ISÊaiiasD - Presse régionale
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ISÊaiiasD - Presse régionale
Bdfîton de Tonlonm -JXRDTF AOUT 1921^308 Année - N° 10.408 WIé i a pnone:8.« - Chèque Posta) 15 - - DXH£IOTION C. N* 4.99» « Culture " raisonnée de la jobarderie courir après les lézards, épouvanter les grenouilles et tftter discrètement des prunes ou des cerises du voisin 1 Bonne Madame de Ségur, combien vous devez plaindre nos gamins d'après-guerre 1 . Quant Qu comà Carpentier, il ne cesse de triomTa nt0t, <f^ ?eV vant Lénine, ils se pher, lui, ses bras, ses jambes, son ascens a les classes diri- dance, sa postérité, son départ pour l'Améme dans } .^^ertir e1 elV : e cordentent jre commettre »tenten °-de ^P ^ commettre 1 les pi- rique, son retour, et surtout ses Mémoires, j i r f alre géantes et de ie xr^ leg j ui f s e ^ ] es d ans lesquels le fameux boxeur a eu plus res folies. Le **** ^ ana i a Révolution facilement raison. de la syntaxe que des nI1 loges nîaï ° p près ignoré pendant près poings de Dempsey. Jean Rameau faisait U Française, a p^ l'abbé Barrueil, mé- . remarquer, il y a quelque temps, que siècIe d'un ' ^ lui même, a été mis enfin ;< Jeanne d'Are n'était pas un athlète, que T ine jonnu par éclatante par de vrais Napoléon n'était pas un colosse, que Pasdans une î armi i es der- cal n'était même pas un roseau pensant, à . Un y > , , _ / „ mry, ; mnio mi^l AT?rf* «>^(./>tlf M h « en date, Oscar Havard, et, tout recem- peine un jonc, mais qu'il était pensant ni ! rnstave Gautherot, professeur d'his. Nos adolescents n'en demandent pas tant me 'de Ta Révolution à l 'Institut Catholi- aux biceps de leurs divinités ! 5 La badauderie, d'un degré à peine plu3 le Paris (Aulard a trouvé à qui parf"1 Tuteur d'un beau livre, La Démocra- élevé, qui a pour objet le théâtre, les cabo] EivoliMonnaire (Beauchesne éditeur), tines, les cabotins, les marmelades au patJoe tout bon Frayais devrait lire, relire chouli de M. Bataille et de ses pareils, trouve à se satisfaire, elle aussi, dans la et' méditer. lecture de ces journaux. Le théâtre de nos „tôt les Juifs s'en, prennent aux masTa jours, Sainte-Beuve l'a déjà dit, est la litse griment, suivant les pays, en sociatérature des innombrables gens qui ne lilises en communistes, en bolchevistes. en sent point — des Parisiens, en particulier, ^islamistes, en jeunes Turcs, en puriTins de l 'Ulster, etc., et c'est la forme d'ac. car c'est à Paris qu'on lit le moins — et ion contre la civilisation chrétienne — qui n'en ont que plus de prétention à juger liés l'accaparement des valeurs mobilie- des ouvrages de l'esprit. Ces lignes de Barr f du monde - qu'ils semblent avoir bey d'Aurevilly n'ont pas cessé, au conadoptée aujourd'hui de préférence à toute traire ! d'être vraies : « Le théâtre est le tyran du jour. Est-ce que le plus idiot vaudeville, pour peu qu'il 0^ nul netïgnore maintenant, l 'arme favorite l'arme Bienjnoderne de la juiverie soit représenté, ne trouve pas toujours à internationale, c*t la presse, et surtout son service le compte-rendu qu'un livre >a presse dite d' « information ». Elle est fort, réduit à sa seule force, ne trouverait merveilleusement propre à corrompre et à jamais ? Lisez les journaux et jugez ! Les journaux, qui devraient être les éducateurs abêtir les peuples, à propager le mensonge et ce n'est pas sans raison que les Pro- du public et qui n'en sont que les courtitocols d'Israël lui font une place d'hon- sans, quand ils n'en sont pas les courtisanes, ont créé des espèces de chaires de neur dans leur arsenal. Pensez-donc ! verser chaque jour une littérature théâtrale... » goutte de poison dans les veines de millions Tous les journaux n'en sont pas là, heu de lecteurs crédules, confondre dans leur reusenient, mais on peut dire qu'aucun esprit la notion du bien et du mal, leur journal de Paris n'échappe au reproche de faire admirer de faux grands hommes, tout Barbey d'Aurevilly. Le théâtre et les choobscurcir pour eux, tout brouiller, en mo- ses du théâtre ont pris dans leurs colonnes rale, en politique, en art, en littérature, une importance exagérée, ridicule, et qui endormir leurs inquiétudes patriotiques, fait hausser les épaules à tous ceux qui ont détourner leur attention des grands pro- conservé quelque bon sens. "Mais II faut blèmes nationaux, les habituer à cette idée vraiment que les moindres niaiseries tou ou'H n'y a qu'une chose qui compte, l'ar- chant le théâtre passionnent ces gobe-mou gent avec son compagnon le plaisir, n'est- ches de Parisiens, pour que leurs journaux ce pas là laisser bien loin derrière soi les gâchent tant d'encre et de papier à leur marchands d'opium ou de cocaïne ? raconter le3 histoires malodorantes ou stu Le public actuel, d'ailleurs, ne demande pides dont de vieilles demi-dames, officiel les depuis Jules Grévy, sont les sottes héqu 'à se courber devant les nouvelles idoroïnes les, et l 'on pourrait s'étonner de cette serLa « critique littéraire » enfin, moyen de vilité, si l'on ne se rappelait que quarante années d'école laïque lui ont appris à haïr piper une autre eatégorie de jobards, étale le catéchisme. Aussi la badauderie de la sans vergogne sa mauvaise foi et son igno. Soûle est-elle une des meilleures cartes, et rance dans la plupart de ces journaux et sur laquelle peuvent jouer à coup sûr des revues qui leur ressemblent des financiers hébreux, des spéculateurs de Ne prononçons pas à ce propos les grands la guerre, des écumeurs de tout poil, deve- noms du siècle dernier, ni ceux do Jules nus les commanditaires ou les propriétai- I.emaître et de Paul Bourget, et réjouisres de la plupart de nos grands journaux. sons-nous simplement de trouver encore Entretenir le lecteur de fariboles, pour dans ce genre, quelques écrivains