségur, combien vous devez plaindre nos gamins d'après-guerre 1
.
Quant
Qu comà Carpentier, il ne cesse de triomTa nt0t, <f^ ?eV vant Lénine, ils se pher, lui, ses bras, ses jambes, son ascens
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les classes diri- dance, sa postérité, son départ pour l'Améme dans } .^^ertir
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1 les pi- rique, son retour, et surtout ses Mémoires,
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leg j ui f s e ^ ] es d ans lesquels le fameux boxeur a eu plus
res folies. Le **** ^ ana i a Révolution facilement raison. de la syntaxe que des
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loges nîaï ° p près ignoré pendant près poings de Dempsey. Jean Rameau faisait
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Française, a p^
l'abbé Barrueil, mé- . remarquer,
il y a quelque temps, que
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lui même, a été mis enfin ;< Jeanne d'Are n'était pas un athlète, que
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éclatante par de vrais Napoléon n'était pas un colosse, que Pasdans une î
armi i es der- cal n'était même pas un roseau pensant, à
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Oscar Havard, et, tout recem- peine un jonc, mais qu'il était pensant
ni ! rnstave Gautherot, professeur d'his. Nos adolescents n'en demandent pas tant
me 'de Ta Révolution à l 'Institut Catholi- aux biceps de leurs divinités !
5
La badauderie, d'un degré à peine plu3
le Paris (Aulard a trouvé à qui parf"1 Tuteur d'un beau livre, La Démocra- élevé, qui a pour objet le théâtre, les cabo] EivoliMonnaire (Beauchesne éditeur), tines, les cabotins, les marmelades au patJoe tout bon Frayais devrait lire, relire chouli de M. Bataille et de ses pareils,
trouve à se satisfaire, elle aussi, dans la
et' méditer.
lecture de ces journaux. Le théâtre de nos
„tôt les Juifs s'en, prennent aux masTa
jours, Sainte-Beuve l'a déjà dit, est la litse griment, suivant les pays, en sociatérature des innombrables gens qui ne lilises en communistes, en bolchevistes. en
sent point — des Parisiens, en particulier,
^islamistes, en jeunes Turcs, en puriTins de l 'Ulster, etc., et c'est la forme d'ac. car c'est à Paris qu'on lit le moins — et
ion contre la civilisation chrétienne — qui n'en ont que plus de prétention à juger
liés l'accaparement des valeurs mobilie- des ouvrages de l'esprit. Ces lignes de Barr f du monde - qu'ils
semblent
avoir bey d'Aurevilly n'ont pas cessé, au conadoptée aujourd'hui de préférence à toute traire ! d'être vraies :
« Le théâtre est le tyran du jour. Est-ce
que le plus idiot vaudeville, pour peu qu'il
0^ nul netïgnore maintenant, l 'arme favorite l'arme Bienjnoderne de la juiverie soit représenté, ne trouve pas toujours à
internationale, c*t la presse, et surtout son service le compte-rendu qu'un livre
>a presse dite d' « information ». Elle est fort, réduit à sa seule force, ne trouverait
merveilleusement propre à corrompre et à jamais ? Lisez les journaux et jugez ! Les
journaux, qui devraient être les éducateurs
abêtir les peuples, à propager le mensonge et ce n'est pas sans raison que les Pro- du public et qui n'en sont que les courtitocols d'Israël lui font une place d'hon- sans, quand ils n'en sont pas les courtisanes, ont créé des espèces de chaires de
neur dans leur arsenal.
Pensez-donc ! verser chaque jour une littérature théâtrale... »
goutte de poison dans les veines de millions
Tous les journaux n'en sont pas là, heu
de lecteurs crédules, confondre dans leur reusenient, mais on peut dire qu'aucun
esprit la notion du bien et du mal, leur journal de Paris n'échappe au reproche de
faire admirer de faux grands hommes, tout Barbey d'Aurevilly. Le théâtre et les choobscurcir pour eux, tout brouiller, en mo- ses du théâtre ont pris dans leurs colonnes
rale, en politique, en art, en littérature,
une importance exagérée, ridicule, et qui
endormir leurs inquiétudes
patriotiques,
fait hausser les épaules à tous ceux qui ont
détourner leur attention des grands pro- conservé quelque bon sens. "Mais II faut
blèmes nationaux, les habituer à cette idée vraiment que les moindres niaiseries tou
ou'H n'y a qu'une chose qui compte, l'ar- chant le théâtre passionnent ces gobe-mou
gent avec son compagnon le plaisir, n'est- ches de Parisiens, pour que leurs journaux
ce pas là laisser bien loin derrière soi les gâchent tant d'encre et de papier à leur
marchands d'opium ou de cocaïne ?
raconter le3 histoires malodorantes ou stu
Le public actuel, d'ailleurs, ne demande pides dont de vieilles demi-dames, officiel
les depuis Jules Grévy, sont les sottes héqu 'à se courber devant les nouvelles idoroïnes
les, et l 'on pourrait s'étonner de cette serLa « critique littéraire » enfin, moyen de
vilité, si l'on ne se rappelait que quarante
années d'école laïque lui ont appris à haïr piper une autre eatégorie de jobards, étale
le catéchisme. Aussi la badauderie de la sans vergogne sa mauvaise foi et son igno.
Soûle est-elle une des meilleures cartes, et rance dans la plupart de ces journaux et
sur laquelle peuvent jouer à coup sûr des revues qui leur ressemblent
des financiers hébreux, des spéculateurs de
Ne prononçons pas à ce propos les grands
la guerre, des écumeurs de tout poil, deve- noms du siècle dernier, ni ceux do Jules
nus les commanditaires ou les propriétai- I.emaître et de Paul Bourget, et réjouisres de la plupart de nos grands journaux.
sons-nous simplement de trouver encore
Entretenir le lecteur de fariboles, pour dans ce genre, quelques écrivains compé
faire de l 'argent d 'abord, pour l'empêcher
tents, consciencieux et qui font honnête
de penser à autre chose ensuite, voilà le ment leur métier. Mais ils sont l'exception
but de cette presse. Elle n'a plus rien de
Tous les autres font de la politique — ou
commun avec cette presse d'autrefois, qui
du commerce.
aimait les idées, — les idées valant ce
Voilà pourquoi, avec toutes ces distrac
qu'elles valaient — et qui se respectait en- tions renouvelées chaque jour, qui troucore.
blent leur vision, qui faussent leur jugeLe grand point, aujourd'hui, c'est d'a- ment, qui les amusent çonime les étoffes
brutir le lecteur, par des procédés variés
aux couleurs criardes d'un bazar oriental,
selon le rang social qu'il occupe • l'abus de tant de gens vivent sans le souci du len1 information malsaine, la glorification du
demain. Voilà pourquoi tels hommes politabotmage, tes manœuvres malhonnêtes tiques et tels diplomates qui, sous un roi
ï une prétendue critique littéraire.
de France, eussent été. rejoindre sans délai
Prenez au hasard quelques-uns de ces
Fouquet ou le Masque de Fer, sont, pour
journaux, parus ces temps-ci, et ouvrez-les.
le compte du pouvoir occulte, les maîtres
» agit-il a d' « information » ? Vous y verrez absolus de notre pays.
nipcessivement :
Que peut bien faire la Silésie aux élecUne table, garnie de petits objets ressem. teurs
de
« la
plus
belle
femme
d*
Want à des gâteaux. Ce sont des « browFiance » ! Qu'importent l'Orient toujours
nings )i. L'un de ces jouets a servi, une
en feu, et ces hordes de Boches haineux
jhnt, dans un grand express, à tuer un o<et de Slaves détraqués qui attendent leur
'"er français... tout comme en Allemagne,
heure, aux lecteurs du boxeur Carpen«agoût savoureux pour les lecteurs !
tier !.., Quand le juff se mêle d'empoison,J
es ternîmes minaudant. Ça c'est la note ner ces chiens Se chrétiens, il fait bien les
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. et certains journaux l 'ont donnée choses.
nt des mois entier
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s. Affaire de haute
Joseph AUBÊS.
"Portance, qui était de désigner « la plus
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mme de France ». Des milliers de
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LA TAXE
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SUR LE CHIFFRE D'AFFAIRES
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' discuter le mérite des candil
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°yer leur vote motivé au jour.
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Paris, 8 août.
M. Anatole Manceau, député de Maine-etn e"+ rt
d'une telle exhibition,
de croire
Lotre, vient de déposer sur le bureau de la
Ksme'ait t
<*ue le régionaune demande d'interpellation sur
compte dans ce C011 Chambre
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- la façon arbitraire et vexatoire dont la taxe
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«Eve, ni qu'aucune ï> vosur
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d'affaires est perçue et conl
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définitivement repré trôlée.
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LA MATINÉE
Strasbourg'. 8 août.
Dunancbe matin, c'est un joyeux réveil en
fanfare. Les sociétés se rendent, enseignes
depJoyées et clairons sonnant, »ur l'Esplanade pour la continuation du concours.
C 'est un dôfUé superbe <le berefci Meus,
blancs ou rouges, de maillots multicolores
rehaussés avec goût par quelque ècharpe
aux nuances bien fn'anioaises.
Nous reconnaissons au pass<age quelquesune des vaillantes sections avec leurs bannières : l 'Avant-Garde du HHln et ses sections de Steàsbourg Mulhouse, Calmar, Hag>ueiieau • les Ptafes Fifres Montarisonais,
l'Etoile de Voiron, Ta Jeanne-d'Arc de Grenoble, les Vaillants de Saint-Seurin de Bordeaux, les Montapins de Nevors, l'Alliance
Toulousaine sous la diiectiui de M. l'abbé
Sauj-el, vicaire de Saint-SernlQ de Toulouse;
les Cadets de Bretagne, de Hennés, la JeuneGarde de Clichy, les sociétés de Lyon, Roanne, Beauvais, Annonay, etc. Crânement, derrière leur Immense étendard qu'un aigle au
a^les déployées surmonte, défilent les Tchèques, puis l'Avenir de Borrentruy (buisse),
la Sainte-Clara de
Baie,
l'Espérance
de
Bruxelles, la Fulgor d'Asti (Italie).
Jusqu'à 11 heures ce concours continue.
Devant la tribune d'honneur, où un autel a
été dressé, les drapeaux se rangent en hémicycle au pied de l'estrade sur Laquelle ont
pris place les prélats : Mgr Jeglise, archevêque de Laybaon, en Croatie ; -Mgr Bucn,
évêque de Strasbourg ; Mgr Ginisty, évèque
de Verdun, et Mgr de la Celle, évêque de
Nancy.
eV égalait
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Le Prix du Pain
au
te-mpe des
« reine
Rueil, 8 août.
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is qu'une brune.
Le maire de Rueil, M. Falot, a obtenu du
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Itis
syndicat
des
boulangers
de
Rueil
la réduction
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' ^caméra
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du prix du pain 168
.1 1 fr.
U5 le kilo. qui
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brouillards
S des canaux
Ce prix est basé sur un cours de farine de
chai
H desTel
n
Nord, le
anllons
et ^ dlouceur des bé- lia francs ; par 5 francs de baisse du prix
«Uinages.
do la farine, le kilogramme de pain baissera
de 5 centimes. Dès à présent, le maire a obun
Peau
^sdàmewf'';,
-ko"ge
Voici, tenu également de boulaneers isolés le prix
de 1 fr. 10 le kilo de pain.
tr) n Pj„ , et Messieurs
le Grand-Faua
V b ! chef
d une tribu
Charleville, 8 août.
|>ges aui ° , ,
de PeauxA la suite de la taxation du prix du pain
^scouts ri
P° ur enseigner au x
les boulangers de Runognc se sont mis en
dC de la nature
Lucrei ^ enez
» ' Mon grève.
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-Y °us bien, et cachezAprès avoir mis le pain a 1 franc, les bouoh
Natura rcrum
est u v œ
- Pig Ha- langers de Charleville ont décidé de le reporter
à 1 fr. 20.
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LE STATUT DÉFINITIF DE LA PAIX
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Conseil
Général
L'ÉLECTION DE BELFORT
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Bel fort, 8 août.
Une élection au Conseil général a eu lieu
à bel fort. M. Christophe
Klopponstcin, secrétaire
de l'Office agricole (radical-socialiste) a obtenu 2.529 voix ; M. Henfv maire
do Valdoie (sooialhjte unifié), a obtenu 2 207
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;
ucklt (catholi.iue), a obtenu
2 .110 voix. Il y a ballottage.
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60 centimes pour frais.
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LA MESSE SUR L'ESPLANADE
La messe sur l'Esplanade fut l'occasion
d 'une brillante manifestation. Pendant que
deux fanfares, l'une de
i 'Avant-Garcle
du
Khln, l'autre de Strasbourg, jouent des pas
redoublés entraînants et connus, les sociétés
défilent sur rang de six et avec un ordre
impeccable, font le tour du vaste quadrilatère que forme l'Esplanade aux applaudisaerhents de plusieurs milliers de personnes.
Les drapeaux s avancent en groupes, sames
à leuî passage par des bravos ; les drapeaux
bolées .tchèques, yeuyo-slaves, italiens, Hollandais, polonais, suisses sont accueillis par
des salves d'applaudissements. Les sociétés se
massent
lace à l'autel, au milieu de cotte
haie vivante et colorée formée par lès gymnastes, tous tes étendards s'avancent ;
on
croirait revoir une de ces belles toiles peintes
par David Us se déploient en éventail, face
a l'autel ; ks évoques arrivent et avec eux le
général Humben, çonverueur de Strasbourg,
les généraux i-etter. Paillard, MM. Oberkioh,
Pouzm, aubé Wetterlé, le comte de Leusse,
députés, le chanoine Lelâor, sénateur ; le
baron d'Hell, conseiller général d O'bernai ;
le docteur Michaux , M. Lauras ; M Prac de
La Perrière, de Lyon, etc..
UNE DÉPÊCHE DU PAPE
Mgr Ginisty, évêque de Verdun, célèbre la
messe. Apres l'office, Mgr Kuch lit la dépêche suivante su Pape, signée cardinal Gaspard :
« Le Saint-Père envoie de tout cœur aux
gymnastes bénédiction apostolique. •
En remerciant, Mur Kucli a adressé le télégramme suivant aotnt il donne lecture à haute veix :
« ^0.000 gymnastes catholiques, réunis
à
Strasbourg, sous la présidence
du docteur
Micnaux, a.rcnevèque ae LuyiuaeU, évêquesde
Strasbourg, Verdun,
Nancy, déposent aux
pieds du Souverain Pontife hommages très
profond respect, très filiale soumission, très
ardent amour. »
La lecture de ce télégramme est saluée
d applaudissements, puis les évèques donnent
la Bénédiction collective.
LES EXERCICES D'ENSEMBLE
A U h. 30, grt.nd défilé de toutes les sociétés avec musiques, fanfares et drapeaux.
Ensuite. 1 mouvements d'ensemble avec barres ; exercices d'appareils, exercices simultanés, démonstration de boxe canue et bâten,
aux sons d'une musique militaire marquant
les temps ; exerckes libres et avec engins ,
démonstration des méthodes d'éducation physique par une délégation d'élèves, ©arçons
et filles, des écoles de la ville do Paris, par
un détachement de fusiliers marins de Lorient et par des officiers
de Joinville ;
viennent ensuite les productions des sociétés
étrangères. Les Belge? manœuvrent avec sûreté à la barre fixe; les Tchèques et les Yougoslaves exécutent de beaux mouvement'
d'enseidbiiie et d'audacieuses
pyramides; les
Italiens et les Polonais, très élégants dans
leurs costumes, obtiennent les bravos unanimes.
Une pyramide apothéose avec défilé final
clôt ce festival remarquaMe où la discipline
parfaite facilita les mouvements d'ensemble.
L'impression générale est excellente.
HOMMAGES D'ALLIÉS
II
y euit
un moment d'émotion intense
quand le docteur Michaux, heureux de cet
éclatant succès, s'approcha des drapeaux
alliés pour les cravater aux couleurs fédérales. Au nom de tous, le président des Gymnastes
belges
remercia
et fit acclamer
Albert I er et le cardinal Mercier.
On avait fait honneur aux sociétés étrangères en les faisant défiler en tête du oortèRo ; elles répondirent à cet acte de délicate courtoisie en faisant ranger leurs drapeaux face aux sociétés françaises et en
inclinant au passage des drapeaux français leurs étendards.
En terminant, rappelons que plus de 25.000
gymnastes de la fédération Catholique sont
tombés au champ d'honneur.