compé faire de l 'argent d 'abord, pour l'empêcher tents, consciencieux et qui font honnête de penser à autre chose ensuite, voilà le ment leur métier. Mais ils sont l'exception but de cette presse. Elle n'a plus rien de Tous les autres font de la politique — ou commun avec cette presse d'autrefois, qui du commerce. aimait les idées, — les idées valant ce Voilà pourquoi, avec toutes ces distrac qu'elles valaient — et qui se respectait en- tions renouvelées chaque jour, qui troucore. blent leur vision, qui faussent leur jugeLe grand point, aujourd'hui, c'est d'a- ment, qui les amusent çonime les étoffes brutir le lecteur, par des procédés variés aux couleurs criardes d'un bazar oriental, selon le rang social qu'il occupe • l'abus de tant de gens vivent sans le souci du len1 information malsaine, la glorification du demain. Voilà pourquoi tels hommes politabotmage, tes manœuvres malhonnêtes tiques et tels diplomates qui, sous un roi ï une prétendue critique littéraire. de France, eussent été. rejoindre sans délai Prenez au hasard quelques-uns de ces Fouquet ou le Masque de Fer, sont, pour journaux, parus ces temps-ci, et ouvrez-les. le compte du pouvoir occulte, les maîtres » agit-il a d' « information » ? Vous y verrez absolus de notre pays. nipcessivement : Que peut bien faire la Silésie aux élecUne table, garnie de petits objets ressem. teurs de « la plus belle femme d* Want à des gâteaux. Ce sont des « browFiance » ! Qu'importent l'Orient toujours nings )i. L'un de ces jouets a servi, une en feu, et ces hordes de Boches haineux jhnt, dans un grand express, à tuer un o<et de Slaves détraqués qui attendent leur '"er français... tout comme en Allemagne, heure, aux lecteurs du boxeur Carpen«agoût savoureux pour les lecteurs ! tier !.., Quand le juff se mêle d'empoison,J es ternîmes minaudant. Ça c'est la note ner ces chiens Se chrétiens, il fait bien les ante ?T . et certains journaux l 'ont donnée choses. nt des mois entier W» \ s. Affaire de haute Joseph AUBÊS. "Portance, qui était de désigner « la plus e fe . " mme de France ». Des milliers de cs Personnes peu timides ont posé dev ™ dert\ î)jectif ' en montrant toutes leurs A LA CHAHBRE 0 p,usieurs lecteur centaines de mille de nt trouvé assez ttam° de loisirs pour 6r cônr I" tlon euement l 'image de chaque LA TAXE nte SUR LE CHIFFRE D'AFFAIRES «ate J f ' discuter le mérite des candil env nal ' ? °yer leur vote motivé au jour. . , , Paris, 8 août. M. Anatole Manceau, député de Maine-etn e"+ rt d'une telle exhibition, de croire Lotre, vient de déposer sur le bureau de la Ksme'ait t <*ue le régionaune demande d'interpellation sur compte dans ce C011 Chambre B0B » de mZ\vT , - la façon arbitraire et vexatoire dont la taxe vince lit T T «Eve, ni qu'aucune ï> vosur le chiffre d'affaires est perçue et conl Cr ire 'entée' nnr î-^!„ ° définitivement repré trôlée. 0 668 jolies enfant s- Car Quelle WnnH eût P u fi " qui urer avec hS r t M tas, £LVL« RociLttelAlzxo, te? G'/n)ï)a?k? Catfjoliqde? LA MATINÉE Strasbourg'. 8 août. Dunancbe matin, c'est un joyeux réveil en fanfare. Les sociétés se rendent, enseignes depJoyées et clairons sonnant, »ur l'Esplanade pour la continuation du concours. C 'est un dôfUé superbe <le berefci Meus, blancs ou rouges, de maillots multicolores rehaussés avec goût par quelque ècharpe aux nuances bien fn'anioaises. Nous reconnaissons au pass<age quelquesune des vaillantes sections avec leurs bannières : l 'Avant-Garde du HHln et ses sections de Steàsbourg Mulhouse, Calmar, Hag>ueiieau • les Ptafes Fifres Montarisonais, l'Etoile de Voiron, Ta Jeanne-d'Arc de Grenoble, les Vaillants de Saint-Seurin de Bordeaux, les Montapins de Nevors, l'Alliance Toulousaine sous la diiectiui de M. l'abbé Sauj-el, vicaire de Saint-SernlQ de Toulouse; les Cadets de Bretagne, de Hennés, la JeuneGarde de Clichy, les sociétés de Lyon, Roanne, Beauvais, Annonay, etc. Crânement, derrière leur Immense étendard qu'un aigle au a^les déployées surmonte, défilent les Tchèques, puis l'Avenir de Borrentruy (buisse), la Sainte-Clara de Baie, l'Espérance de Bruxelles, la Fulgor d'Asti (Italie). Jusqu'à 11 heures ce concours continue. Devant la tribune d'honneur, où un autel a été dressé, les drapeaux se rangent en hémicycle au pied de l'estrade sur Laquelle ont pris place les prélats : Mgr Jeglise, archevêque de Laybaon, en Croatie ; -Mgr Bucn, évêque de Strasbourg ; Mgr Ginisty, évèque de Verdun, et Mgr de la Celle, évêque de Nancy. eV égalait H Z2:QT>\ Le Prix du Pain au te-mpe des « reine Rueil, 8 août. eillé tand a He D our. ll°! ' is qu'une brune. Le maire de Rueil, M. Falot, a obtenu du VC Carmen Itis syndicat des boulangers de Rueil la réduction q A nouvp? r ° ' ^caméra 0 du prix du pain 168 .1 1 fr. U5 le kilo. qui ^SI ^ brouillards S des canaux Ce prix est basé sur un cours de farine de chai H desTel n Nord, le anllons et ^ dlouceur des bé- lia francs ; par 5 francs de baisse du prix «Uinages. do la farine, le kilogramme de pain baissera de 5 centimes. Dès à présent, le maire a obun Peau ^sdàmewf'';, -ko"ge Voici, tenu également de boulaneers isolés le prix de 1 fr. 10 le kilo de pain. tr) n Pj„ , et Messieurs le Grand-Faua V b ! chef d une tribu Charleville, 8 août. |>ges aui ° , , de PeauxA la suite de la taxation du prix du pain ^scouts ri P° ur enseigner au x les boulangers de Runognc se sont mis en dC de la nature Lucrei ^ enez » ' Mon grève. oi v He vnt -Y °us bien, et cachezAprès avoir mis le pain a 1 franc, les bouoh Natura rcrum est u v œ - Pig Ha- langers de Charleville ont décidé de le reporter à 1 fr. 20. ant f ? eau 1 a '. }' atal, drapé d'un large ,é de dessins ^ —a**»—— S», sur fe fr° t , algonquins, V 11"3 i l!eux le Sî mt s TOUXiOUSSl 1PRIX \ DES ABONMEMEHTsj FranceetcolonlflS 'f£ ^ LE STATUT DÉFINITIF DE LA PAIX à StrasbotiFg __ la Franc -Maçonnerie car *** i«,ir servante - sont passés mat>eBt que leur d'un pendéfQrmer râme a d es * e Vanner peu à peu aû complet t d % de ses tradi b 15#- Organe de Défense Sociale et Religieuse Peau n grand 0iseau ^Wit dSf he po mon- ^re s SS ' C ' est ' «i un iC1TC Ben °ît Vi se ™* queti ° et d'un vieux celui <ï ue «ou 3 ad- ??L œaw venu ensei- Conseil Général L'ÉLECTION DE BELFORT ,, A Bel fort, 8 août. Une élection au Conseil général a eu lieu à bel fort. M. Christophe Klopponstcin, secrétaire de l'Office agricole (radical-socialiste) a obtenu 2.529 voix ; M. Henfv maire do Valdoie (sooialhjte unifié), a obtenu 2 207 , ??°P h P ; ucklt (catholi.iue), a obtenu 2 .110 voix. Il y a ballottage. uuienu Poihtu au '"uni d'u™» ,-, " un chapeau as lah e et Pa ?n al er ' marchent fe„ C omme fi ^er à la c s enîail ts do au temps —— -^5^.__—_ *5 jadis. avaient Nlica^^^on eTdê - bes °in ! I SUCa n et de , . . cc C01 vl R ch f pour n 61 tes demandss de clinmrçmpnts (TftdrewM attra P"r des grillons. doivent, toujpur, être ucecmrmqnéea ,a 60 centimes pour frais. Uf ï SP à& LA MESSE SUR L'ESPLANADE La messe sur l'Esplanade fut l'occasion d 'une brillante manifestation. Pendant que deux fanfares, l'une de i 'Avant-Garcle du Khln, l'autre de Strasbourg, jouent des pas redoublés entraînants et connus, les sociétés défilent sur rang de six et avec un ordre impeccable, font le tour du vaste quadrilatère que forme l'Esplanade aux applaudisaerhents de plusieurs milliers de personnes. Les drapeaux s avancent en groupes, sames à leuî passage par des bravos ; les drapeaux bolées .tchèques, yeuyo-slaves, italiens, Hollandais, polonais, suisses sont accueillis par des salves d'applaudissements. Les sociétés se massent lace à l'autel, au milieu de cotte haie vivante et colorée formée par lès gymnastes, tous tes étendards s'avancent ; on croirait revoir une de ces belles toiles peintes par David Us se déploient en éventail, face a l'autel ; ks évoques arrivent et avec eux le général Humben, çonverueur de Strasbourg, les généraux i-etter. Paillard, MM. Oberkioh, Pouzm, aubé Wetterlé, le comte de Leusse, députés, le chanoine Lelâor, sénateur ; le baron d'Hell, conseiller général d O'bernai ; le docteur Michaux , M. Lauras ; M Prac de La Perrière, de Lyon, etc.. UNE DÉPÊCHE DU PAPE Mgr Ginisty, évêque de Verdun, célèbre la messe. Apres l'office, Mgr Kuch lit la dépêche suivante su Pape, signée cardinal Gaspard : « Le Saint-Père envoie de tout cœur aux gymnastes bénédiction apostolique. • En remerciant, Mur Kucli a adressé le télégramme suivant aotnt il donne lecture à haute veix : « ^0.000 gymnastes catholiques, réunis à Strasbourg, sous la présidence du docteur Micnaux, a.rcnevèque ae LuyiuaeU, évêquesde Strasbourg, Verdun, Nancy, déposent aux pieds du Souverain Pontife hommages très profond respect, très filiale soumission, très ardent amour. » La lecture de ce télégramme est saluée d applaudissements, puis les évèques donnent la Bénédiction collective. LES EXERCICES D'ENSEMBLE A U h. 30, grt.nd défilé de toutes les sociétés avec musiques, fanfares et drapeaux. Ensuite. 1 mouvements d'ensemble avec barres ; exercices d'appareils, exercices simultanés, démonstration de boxe canue et bâten, aux sons d'une musique militaire marquant les temps ; exerckes libres et avec engins , démonstration des méthodes d'éducation physique par une délégation d'élèves, ©arçons et filles, des écoles de la ville do Paris, par un détachement de fusiliers marins de Lorient et par des officiers de Joinville ; viennent ensuite les productions des sociétés étrangères. Les Belge? manœuvrent avec sûreté à la barre fixe; les Tchèques et les Yougoslaves exécutent de beaux mouvement' d'enseidbiiie et d'audacieuses pyramides; les Italiens et les Polonais, très élégants dans leurs costumes, obtiennent les bravos unanimes. Une pyramide apothéose avec défilé final clôt ce festival remarquaMe où la discipline parfaite facilita les mouvements d'ensemble. L'impression générale est excellente. HOMMAGES D'ALLIÉS II y euit un moment d'émotion intense quand le docteur Michaux, heureux de cet éclatant succès, s'approcha des drapeaux alliés pour les cravater aux couleurs fédérales. Au nom de tous, le président des Gymnastes belges remercia et fit acclamer Albert I er et le cardinal Mercier. On avait fait honneur aux sociétés étrangères en les faisant défiler en tête du oortèRo ; elles répondirent à cet acte de délicate courtoisie en faisant ranger leurs drapeaux face aux sociétés françaises et en inclinant au passage des drapeaux français leurs étendards. En terminant, rappelons que plus de 25.000 gymnastes de la fédération Catholique sont tombés au champ d'honneur. UN TRAIT D'ÉNERGIE Un Meuzin, le jeune Pierre Chagot, de la Lorraine de Vaucouleurs, ayant manqué le train, n'a pas hésité a faire 167 kilomètres en vélo nonr ne pas faire rater le concours à sa section. En arrivant il grimpa aux barres fixes avec iftt in. Le regretté général de Maud'huy, Uaait à conter des anecdotes piQuvaj :d .de corps de ses chasseurs, aurai 1 tement ému par- ce trait d'énergie si -<Mt»>- UN PARRICIDE SnintrMalo, 8 août Après une longue enquête la police mobile vient d'arrêter à. La Ronaie-en-Roz sur Couesnon, un Jeune homme de 17 ans, Henry Besnard, qui a reconnu avoir tué son père d'un coup de fusil, dans la nuit du 2 au 3 mai dernier. Le pér« Besnard, fervent du braconnage, passait pour disparu, quand le bruit courut qu'il avait dû être assassiné. Il y eut une longue emruCte qui restait sans résultat, quand ces jours derniers la police mobile reprit les recherches. Le fils Besnard, voulant échapper aux questions répétées des inspecteurs, Quitta 6on domicile. U eut l'imprudence