UN TRAIT D'ÉNERGIE
Un Meuzin, le jeune Pierre Chagot, de la
Lorraine de Vaucouleurs, ayant manqué le
train, n'a pas hésité a faire 167 kilomètres
en vélo nonr ne pas faire rater le concours
à sa section. En arrivant il grimpa aux barres fixes avec
iftt in. Le regretté général
de Maud'huy,
Uaait à conter des anecdotes piQuvaj
:d .de corps de ses chasseurs, aurai 1
tement ému par- ce trait
d'énergie si
-<Mt»>-
UN PARRICIDE
SnintrMalo, 8 août
Après une longue enquête la police mobile vient d'arrêter à. La Ronaie-en-Roz sur
Couesnon,
un
Jeune
homme de 17 ans,
Henry Besnard, qui a reconnu avoir tué son
père d'un coup de fusil, dans la nuit du 2
au 3 mai dernier.
Le pér« Besnard, fervent du braconnage,
passait pour disparu, quand le bruit courut
qu'il avait dû être assassiné.
Il y eut une longue emruCte qui restait
sans résultat, quand ces jours derniers la
police mobile reprit les recherches.
Le fils Besnard, voulant échapper
aux
questions répétées des
inspecteurs,
Quitta
6on domicile. U eut l'imprudence do com
mettre près de Pontorson, un cambriolée
qui lut fut aussitôt attribué et amena, hier
son arrestation.
Habilement cuisiné par l'inspecteur Legall
il avoua alprg qu'il avait tué son père d'un
coup de fusil et U conduisit la police dans
une futaie d'ajoncs où le. coi-iu gisait tout
décomposé.
Le parguet de Saint-Mttlo s'est transporté
sur les lieux pour l'examen du cadavre et
pour obtenir des précisions sur les circuits
j tances du crime.
La réunion du Conseil Suprême
L'Attribution de la Ilaute-Silésie
Entre la thèse française et la thèse AngloItalienne
LES RÉCEPTIONS DE M. BRI AND
Paris, 8 août.
M. Briand a reçu successivement au Quai
d'Orsay M. Louctueur, ministre des régions
lib&teas, le maiwdnal Fcoh, accompagné du
gênerai Weygand, le général Noliet, chef de
la mission militaire de contrôle interalliée
à Berlin, i^ général Leroncf. président de la
Haute commission intei alliée de Haute-Silesw, ainsi que le marquis délia Torretta.
OHÉZ M. LLOYD GEORGE
M. Lloyd George a reçu, ce matin, à l'hôtel Grillon, sir Robert Stuart, représentant
anglais à La commission inieiailiee de HauteSiKkie ; il s'est entretenu longuement avec
lord Curzon, secrétaire d'Etat aux affaires
«tffdngcîres.
ARRIVÉS DE M. BONOMI
Paris, 8 août.
M. Bonomi, président du conseil italien,
accompagné de Mme Bonomi, eet arrivé à
l'ai ts a j» h. 26, par la gare de Lyon.
Il a été reçu sur le quai de la gare par M.
Briand, président du conseil, ministre des affaires étrangères, le marquis délia Torretta,
nduistre des af-aircs ctiraiiigères d'Italie, le
comte Bonin Longare, ambassadeur d'Italie,
et les membres de l'amoassade
d'Italie à
Paris.
LES DÉLÉGUÉS BELGES
Bruxelles, S août.
M. Theunis, ministre des linpboe*, est parti
pour Paris, en vue d'assister k la réunion des
ministres des finances. M. iaspar, ministre
des aiiaires étrangères, partira mardi aprèsmidi pour Parts, à moins eue l'échange de
vues sur la question de la haute-stlesie ne se
prolonge.
ses solutions proposées qui se sont réduites
à deux solutions • solution française et solution anglo^italionne. La transaction recommandé© par le comte STorzjâ n'ayant pas été
reipri.se devant la commission des experts,
au (.une des deux solutions n'a réuni l'unanimité de la commission ; l'une et l'autre se
réclament de l'indivisibilité du bassin industriel ; mais la solution française attribue ce
bassin à la Pologne, alors que la solution
anglo-italienne l'atitrilb'ue, au moins pour la
plus grande partie, à l'Allemagne.
UN REVIREMENT DE LA PRESSE ITALIENNE
Borne, 8 août.
Par un revirement assez inattendu, la presse italienne presque tout entière reproche au
cabinet son anglophilie, et le met en garde
contre une politique anglophile.
, « Ce n'est pas sans surprise, écrit le Pop-Ho
Uomano, qu'on vont circuler, sans démenti,
les rumeurs d'un accoid anglo-italien pour
l'Orient, juste au moment où les armées grecques, mises en mouvement par l'Angleterre,
ont des succès directs contre les Turcs, mais
indirects contre l'Italie.
« Nous ne pouvons pas oublier o.ue la réalisation de l'accord tripartite est" emipêchél
justement à cause de la* lutte que l'Angleterre et la Grèce font à la Turquie ; et c'est biln
la Grande-Bretagne qui, après avoir signé cet
accord, soufflait aux Ane'oriens de s'opiposeir
à son acceptation. L'Angleterre a l'air de vou.
loir nous fairl payer une deuxième lois ce
qui est un droit Ceci est, vraiment,
trop
fort. »
LE ROLE DE M. HARVEY
On sait que M. Harvcy, ambassadeur des
Etats-Unis à Londres doit assister à toutes
los séances du Conseil suprême, en qualité
d'observateur officieux ; mais, si l'on a appris que, dans la question de Haute-Silésie,
son rôle se bornera b. celui de témoin impartial
n 'intervenant que pour éviter au
débat de prendre use tournure par tmp latine use et "de répercussion
universelle, par
contre, on pense dans le:- milieux diplomatiques de Paris qu'il pourrait prendre une
part plus active aux délibérations concernant
ta question d'Orient, et surtout le problème
de rassistancéci la Russie.
U se peut qu'il soumette au Conseil suprême des suggestions positives. D'ailleurs,
on signale qu'une
volumineuse correspondance of-iicieîle est échangée entre l'ambassade des Etats-Unis et Washington, même sur
la question de Haute- Silesie.
L'ARRIVÉE DES DÉLÉGATIONS
Bien avant l'heure fixée pour !a réunion
du Conseil suprême, de noinîueux curieux et
des phu'togrupi'ies stationnent devant le Quai
d'Orsay pour assister à 1 arrivée des délégations.
U y en a également dans la rue Constantlne, devant la "are des Invalides.
M. Briand, président du conseil, qui a déjeuné avec M. Loucneur, est ue retour r au
ministère à deux heures.
Le vicomte Isnii tt le oaron Hyashi, ambassadeurs du jayon, l 'un à Paris, l'autre a Lundi es, arrivent les premiers pour assister à la
feunidn du Conseil.
M. Lloyd George, tout de gris vêtu, les suit
de près. 11 traverse rapidement l'antichambre,
et. après avoir dtiposé son chapeau et sa canne, gagne le salon de l'ttoiBlogie ; son secrétaire
particulier, sir Maurice Harkey, l'accompagna ; ie colcnel Harvey, ambassadeur
des Etats-Unis à Londres,
arrive ensuite.
Viennent- ensuite loru Curzon et son secrétaire, et enfin M. Bonomi, président du conseil
i'alien, et le marquis dalla Torretta, ministre des affaires étrangères.
La délégation belge L,ui, on le sait, ne doit
pas assister aux discus'sions sur la Haute-Silésie, n'arrivera que demain
LA PREMIÈRE SÉANCE
La première séance du Conseil suprême
s'est ouverte à 3 h. 15, dans le salon de
l'Horloge, où siégea, la Conférence de la
paix et où eut lieu, le
10 janvier
1900,
échange des ratifications du traité de Versailles.
M. Briand «réside, il
a
à
sa droite
M. Lloyd -eoi /e et à sa gaucîie M. Bonomi.
A la droite de M. Lloyd George sont lord
f .rzon, second délégué britannique, M. Harvey, ambassadeur des Etats-Unis à Londtes,
représentant le
gouvernement
américain,
M. Hayaslhi, représentant le Japon ; à la
gauche de M. Bo-ncmi prennent place les
deux autres délégués français. : MM.
Loticheur, ministre des régions hborées, et Philippe Berttnelot, secrétaire général du ministre des affaires étrangères ; puis le marquis
délia Torretta, second délégué italien.
L 'ocda-c du jour de la Conférence reste tel
que nous l'avons indiqué. En tête, viennent
la question de l'envoi <le renforts en HauteSilésie et celle du tracé de la frontière germano-polonaise dans ie
territoire plébiscitaire.
Cette première séance du Conseil suprême
est terminée à 18 h. 05 .Elle fut, toutefois
suspendue pendant quelques instants pour
permettre aux délégués de prendre le thé.
En ouvrant la séance, M. Briand, qui présidait, a souhaité la bienvenue aux représentants alliés, puis, Chaque délégation a
été invitée à présenter un exposé général
de la (iiiestkm de Haute-Silésie.
M. Fromageot, président de la commission des experts, a présenté le point de vue
juridique, démontrant que le territoire plébiscitaire peut être partagé et qu e le tracé
de la frontière doit être inspiré du résultat
du vote par communes.
Sir Cecil Hearst a fait, de son tôté. l'exposé de la thèse anglaise, concluant a l'indivisibilité de la zone industrielle et à son
attribution Intégrale à l'Allemagne.
M. Laroche, expert français, a exprimé,
au contraire, l'avis que cette région Industrielle devait être partagée et revenir en
grande partie 4 la Pologne, le tracé
de la
frontière dovant être ainsi sensiblement analogue à. la ligne Sforza y compris Kretiigshutte.
Le déiléigtié italien a défendu un point de
vue intermédiaire.
LE
RAPPORT DES EXPERTS
SUR LA HAUTE-SILÉSIE
Le rapport rédigé par les experts français,
britanniques et italiens servira de base â la
discussion sur le partage de la Hiaute-Silésie.
Dans ce rapport, les experts ont fixé les
trois principes sur lesquels ils sont d'accord,
savoir
1' Le Traité de Versailles (art. 88 et
annexe) a prescrit que le territoire plébiscitaire serait partage entre rAllemuene et ta
Pologne. On ne saurait donc invoquer la majorité obtenue dans l'ensemble du territoire
par une des parties pour lui attribuer la totalité de la Haute-Silésie .
i' Le Traité a prescrit que pour le tracé
de la frontière germano-polonaise H devra
être tenu compte en premier lieu des VQ>UX
des habitants exprimés dans la consultation
populaire et ensuite de la situation géographique et économique des localités.
V C'est du vote par communes que l'on
doit s 'inspirer dans le tracé de la frontière.
Cela posé, les experts ont examiné les diver-
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l Etranger
ISÊ aiiasD
LjE MEURTRIER DU COMTE TISZA ARRÊTÉ
Berlin, 8 août.
UHamburner FremdenblUi annonce
que
l'ancien officier Czernipka, accusé d'être le
meurtrier du comte Tisza. a été arrêté hier
à Hambourg, où il travaillait dans une usine
d'autos.
C'est le volumineux courrier qu'il recevait
de Vienne et qu'il se faisait adresser toujours
au même bureau de poste, qui a fini. par le
rendre suspect aux employés, qui avertirent
la police. Plusieurs lettres' furent ouvertes et
c'est ainsi qu'on put acquérir
la certitude
qu'on
avait bien à faire au meurtrier du
comte Tisza.
80 >
M
lia Jkropole Militaire
de la Côte 304
UN DES POINTS LES PLUS TRAGIQUES
DU FRONT DE FRANCE
Paris, 8 août
n.
ces rocs qu on voit à
fl Q™^f
'
la barre d'un
neuve et que recouvrent tantôt les eaux douces et tantôt les ©aux amères. et sur lesquels
se produisent des heurts terribles, des remous, des jaillissements d 'écume, la cote
battue pax les flots
LT
allemands et
les flots %français.
Aujourd'hui, la paix est sur elle et sur ses
morts Les morts reposent dans les cimetières dEsnes, Malancourt, Chattancourt.
Dimanche prochain, 14 août, on inaugura
5f* ™ a ^r&nûe nécropole militaire de la
COtG *>U4.
Le clergé, le Parlement, l'armée, l'enseignement y seront représentés ,et ceux oui
leur cllair de
i»i
'
leur sang enloui dans cette terre glorieuse iront aussi,
en grand nombre.
r,wt\ ^df* A ^ trouveront à la gare de
unattancourt, à la descente du train de 7 h 20
pour diriger la caravane
qui
visitera 'le
Mort-Homme et ia côte 304
Un ancien lieutenant du 120* d'infanterie,
donnera des explications sur ce champ de
bataille fameux.
La messe sera chantée, au calvaire d'Esnes, sous la présidence de I'évêque de Verdun, par M. l'abbé Lancrênon, ancien médecin major aumônier du cotllèige Stanislas,
comma<miant est tom
côte 304
bé à la
"i1 peu Ie
Le
sermon
sera
donné par' M. . l'abbé
Ardant. ancien aumônier militaire, dont la
division fut longtemps à 304.
Le défilé officiel se fera, tout aussitôt après
avf c le concours de la fanfare du
132 régiment,
M
SchJleiter, du Souvenir Français, adjoint au maire de Verdun, parlera, au cime.ere, ainsi que ,1e président des anciens
Combattants de Verdun
îa0,mess.e'
Violent Lceadia
T> Ponolo tl'ltalia n'est pas moins catégorique.
» Il faut penser, dit le journal fasciste, que
si la France a -penché vers Angora, elle l'a
fait, parce que accompagnée de l'Italie. B y
a plusieurs" hommes politiques français qui
pensent ne pas pouvoir faire monnaie d'échange de l'Orient Si nous allions vers l'Angleterre, la France pourrait être tentée de
nous prévenir que ce ne serait pas à notre
avantage.
Quand
nous serions isolés en
Orient, l'Angleterre ne se soucierait pas de
nous. »
Quatit à la Gazeta dcl Pnpolo, qui est presque un journal ministériel, elle tient un langage encore plus vif. Elle assure que, dans
cette Conférence, où les peints de vue sont si
éloignés les uns des autres, le rôle de l'Italie
sera de les raoproeher, et sa tâche sera particulièrement délicate, parce qu'elle devra songer, en faisant pencher la balance d'un côté
ou de l'autre, à l'avenir.
• Si la France, dit-elle, se sent complètement isolée dans ïa question de Haute-Silésie,
qu'elle considère comme une question vitale
pour sa sécurité, l'Italie serait mal venue à
se plaindre si elle était seule pc*r soutenir
ses intérêts dans la question albanaise. »
Et le journal rapirelle que M. Lloyd George
a toujours
abandonne l'Italie, et que les
avances de M. Nitti, à San-Remo, ne réussirent qu'à le perdre et à faire l'union de la
France et de l'Angleterre contre l'Italie.
Il
rappelle enfin qu'en ce qui concerne l'Albanie, que l'Italie veut indépendante, l'Angleterre a des vues différentes.
« Tandis que Rome tient à l'intégrité absolue du pays, Londres abandonne Goritza
et Argirocastro à la Grèce. L intérêt bien
compris d» l'Italie, qui a en Orient les mêmes visées que la France, lui conseille de ne
fas soutenir aveuglément M. Lloyd George,
de faire une politique de prudence et de sagesse. »
1S »
à la Caisse Haiisnals d'Epargsa
v.
,
Paris, S août.
tt„- 4
Un incendie s'est déclaré cet après-midi i
14 neures dans les locaux de la Caisse Nationale d Epargne, rue îamt-Itomain Le feu
a pris dans les sous-sols, où se trouvent les
irlandais déjà touchés et les livrets réglés
i-ialarme a été donnée par les gardiens de
lajpaix de service à la Caisse d'Lpaimne
«s pompiers de la caserne du Vieux-Colombier sont arrivés rapidement sur les lieux,
suivis par ceux de ia caserne du Port-Boyal
i. est le colonel qui commande les manœuvres. Cinq grosses lances, mises en batterie
ont circonscrit, à 3 hem es, le feu au sous-sol'
En raison de la grande fumée qui se détga*
gc des sous-sols, les employés qui travaillaient dans les étages supérieurs ont dû être
descendus par des ccheUes
Le pféfeï de police s'est rendu sur les lieux
du smistre.
 16 heures, les pompiers '.se sont rendus
maîtres du sinistre qui s'était déclaré à la
Caisse d'épargne. Il n'y a pas d'accident d«
personnes.
--»:*©.>-
LES FORÊTS FLAMBENT
i .
,
Grenoble, 8 août.
La foret de Veuiîlant, près d 8 Grenoble,
est en feu depuis deux
jours.
Plusieurs
hectares de bois sont détruits ; de s fermes
sont menacées.
Les troupes de la garnison de Grenoble
ont coopéré au sauvetage, au cours duquel
un soldat du 140' d'infanterie
est tombé
dans un brasie» et a été gravement brûlé
lrois autres, frappés d'insolation, ont dû
être transportés à l'hôpital militaire, dam
un état alarmant.
DE
IMMENSES PLANTATIONS
C'HÊNES-LiÈfiES DÉTRUITES
£
.
.
Perpignan, 8 août.
Des incendies se sont allumés sur divers
points des montagnes pyrénéennes, au Boulou, à Laroque, à Montesquieu et Villelongue. Le feu a détruit d'immenses forêts de
ohênes-lièses.
-»!»€>:•-
LA SITUATION
Berlin, 8 août.
Dans
le projet d'impôts adopté par la
Conférence des experts, les fortunes ne dépassant pas 100.000 marks et ayant une plusvalue ne dépassant pas 25.000, sont exonérés
de l'impôt sur la plus-value.
Les fortunes dépassant 100.000 marks seront frappées d'un impôt de 1 % ; les fortunes dtjpassant 6 millions,
d'un impôt de
10 % ; les fortunes faites après la guerre audelà de 200.000 marks paieront de 5 a 30 %.
Londres, S août.
Le Morning-Post parie longuement de la
situation en Russie et souligne les dangers
que présente pour l'Europe occidentale ce»
état de oh oses
Faisant allusion aux bruits selon lesquels
Lénine s« proposerait de venir sous peu en
Angleterre, ce journal espère que le communiste russe subit une évolution.
« II y a déjà eu, écrit-il, trop te rapports
officiels .avec le bolehevisme ; nous espérons
que nos amis français se rendront comiote que
le peuple de Grande-Bretagne déteste le bolobevisme et toutes ses œuvres. »
HOFFMANN OONTRE LUDENDORF
L'EXODE DES PAYSANS
Berlin, 8 août.
Le général Hoffmann, qui fut pendant la
guerre le chef d'état-major du général Ludendorf vient d'adresser de Rottach-Ung'ern
la lettre suivante au Lukul Atuciger :
« S'il tout en croire les journaux, le général
Ludendorf aurait déclaré qu© ma conversation avec le socialiste Albert n'était pas conforme aux opniions du corps des officiers
prussiens Je m puis concéder au général
Ludendorf qu'il faille, dans un temps de
grande révolution et de trrand changement
politique, continuer a juger les actes politiques suivant les règles qui en temps de paix
régissaient le corps des officiels prussiens.
Depuis ojue s'est terminée la guerre mondiale, j'ai acquis la conviction que le peuple
alUmand ne pourra se relever que s'il apprend à se libérer des flUtes de partis.
« J'estime nue l'ouvrier allemand ne doit
plus être tenu a l'écart, et pour ma part je
lui ai tendu la main abaque fols que l'occasion s'en est présentée.
« Toutes les fois que j'ai pris la parole à une
réunion d'ouvriers allemand», ce fut pour
essayer de leur flaire voir et. comprendre cc
que devait être la grande tâche commune du
peuple allemand sans distinction de partis.
> Je réglette vivement qu'une déformation
de ma conversation avec M. Albert ait ou
être utilisée pour aggraver les dissensions
intestines du peuple allemand
Berlin, 8 août.
Les paysans russes de la région de la
Volga ont quitté leurs villages, non seulement en raison de la mauvaise qualité de la
récolte, mais aussi par crainte de
réprésailles de la part des bolchevistes.
Les paysans affamés avaient exigé à la
fin du printemps, qu'on leur livrât du blé,
emmagasiné par les agents du commissariat
du ravitaillement. Sur le refus des autorités
soviétistes, plusieurs magasins furent pillés.
Des détachements chargés des représailles
ont procédé à de nombreuses fusillades.
La cruauté de ces procédés a été une des
raisons de la décision prise par des villages
entiers de quiter le pays natal et d'aller
chercher ailleurs un sort meilleur.
LES PROJETS FISCAUX ALLEMANDS
4M<
Une Grève du Textile
Lille, 8 août.
Une grève générale a été déclarée dans les
tissages de toile do Lille et dè sa banlieue.
Le personnel de ces établissements a déclaré ne pas vouloir accepter de diminution
de salaires.
Les ouvriers, r our justifier
leur _ refus,
se basent sur ce que la diminution du coût
de la vie n'a nas touché les denrées de première
nécessité,
telles que la viande, le
beurre, eto.
LÉNINE EN BAISSE
Riga, 8 aoflt.
20 % des membres du parti communiste
ont quitté ce parti depuis le mois de mai. Ls
désertion des communistes se fait particulièrement sentir dans les départements du centre de lia Russie.
LES SOVIETS MENACENT LA POLOGNE
Berlin, 8 août.
Un télégramme de Varsovie au Lokai Anzciger annonce que le commissaire russe aux
affaires étrangères Tchitoherine vient de donner nu représentant diplomatique des soviet»
à Varsovie l'ordre de présenter au gouvernement polonlais une protestation centre l'interdiction de laisser passer par le territoirepolonais les marchandises en provenance da
l'Allemagne et a deslination die la Russie.
La nota ajoute que dans le cas où le gouvernement polonais croinait ne pas devoir
lever cotte interdiction, le gouvernement de»
soviets userait de, représailles envens la Pologne.
UN APPEL DU PAPE
Rome, 8 août.
Le Pape a adressé an cardinal secrétaire
d'Etat une lettre pèur inviter tous les peuples Chrétiens et civilisés a secourir avao
générosité la population russe uftuimée.
M
ARDI 9 AOÛT 1921
Le Soviet en Perse
Baltimore, 8 août.
L* nomimiaition du IL Muihàël J. Curley,
éwêr/uie do Saint-Augustin, corn mie ftrrthevêqiK:
de Baltimore, où il reptplâice l'érôitvent et regretté oardlnal Cîil>l)o:is, est considérée dans
les milieux catholiques comme annonçant en
même tenues sa .prochaine élévation au pardtr.êilat.
On rappelle, à l'occasion de la nomination
du nouvel archevêque, que le cardinal l'avait
îud-wéme en haute estime et avait parlé de
lui au Pape lorsiiu'il fut élevé à l'éplscopat
en WU.
Le nouvel archevêque était le plus jeune de
kt hiérarchie catholique en Amérique il n'avait, en effet, alors que 35 ans
Ije nouvel archevêque prendra possession
©ffleielle de son siège probablement le 12 octobre, anniversaire de sa niaissance
UNE PROVINCE
PROCLAME SON INDÉPENDANCE
AllaSiabad. 8 août.
D'après le journal Pioneer, la
province
persane do Khorassan, au
nord-est de la
Perse, est voisine du territoire transcapien
qui est aux mains des bolcheviks
et del'Afghanistan qui a conclu un traité d'alliance avec Moscou.
Mèg. insurgés seraient dirigés par Mahomet
Taki qui était gouverneur militaire de Téhéran, sous Zla-ed-Dtn, mais fut révoqué par
le gouvernement actuel.
I
r
f
~
%
h
COURSES
Les Embarras de ! Espagne
LA SITUATION A MELILLA
Madrid, 8 août.
Le communiqué otficiel da Melilla ne signale aucun changement dans la situation.
Un télégramme du général Navarro dit qu'il
continua à se défendre et donne une liste
de ses pertes, parmi lesquelles figure le lieutenant-colonel Primo de tUviera. frère du capitaine-général de Madrid.
LA SITUATION POLITIQUE
Le cornât» de Roman o ne», venant d'Ostende,
est arrivé à Madrid aujourd'hui, à 2 heures 30, 11 s'est rendu au Palais et en. est ressoiti à lâ heures ao. Il a déclaré aux journalistes qu'il ne pouvait iten dire des entretiens qu'il a eus avec h: monarque, sinon
«lue leur entrevue a été une conversation
plus qu'une consultation.
Il a ajouté qu'en raison de la gravite des
événements du Maroc, il renonçait à Sun
voyage à l'étranger et se rendait dans une
de ses propriétés,"aux environs de Madrid.
AUX SAINTES MAR3E3 DE LA MER
Le Figaro publie un bel article sur la dernière fête des Saintes Maries de la Mer où
nous lisons :
« Le matin, Son Emincnce Mgr de Caibrières
arriva de .Montpellier. 11 parla à la grandmesse connue il sait parler quand il célèJnre
cette Provence qui le considère comme un
des siens. ,
m,
« A l'issue de la messe, une procession se
tonna et se dirigea vers la plage, à la suite
(li la petite barque contenant les statues des
ceux saintes que des hommes portaient sur
leurs épaules. Une embarcation, pavoisée aux
couleurs françaises, attendait Son Emincnce et 1 Archevêque qui y montèrent avec
quelques prêtres. Ils allaient bénir la mer.
Aigr Rivière, debout, s'adressa à la foule et
m expliqua le sens de cette bénédiction La
mer est 1» tombeau o» dorment
glorieuseL
û,os K Uiers
, ?;
"
ne matins et de soldats
rnorts pour lu, 'patrie. La mer est aussi une
source de yie et de prospérité pour les peuples dont elle facilite les échanges et les relatons lrai,e nielles. Et les deux prélats levèrent les mains sur les fiots et sur les pèlerins en iprières .
« L' c Adieu aux Saintes », prononcé aux
vêpres par M. l'abbé Rayai ,du diocèse de
Mines, clôtura le pèlerinage. Et les châsses
reprirent leur place dans la chapelle haute,
au chant du Magnificat et du vieux cantique Mais la fête continua autour de la statue de Mireille que les deux prélats devaient
petiir. Au premier rang de la fouie, on voyait
la veuve -Je Mistral.
- Pour les ^muants et pour ceux qui n'ont
pas compris la pensée du Maître, dit Mgr Rivière, Mueilto est une pure fiction. Cependant i) n'en est rien. Mireille a existé et elle
exist, ra toujours. Car Mireille, est la fille du
geme de .Mistral, et, dans la pensée du poète. Mireihe est la Provence rendue cht (sienne par la pivdication des Saintes Maries et
de leurs illustres compagnons. Or, la
Provence existe : elle est bien vivante, elle est
la, tout entière, autour de cette statue oui
la représente. Bénir Mireille, c'est donc bénir
la 1 roven.ee - c'est en dire du bien, c'est lui
souhaiter du bien ; c'est lui faire du bien en
taisant tourner sur oile l'eau sanctifiée par
ta grâce surnaturelle du Dieu Tout-Puissant.»
« lit ayant bsoi 1 image svmboliau*, les
teux pontiles bénissent ensemble, aux quatre points cardinaux, la terre argentée
et
C lan tante des oliviers et des cigales.
« Nous a.vons encore du piitoresoue en
France, ne trouvez-vous pas ? TJU pittoresque
— et de la grandeur .»
PCR i S
DE
CHEVAUX
A CAEN
Cacn, 8 août.
Prix de' la Société Sportive d'Encouragement, 5.000 fr., 2200 mètres environ — 1» Lxtasy (M. Mac Oee)
.
Non placés
ValDona, France-Amérique.
Mutuel
gagnant 26.
;
Prix de Saint-Etienne, 8.000 francs, 1.500
mètres environ. - 1. Le Bélier (M. Mac Oee).
Non placés : Menthine, Mcrvllle III.
Le èaini-Lèger de France, 261)00 francs,
2.500 mwres
environ.
— l. Helios II (i
Cocke) ; 2. Montmorency II (M. Mac Gée).
Non placés : CombeL Penlx.
Hèlios II,
Mutin . gagnant, 10 oO ; places
10 50 , Montmorency II. 10 50
prix de la Porte-Milet, à réclamer, b.OJO
francs, 900 mètres environ. — l Pequot (r.
O'Neill)
Non placés : Tata, La Semeuse III.
Prix Rolion, 10.700 francs, 900 mètres environ. — l Mise (F. O'Neill) ; 2 'l'abrita
Mutuel : gagnant, U.
Prix de Louvigrty course de haies, s.wu
francs.
2.S00 mètres environ, — 1. Mauza
(A Be'nson).
m. ,
Non placés : Alzette, Mistress Ma».
Mutuel- : gagnant, 13 50,
S
août
Demain, course» .1 VUtiy Part iels et moi- tes pr»
Suerr
K'iblOS :
V::\ de r /V «'.o,H!ire - ."laiiec X) A#rtr*{
(.aiinoli !I1 (li. liei-Mlli /««ftwll M Pc**i. MMp*
l-'ieurs-.i m ÏJlwi-;')in twi»a&4 !% VoHuaua a
l'Cré) Kifèrendairo 'f. •rP-tettet)
)>nx de la Soci."/; jl'KiKotnr.ij-.awttt — «alH**deer'wi rW4tWC« ,M- ï'o-.il). I *-Rel.c«> K..
C.&rner)
CanaU 'A
U'ur.wr,), Saw-t-MaTecl
F.
f.MKlItiet)
Serre CU.iu le
Ç. Uuinrje'ier). UaWaCo
(M 1 a-^'.'Utl)
Prix îiiFtetti. - O.fjuwwtts* !(
V arî ;f r -„ ci
vray M Lassardi. Ma-IMncy Ci' Gaudmct) P*>»
àft-pVtntcinys (J Uartli.-'-iuy), ina'.i'iii IA S< :i:.e>r>
Yr.rle)'. Ei :)ii;.ne il
llalhei-.teer ou Fie,.l J)-1C*
ijl Mijjdoriivi).
Prix d*-: Rêves d 'Or. - KMy 'O. Clamer) Mliord (A Wodlandi, Serpeatt-Uï CL R K.iwri). Bv
itocncA (G SWnl, Smii. 1 :»'irvnoe (F «iorttne )
Prix de là SociM-i .Ses »tdpte-Cft»srs de France. —
Trait fUn'on-l! • P. Ucsrocliei-,, Crttoior OP.. Vm
tau) Lor4 Rs*l*n (G. ïaet-letî. ÏA:-Perinissioa>n.ure 'H SaJ>a *fti).
JP.
L'ARMÉE TURQUE
Constantinople, 8 août.
Fevzi pacha a proclamé dans un discours
que les Turcs, ayant roussi à retirer leurs
forces avec toutes leurs munitions et armes,
l'armée turque est actuellement plus forte
çu' avant l'offensive
« Renforcée par différentes troupes concentrées sur le front, il est certain que de grandes batailles auront lieu prochainement et
l 'armée turque montrera son héroïsme. »
D'après les nouvelles de l'Asie-Mineure, 88
colonnes volantes turques agissent en arrière
du front grec. Ces colonnes sont composées
de SO a 300 cavaliers. Une de ces colonnes est
descendue jusqu'à Kurdus, où, après .avoir
engagé une escarmouche, elle est repartie
avec un certain butin.
Le Naufrage de S'« Alaska »
Eurêka (Californie), 8 août.
Dans le naufrage de l'Alaska. 36 passagers
et 12 hommes d'équipage ont péri.
Cent soixante-six survivants ont été débarqués ici. dont trente plus ou moins sérieusement blessés. Douze cadavres ont été recueillis.
La catastrophe est attribuée à 'épais brouillard qui régnait.
Le navire se déchirant sur les récifs a
coulé en trente minutes ; quatre embarcations de l'Alaska ont été mises â la mer,
mais l'une d'elles a chaviré, précipitant, les
occupants dans la mer. Plusieurs personnes
munies de ceintures de sauvetage avaient
plomre et quelques-unes ont été recueillies,
plusieurs heures après, flottant ou se cramponnant a des débris de l'épave.
Le capitaine de l'Alaska a été vu pour la
dernière fois sur la poupe, alors que le naître disparaissait dans les flots.
l
pronostics :
Varis Sport. — Fortunat i. Mille Pleurs -U — Serre-CJiac.de Cana-la — Civrny, Crataouiltette - Zxl'érienee Eddy — Trait d'i'a.on 11 Le-Permissicale TickfU- — îleticscoite. Mil'e-rieras -II — La
l'.ellome. Èourie X.iw.x - rtvmy, ]ni .!>liR — Expérience, ParviUcu-s - Yatasan, t.a lîeU &r.o.