do com mettre près de Pontorson, un cambriolée qui lut fut aussitôt attribué et amena, hier son arrestation. Habilement cuisiné par l'inspecteur Legall il avoua alprg qu'il avait tué son père d'un coup de fusil et U conduisit la police dans une futaie d'ajoncs où le. coi-iu gisait tout décomposé. Le parguet de Saint-Mttlo s'est transporté sur les lieux pour l'examen du cadavre et pour obtenir des précisions sur les circuits j tances du crime. La réunion du Conseil Suprême L'Attribution de la Ilaute-Silésie Entre la thèse française et la thèse AngloItalienne LES RÉCEPTIONS DE M. BRI AND Paris, 8 août. M. Briand a reçu successivement au Quai d'Orsay M. Louctueur, ministre des régions lib&teas, le maiwdnal Fcoh, accompagné du gênerai Weygand, le général Noliet, chef de la mission militaire de contrôle interalliée à Berlin, i^ général Leroncf. président de la Haute commission intei alliée de Haute-Silesw, ainsi que le marquis délia Torretta. OHÉZ M. LLOYD GEORGE M. Lloyd George a reçu, ce matin, à l'hôtel Grillon, sir Robert Stuart, représentant anglais à La commission inieiailiee de HauteSiKkie ; il s'est entretenu longuement avec lord Curzon, secrétaire d'Etat aux affaires «tffdngcîres. ARRIVÉS DE M. BONOMI Paris, 8 août. M. Bonomi, président du conseil italien, accompagné de Mme Bonomi, eet arrivé à l'ai ts a j» h. 26, par la gare de Lyon. Il a été reçu sur le quai de la gare par M. Briand, président du conseil, ministre des affaires étrangères, le marquis délia Torretta, nduistre des af-aircs ctiraiiigères d'Italie, le comte Bonin Longare, ambassadeur d'Italie, et les membres de l'amoassade d'Italie à Paris. LES DÉLÉGUÉS BELGES Bruxelles, S août. M. Theunis, ministre des linpboe*, est parti pour Paris, en vue d'assister k la réunion des ministres des finances. M. iaspar, ministre des aiiaires étrangères, partira mardi aprèsmidi pour Parts, à moins eue l'échange de vues sur la question de la haute-stlesie ne se prolonge. ses solutions proposées qui se sont réduites à deux solutions • solution française et solution anglo^italionne. La transaction recommandé© par le comte STorzjâ n'ayant pas été reipri.se devant la commission des experts, au (.une des deux solutions n'a réuni l'unanimité de la commission ; l'une et l'autre se réclament de l'indivisibilité du bassin industriel ; mais la solution française attribue ce bassin à la Pologne, alors que la solution anglo-italienne l'atitrilb'ue, au moins pour la plus grande partie, à l'Allemagne. UN REVIREMENT DE LA PRESSE ITALIENNE Borne, 8 août. Par un revirement assez inattendu, la presse italienne presque tout entière reproche au cabinet son anglophilie, et le met en garde contre une politique anglophile. , « Ce n'est pas sans surprise, écrit le Pop-Ho Uomano, qu'on vont circuler, sans démenti, les rumeurs d'un accoid anglo-italien pour l'Orient, juste au moment où les armées grecques, mises en mouvement par l'Angleterre, ont des succès directs contre les Turcs, mais indirects contre l'Italie. « Nous ne pouvons pas oublier o.ue la réalisation de l'accord tripartite est" emipêchél justement à cause de la* lutte que l'Angleterre et la Grèce font à la Turquie ; et c'est biln la Grande-Bretagne qui, après avoir signé cet accord, soufflait aux Ane'oriens de s'opiposeir à son acceptation. L'Angleterre a l'air de vou. loir nous fairl payer une deuxième lois ce qui est un droit Ceci est, vraiment, trop fort. » LE ROLE DE M. HARVEY On sait que M. Harvcy, ambassadeur des Etats-Unis à Londres doit assister à toutes los séances du Conseil suprême, en qualité d'observateur officieux ; mais, si l'on a appris que, dans la question de Haute-Silésie, son rôle se bornera b. celui de témoin impartial n 'intervenant que pour éviter au débat de prendre use tournure par tmp latine use et "de répercussion universelle, par contre, on pense dans le:- milieux diplomatiques de Paris qu'il pourrait prendre une part plus active aux délibérations concernant ta question d'Orient, et surtout le problème de rassistancéci la Russie. U se peut qu'il soumette au Conseil suprême des suggestions positives. D'ailleurs, on signale qu'une volumineuse correspondance of-iicieîle est échangée entre l'ambassade des Etats-Unis et Washington, même sur la question de Haute- Silesie. L'ARRIVÉE DES DÉLÉGATIONS Bien avant l'heure fixée pour !a réunion du Conseil suprême, de noinîueux curieux et des phu'togrupi'ies stationnent devant le Quai d'Orsay pour assister à 1 arrivée des délégations. U y en a également dans la rue Constantlne, devant la "are des Invalides. M. Briand, président du conseil, qui a déjeuné avec M. Loucneur, est ue retour r au ministère à deux heures. Le vicomte Isnii tt le oaron Hyashi, ambassadeurs du jayon, l 'un à Paris, l'autre a Lundi es, arrivent les premiers pour assister à la feunidn du Conseil. M. Lloyd George, tout de gris vêtu, les suit de près. 11 traverse rapidement l'antichambre, et. après avoir dtiposé son chapeau et sa canne, gagne le salon de l'ttoiBlogie ; son secrétaire particulier, sir Maurice Harkey, l'accompagna ; ie colcnel Harvey, ambassadeur des Etats-Unis à Londres, arrive ensuite. Viennent- ensuite loru Curzon et son secrétaire, et enfin M. Bonomi, président du conseil i'alien, et le marquis dalla Torretta, ministre des affaires étrangères. La délégation belge L,ui, on le sait, ne doit pas assister aux discus'sions sur la Haute-Silésie, n'arrivera que demain LA PREMIÈRE SÉANCE La première séance du Conseil suprême s'est ouverte à 3 h. 15, dans le salon de l'Horloge, où siégea, la Conférence de la paix et où eut lieu, le 10 janvier 1900, échange des ratifications du traité de Versailles. M. Briand «réside, il a à sa droite M. Lloyd -eoi /e et à sa gaucîie M. Bonomi. A la droite de M. Lloyd George sont lord