HATATS0N
FINALE DES CHAMPIONNATS MILITAIRES
DE FRANSE DE NATATION
ET DE SAUVETAGE A MÉZIN ÎLt-et-Gne)
Voici le programme complet des grandes
fêtes de natation,
organisées par l'Union
Sportive Mézinaise, dans le bassin de la
Gélise,
à Mézin, les 14 et 15 août 1921, à
15 heures.
.
,
. , .,
Ces fêtes sont placées sous la présidence
de MM les généraux du 17 e corps d'armée et
de M de Castellanne, président de la Fédération Française de Natation et de sauvetage.
Dimanche 14 août. — 15 heures course à
la nage libre, 50 mètres, pour débutants de
toutes catégories ;
, .
A" 15 h. 5 championnat vitesse (séries).
A 15 h 20, courses de relais, par équipes
féminines de 4 nageuses (200 m. nage libre).
A 15 h 30, ehainspioimat plongeons avec et
sans élan de 3 à 5 mètres.
A 16 h 20, prcséntaiiop par les jeunes de
«i
>>*»<;
II~B
l'U S. M., enfants de 10 à 15 ans (mouvements d'ensemble)
A 16 h 30, championnat sauvetage 100 m.
habillé, nage libre
A 16 h. 40, plongeons féminins.
Karachi, 8 août.
A 16 h 50. championnat plongeons de 8 à
La région de Manille a été dévastée par
10 m sans élan.
Cne inondation Dix neuf femmes ont trouvé
A 7 h 20, water-polo.
la mort et des villages entiers ont été emA 17 h 40, plongeons acrobatiques de 10 m.
portés par les eaux.
et de 20 m
De nombreuses familles sont sans abri.
Le soir grande fête de nuit, organisée par
Le bétail a également soufferî et. les récolla municipalité.
tes sont, en grande partie, détruites.
Lundi 15 août. — A 15 heures, championnat
sauvetage ; recherche et maintien du man*»-•-—
y**—
nequin (pouf la moitié des concurrents).
A 15 h. 30, plongeons féminins.
A 15 h. 40, championnat sauvetage, recherche et maintien du mannequin (pour le restant des concurrents).
A 16 h 30, mouvements d'ensemble, présenLE CRIME DE MARLY
tation par les plus jeunes nageurs de l'U.
S. Mézinaise (10 à 15 ans).
Faris, 8 août.
A 10 h. 40, courses de relais, 4 nages (dos,
11 y a quelques jours, des renseignements
ïlgnês de foi, parvenus à la Sûreté, ont orien- basse over, crawl) par équipes féminines.
A 16 h. 50, championnat vitesse, finale de
té l enquète sur une voie nouvelle.
100 mètres, nage libre.
On se souvient quj des ouvriers de la voie
A
17 heures, water-polo, match revanche.
avaient vu sur le marchepied du train en
A 17 h. 30, plongeons acrobatiques de 10 m.
tnaiche et se dirigeant vois li wagoiî
dl
et 20 mètres.
premières, où se trouvait M. Janin, un homme
Pour la finale des championnats militaires
dont ils purent donner un signalement relade
France de natation et de sauvetage, elle
tivement précis
sera
disputée
entre les champions des 24"
Après enquête, il semble bien que l'homme
corps d'armée
et des gouvernements milion question ne serait autre qu'un individu
qu' a vécu assez longtemps auprès de M. Ja- taires de Paris, Metz, Strasbourg, etc.
Les épreuves comprennent :
nin.
1» Vitesse : 100 mètres nage libre.
Les signalements coïncident ; il y a donc
2« Trois plongeons : un de 3 à 5 mètres
présomption que l'on soit sur la bonne piste ;
sans élan ; un de 3 à 5 mètres avec élan ;
d'autant plus que, le llndemain du crime,
un de 8 à 10 mètres sans élan.
l'individu recherohié actuellement )par fieij
3° Sauvetage : a) 100 mètres habillé ; b)
Inspecteurs de la police a disparu de
son
recherche et maintien à la surface d'un mandomicile et n'y a pas été revu depuis ; c'est
nequin de 40 kilos, immergé à 2 m. 50 de
une charge grave contre lui. Soulhaitons que
profondeur.
cette piste soit plus heureuse que celles qu'on
a suivies jusqu'à présent.
ATHLETISME
L'AGRESSION DANS LE RAPIDE DU HAVRE
CHAMPIONNATS PROFESSIONNELS
Versaihes, 8 août.
Paris, 8 août.
L'Espagnol Jean Avsgno, arrêté samedi soir
Les championnats professionnels d'athléà Triel, comme étant l'auteur de l'agression
commise, dans le rapide du Havre à Paris, tisme se sont disputés hier sous les auspices
entre les stations d'Andressy et de i.ttvfiè- de la F. S A. F. au stade Pershing. Un pufait le
loup, a *M amené ce matin, à la première blic relativement nombreux avait
déplacement, attiré principalement par la
heure, par les gendarmes de Poissy au compartieiaiation
de
De
Nys.
missariat central de Versailles.
Résultat technique :
, ,.
Il sera transféré au parquet et mis à la dis100 mètres. — 1" Dacquey ; 2._Marchadie ;
position de M. Huehnrii, juge d'instruction,
qui lui fera subir l'interrogatoire d'identité. 3 Desmureaux. Temps. 54 s. 3/5.
'l.600 mètres. — 1" Dranoourt ; 2" G. Lacire;
Jean Avigno sera ensuite ecroué à la prison
3" H. Lacire. Temps 4 m. 24 s. 3/5.
Saint-Pierrl.
Inondations à
Feuilleton
Le
1921
Secret
Ûe la Mare-au-
ois
PREMIÈRE PARTIE
LES
PAPIERS DU MORT
XVI
Nos Voleurs étant déjà au courant du
événement, nous ne rapportetrona
Que les détails qu 'ils ignorent, et qu 'avait
permis do dégager ta première enquête de
fa police. Selon les témoignages recueillis,
les malfaiteurs devaient être deux. L'un
'était jeté sur la femme (Vlinet, qu'il avait
bâillonnée, après l'avoir renversée d'un
coup de poing en plein visage. L'autre
avait endormi le vieux Nivolet, malade
dans son Ht, au moyen d'un masque de
èoton imbibé de chloroforme.
Le Matin continuait ainsi :
« L'audace de cet attentat, en plein jour,
Iragiqt -o
^V
™L
1-CONTRATS DE LOCATION
ÊTRE PROROGÉS
POUVANT
Dans VEnregistrement
Grave Accident
PETITES NOUVELLES
au centre de Marseille, semble démontrer
qu'il était préparé de longue date. On se
perd, d'ailleurs, en conjectures sur les causes de cet enlèvement.
« La famille Nivolet, chez laquelle R se
produit a déjà été, il y a un an, victime
d'une tentative d'empoisonnement, «*ttt
que nos lecteurs peuvent s'en souvenir.
Maintenant que sa barbe avait repoussé
et qu'il était revêtu de son élégance coutumière il était méconnaissable pour elle.
H ne redoutait donc môme pas le hasard
d'une rencontre.
.
Vinsi, trar*qtiillc pour l'avenir, heureux
surtout d'en avoir fini avec le cauchemar
dés menaces de Thorncrof. il allait en sifflotant insouciant, le long de la l.anneb'.cre dont les grands cafés et les beaux maga.
sins venaient de s'éclairer et où se pressait
cette foule cosmopolite si curieuse que cou
naissent, seuls, les grands ports de la Méditerranée.
,
,
Il trouvait tant de charme à cette heure
de paix qu'il altendait depuis si longtemps
que le spectacle (ie la rue auquel il restau
d'ordinaire indifférent le retint dehors jusqu'à, l'heure du dîner.
Du port aux allées de Meilhan ci inversement, il allait à petits pas, c n flâneur, un
havane parfumé aux lèvres, regardant les
affiches des théâtres, lorgnant les élégantes qu'il croisait, répondant aux saluts qu U
recevait d'un petit coup de chapeau et avec
un sourire protecteur.
Les gens qui le connaissaient, se retournaient, pour l 'admirer, se disant :
Ce Blaisols, que! bon enfant I... Comme H eat simple, avec tant de millions 1
Sa physionomie reposée exprimait, en effet comme la première fois que nous l'avons vu en son château de la Mare-auxBois, la plus simple et la plus cordiale bonhomie.
1
. ..
Comme il repassait pour la quatrième
fois devant le café de l'Univers et qu'il regardait distraitement, dans l'intérieur, es
tables garnies de consommateurs sous les
lustres éclatants, il vit soudain se dresser,
derrière la glace où il s'appuyait, la haute
taille et la figure d'oiseau
de proie de
Thorncrof.
Celui-ci l'avait vu. Il tapa contre la glace
et lui fit de la main signe d'entrer.
Blsisois eut d'abord un mouvement de
recul. La nrésence du docteur à Marseille,
oit 1111 pare'il moment, semblait une menace.
Mais, aussitôt rassuré par le sentiment
de l'impuissance de Thorncrof, il répondit
à son salut par un sourire et entra dans
l'établissement.
— Mon cher !
— Mon bon !
,
Les deux hommes se serrèrent la main
avec effusion, ils rivalisaient- d'hypocrisie.
Aux yeux de leurs voisins, c'était une
paire d'amis qui bénissaient le hasard de
leur bonii'' rencontre.
je viens de chez vous, mou cher Blalsois dit le docteur. Comme vous étiez sorti ie n'ai pas voulu demander à présenter
m'es h.unma-es à Mme Blaisois. vu que ce
n-est pas son ion* et que je l'eusse peutr
èlre dérangé''. Mais je m'étais bien promis de retourner frapper h votre porte *
l'heure du dîner, pour être sûr de voua
trouver...
— Ce bon Thorncrof ! Que je suis content de vous voir ! Depuis si longtemps 1...
J'avoue que je ne m'attendais pas a. "Vous
apercevoir fi travers cette glace I...
— Qu'est-ce que vous prenez
— Oh ! jamais rien... Cependant, pour
vous faire plaisir... un vermouth Noilly.
sieur, de nous surprendre comme ça. Ze
croyais que vous nous oubliez, savez-vous ?
La grosse juive avait encore épaissi depuis
l'époque de la mort de Jean de Prémol.
Son menton refoulait un collier de grais.
Se volumineux, dont quelques poils n'augmentaient pas l 'agrément.
Au milieu de l'énorme bouffissure flasque
Les deux compères s'assirent et causèrent
de cent choses indifférentes en buvant leurs de sa face que les fards n'arrivaient point
à embellir, ses petits yeux se perdaient
apéritifs.
La présence de nombreuses personnes as- comme deux billes enfoncées dans un frosez près pour surprendre leur conversation mage de Hollande.
Comme toujours, elle était richement
les engageait tous deux à la prudence.
Sept heures allant bientôt sonner, ils se mais laidement accoutrée, de soies voyantes et de dentelles si abondantes, que cerlevèrent.
langues
prétendaient
—Vous venez dîner avec nous, n'est-ce taines mauvaises
pas ? dit Camille en prenant le docteur par qu'elle ressemblait à un tas de chiffons.
Nous pourrions égayer le lecteur en lui
le bras. — Au fond, il se sentait une certaine pitié pour lui en songeant qu'il n'a- présentant les deux enfants de la maison :
vait plus rien à craindre de ses divulga- un garçonnet de neuf ans et une fillette de
tions... Le bien traiter, c'était adoucir l'a- six. C'étaient deux spéciments de bichons
mertume du refus définitif d'argent qu 'il gâtés dont les propos bruyants et la mauvaise tenue charmaient leurs aimables pas'apprêtait à lui déclarer. C'était « dorer la
rents.
pilule » à maître Thorncrof.
Lucie renversa son verre sur la manche
Celui-ci accepta très joyeusement.
— Enchanté de revoir Madame Blaisois...
de Thorncrof. Oscar envoya des boulettes
de pain dans son verre...
Et vos enfants ?... Toujours deux ?...
— Toujours deux... Intelligents, solides...
Mais nous ne retarderons pas davantage
Ils tiennent de leur mère...
le cours de notre récit, h exposer les facé— Et de leur père !.. .Votls semblez touties variées qu'inspirait leur bonne éducajours aussi gaillard que jadis I... Quant à tion, aux enfants Blaisois. Nous les retrou,
l'intelliffcnce, bien fin qui vous en remon- verons plus tard.
trerait U 1-e banquier Camille Blaisois est
C'était un dîner tout intime. Noémi s'atconnu au loin pour son habileté aux affaitendrissait cn se remémorant les bons moTe
ments d'autrefois, quand 011 pouvait se voir
Noémi I.achmann, accueillit le docteur plus souvent. Camille causait avec abanavec une joie parfaitement contrefaite,
don, contant de bonnes histoires dont il
-r- Oh ' que c'est zentil à vous, sàr Monriait lui-même le premier à gorge déployée.
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le cas où un locataire verbal
recevra ,
confié après l'expiration de
Utl
1
«-élai
mois. Il ne lui est pas possible °»,
d'iïT
tice dans le délai légal, puisqu'il ui 6a h*
son bail expirerait avant le ' i er rLB °rait «
On ne peut donc lui reprocher im 1 19£
gence. Les magistrats
devrom in» rié 8Îl
la pensée du législateur.
^Pféte,
3» MAGISTRATS COMPETENTS
Le président du tribunal civil s t,t
nt «1
référé, est compétant pour les loVf»
ou supérieurs a 600 francs ; le Wp,,
est compétent pour les loyers
« La proj-ogation pourra être accordée, a
déclaré le rapporteur du projet de loi au
Sénat, à toutes les locations quelles qu'elles
soient, qui prendront fin entre le 1" juillet
1021 et le 1" avril 1922. réserve... faite pour
4o POUVOIRS DES MAGISTRATS
les baux et locations verbales régis par la
loi de 1918, dont nous entendons respecter
Règle générale. - Le jug» pourra
le droit de prorogation si celui-ci ne vient conditions de recevabilité de u ,' Sl 1*
pas a expiration avant le 1er avril 1922. »
sont remplies et si aucune excer*^*!
Donc ïe législateur ne fait aucune dispeut être invoquée par le propriété <H
tinction entre les baux dea locaux d'habi- corder une prorogation pouvant êtr ' «ctation et les baux d2 locaux commerciaux. au maximum, a six mois, à dater d , fi 'xée .
ou industriels ; il rie fait non plus aucune . ration
•«>««" du terme
ici-me en
eu cours au mon»!
momerô * ex
"^PiPi'
distinction entre les baux qui ne pouvant i décision. Toutefois, dans la limita ^ fle la
avv " 1023, la prorogation
ctu i,
bénéficier d e prorogations, en vertu des lois 1 avril
' » du
ne Pourra
antérieures, viennent normalement à expi- moindre d'un terme.
ration et ceux qui ayant .déjà bénéficié de
Le juge, au cas où il accordera une
prorogations touchent au terme de ces proro- gation, fixera la majoration de lover
gations
nant compte de l'aggravation des
^
tûa rge»
Tous ces baux peuvent être prorogés en subies par le propriétaire.
vertu de la loi du 16 juillet 1921.
La décision rendue ne sera suscerciii
d'opposition ni d'appel.
^ W{ M
2° DÉLA5
POUR DEMANDER
Exception. - Il est un cas où le
LA PROROGATION
toujours obligé d'accorder une prolon» .-esl
Les formes applicables à la mise en jeu de de jouissance. U est, en effet, de nomhro
prorogations qui expirent à une rp,. }a loi du.16 juillet 1921 sont celles mêmes de
ne
la loi du 1" mars 1931.
concordant pas avec l'expiration du
l «tne
normal.
Or, en vertu de cette dernière loi, la proCes prorogations seront toujours nrat
rogation doit être demandée dans le délai
d'un mois à dater d e la promulgation de la
gées d'un délai suffisant pour achevé
loi. Une demande introduite après ce délai mois en cours, s'il s'agit de location au m
le
doit être rejetée. Cette même
règle
doit le trimestre en cours, s'il
s'il s'agit
s 'agit de
deïocS
être appliquée quant aux demandes de pro- comportant quatre termes par
par an
an, et
et h „
rogation en vertu» de la loi nouvelle. La loi mestre en cours, s'il s 'agit de location
du 16 juillet a été publiée au Journal 0',fi- comportant qu'un ou deux termes par an"*
ciel le 17 juillet. Elle est exécutoire en pro5» CONDITIONS DE RECEVABILITE
vince, clans Chaque arrondissement, un jour
DE LA DEMANDE ET EXCEPTIONS
franc après eue le Journal Officiel qui la
contient est parvenu au chef-lieu de cet arLes conditions de recevabilité de la
rondissement.
mande et les exceptions qui lui sont onn ,vT
Le délai d'un mois doit-il courir, selon les bles sont les mêmes que celles déflrriai
lieux, du jour où la loi est devenue exécu- la loi du 1er mars 1921 et que nous
toire, ou bien ce délai court-il strictement analysée dans la chronique juridiq avons
ue pa.
du jour de la promulgation, et expirer pour
rue le 1er' mars dernier.
toute la France à la même date ? C'est là
matière à discussion.