f .rzon, second délégué britannique, M. Harvey, ambassadeur des Etats-Unis à Londtes, représentant le gouvernement américain, M. Hayaslhi, représentant le Japon ; à la gauche de M. Bo-ncmi prennent place les deux autres délégués français. : MM. Loticheur, ministre des régions hborées, et Philippe Berttnelot, secrétaire général du ministre des affaires étrangères ; puis le marquis délia Torretta, second délégué italien. L 'ocda-c du jour de la Conférence reste tel que nous l'avons indiqué. En tête, viennent la question de l'envoi <le renforts en HauteSilésie et celle du tracé de la frontière germano-polonaise dans ie territoire plébiscitaire. Cette première séance du Conseil suprême est terminée à 18 h. 05 .Elle fut, toutefois suspendue pendant quelques instants pour permettre aux délégués de prendre le thé. En ouvrant la séance, M. Briand, qui présidait, a souhaité la bienvenue aux représentants alliés, puis, Chaque délégation a été invitée à présenter un exposé général de la (iiiestkm de Haute-Silésie. M. Fromageot, président de la commission des experts, a présenté le point de vue juridique, démontrant que le territoire plébiscitaire peut être partagé et qu e le tracé de la frontière doit être inspiré du résultat du vote par communes. Sir Cecil Hearst a fait, de son tôté. l'exposé de la thèse anglaise, concluant a l'indivisibilité de la zone industrielle et à son attribution Intégrale à l'Allemagne. M. Laroche, expert français, a exprimé, au contraire, l'avis que cette région Industrielle devait être partagée et revenir en grande partie 4 la Pologne, le tracé de la frontière dovant être ainsi sensiblement analogue à. la ligne Sforza y compris Kretiigshutte. Le déiléigtié italien a défendu un point de vue intermédiaire. LE RAPPORT DES EXPERTS SUR LA HAUTE-SILÉSIE Le rapport rédigé par les experts français, britanniques et italiens servira de base â la discussion sur le partage de la Hiaute-Silésie. Dans ce rapport, les experts ont fixé les trois principes sur lesquels ils sont d'accord, savoir 1' Le Traité de Versailles (art. 88 et annexe) a prescrit que le territoire plébiscitaire serait partage entre rAllemuene et ta Pologne. On ne saurait donc invoquer la majorité obtenue dans l'ensemble du territoire par une des parties pour lui attribuer la totalité de la Haute-Silésie . i' Le Traité a prescrit que pour le tracé de la frontière germano-polonaise H devra être tenu compte en premier lieu des VQ>UX des habitants exprimés dans la consultation populaire et ensuite de la situation géographique et économique des localités. V C'est du vote par communes que l'on doit s 'inspirer dans le tracé de la frontière. Cela posé, les experts ont examiné les diver- Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés l Etranger ISÊ aiiasD LjE MEURTRIER DU COMTE TISZA ARRÊTÉ Berlin, 8 août. UHamburner FremdenblUi annonce que l'ancien officier Czernipka, accusé d'être le meurtrier du comte Tisza. a été arrêté hier à Hambourg, où il travaillait dans une usine d'autos. C'est le volumineux courrier qu'il recevait de Vienne et qu'il se faisait adresser toujours au même bureau de poste, qui a fini. par le rendre suspect aux employés, qui avertirent la police. Plusieurs lettres' furent ouvertes et c'est ainsi qu'on put acquérir la certitude qu'on avait bien à faire au meurtrier du comte Tisza. 80 > M lia Jkropole Militaire de la Côte 304 UN DES POINTS LES PLUS TRAGIQUES DU FRONT DE FRANCE Paris, 8 août n. ces rocs qu on voit à fl Q™^f ' la barre d'un neuve et que recouvrent tantôt les eaux douces et tantôt les ©aux amères. et sur lesquels se produisent des heurts terribles, des remous, des jaillissements d 'écume, la cote battue pax les flots LT allemands et les flots %français. Aujourd'hui, la paix est sur elle et sur ses morts Les morts reposent dans les cimetières dEsnes, Malancourt, Chattancourt. Dimanche prochain, 14 août, on inaugura 5f* ™ a ^r&nûe nécropole militaire de la COtG *>U4. Le clergé, le Parlement, l'armée, l'enseignement y seront représentés ,et ceux oui leur cllair de i»i ' leur sang enloui dans cette terre glorieuse iront aussi, en grand nombre. r,wt\ ^df* A ^ trouveront à la gare de unattancourt, à la descente du train de 7 h 20 pour diriger la caravane qui visitera 'le Mort-Homme et ia côte 304 Un ancien lieutenant du 120* d'infanterie, donnera des explications sur ce champ de bataille fameux. La messe sera chantée, au calvaire d'Esnes, sous la présidence de I'évêque de Verdun, par M. l'abbé Lancrênon, ancien médecin major aumônier du cotllèige Stanislas, comma<miant est tom côte 304 bé à la "i1 peu Ie Le sermon sera donné par' M. . l'abbé Ardant. ancien aumônier militaire, dont la division fut longtemps à 304. Le défilé officiel se fera, tout aussitôt après avf c le concours de la fanfare du 132 régiment, M SchJleiter, du Souvenir Français, adjoint au maire de Verdun, parlera, au cime.ere, ainsi que ,1e président des anciens Combattants de Verdun îa0,mess.e' Violent Lceadia T> Ponolo tl'ltalia n'est pas moins catégorique. » Il faut penser, dit le journal fasciste, que si la France a -penché vers Angora, elle l'a fait, parce que accompagnée de l'Italie. B y a plusieurs" hommes politiques français qui pensent ne pas pouvoir faire monnaie d'échange de l'Orient Si nous allions vers l'Angleterre, la France pourrait être tentée de nous prévenir que ce ne serait pas à notre avantage. Quand nous serions isolés en Orient, l'Angleterre ne se soucierait pas de nous. » Quatit à la Gazeta dcl Pnpolo, qui est presque un journal ministériel, elle tient un langage encore plus vif. Elle assure que, dans cette Conférence, où les peints de vue sont si éloignés les uns des autres, le rôle de l'Italie sera de les raoproeher, et sa tâche sera particulièrement délicate, parce qu'elle devra songer, en faisant pencher la balance d'un côté ou de l'autre, à l'avenir. • Si la France, dit-elle, se sent complètement isolée dans ïa question de Haute-Silésie, qu'elle considère comme une question vitale pour sa sécurité, l'Italie serait mal venue à se plaindre si elle était seule pc*r soutenir ses intérêts dans la question albanaise. » Et le journal rapirelle que M. Lloyd George a toujours abandonne l'Italie, et que les avances de M. Nitti, à San-Remo, ne réussirent qu'à le perdre et à faire l'union de la France et de l'Angleterre contre l'Italie. Il rappelle enfin qu'en ce qui concerne l'Albanie, que l'Italie veut indépendante, l'Angleterre a des vues différentes. « Tandis que Rome tient à l'intégrité absolue du pays, Londres abandonne Goritza et Argirocastro à la Grèce. L intérêt bien compris d» l'Italie, qui a en Orient les mêmes visées que la France, lui conseille de ne fas soutenir aveuglément M. Lloyd George, de faire une politique de prudence et de sagesse. » 1S » à la Caisse Haiisnals d'Epargsa v. , Paris, S août. tt„- 4 Un incendie s'est déclaré cet après-midi i 14 neures dans les locaux de la Caisse Nationale d Epargne, rue îamt-Itomain Le feu a pris dans les sous-sols, où se trouvent les irlandais déjà touchés et les livrets réglés i-ialarme a été donnée par les gardiens de lajpaix de service à la Caisse d'Lpaimne «s pompiers de la caserne du Vieux-Colombier sont arrivés rapidement sur les lieux, suivis par ceux de ia caserne du Port-Boyal i. est le colonel qui commande les manœuvres. Cinq grosses lances, mises en batterie ont circonscrit, à 3 hem es, le feu au sous-sol' En raison de la grande fumée qui se détga* gc des sous-sols, les employés qui travaillaient dans les étages supérieurs ont dû être descendus par des ccheUes Le pféfeï de police s'est rendu sur les lieux du smistre.  16 heures, les pompiers '.se sont rendus maîtres du sinistre qui s'était déclaré à la Caisse d'épargne. Il n'y a pas d'accident d« personnes. --»:*©.>- LES FORÊTS FLAMBENT i . , Grenoble, 8 août. La foret de Veuiîlant, près d 8 Grenoble, est en feu depuis deux jours. Plusieurs hectares de bois sont détruits ; de s fermes sont menacées. Les troupes de la garnison de Grenoble ont coopéré au sauvetage, au cours duquel un soldat du 140' d'infanterie est tombé dans un brasie» et a été gravement brûlé lrois autres, frappés d'insolation, ont dû être transportés à l'hôpital militaire, dam un état alarmant. DE IMMENSES PLANTATIONS C'HÊNES-LiÈfiES DÉTRUITES £ . . Perpignan, 8 août. Des incendies se sont allumés sur divers points des montagnes pyrénéennes, au Boulou, à Laroque, à Montesquieu et Villelongue. Le feu a détruit d'immenses forêts de ohênes-lièses. -»!»€>:•- LA SITUATION Berlin, 8 août. Dans le projet d'impôts adopté par la Conférence des experts, les fortunes ne dépassant pas 100.000 marks et ayant une plusvalue ne dépassant pas 25.000, sont exonérés de l'impôt sur la plus-value. Les fortunes dépassant 100.000 marks seront frappées d'un impôt de 1 % ; les fortunes dtjpassant 6 millions, d'un impôt de 10 % ; les fortunes faites après la guerre audelà de 200.000 marks paieront de 5 a 30 %. Londres, S août. Le Morning-Post parie longuement de la situation en Russie et souligne les dangers que présente pour l'Europe occidentale ce» état de oh oses Faisant allusion aux bruits selon lesquels Lénine s« proposerait de venir sous peu en Angleterre, ce journal espère que le communiste russe subit une évolution. « II y a déjà eu, écrit-il, trop te rapports officiels .avec le bolehevisme ; nous espérons que nos amis français se rendront comiote que le peuple de Grande-Bretagne déteste le bolobevisme et toutes ses œuvres. » HOFFMANN OONTRE LUDENDORF L'EXODE DES PAYSANS Berlin, 8 août. Le général Hoffmann, qui fut pendant la guerre le chef d'état-major du général Ludendorf vient d'adresser de Rottach-Ung'ern la lettre suivante au Lukul Atuciger : « S'il tout en croire les journaux, le général Ludendorf aurait déclaré qu© ma conversation avec le socialiste Albert n'était pas conforme aux opniions du corps des officiers prussiens Je m puis concéder au général Ludendorf qu'il faille, dans un temps de grande révolution et de trrand changement politique, continuer a juger les actes politiques suivant les règles qui en temps de paix régissaient le corps des officiels prussiens. Depuis ojue s'est terminée la guerre mondiale, j'ai acquis la conviction que le peuple alUmand ne pourra se relever que s'il apprend à se libérer des flUtes de partis. « J'estime nue l'ouvrier allemand ne doit plus être tenu a l'écart, et pour ma part je lui ai tendu la main abaque fols que l'occasion s'en est présentée. « Toutes les fois que j'ai pris la parole à une réunion d'ouvriers allemand», ce fut pour essayer de leur flaire voir et. comprendre cc que devait être la grande tâche commune du peuple allemand sans distinction de partis. > Je réglette vivement qu'une déformation de ma conversation avec M. Albert ait ou être utilisée pour aggraver les dissensions intestines du peuple allemand Berlin, 8 août. Les paysans russes de la région de la Volga ont quitté leurs villages, non seulement en raison de la mauvaise qualité de la récolte, mais aussi par crainte de réprésailles de la part des bolchevistes. Les paysans affamés avaient exigé à la fin du printemps, qu'on leur livrât du blé, emmagasiné par les agents du commissariat du ravitaillement. Sur le refus des autorités soviétistes, plusieurs magasins furent pillés. Des détachements chargés des représailles ont procédé à de nombreuses fusillades. La cruauté de ces procédés a été une des raisons de la décision prise par des villages entiers de quiter le pays natal et d'aller chercher ailleurs un sort meilleur. LES PROJETS FISCAUX ALLEMANDS 4M< Une Grève du Textile Lille, 8 août. Une grève générale a été déclarée dans les tissages de toile do Lille et dè sa banlieue. Le personnel de ces établissements a déclaré ne pas vouloir accepter de diminution de salaires. Les ouvriers, r our justifier leur _ refus, se basent sur ce que la diminution du coût de la vie n'a nas touché les denrées de première nécessité, telles que la viande, le beurre, eto. LÉNINE EN BAISSE Riga, 8 aoflt. 