Gabriel VICUIER-CQRSSe.
Le législateur n'a pas prévu, d'autre part,
bâtonnier du barreau d'Albl.
nanciei
Maline
du 9 août
UN GROS IGNORANT
Un monsieur qui parle de ce qu'il ignore
écrit dans Excelsior l'écho suivant qui n'est
qu'un tissu d'erreur, grossières : '
débats con
fa3, la Chambre des
ne pouvant parvenir a équilibrer
^nces parlementaires, le Statut
d6S bedUX â l0
^f- a
un texte
d attente ojui permet aux locataires, dont les
baux sont venus â expiration le 30 juin 1981,
ou pourront venir 4 expiration après cette
date, ae demander
aux
magistrats leur
maintien dans les locaux loués.
députes
ÎSïl ,
Congrès interallié
de l'apprentissage
Le Baionime lais les Trains
09
^îr
LA LOI III] 16 JUILLET ÏM Si! LES BAUX A LOYER
S
^
LA PROVENCE ENVAHISSANTE
«. On ne s'en doute pas à Paris ; mais depuis le mot célèbre de Paul Arène : le MM
kouve, l e Midi ou plutôt la Pivveuee a l'ait
mieux, elle tend à absorber - et de toute
façon — tout le pays de Ejiance, de la Loire
aux Pyrénées. Déjà, à la'Uveur de sa pre
paeande littéraire, tous les dialectes, si divers de la langue d'Oc, s'appellent couramment et uniformément le provençal El)
la
reine du félibrige,
institution
provençale
s il en fut, est du Limousin (!), et voici nue
la finance elle-même inscrit sur des coupures monétaires qui ont cours dans tous les
départements, et sous la rubriuue (légion
Provençale, les noms d'Avignon, Nîmes et
Comtat Venaissin, du Languedoc et du Daupliiné (!).
« Les « i-égioiialistes », qui mènent le
branle, ont encore obtenu d'autres succès
Dans plusieurs lycées de cette région méridionale, où le français a dans les dialectes
locaux une si rude concurrence, on a créé
des chaires de lansiie provençale. Attendonsnous à voir désormais consacrer les locutions : Je suis élé malade ; j'en ai de besoin,
elle s'est faite mal ; le monde sont méchants,
cet orange est doux, et tant d'autres conforLA MARINE ALLEMANDE
mes à la syntaxe de l'idiome populaire,
M. Georges Garreau expose dans le Matin qu'on appelait autrefois le patois, mais que
les moyens employés par ï'Aliemagne pour
personne n'oserait plus, dans le pays de
rehausser sa marine marchande :
Mistral, désigner sous
un
pareil
nom,
crainte de se faire lapider. »
« CT&t la municipalité berlinoise qui s'inv
Le pauvre homme qui a écrit cela ignore
pose un gros effort pour améliorer son réjustement que le français ridicule que parseau fluvial et faire de Berlin un des centres
lent tant de cens du Midi, est le fruit direct
«e navigation intérieure les plus actifs de
de la proscription absolue de la langue d'Oc
1 Europe centrale.
chez des populations dont elle est la lan« C'est la municipalité de Kiel qui vote 11
gue maternelle. Lorsque les Provençaux, au
maliions de marks pour les agrandissements
lieu d'être perstcutés pour avoir parlé leur
du port à l'etnoouchure du canal, pose la preidiome auront appris à le parler correctemière pierre d'un grenier à grains qui emmament, et non plus à le patoiser.ils parleront
gasinera les céréales des vapeurs de la Plata
beaucoup mieux le français. C'est tout le
pour les distribuer aux caboteurs de. la Baltitravail du Frère Savinien, approuvé par les
que. Ainsi cornpte-t-elle, par le développement plus grands philologues.
de son activité commerciale, Compenser les
« La langue d'Oc est le latin du pauvre! »,
effets de^ sa ruine comme port de guerre,
disait Vermenouxe. Et quand on s'étonnait
« La Cbarn'bre de commerce de Gorlitz es- que lui, . simple primaire, eût écrit de si
Pere obtenir la création d'un canal reliant
beaux ' r ers français, il déclarait : « C'est
lElno à l'Oder. Quant au canal Neckirr-iia- vrai, je n'ai pas appris le latin, mais je suis
r.ube, c'est maintenant chose décidée, quoibilingue tout de même ».
Sous le haut patronage de M. le Sous-Seque les frais de construction s'élèvent à' 2
De tout cela, le rédacteur d'Excelsior ne crétaire d'Etat de l'Enseignement technique,
milliards de marks et que la durée des trase doute même pas. Il estime que l'argot de
la ville de Lyon et ia Société de la
Foire
vaux doive être de dix ans. Le Reich particiPaname, le sabir qui se barbouille sur les ont décidé d'organiser, avec la collaboration
pera aans la dépense de la première franche
grands boulevards, est le nec vins vitra de
de l'Association française pour le développepour ko millions de marks ; le VVurtenuVrg
la correction et de l'élégance firancais.es.
ment de l'Enseignement teciinkiue, un Consupportera la majeure partie du reste.
L'ignorance, comme disait le regretté Rosgrès interallié
de
l'Apprentissage, qui se
« Cologne projette, de vastes améliorations l chaoh, est ane grande force.
tiendra du 12 au 15 octobre 1921, à l'occasion
de la réunion d'automne de la Foire de
Lyon. Le Comité d'organisation est présidé
Championnat
de
l'Eure. —
1" Thosys
par M. Edouard Herriot, député et maire de
Lyon.
(Lille), 16 k. 855 ; 2. Lepers
(Tourcoing)
Les travaux du Congrès porteront sur le
*3 k. &45 ; 3. Drancourt (Paris), 16 k. 455.
recrutement des apprentis par l'orientation
Prix du Président de la République, 1.000
professionnelle,
sur les moyens d'établir l'omètres relais. — 1. Club des Sports de FranParis, 8 août.
bligation légale et le contrôle de l'apprence ; 2. C. S. R. des Quatre-Ciheuiius. Temps
Le marché demeure sans affaires et plutôt tissage, sur sa réglementation par les cham2 m. 7 s. 1/5.
bres de métiers, sur les cours professionSaut en
hauteur. — Devez
(Fourmies), lourd dans l'attente des premiers résultats de
nels, sur la taxe d'apprentissage, etc.. Ces
1 m. 60 ; 2. Desreumeaux, 1 m. 50 ; Canei la réunion du Conseil suprême, dont les discussions
liaradssont
devoir
être
longues
et
laquestions ne sont pas nouvelles : elles ont
(Bordeaux), 1 m. 45.
été étudiées de divers côtés et d'une manière
« .
Saut, en [Longueur. — t. Bonnet (Fourmies), borieuses.
approfondie. Il s'agit d'en dégager des soluLes
changes
ont
peu.
varié,
sauf
le
dollar
5 m. 79
Deisreuimaaux, 5 m. 54 ; Lemaire,
qui revient de 15--02 à 12.76.
tions pratiques, bien adaptées aux conditions
5 m. 22.
actuelles de la vie industrielle et commerRentes françaises, calmes : 3 %, 56.40 ;
Lancement du poids. — t. J. L. Vasseur ;
ciale de les coordonner
et d'établir entre
2. A. Vasseur, 10 m. 16 ; 3. Keller, 9 m. 00. Bons 6 %, 496.50. '
elles les liaisons nécessaires.
Banques,
simplement
lourdes
:
Da
PariLancement du disque. — 1. L. Vasseur,
Dans
l'esprit
des
organisateurs,
la tâche
sienne,
1-302
;
l'Union
Parisienne,
792
;
Lyon36 m. 08 ; 2. Vasseur, 33 m. 35.
du Congrès
est d'aboutir
à l'élaboration
nais, 1.366 ; Société Générale, 690.
Le record est battu.
d'un travail d'ensemble qui servira ultérieuNavis'ations
irrégulières- :
Suez, 5.590 ;
Lancement du javelot. — t. Louis Vasseur,
rement de base pour les projets soumis aux
Charaséurs réunis, 569 ;. Tiumsatlantiçïue, 235.
4? m. 17.
délibérations du Parlement par l'initiative
Cuprifères, calmes, sauf la Utah qui revient
Handicap international. — 3.000 mètres, 1.
gouvernementale.
à 617 sur la baisse du dollar ; Rio, 1.413.
de Nys, en 8 m. 57 s. 1/5.
On
espère ainsi
pouvoir
hâter le vote
Industrielles russes, sans changement apLa foule envahit le terrain, ovationnant
d'une loi sur l'apprentissage dont la promulpréciable Bakou, 2.505 ; Lianoscfî, 441 ; Plade Nys.
gation est attendue, depuis si longtemps et
tine, 540: North-Cancasian, 5.675.
Au coure de la réunion, Mlle L. Breard a
avec une si légitime impatience, dans les
Pétrolifères, faibles sur les avis des places
tattu le record dni monde des 440 yards en
milieux
industriels.
1 m 17 s. l/ô (ancien record 1 m. 10 si) et étrangères : Esgle, 240 ; Royal Deutch, 19.650;
l'équipe de « Fémina » le record mondial des Shel, W Omnium des Pétroles, 452.
Diamantifères et mines d'or quelque peu
440 yàrd= -pelais en 50 s. 2/5 (ancien record
réalisées • De Beers, 509 ;Rand-Mines, 111.50;
1 m. 1 seconde).
Jiagerafon'teàn. 113 : Crown-Mines, 97.
M. Beringer, receveur à Arthez (Basses-PyLA PRANCE BAT LA BELGIQUE
Caoutehoutières, sans affaires.
rénées), est nommé receveur de 3 e classe à
Roubai.x, 8 août.
En valeurs diverses, peu de changement : la Verpillière ; M 1-avaur, receveur à Ossun
Voici les résultats de la rencontre de l'é(Hautes-l'yréiices), est nomme receveur de
Sucreries d'Egypte. 700 ; Penarroya, 978 :
quipe athlétique de France contre l'équipe de Gafsa, 615.
3' ciasse à Arthez ; M. Garive, receveur à LeBelaiaue :
, .,.
coux
(Puy-de-DOme), est nommé receveur à
Société d'Eludés e>. d'informations financière»
100 mètres plats : t. Brocihard (Belge), 11 s.;
Ossun.
4B. rue lïoienne. Paris (*' arr,)
t. Moutrlin (Français).
.
m mètres j»ats : 1. Ferry (Français), 50 s.;
-<©*2 Delvart (.Frlançais).
. , .
Bagïiàres-de-bigarre, 8 août
Lancement du disque : 1. Guerre (Belçe),
Dimanche dernier, à 7 h. oO, sur la route
36 m 75: 2. Bôraneer (Français), 35 m. 76.
îles
nains
de
Salut,
en face de la villa d'L'zer,
Saut en longueur avec élan : 1. Couillaud
deux sous-oUlciers en promenade faisaient
(Franoaiis). 6 m. 74 1/2; 2. Lofebvre (Belge),
caracoler leurs chevaux lorsque l'une des
6
Du 8 août.
ietes, mal tenue, se jeta brusquement sur
1 500 mètres plats : t. Brossard (Français),
— T^'e général Allen, commandant les forces l'attelage de l'omnibus Bortignan, faisant
4' 14'' 2/5; 2 Ijangrcnay (Français).
américaines en pays rhénans, est arrivé à le service publie de l'établissement thermal,
Lancement du poids : 1. Pierre (Français),
Paris
pour se consulter avec M. Harvey, en
t 'atteiage s'aftoia et, avant img le conduc12 m 87 ; 2. Ways (Belge). M m. 30.
llô' mèt'-es haies : 1. lourde (Français) , ce qui concerne les frais de l'armée américai- teur ait eu ie temps d'aviser, i omnibus fut
ne d'occupation, qui se montent à 275 mil- précipité dans le. ravin profond que sur17" 175; 3. Audinot (Français).
lions
plombe à cet endroit ie chemin.
Saut à la perche : %. Muzard (Français),
— On a découvert en Cyrénaïque une maL'omnibus portait quatorez voyageurs. Huit
3 m. 10 ; 2. ex-eequo, Lagarde (Français) et
gnifique
statue
de
Vénus
parfaitement
infurent retirés blessés parmi les débris de la
Powel (Btlge).
„ 4
,
. ,
tacte,
lia
trouvaille
a
été
faite
dans
les
bains
voiture,
dont trois très grièvement. Une dame,
<>00 mètres plats : 1 Jamois
(Français),
de Cyrénée.
arrivée du Toulouse la veille et qui venait de
23" 4'5 ; 2 Durev (Français).
— On annonce la mort sur-venue A Paris de
prendre son premier bain, transportée à l'hôm mètres plats : 1. Brossard (Français)
Mlle Bart.be Bady, l'actrice qui avait créé pital, n'avait, pas encore repris connaissance
2' 11" 3/4; 2. Gouylleux.
avec suo;ôs de neamlbreux rôles du répertoire
dans la soirée. Son état inspire de vives inSa ni en haut eur avec élan : R Lowden,
moderne, particulièrement du théâtre de M
quiétudes Le conducteur, M. Datignac, a été
1 m. 80 • 2. Guilloux.
fortement contusionné.
Henry
Bataille.
5 000 mètres plats : 1. Corelet (Français),
— A la suite de la défection du personnel
Parmi les grands blessés, deux personnes
16' 3" 2'5: 2. Pacq-uot (Belge).
allemand de l'im-primerie de Mayence, l'Echo de Toulouse, M. et Mme Bonnefont, arrivés
SOt) mètre? relais : 1. .Tamois. V 38 4/5.
la veille à Bagnères, descendus au FamilvRésultat du classement général : France bat du Uhin, seul quotidien français en RhénaJ
Hôtel.
nie, n'a pas paru.
Belgique par « points 1/2 contre 40 1/2.
A VICHY
VicViy.
de Son port fluvial. Des capitalistes anglais
sei miteraient même assez disposes à les réaliser en échange d'à vantâtes* particuliers et,
noiainiiieut, de la concession d'entrepôts dans
le nouveau port, solution dont la Belgique et
la France ne sauraient se désintéresser
« loi est te bilan de lclfort maiilime aileinûnd. Quel est le notre ? L'Etat liquide, retarde les travaux promis aux ports, abandonne tout programme nouveau L anftement
privé avait donné un bel exemole au lendemain ue l'armistice, mais il a suffi de la crise momentanée qui sévit actuellement pour
arrêter net ses commandes, alors
la flotte française est encore inférieure de moitié à
nos besoins.
_ « F'otir passer le temps, nous faisons des
niscoiirs; Le déficit d'un demi-milliard subi
par la flotte d'Etat en deux années d'exploitation ejji a fourni, à lui seul, plusieurs kilomètres, si bien que nous avons presque oublié ce chiffre que tout Français devrait ceFcuaunt connaître ; « Au cours de la seule
année 19J), par insuffisance de notre pavitMi Vm> 6 limma rds d
retran
T
*
'
« lret a
g
A
Gendarmerie
Par décision ministérielle en date du 5
août 1621, les militaires et anciens militaires
désignes ci-après sont admis dans la geaOj*
mené pour servir dans Parme à cheval •
17* légion. — Camille Cruzel, ex-maréchal
des logis, proposé par a compagnie du dets
Jean-Auigusun-Ciémeiit Massot, ex marèctuj
des logis, proposé par la compagnie des Py.
7
Kiioes-Onentales.