20 % des membres du parti communiste ont quitté ce parti depuis le mois de mai. Ls désertion des communistes se fait particulièrement sentir dans les départements du centre de lia Russie. LES SOVIETS MENACENT LA POLOGNE Berlin, 8 août. Un télégramme de Varsovie au Lokai Anzciger annonce que le commissaire russe aux affaires étrangères Tchitoherine vient de donner nu représentant diplomatique des soviet» à Varsovie l'ordre de présenter au gouvernement polonlais une protestation centre l'interdiction de laisser passer par le territoirepolonais les marchandises en provenance da l'Allemagne et a deslination die la Russie. La nota ajoute que dans le cas où le gouvernement polonais croinait ne pas devoir lever cotte interdiction, le gouvernement de» soviets userait de, représailles envens la Pologne. UN APPEL DU PAPE Rome, 8 août. Le Pape a adressé an cardinal secrétaire d'Etat une lettre pèur inviter tous les peuples Chrétiens et civilisés a secourir avao générosité la population russe uftuimée. M ARDI 9 AOÛT 1921 Le Soviet en Perse Baltimore, 8 août. L* nomimiaition du IL Muihàël J. Curley, éwêr/uie do Saint-Augustin, corn mie ftrrthevêqiK: de Baltimore, où il reptplâice l'érôitvent et regretté oardlnal Cîil>l)o:is, est considérée dans les milieux catholiques comme annonçant en même tenues sa .prochaine élévation au pardtr.êilat. On rappelle, à l'occasion de la nomination du nouvel archevêque, que le cardinal l'avait îud-wéme en haute estime et avait parlé de lui au Pape lorsiiu'il fut élevé à l'éplscopat en WU. Le nouvel archevêque était le plus jeune de kt hiérarchie catholique en Amérique il n'avait, en effet, alors que 35 ans Ije nouvel archevêque prendra possession ©ffleielle de son siège probablement le 12 octobre, anniversaire de sa niaissance UNE PROVINCE PROCLAME SON INDÉPENDANCE AllaSiabad. 8 août. D'après le journal Pioneer, la province persane do Khorassan, au nord-est de la Perse, est voisine du territoire transcapien qui est aux mains des bolcheviks et del'Afghanistan qui a conclu un traité d'alliance avec Moscou. Mèg. insurgés seraient dirigés par Mahomet Taki qui était gouverneur militaire de Téhéran, sous Zla-ed-Dtn, mais fut révoqué par le gouvernement actuel. I r f ~ % h COURSES Les Embarras de ! Espagne LA SITUATION A MELILLA Madrid, 8 août. Le communiqué otficiel da Melilla ne signale aucun changement dans la situation. Un télégramme du général Navarro dit qu'il continua à se défendre et donne une liste de ses pertes, parmi lesquelles figure le lieutenant-colonel Primo de tUviera. frère du capitaine-général de Madrid. LA SITUATION POLITIQUE Le cornât» de Roman o ne», venant d'Ostende, est arrivé à Madrid aujourd'hui, à 2 heures 30, 11 s'est rendu au Palais et en. est ressoiti à lâ heures ao. Il a déclaré aux journalistes qu'il ne pouvait iten dire des entretiens qu'il a eus avec h: monarque, sinon «lue leur entrevue a été une conversation plus qu'une consultation. Il a ajouté qu'en raison de la gravite des événements du Maroc, il renonçait à Sun voyage à l'étranger et se rendait dans une de ses propriétés,"aux environs de Madrid. AUX SAINTES MAR3E3 DE LA MER Le Figaro publie un bel article sur la dernière fête des Saintes Maries de la Mer où nous lisons : « Le matin, Son Emincnce Mgr de Caibrières arriva de .Montpellier. 11 parla à la grandmesse connue il sait parler quand il célèJnre cette Provence qui le considère comme un des siens. , m, « A l'issue de la messe, une procession se tonna et se dirigea vers la plage, à la suite (li la petite barque contenant les statues des ceux saintes que des hommes portaient sur leurs épaules. Une embarcation, pavoisée aux couleurs françaises, attendait Son Emincnce et 1 Archevêque qui y montèrent avec quelques prêtres. Ils allaient bénir la mer. Aigr Rivière, debout, s'adressa à la foule et m expliqua le sens de cette bénédiction La mer est 1» tombeau o» dorment glorieuseL û,os K Uiers , ?; " ne matins et de soldats rnorts pour lu, 'patrie. La mer est aussi une source de yie et de prospérité pour les peuples dont elle facilite les échanges et les relatons lrai,e nielles. Et les deux prélats levèrent les mains sur les fiots et sur les pèlerins en iprières . « L' c Adieu aux Saintes », prononcé aux vêpres par M. l'abbé Rayai ,du diocèse de Mines, clôtura le pèlerinage. Et les châsses reprirent leur place dans la chapelle haute, au chant du Magnificat et du vieux cantique Mais la fête continua autour de la statue de Mireille que les deux prélats devaient petiir. Au premier rang de la fouie, on voyait la veuve -Je Mistral. - Pour les ^muants et pour ceux qui n'ont pas compris la pensée du Maître, dit Mgr Rivière, Mueilto est une pure fiction. Cependant i) n'en est rien. Mireille a existé et elle exist, ra toujours. Car Mireille, est la fille du geme de .Mistral, et, dans la pensée du poète. Mireihe est la Provence rendue cht (sienne par la pivdication des Saintes Maries et de leurs illustres compagnons. Or, la Provence existe : elle est bien vivante, elle est la, tout entière, autour de cette statue oui la représente. Bénir Mireille, c'est donc bénir la 1 roven.ee - c'est en dire du bien, c'est lui souhaiter du bien ; c'est lui faire du bien en taisant tourner sur oile l'eau sanctifiée par ta grâce surnaturelle du Dieu Tout-Puissant.» « lit