'
Paul Agode, ex-soidat, propos-; par la com.
pagine ce la Haute-Garonne (élève)
jeau-Firançois Rul,
cx-canonnier. proposé
par la compagnie d'j l'Ariège
Albert-Arthua'-Eloi
Koimrgues
ei«oldâi
6 ,PUr la Com ,a lli i d
rcnnf
i » <
«
Tarnet-G*
Jean Ponsolle,
ex-soldat, proposé 1par la
compagnie de l'Ariège
U1
J wâ K vlère
?, - '
ex-soldat, 113- régiw ^, r%
aitlll,erw3
lou|, 1e,
(Tarn)
domicilié à Art»
Miiile-Célestin Rouziès, ex-soldat
par Ha compagnie de l'Aveyron.
proposé
* wu *
proposé par la compagnie de la Gironde"
Adrien-Albert Boucq, ex-maréchal d*s loals
r
ar la compagnie de la Gharentc-ia
L5Ç
ie
ne?,!î
ure.P
Jean-Klébor Hérif, canoral, 17» rêeiffiejit de
tirailleurs sénégalais. 13« compagnie détaché
à la prevote de la > division de l'année du
Levant, secteur postal C10
Flonentin-Andre-Eugène Cornuault, ex-soldat, propose par la compagnie de la Charente-fnferieure.
Pierre-Joslph-Lucien I.auzin, ex-soldat proposé par la compagnie des Basses-PyiV-nées
Justin-Oélestin-Marttal Le Collais, ex-scidat
proposé par la compagnie des Hautes-Pyrénées (élève).
CHEMINS
DE
FER DU MIDI
EXCURSIONS A BAGNERES-DE-LUCHOM. ET
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Les 7, 14, 15, Sl et 23 août 1931
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Retour : Luchon, départ, 22 h. 45 ToulouseMatabiau, arrivée. 0 b. 59. (Les 8' 15, li 22
et 29 août).
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27 francs ; 3" classe. 17 francs. (Non compris
le timbre quittance de 0 fr. 25 par billet.)
Le nombre des billets est limité.
Pour plus amples renseignements, consul
A nos Correspondants
tfous prions instamment nos redacteurs-co*
respondants :
f D'envoyer sans retard toutes les l»/«"
mations ;
r De condenser leurs courriers ;
, ...
S De résumer les crmmunicatîens '< w
'i.-s officiels ;
i° De ne pas envoyer rte longs article %
peut dire beaucoup en auelauet lignes t
On eût dit que les braves gens fêtaient 1
retour de l'enfant prodigue !
tl
Mais Throncrof ne s'abandonnait P j5 ', '
avait négligemment changé son verre
celui de Mme Blaisois au commencen iei
du repas et pris un soin assidu à ne se se '
vir qu'après elle de manger et de boireAu café, il déclara n'en'pas prendre, 1^
régime, pas plus que de cognac ni a e
odeurs.
,g
Le docteur craignait que dans sa
ou dans son petit verre ne s'égara _ ^
quelques gouttes de son élixir d'hériM**
de quelque produit analogue.
,;n*
La femme de chambre ayant e /tau
coucher les enfants, les Blaisois et le
vité passèrent au petit salon.
— Un cigare ? offrit Camille.
a„
— Merci, répondit Thorncrof, |
jreien-Et sortant 1e sa poche un étui de f» ^ s
il v prit un cigare absolument senm < nÇ>
ceux de Blaisois, qu'il alluma et ton»
à fum*r tranquillement.
,„ c» 9"
il
Un grand feu de bois brûlait dan?
minée.
>n <, d'",
Camille s'enfonça dans les coussi
^
moelleux divan, et les pieds c0 \lU %^ti'Z
se se livra aux douceurs de la .
en' regardant mnuVr les spirales < -4.
qu'il soufflait doucement vers le P 1»
ffrjw"
MARDI 9 AOUT 1921
DANS LA REGION
— lv>s jeune* «'«as et Dor.'.n:».
l'f TE I .QO.VLK
<Jil quartier Maultec désirent Talro partie *n
a fcto Kvaie sont pries te s» '«a"»! a ! u réunion
Jrtoera» qui aur-t lieu '•• mercredi 10 courant. 4
mut
beium. salle
Dubois
mmm m
Du 8 août
Boulevard Strasbourg.
t avec
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rt en-
SEMAINE DE SOLDES
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Ï^Ln.re a mut'. 1
ininiun
Dam mus les cafés DEMANDEE
Une . SUZON »
Reconnue licite 122 ianvler 1920)
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BONNET, 37 rue de Languedoc,
î*!
lever. 4 " ;>'
;o
le
19 11
«
tendance
La Médaille
de
la
Famille française
A*
, ,.<A
la Famille française u été
ta médaille de '<• de famille dont les noms
jéoernée aux i» c
juivents =
.
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à
na .U pne.
Mm6s
Médaille d0 a ff
lf .'11 its ; Cazabon a Gas*agne.
tJiïfifW*. £
Toulouse. 8 enfants . Es«enfants ; Denai, ^
e[lfiints ; Gourdeau. &
'aire, à T«**« * GraW er. à Toulouse.
f
t 'à Viliefranche-de-ljauraManière. a Lafourguette.
Marsal. a Saint-Félix.
THÉÂTRE DES VARIÉTÉS
joffre et Cassive
J£L I
10
Mîmes Allané. à Cas^^^ntt^A^ioi; à Saint-Félix. 6 en*»S? e S à Saint-Félix. 7 enfants ; Bacfants : BaMb"e.
? enmnts . Ballongue.
»UF 'tnirn 7 enfaii'ts
Baurens. à Toulouse,
:,
C
f , ;.mts -'Berthouimeu. à Saint-Félix 6 en!
6 *?
vudot à Toulouse. 5 enfants , Blanc,
te ^tsint FelS: 6 enfants ; Bounhoure. à Saintô. Sai
enfants
; Canal, à Cassagno. 5 enenla
- enfants , Capellc.
^^%^Tc^ * Toulouse.
n «niants • CheîdQlden-Zatrarriga. à 1 oulçuse.
Iwiflnu ; Constantin, à PelAonmôre, 6 en6
Daude à Montlaur. 6 enfants : Desfànts
,p;ez. \ Toulouse f enfants ; Donat. à Tou'
6
enfants ; Fabre, à Toulouse. 5 enlouse.
tants ' Faure. à Saint-Félix. 5 .enfants . Fronenfants ; Guionie. à Touton,
imioe Y enfants : C.uiraud. à Toulouse, 6 en},„... * • Kersale à' Yrlkdranehe-de-Uaiira#ais.
R eniants; Laffite, à Toulouse. 5 enfants; Mac
liave. • Vouïouse 'i enfants ; Mestrc. à Tonint-Félix, 6 cnH IKA 5 enfants ; Natoly. a
fonts'- Pertes à Toulouse. 7 enfants . Pradei.
* Montlaur '7 enfants , Rey. à Saint-Félix.
7 «-niants
Redon, à Toulouse. 5 enfants .
cX lch "à Cassag'ties, 5 enfants ; Syrmen. à
2y n i., u îe 5 enfants ; Tlierou. à Toulouse
fi priants ; Viaillard. a Toulouse. 6 enfants :
iVfinoUBs à Toulouse. 6 enfants.
Les Œuvres d'Assistance
Le- sulfyventicffis suivantes ont été accordées
iux œuvres ci-après :
Sociétés de secours mutuels
des employés
ie voimiitèct et d'a'duiinîstra.tion. à Toulouse.
80 fr
éet membres de renseignement prfnj&lré.' laïque et public-, de la Haute-Garonne.
200 fr : Association des mutilés et réformés de
Toulouse et de la Hauto-C.aronne. 2 000 fr.
prêche du Bureau de biienf aisance, 1.200 fr.;
Œuvre de ta charité maternelle de Toulouse.
1.000 fr . Protection toulousaine de l'enfance,
à Toulouse, 4 080 fr.; Goutte de lait toulousaine a Toulouse (avec consultation de .nourrissons) 3.500 fr.: Ligue contre la mortalité
infantile (section de la Haute-Garonne), à
Toulouse 2 000 francs
Chemins de
Fer du
LIGNE DE CAR30NNE AU
Nous no nous trompions pas en disant li'cr Tito
la représentatto i doniîc par la tournoe Ba'-et avec
jollro et CassUo serait «n vrai rê«al Où nous
i ous irimpioas, par exemple, c asi quand nous di- .
sions àufl les raulous.ibH
viendraient en Joule 1
ai nlaudir ces excédents artistes. Alors que, au
Hasard AIT la toi d a no ntiiciu) convoie on se pr< cinite aux vàrtotes p.uir •entendre une pièce tfueiconque jou<5e par dès acteurs
qicleonques,
giaiid pu'Mtc, d faut le i-econnattie, a boudé du
tûétai pour ee ipreitfffef soir, a un spectailo
connu et à des artistes de premier plan
Ceux qui sont venus et qui ont bravé la cha
leur n'ont pas été déçus, en tait cas. et nu-Ju«
Us n'ont pas tr^p souffert de la temréirature, car
la salLo des Variétés est encore fraîche On y
a répandu seulement uno espèce de déstnftctaru
tui est extrén.entent Lizirre Enfin, fl y a peut
tire les gens cm aimoit cette Dde av.
Passons à un sujet plus seront* M Joffre a
to
admtrabîe :1a ns
Uoub %u'.\Xlie II
loue ce
rote célèbre ave* une varioté, ur.c vetritô. un naturel si partaMs -lue la pièce Ole ".ans <ré l'on s'en
aiierçoive On n'y epr>uve pas une 9e<'onde d'en
nui Tout est k-l nien m's ec l'iace. sl eract, si
anemout détaillé I On ne peut pas mieux — et
avec une plus parfaue conscience :ntêrpnHer ce
rflo célèbre
Après une assez fort entr acte, d a reparu dans
I* rd'e de Lucien je héros d une très amusante
farce de Georges Fey tenu : Feu la mère de Mldame, qui appartient a cette L'«ra# fie liéces do
ménage en un acte illustrées par On purge B*t*.
Là. M Jofïre. a j même art pr«Vis et n-ir mieux
ajoute la plus désrtpi tante fantaisie. Mme Cas-ùvj.
Iieaucoup plus a L'aise dans cette bouffonnerie, rj.ia
dans la pièce proton i? et amère ue Cous-tel ine. lui
aon.no nno répliqua cndiabl-.t'e
speclicle s'est donc terminé suir les o'.iîc tieares et demie par un tou-rire jfonéral. On r.e pou
tait rien désir» io mieux
(ette
roprisentatioa originale et qui n'a viou
de banal sera encore donnée co soir et demain, ras
'fouloiis-iims vrais amateur, de théâtre, fèreni bien
de profiter de la rare occasion qui '>ui* c*t offerte,
<ar les deux princ-paux protagonistes sont parfaitement entourés, spèctaieiw n;
par Arme Emma
Fiche]
une boucio très nature ; Mit Adcelia et
r-mil IjCiiclie.
Sud-Ouest
MAS-D'AZIL
A titre d'essai, à •partir du 10 août courant
tous les trains de la ligne de Gat'bonne au
Mas-d'Azil s'arrêteront au pont de Castagnes
entre Sabarat et le Mas-d'Azil
Contre le Chômage
Les chômeuses possédant une machine à
coudre peuvent se présenter aux Ateliers Généraux contre le Chômage, nouvelle carton
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Les Vols
Le commissaire de police du 3' arrondissement procède à une empiète relative au vol
duo? bicyclette, commis au pn&tudice de M
Urbain. Castex, laitier à Saint-Simon
Les Gens violents
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I-.tieune Duc. chef compt , r. sa. nt Etienne, 21, el
U4m Moliird rue do la I'IMU , 10.
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et Jeanne M'tr, rue satot Minitel. PS.
Marias Ba/r-té, chaut., toirp du MJdi i Croiv:>ura le et Calneruie l'ôdussiut, i Croix-Dauraue
Paul Hfthranl, marée!) ter r. T.iurneOoutllc. 48.
Anna Vayssiére. av. de Bayonne, 2S
nuy Vlvet, înspect de police k Remis, et AU
i«H« Gâtés, institut. .1 Bâchas
HAUTE-SARQN N
LUCHON.
Bataille de fleurs.
favorisée
par un temps splemlide. la bataille fut ext êmement brillante. Trente voitures y prirent
Part. Le combat fut, acharné, l'animation extraordinaire et la bataille fleurie lie
esca
que lorsque éclata la bombé annonçant la fin
des hostilités galantes.
,
L'orchestre du Casino, la Fanfaie Luchonnaise et la Lyre de Castelsarrasin, 45 exécuLE COMPTE RENDU DE LA SÉANC r
tants, contribuèrent à son succès ainsi que
M. Cazal-Garr.elsy, secrétaire général du coParis, 9 &oC
mité des fêtes, dont le dévouement inlas
En ouvrant la session du Conseil suprême,
sable est à s i un aie r.
M. Briand, qui présidait, a souhaité la bienLe jury, composé de MM. Paul Laf.-nt, sous- venue aux membres de la Coniéience. 11 a
secrétaire d'F.tat aux P. T. T., Second, préfet fait appel a l'union de tous pour résoudre
de la Hame-Garonne marquis de MéranviU» les problèmes graves et difficiles posés devant
de Sainte-Claire, d ctèur Gerjjaès, maire, Heu
la Conférence.'
ri Àurlol, député, Taussac, sous-préfet de St.
1 Si l'esprit d'accord et de solidarité qui a
Gaudens, P. Bo»«pniaison, Henri de Oors-ic-, marqué les réunions précédentes règne enCaz il-Gamelsv et docteur Molinéry, a décerné core, a-t-il ajouté, la tàcue pourra être meles prix suivants •
née à bien. C'est dans un esprit de collabora
Grand prix d'honneur, Mme Btcheherria lion que la France aborde les travaux de cette
(auto glaïeuls', ; arand prix, d'originalit
M,Conlerence, »
de Malafosse (bateau fleuri) ; Mine Benot,
M. Lloyd George a remercié M. Briand. Il
(montagnarde) ; FJaihliseement thermal (-mois- a observe que le problème de la Haute-Silésie
sonneurs) ; 1er srrand prix, Mlle Sam P.ttk est peut-être le plus difficile de ceux qu'ait eu
(auto hortensias) ; Mme Paz (panier géra- à aborder le Conseil suprême.
niums et glaïeuls) : 2» grand prix, Mlle L' ys,
M. Lloyd George est cependant persuadé
Mlle Péguret, Mme Ricard, comtesse Orlows- eue si les membres du Conseil abordent ce
Ua, Mlle Marre, Mlle Bifault, Mme Audibert, problème avec ie ferme propos d'arriver à un
Mlle
Chassecou Mlle
Flammarion,
Mlle accord, la solution est possible.
MT Lloyd George a déclare qu'il convenait
Kahn.
Les décisions du iury ont été diversement d>ritendire d'abord les explications des exaccueillies par le piiblic nombreux qui assis- perts. Ensuite, comme il a été convenu, le
tait à la distribution des récompenses.
Conseil abordera la irueslion des; renforts en
SALI ES.DU-SALAT. - La foire. - La foire liaute-Silésie.
M. Bonomi, prenant alors la parole, a mard'août de Salies-du-Salat, tombant cette année le 15, jour de l'Assomption, est reportée qué l'importance dos décisions à prendre et
leur influence sur ta paix du monde.'
au lendemain 16 août.
M. Briand a salué ensuite, au nom de ses
Distinction honorifique. — Nous apprenons collègues, le peprésentant de la nation amérique M. Nougué, maire démissionnaire de Sa- caine.
lies, vient d'être l'objet de deux distinctions.
M. Harvey a remercié M. Briand et l'a as1° Par décret du président de la République suré qu'il transmettrait au président Harding
paru au « Journal officiel ». M. Nougué a été les cordiales paroles qu'il venait de pronommé officier de l'instruction publique pour noncer.
services rendus à la cause de l'enseignement
Enfin, le vicomte Hayashi a donné
son
(professionnel ;
adhésion à la procédure proposée et a expri2» Par ordonnance de S. A. le prmee de mé sa ferme conviction, qu'une solution seMonaco M. Nougué a reçu la croix de che- rait trouvée par la Conférence.
Le Conseil suprême a abordé ensuite l'exavalier de l'ordre de Saint-Jacques, en raison du îôle très important qu'il a Joiié an men du problème de Haute-Silésie.
M.
Briand a suggéré que le président de
moment du congrès de l'hôtellerie française.
la commission des experts alliés fasse conNos félicitations.
naître au Conseil les principes
directeurs
OARAMAN. - Triste affaire. — Une très sur lesquels les experts juridiques s'étaient
grave affaire de mœurs a nécessité une vaste mis d'accord pour l'application des clauses
enquête qui a rayonné jusque dans les villadu traité de Versailles.
ges voisins.
M. Lloyd George ayant accepté, M. Froma.
On a arrêté, pour prathmos a»"
geot a présenté alors les conclusions sur lesîme dizaine de filles on femmes dont nous quelles l'accord s'était établi précédemment
taisons ici le nom par égard pour les familentre exnerts.
Sir Ceci! Hurtou, au nom des expe.ts b titanCes malheureuses, arrêtées samedi soir,
niques, a exposé -que les enclaves doivent être
ont été transférées à la maison d'arrêt de
évitées comme impraticables et injustes pour
Villefranehe.
les deux parties ; les communes économiqueQue ceci serve de leçon à celles que les
ment inséparables ne peuvent pas être se.
sentiments
d'honneur ou de
religion ne
parées et le centre de la région industrielle
suffisent pas à tenir dans la droite voie.
La crainte de la police est parfois le com- doit donc être concédé à l'Allemagne.
M. Laroche a exposé ensuite la thèse franmencement de la sagesse.
çaise ; celle-ci tend à atttibuer aux deux
parties les communes d'après le résultat du
vote quand celui-ci est indiscutable. S'il don
ne lieu à des enclaves, il faut tenir compte
pour les éviter des conditions geographiq es
La Médaille de la famille française
et économiques et régler l'attribution de laLes médailles d'argent et de bronze de la commune intéressée suivant les liens qu'elle
Famille Française ont été décernées aux mè- présente avec les territoires avoisinants. C'est
pourquoi l'ensemble du bassin boitiller doit
res de familles dont les noms suivent :
revenir à la Pologne, d'après l'opinion franMédaille d'argent, — Mines Astrié, à l'Hospitalet ; 8 enfants ; Bompart, à Ignaux ; çaise.
-M. Laroche fit la critique du projet an8 enfants ; Paulin Bousquet, à Mazères, 8
enfants ; Jean Loubet, à Sentenac-d'Oust, 8 glais; il lui reprocha en particulier d'attribuer les 9'11 des votants polonais à l'Allemaenflants ; Léon-Martial Maury, à Vira, 8
enfants ; Marcelin Nicol, à Mazères, 9 en- gne et 2M1 seulement ces votants polonais à
fants • Louis Paret à Ventenac, 8 enfants; la Pologne II réfuta ensuite la thèse britanFrançois Pujol, à Mazères, 9 enfants ; Jean- nique du triangle industriel indivisible en
Sapet Pujol, à Sentenac-d'Oust, 9 enfants ; montrant par exemple que l'une de ses prinJean Raynaud, à En-graviès, 9 enfants • Paul cipales villes, Kattowitz, était, au dire des AlSabatie, à Ségura, 8 enfants ; Marcel Séguô- lemands eux-mêmes, la capitale du district de
las, à Mazères, 9 enfants ; Jérôme Sicre, à Pless, attribué unanimement à la Pologne.
Enfin M, Torre Franca présenta quelques
Mérens, 9 enfants.
Médaille de bronze. — Mmes Audouy,, à remarques au nom de la délégation italienne.
Entre les deux projets contradictoires en
Ségura. 7 enfants ; aBrat, à Sentenac-d'Oust,
6 enfants ; Bardou, à Manses, 5 enfants ; présence : le français, qui attribue 80 % de
Bérennes. à Sainte-Croix, 6 enfants ; Ber- ses votants à la Pologne contre 52 % à l'Alletrand, à Foix, 7 enfants ; Blazp, à Foix, 6 magne ; l'anglais, qui donne à l'AUemiag-ne
enfants ; Bouin, à Mérigon, 6 enfants ; Cam- 88 % de ses votants contre 30 % seulement à
bus, à Rimont, 6 enfants ; Cau, à Sentenac- la Pologne, il semble, en effet, qu'il doive y
d'Oust. 5 enfante ; Déjean, à Pamiers,' 7 avoir place pour une solution transaction
enfants ; Delpecih, à Varilhes, 5 enfants ; relie juste et raisonnable.
11 n'est pas douteux qu'avec l'esprit de col
Eyohenne, à Mas-d'Azil, 7 enfants ; Fouet,, à
Lavelanet, 7 - enfants ; veuve Founeau, à lahoration confiante qui a iprésidc à cette pre
Sentenac-d'Oust. 5
enfants ; veuve Joseph, mière séance, on n'arrive à la paix de l'EuFouneau.
à
Sentenac-d'Oust. 5 enfants ; rope.
Fraisse, à Mérens, 5 enfants ; Cadrât, à
COMMUNIQUE OFFICIEL
Foix, 5 enfants ; Galy, à Gourbit, 6 enfants ;
Gouiric. à Saint-Amadou, 5 enfants ; GorLe procès-verbal suivant de la preinière
dien, à Sentenac-d'Oust, 7 enfants ; Laborde
4 Manses, 6 enfants ; Ladouce, à Ségura, 6 séance du Conseil suprême a été com.muni
enfants ; Montie, à Foix. 6 enfants ; Mou- que hier soir :
chard, à Mérens, 7 enfants ; Moure, à Ax-lesLe Conseil suprême s'est réuni, à 15 heures,
Thermas, 5 enfants ; Pauly, à Sainte-Croix,
6 enfants ; Jean-Baptiste Punol, à Sentenac- au ministère des affaires étrangères.
M Briand a souhaité la bienvenue aux dé
d'Oust, 5 enfants ; Jean-Boudil Pujol, à Sentenac-d'Oust, 5 enfants ; Joseph-Palès Pu- légués et s'est félicité en leur nom de la ren
trée
du représentant des Etats-Unis dans le
jol, à Sentenac-d'Oust, 5 enfants.
Conseil des Alliés.
La commission des experts a été invitée à
Grande journée d'Union Latine
faire connaître le résultat de ses travaux.
Le comité régional d'Union Latine de Toute président de cette commission a exposé
louse organise pour vènuredi 'iiî courant une les principes juriclimics sur lesquels les °-x
manifestation artistique dans la ville d'Ax-les- perts se sont mis unanimement d'accord
Sir Cecil Hurst a. expose en détail le point
Thermes, avec le concours de tous les artistes
et de l'orchestre du Casino.
de vue britannique. Après lui, M- Laroche
M. Beluel, adjoint au maire de Toulouse a développé la thèse française, el M. Torre
et maître de conférence à la Faculté des Let- Franca les remarques de la délégation ita
tres, en sa qualité de délégué à la propa- henné.
gande, fera une conférence sur l'Union LaLe Conseil suprême entendra demain matin
tine.
les hauti commissaires alliés à Oppeln sur
lus différences questions qui se rattachent à
li situation présente en Haute-Silésie et en
particulier la question de sécurité.
Incident Ânglo- Allemand
en Siléiie
Opoeln, 9 août'*
• Un détachenvmt britannique, qui venait de
faire une perquisition au château de llot.zu
tiowitch. cercle de Rcsemberg, oà avaient été
Saisis des fusils, des mitrailleuses et des caisses de grenades, a été attaque a coups de feu
par des [artisans allemands, qui obligèrent
(officier anglais commandant le détachement
à rendre les armes saisies, ainsi que des prisonniers arrêtés au château, les deux frères
de Patmwiiz, l'tasi*ëete«r du domaine et quatre autres individus.
r-irr"|-rç|fr
BOMBARDEMENT
TRÉBIZÛNDE
Londres, 9 août.
L'Agence Renier apprend de source anglaise
que des navires de guerre grecs ont bombardé
Trébizonde,
Samsoun et d'autres ports,
à
cause des attaques dont la population étrangère de l'Asie-Minetire a été victime de la
part des Turcs.
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11
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IMITÉS ET GROUPES
LIRE
dans la REVUE DE FRANCE
1, Avenue de l'Observatoire, PARIS
«rt. ï, "larq.Ms .
, ' ff» S
L'ÂSSÂSSiMâT
DE MONSIEUR FUALDÈS
a^-uiem-e „ honneur de
^r^^rW'-' 1 UH
;
ou v r'or s.
en,
Lt plus passionnant
des Romans jud.icia.ires
.wtWBser a \r
'ai.
.,,
"•'"nue.
tîrarnaliAw
If
par Armand PRAVIEL
TAREES. - Un jeune savant catholique. —
Nous lisons dans le rapport général pr. sente
par M Paul Taillez, à l'Assemblée générale
de 1921 de 1' « Association de la pres.-e monarchique et catholique ». les lignes suivantes :
« Après les distinctions militaires, les distancions civiles. Notre
confrère Alain de
B-oùard, l'un des fils d'un autre de ûos plus
anciens confrères, le cher et vénéré baron
Sébastien de Botiard, a été, le 29 jamier dernier, proclamé docteur ès lettres, en séance
solennelle de la Sorbonne, 4 la suite d'une
brillante soutenance de sa thèse majeure sur
« Le gouvernement temporel des Papes au
moyen âge ». Déjà lauréat de l'Ecole des
Chartes,, diplômé des Hautes-Etudes, ancien
membre de l'Ecole française ue Rome professeur à l'Institut catholique de Paris, archiviste titulaire aux Archives nationales, M.
Alain de Boùard, a l'issue d'une s-aiiee de
six heures, au cours de laquelle il a exposé
et développé sa thèse, puis l 'a défendue contre les objections des six docteurs qui l'examinaient, a reçu la mention « très îionorablc », la plus haute qui se décerne en pareille,
occurrence. C'est dire la fieité avec laquelle
nous saluons ce diplôme de docteur ès lettres, qui jette un nouvel éclat sur une famille
réputée déjà pour ses titres littéraires, et jui
prouve, chez les amis des meilleures traditions françaises, un souci particulièrement
fervent du progrès des études libérales et de
la culture désintéressée ..
A notre tour, nous adressons au baron Sébastien de BÔtlartl qui fui pendant plusieurs
années notre confrère dans les Hautes-Pyrénées, nos sincères félicitations.
S'il a donné à la France des savants, il lut
a donné aussi îles héros, et nous «allions pieu,
sèment la feelle figure de son nis blen-admé,
Sébastien de Roiiard. chevalier de 1a Légion
d'honneur, tombé pour son pays.
A notre époque de lâcheté et fTégoîsme, ce
chef d'une famtll! patriarcale, tviw- fteconipli
du •:iMiii!h »mmr chrétieri, oui ne cè*M durant toute sa rte de e. iMïbatfèe pour son
Ideti et pour ln vérité, mcrit,< d'être pïop-osé
a tmiçs comme un admirable exemple
Qu'il veuille bien ét-e assur,» de notre iet pectucux attachement.
J. A.
Les Attentats Terroristes en Espagne
Las tossioas dam les Trains
Paris, 9 août
Méeislas Charrier a été confronté hier aprèsmidi avec plusieurs voyageurs qui furent dévalisés par les bandits, il résulte des témoignages de ces derniers que Charrier n'a joué
qu'un rôle passif : il n'aurait attaqué ni dévalisé aucune des victimes de l'attentat Resté
dans le couloir du wagon, il aurait fait le
guet, tandis que Bertrand et Thomas opéraient dans las compartiments.
Charrier a dit qu'à Mdcon, où ses deux camarades vinrent le rejoindre, car ils avaient
jusque là voyagé séparément, il eût bien
voulu s'échapper, mais il était trop tard
II a déclaré ensuite orne Thomas eut un
moment la pensée de s'attaquer A l'express
Paris-Calais et que rendez-vous avait été pris
à ce sujet.
Le Nouveau GouYerneur de Féerie
Paris, 9 août.
Bien qu'il n'ait pas encore arrêté définitivement la composition de son cabinet, M. Steeg
a chargé M. 'iignoux, ancien directeur du
cabinet de M. Ranx, préfet de police, de rein
pliT les mêmes fonctions au cabinet civil du
gouverneur général.
Il conserve son secrétaire. M. Bubioka, qui
remplira les fonctions de. chef du sociétariat
particulier.
•>
Les Taxes Postales
Paris, 9 août.
L'Administration des po-tes rappolle que les
taxes postales applicables en Fiance depuis
le l op avril 1921 aux correspondances à destination de l'étranger sont fixées comme suit
Lettres, de 0 à 20 grammes. 0 fr. 50; ai'-des
sus de 20 gr., par 20 gr. ou fractions de 20 gr
en sus des êfi premiers. 0 fr 25.
Cartes postales : 0 fr. 30 ; papiers d'affaires
imprimés, échantillons unr 50 ,gr. ou fraction
de 50 gr., 0 fr 10 avec minimum de 0 fr. 20
pour les èTrhîfrîtillons et die 0 fr 50 pour les
papiers d'affaires.
Pour les autres taxes, se renseigner dans le»
bureaux de pUSte.
Le Naufrage de Va Alaska»
LE NAUFRAGE DE L' « ALASKA »
9 août
Uorsdtte te vapettr Alaska e #46 sur iè point
! de sombrer, un passager, «éteetiiant sa cela
j turc de sau • étage, l'offrit au eapirtine en
i disant » saijvc/ votre vie ». Mais celui-ci dé
tourna la tête, déclarant qu'il préférait mou
iir ciKlooli trvec le vaflrSTÎui dont il avait la
: charge.
'.
Une explosion de chaudière a liftW la pert»
^du navire.
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
Vous ne pousserez plus cette plainte,
si seulement vous prenez de simples
bains rie piecîs saltraiés
-*
Dublin, 9 août.
En présence du danger d'une «rupture des
négociations de paix avec l'Irlande, le gouvernement britannique est revenu sur sia première décision et a remis on liberté, M. Mac
Keown. le seul des membres du Parlement
occulte d'Irlande oui fût encore prisonnier
et que le gouvernement avait jusqu'ici refusé
de mettre en liberté parce que les tribunaux
militaires l'at aient condamné sous l'inculpation de meurtre.
(Californie)
MAIS OH S
MES PAUVRES PIEDS...
Si vous avez des cors ou durillons douloureux, la niante des pieds qui vous brûle
comme du feu, ou si la fatigue et la pression
de la chaussure vous causent d'autres maux
de pieds, vous pouvez facilement soulager
et vous débarrasser de ces souffrances en
trempant les pieds dans une cuvette d'eau
chaude à laquelle vous aurez ajot ïé une poignée de-saltrates d'usage courant. Un bain
ainsi préparé, rendu ixèdicinal et ltgèrement
oxygéné, fait promptement disparaître toute
enflure et meurtrissure,
toute
sensation
de douCONDAMNATION D'ANARCHISTES
leur et de brûlure. Le fait «,u'un
Barcelone, 9 août.
tel bain est légèLa cour d'assises a condamné hier à huit
rement
oxygéné
ans de prison chacun des terroristes : Acher,
ivnd des plus
surnommé le poète, et Crepos, pour fabricaefficaces
pour
tion de bombes.
combattre
la
A la suite des déclarations de terroristes i
mauvaise
odeur
rrrêtés, ta police a trouvé dans une maison ;
et
autres
effets
de campagne près de Tarragone une bombe |
désagréables d'une transpiration excessive,
que l'on avait préparée pour faire éclater sur
la voie ferrée au passage de l'express de Ma- j et pour guérir l'Irritation oui résulte soudrid pendant le voyage que devaient faire, i vent de réchauffement des pieds
soit le ministre de la guerre, soit celui des !
L'action amollissante de l'eau chaude saltravaux publics.
j tratée sur les callosités de la peau fait que
{ des cors, durillons et oignons sont re.wlus
tellement mous,
ue vous pouvez facilement
Tf -SÎBg i les enlever sans douleur et sans miindïe de
à v-ata» votij blesser ; de plus, des banc
ïn.si prévi
ellt tOut0 IorDlî,u
de nouAPRÈS L'ATTENTAT DU RAPIDE
i^»
™. ^
MAC KEOWN REMIS EN LIBERTÉ
Eurêka
J 'AIME BIEN LÂ MARCHE
Londres, 9 août.
Suivant l'Agence Router, ie gouvernement
britannique observe, depuis la réunion du
Conseil suprême de mars dernier, la neutralité la plus rigoureuse dans le conflit grécoturc.
Tous les bruits contraires, dit-elle, sont
sans fondement, te désir de la Grande-Bretagne est d'obtenir le règlement pacifique des
affaires du proche Orient, toutefois l'attitude
intransigeante du .erouvernemem d'Angora est
un très grand clostacle aux perspectives ds
paix. »
Pour la Paix Irlandaise
-
DE
NEUTRALITÉ DE L'ANGLETERRE
N'AIS'S^CES WiS G IT 7 »0[ r 1951
c-c/u-jtes Pu.ios. rue M.ilaiiiai. :8
Çhristisne Oasau, avenuo do Lyon, il,
Jean Oaceltos. me Danton, i
KeuéO C'onstans. rue Na/.areih, n.
Maurite Moutamat. tjuart. Lanusse Cr -Daurade)-
(p|
ta Guerre ÊFto-toqtie
AillEGE
ALBI. -- Les relations Alhi.Montaul»an. —
11 serait facile d'assurer d'une façon normale les relations entre Montauban et Albi.
Par exemple les voyageurs quittant Montauban à 7 h. 45 et arrivant à Saint-Sulpice
à 8 h. 55 ont l'ennui de constater que le tram
de Toulouse-Alibi vient de quitter Saint-Sulpice à 8 h. 41, c'est-a-dire 14 minutes avant
Si l'on remarque que le seul train utilisable pour les voyageurs pour aller à Albi
ne part qu'à 13 h. 21, on peut déplorer l'étrange réglementation du service des correspondances.
Il suffirait d'une modification bien minime
dans les horaires pour changer oette situation.
i
PETITES NOUVELLES
Les Saltrates remettent et entrelievment
les pieds en partait état, di sorte que vos
chaussures les plus étroites vous sembleront
aussi confortables que les plus usagées.
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à un prix modique dans toutes les bonnet
pharmacies
Méfiez-vous des contrefaçons.
AVIS BË U
Mademoiselle Anna ROQUES : Madame
veuve Iules LARR1EU, née ROQUES , Madame CALESTROUPAT, née LAIUUEU ; Monsieur René CALES'I ROUPAT ; les familles
LARRIEU, CALESTRO U PAT . COSTES, LACOSTE et MASSIP, ont la douleur de faire
part à leurs amis et connaissances de la
perte cruelle qu'ils viennent d'éprouver en la
personne de
Du 9 août.
— L'aviso Cassiopée a appareillé à Lorient
pour le Guatemala, où il représentera la
France aux graiides fêtes qui auront lieu en
septembre prochain.
Mademoiselle Louise ROQUES
— Dimanche 14 août, aura lieu, en présence
leur
sœiir.
tante, cousine, parente et alliée,
du Pape, la lecture du décret sur les vertus
de Sœur Thérèse de l'Enfant-Jésus, religieuse •pieusement dtéeédée lo 7 août 1981, à l'âge de
64 <ans„ et les prient d'assisté» à ses obsèques
professe des Carmélites de Lisieux.
— Le Lolcal Anzeiger publie un récit ten- qui auront lieu demain mercredi 10 août 1921.
dancieux de l'incident Langevin. L'auteur de à lo heures du matin, sur la paroisse de la
ce récit, un certain major Schweiss, déclare Dalbade
On se réunira A la maison mortuaire, place
être le voyageur qui arracha la cigarette des
du Salin, n" 19.
mains du capitaine français
Il ne sera jias fait d'autre invitation.
— La Chine a fait savoir au département
d'Etat à Washington qu'elle approuvait la
IPomp fua. Mualcli . 84, r. Farsammienn. T. tim
1
oate du 11 novembre pour l'ouverture de la
Conférence du désarmement à Washington.
— Les arrivages de bestiaux ont été si
nombreux hier au rnar&hb de la Viflette qu'on
10
n'en n'avait vu de semblables depuis de nombreuses années. En effet, 9.000 boeufs sont arrivés par les différentes gares qui desservent
le miarohé.
Monsieur Jean BAYLAC ; Mademoiselle
— Le commissaire spécial de la gare du
Jeanne BAYLAC, négociant en volailles , les
Nord a appréhendé en -gare de la Chapelle
familles BAYLAC,
DAUBER T.
GiUBEKT
ci jdu Bourget huit individus inculpés de vols
MARESTAN. CASTAN, VEBDIEB et MOULIS,
de marchandises.
prient leurs amis et connaissances d'assister
— La 5» Coupe Jacques Schneider, course
à l;i messe de n eu vaine qui sera dite le merde vitesse pour avion, a été gagnée, à Venise,
par l'aviateur italien Bri gante, sur un appa- credi 10 août 1921, d 9 heures, A l'église SaintFrançois Xavier (Crqtx-de- Pierre) pour le rereil de marque italienne.
pos de l'ànie de
— Un député libéral indépendant, M. WinMadame Bernadette BAYLAC
tc.ringiiïa.m, est mort hier soir dans la salle
de .lecture de la Chambre des Communes.
Née DAUBERT
— Le prix du charbon ayant subi une forte
On se réunira à l'église.
baisse, des milliers de mineurs gallois se
trouvent acculés au chômage
Transport des Oovribrs Vendangeurs
La Compagnie des Chemins de fer du Midi
a l'honneur d'informer le public que, pendant la période du 15 août au 10 octobre
1921, elle appliquera les conditions Ci-après,
tour le transport des ouvriers vendangeurs
[hommes et femmes), se rendant aux travaux de récolte et voyageant exclusivement
cn 3' classe, par groupe de 5 au minimum
(ou payant pour co nombre), d'une gare quelconque à une gare quelnonque du réseau :
Prix. — Pour les parcours jusqu'à 151 kilomètres (trajet simple), prix des billets daller
et relour du tarif spécial G. V. h* 2, corn
portant une réduction de 20 % sur les prix
du Tarif général ;
Pour les parcours compris entre 152 et
44 kilomètres (trajets simples) • prix uniformes, aller et retour, de 21 fr. 55 (majoration
et impôt compris) ;
Pour tout parcours excédant 244 kilomètres 1 Réduction de 50 % sur les prix du
tarif général (billet simple).
Yalidilé. — Le voyage de retour ne /peut
.s'effectuer moins de dix jours et plus de
75 jours après le voyage d'aller.
Demandes de réductions. — Les demandes
de réductions doivent être établies soit par le
chef de l'exploitation viticole uni embauche
lfts ouvriers, soit par le chef de (Troupe do ces
ouvriers, si l'embauchage n'est pas encore
effectué. Dans ce dernier cas les demandes
doivent être appuyées d'une attestation du
maire relative au but du déplacement.
Les intéressés trouveront, dans toutes les
gares du réseau des formules de demandes
accomnagnées d'un feuillet explicatif détaillant, toutes les conditions auxquelles sont
subordonnées l'application des réductions cidessus.
Les demandes, une fols rcmiplies, doivent
parvenir à la gare cinq Jours au moins avant
la date du départ dee ouvriers.
PRIX
DES
ANNONCES
Annonces, dern. page, toutes éditions
3 »
Ré< 'lames, 3" page,
—
6 »»
Faits divers, 3' page,
—
—
6 >•
3 »
Chronique locale, édit. Toulouse seul.
Chronique locale des départenentsi (Albi,
Foix, Agen, Montauban, Auch, etc. ).
2 «
7 ..
Chronlquo locale toutes éditions
13 »
Deuxième page.
—
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Première pa«e,
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14 »
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lite net. 3 .S0: vif. 2.93 r sPUiliif. net. J.5>; v .I
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llOt 1.6» H 4. Il): Vif, 9 69 h 2 40.
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qualité. I.Ot. 9.99; vif, 4 32 2' qualité net. c 59; vif,
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215. avril 214; mal 213; Juin, S12; Jullet, 211
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117 25, ilécc'nlire. :,U „anvier. 119.75 février 109
mars. 109; avril
ia3: mal ,rl, juin isepu lut 1Jet if»
lAtnfi. - Taa -Lince calme, ventes nulles
ac-UC
429. septembre' 429.,
,
octtf .Te, ,10. novembre 40 >i
décembre. 390; Janvier. *0; évrie.- 379; mars. 3St>.
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MARDI
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— 1903
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Mexicain 5 %
— 3 %
Uakou
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liraXpan
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M Juillet au 15 septembre 1921, plusieurs circuits automobiles pour permettre, au départ
de Rocamadour et de Brive, la visite des sl
Intéressantes régions
du Haut-Quercy, ' du
Sarladala et du Bas Limousin.
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Oii I no
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(De Iteetrs orijln™..
— Préférence.. .
— Au départ do ROCAMADOUR (garo)
Circuit A. — Les GOUFFRES des CAUSSES
Départ : 9 h. 45. — Retour vers 18 h. 30. —
Les jeudi et dimanche. — Prix par place :
85 francs.
Rocamadour (gare),
Rocamadour (ville),
L&cave (déjeuner), Martel, Cirque de tVItmtvalent, Carennac, Saint-Céré. Montai, Padlrac, Alvignac. Rocamadour (gare).
Circuit B. — Les P ANORAMAS du SARLADAIS
Départ : 9 heures. — Retour vers 18 h. 30.
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Vitrae, Saime-Mondane, Souillac, Docamaâour (gare).
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— 1913
Suède
Suisse
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J. M. B. C. M. 18. — 1° L'indemnité temporaire des petits retraités de l'Etat (T20 fr.),
supprimée par la loi des majorations de pensions d'ancienneté (26 mars KM», n'est pas
rétablie. Le projet adopté à ce sujet par le
Parlement n'entrera en application que lorsqu'il aura fait l'objet d'une loi nouvelle dont
le « Journal Officiel » n'a pas encore enregistré la promulgation ; 2° line veuve de militaire qui reçoit une pension de 800 ïr., majorée de 300 tr. pour chacun de ses eniants,
est en possession de tout ce que lui accorde
la toi sur les pensions. Quant à 1 anvrage
de 6.000 francs dont il s'agit, je n'en connais
pas la provenance, et je ne puis émettre aucun avis. — Remis 2 francs au journal ; reIXl'GiTC i GJÏlG'Tlt'S
A. B., CafcVerets.
— Il appartient au souisintendant du chef-lieu de département dont
dépend le domicile de la veuve d'instruire
cette affaire. Une demande de pension et de
majoration pour les orphelins doit donc lui
être adressée, en l'accompagnant d'un certificat visé par le maire, du médecin traitant
pendant la maladie qui a occasionné le décès. Le dossier sera ensuite complété par les
pièces que désignera la sous -intendance. Au
cas de rejet de pension, il pourra être fait
une demande de secours, qui sera adressée
au ministère des pensions, 66 rue d« Bellechasse, à Paris — Remis 2 francs au Journal ; remerciements
J. M. 58. — 1° Le 211° R. I. est au nombre
des unités combattantes qui sont susceptibles
d 'ouvrir le droit à la médaille interalliée de
la Victoire ; 2 3 Les militaires rendus à la vie
civile qui sollicitent l'autorisation du port du
ruban de cette médaille adressent leur demande à leur dernier corps d 'aiflfectation ;
en ce qui vous concerne, au commandant de
la 17» section de C. O A., à Toulouse. — Remis 3 francs au journal ;remereieimients.
A. C. 20, Ciment. — Aux termes de l'article
50 de la loi du 31 mars 1919, l'Etat vous doit
la différence existant entre la pension d'invaliiiité, 1.560 francs, et la rente de 773 francs
dont vous jouissez en application de la loi
du 9 août 1698. sur les accidents. C'est donc
cotte dilfeirence, soit 787 francs (et non l'intégralité de la pension d'invalidité) qui vous
est due, à titre de mobilisé dans une usine
travaillant pour la défense nationale. — Remis 2 francs au journal ; remerciements.
Commandant ô. SOUVILLE.
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En vue de faciliter aùx voyageurs l'accès
du nouvel express
Bordeaux-Strasbourg »,
la Compagnie d'Orléans vient de se mettre
d'accord avec les Chemins de fer d'AlsaceLorraine et de
Guillaume-Luxembourg, en
vue du transport des voyageurs par billets
directs simples et d'aller et retour, ainsi que
des bagages et des chiens, entre un certain
nombre de gares de son réseau et de celui
d'Alsaee-Lorraine, en transit par ceux de PL.-M et de l'Est, vià Moulins-Petit-Croix, ou
Arouiins-ls-sur-TiLle.
Les gares de la Compagnie d'Orléans autorisées à délivrer des billets et enregistrer
les bagages dans ces conditions sont les suivantes :
Agen, Angers-Saint-Laud, Angoulême Bats,
Baule-Escoublac (la), Bordeaux-Bastide, Bor»
deaaix-Saint-Jean, Bourges,
Brive, Châteauroux, Cahors, Coutras, Croisic (Le), Libour»
ne, Limoges-Bénédictins, Lorient, Montauban
Moniluçon, Nantes, Pérîgueux, Poitiers, Por»
11ir.net, Pouliguen (Le), Quibcron, Quimper,
Redon, Ruffec, Saint-Nazaire, Saumur Tours,
Tulie, Vannes, Vierzon, Villeneuve-sur-Lot.
Ces nouvelles dispositions sont dès maintenant applicables.
ALET i M. Doutre (Pierre).
AMELIE-LES-BAINS : M. Estieu
ARRE AU-CAOÉAG : M. Ribot, tailleur
ARGELES-GAZOST : Gltre, journaux.
AX LES-THERMES ; M. Emile Bunuel.
AULUS-LES-BAINS : M. C. Rivièrfc
AUDINAC-LES-BAINS : M. Darron. épicier
BAC DE-BICORRE : M. Frêmat. libraire
M. Sajous, libraire ; M. E. Gaubert, libraire
Mme Pierrette Soucaze, à ra.mpan.
BARÊGES : Mlles F'rilet. sœurs.
BAYONNE : M. Tastet
BIARRITZ : M. Tuzague.
BANYULS ! Barbe Pierre, tabacs
CAOEAG-LES-BAINS : Mlle Sajous
CAPVERN : Mme Joséphine Carràre
Mlle
Dastugue, libraire.
CAUTERETS : M. Gallet ; M. Luche, II-
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Il est rappeié aux Touristes et Baigneurs ;
désireux de se rendre.. dans les stations thermales d 'Auvergne, que les relations entre Pa- !
ris et ces stations s'établissent commodément,
ainsi qu'il est indiqué ci-après :
Service de nuit. — A) Jusqai'au 19
septembre. — Départ de Paris-Quai d'Orsay à 22
heures ; arrivée à E vaux-] es-Bains, 7 h. 23,
à La Botirboule 7 h. H9, au Mont-Dore 7 h. 39,
à SalnbNectalrc (P 9 h. 30.
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public pour la location dec places dans les
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mœurs, la Compagnie d'Orléaus a juge utile
d'étendre ù un certain nombre de points de
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sont ainsi à la disposition des voyageurs
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Croisic Le Lioran, Le Mont-Dore, Le Pouliffiien ' Libournc,
Limoges-Bénédictins,
Lorient' Menlluçon, Nantes, Orléans, Périgueux,
Pornichet, Quiberon, Quimper. Saint-Nazaire,
Toulouse. Tours, Vannes. Vie-sur-Cè-rc, Vierzon.
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Pour tous autres i enseignements consulter
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noms conventionnels », il est --erçu un supplément de 1 franc.
Les réponses aux initiales ou aux noms de
convention adressées aux bureaux du journal,
doivent être retirées par les intéressés. Elles
sont transmises sur demande moyennant le
paiement de 1 franc nour frais.
L'Express du Midi se borne à publier les
textes qui lui sont confiés : il ne fournit aucun renseignement sur l'objet de ces annonces.
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1948, 66, 66 50
5 % amortissable 1920, 95,
95 50 • 6 % libéré, 97 ; Ob. Crédit national
5 % 1919, 454. 456 ; 1920, 4C4, 466.
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Obligations, 1671 3 %, 330 ; 1834-ls95, 2 è %,
212 ; 1005. 2 3/4 %, 322 ; 1917, 5 è, 495,
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Communales 18911, 252 50. — Foncières 1695,
286 75. — Communale 1939 libéré, 440. — Est,
actions , ex-coup. 127, 560. — Bons décennaux
6 % fusion ancienne, 268 50. — Midi, actions,
ex-coup. 132, 672. — Nord, actions de jouissance ex-coup 103, 511. — Orléans actions,
ex-coup. 138, 806. — Ouest, actions, ex-coup.
2 612.
Valeurs diverses
(actions). —
Mines de
Carmaux, ex-coup. 82, 692. — Mines d'Albi,
ex-coup. 26, 401. — Chemin de fer à voie
étroite du Tarn, ex-coup. 50, 95. — Pyrénéenne Ex. 10, 490. — A. Ferronnerie du
lidi ,ex-coup. 36, 1050 — Banque Courtois,
y-coup. 2, 1053, 1055.
Valeurs diverses (obligations). — Oib. Epargne 6 % 1916, ancienne, 425. — Ob. Marina
Niger 6 %, 452. — Cociété des
vins de
lanyuls 6 %, 4M). — Ob. de 1000 fr. chemins
de fer et hôtelsdemontagne 7 %, 1030.
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