ayant bsoi 1 image svmboliau*, les teux pontiles bénissent ensemble, aux quatre points cardinaux, la terre argentée et C lan tante des oliviers et des cigales. « Nous a.vons encore du piitoresoue en France, ne trouvez-vous pas ? TJU pittoresque — et de la grandeur .» PCR i S DE CHEVAUX A CAEN Cacn, 8 août. Prix de' la Société Sportive d'Encouragement, 5.000 fr., 2200 mètres environ — 1» Lxtasy (M. Mac Oee) . Non placés ValDona, France-Amérique. Mutuel gagnant 26. ; Prix de Saint-Etienne, 8.000 francs, 1.500 mètres environ. - 1. Le Bélier (M. Mac Oee). Non placés : Menthine, Mcrvllle III. Le èaini-Lèger de France, 261)00 francs, 2.500 mwres environ. — l. Helios II (i Cocke) ; 2. Montmorency II (M. Mac Gée). Non placés : CombeL Penlx. Hèlios II, Mutin . gagnant, 10 oO ; places 10 50 , Montmorency II. 10 50 prix de la Porte-Milet, à réclamer, b.OJO francs, 900 mètres environ. — l Pequot (r. O'Neill) Non placés : Tata, La Semeuse III. Prix Rolion, 10.700 francs, 900 mètres environ. — l Mise (F. O'Neill) ; 2 'l'abrita Mutuel : gagnant, U. Prix de Louvigrty course de haies, s.wu francs. 2.S00 mètres environ, — 1. Mauza (A Be'nson). m. , Non placés : Alzette, Mistress Ma». Mutuel- : gagnant, 13 50, S août Demain, course» .1 VUtiy Part iels et moi- tes pr» Suerr K'iblOS : V::\ de r /V «'.o,H!ire - ."laiiec X) A#rtr*{ (.aiinoli !I1 (li. liei-Mlli /««ftwll M Pc**i. MMp* l-'ieurs-.i m ÏJlwi-;')in twi»a&4 !% VoHuaua a l'Cré) Kifèrendairo 'f. •rP-tettet) )>nx de la Soci."/; jl'KiKotnr.ij-.awttt — «alH**deer'wi rW4tWC« ,M- ï'o-.il). I *-Rel.c«> K.. C.&rner) CanaU 'A U'ur.wr,), Saw-t-MaTecl F. f.MKlItiet) Serre CU.iu le Ç. Uuinrje'ier). UaWaCo (M 1 a-^'.'Utl) Prix îiiFtetti. - O.fjuwwtts* !( V arî ;f r -„ ci vray M Lassardi. Ma-IMncy Ci' Gaudmct) P*>» àft-pVtntcinys (J Uartli.-'-iuy), ina'.i'iii IA S< :i:.e>r> Yr.rle)'. Ei :)ii;.ne il llalhei-.teer ou Fie,.l J)-1C* ijl Mijjdoriivi). Prix d*-: Rêves d 'Or. - KMy 'O. Clamer) Mliord (A Wodlandi, Serpeatt-Uï CL R K.iwri). Bv itocncA (G SWnl, Smii. 1 :»'irvnoe (F «iorttne ) Prix de là SociM-i .Ses »tdpte-Cft»srs de France. — Trait fUn'on-l! • P. Ucsrocliei-,, Crttoior OP.. Vm tau) Lor4 Rs*l*n (G. ïaet-letî. ÏA:-Perinissioa>n.ure 'H SaJ>a *fti). JP. L'ARMÉE TURQUE Constantinople, 8 août. Fevzi pacha a proclamé dans un discours que les Turcs, ayant roussi à retirer leurs forces avec toutes leurs munitions et armes, l'armée turque est actuellement plus forte çu' avant l'offensive « Renforcée par différentes troupes concentrées sur le front, il est certain que de grandes batailles auront lieu prochainement et l 'armée turque montrera son héroïsme. » D'après les nouvelles de l'Asie-Mineure, 88 colonnes volantes turques agissent en arrière du front grec. Ces colonnes sont composées de SO a 300 cavaliers. Une de ces colonnes est descendue jusqu'à Kurdus, où, après .avoir engagé une escarmouche, elle est repartie avec un certain butin. Le Naufrage de S'« Alaska » Eurêka (Californie), 8 août. Dans le naufrage de l'Alaska. 36 passagers et 12 hommes d'équipage ont péri. Cent soixante-six survivants ont été débarqués ici. dont trente plus ou moins sérieusement blessés. Douze cadavres ont été recueillis. La catastrophe est attribuée à 'épais brouillard qui régnait. Le navire se déchirant sur les récifs a coulé en trente minutes ; quatre embarcations de l'Alaska ont été mises â la mer, mais l'une d'elles a chaviré, précipitant, les occupants dans la mer. Plusieurs personnes munies de ceintures de sauvetage avaient plomre et quelques-unes ont été recueillies, plusieurs heures après, flottant ou se cramponnant a des débris de l'épave. Le capitaine de l'Alaska a été vu pour la dernière fois sur la poupe, alors que le naître disparaissait dans les flots. l pronostics : Varis Sport. — Fortunat i. Mille Pleurs -U — Serre-CJiac.de Cana-la — Civrny, Crataouiltette - Zxl'érienee Eddy — Trait d'i'a.on 11 Le-Permissicale TickfU- — îleticscoite. Mil'e-rieras -II — La l'.ellome. Èourie X.iw.x - rtvmy, ]ni .!>liR — Expérience, ParviUcu-s - Yatasan, t.a lîeU &r.o. HATATS0N FINALE DES CHAMPIONNATS MILITAIRES DE FRANSE DE NATATION ET DE SAUVETAGE A MÉZIN ÎLt-et-Gne) Voici le programme complet des grandes fêtes de natation, organisées par l'Union Sportive Mézinaise, dans le bassin de la Gélise, à Mézin, les 14 et 15 août 1921, à 15 heures. . , . , ., Ces fêtes sont placées sous la présidence de MM les généraux du 17 e corps d'armée et de M de Castellanne, président de la Fédération Française de Natation et de sauvetage. Dimanche 14 août. — 15 heures course à la nage libre, 50 mètres, pour débutants de toutes catégories ; , . A" 15 h. 5 championnat vitesse (séries). A 15 h 20, courses de relais, par équipes féminines de 4 nageuses (200 m. nage libre). A 15 h 30, ehainspioimat plongeons avec et sans élan de 3 à 5 mètres. A 16 h 20, prcséntaiiop par les jeunes de «i >>*»<; II~B l'U S. M., enfants de 10 à 15 ans (mouvements d'ensemble) A 16 h 30, championnat sauvetage 100 m. habillé, nage libre A 16 h. 40, plongeons féminins. Karachi, 8 août. A 16 h 50. championnat plongeons de 8 à La région de Manille a été dévastée par 10 m sans élan. Cne inondation Dix neuf femmes ont trouvé A 7 h 20, water-polo. la mort et des villages entiers ont été emA 17 h 40, plongeons acrobatiques de 10 m. portés par les eaux. et de 20 m De nombreuses familles sont sans abri. Le soir grande fête de nuit, organisée par Le bétail a également soufferî et. les récolla municipalité. tes sont, en grande partie, détruites. Lundi 15 août. — A 15 heures, championnat sauvetage ; recherche et maintien du man*»-•-— y**— nequin (pouf la moitié des concurrents). A 15 h. 30, plongeons féminins. A 15 h. 40, championnat sauvetage, recherche et maintien du mannequin (pour le restant des concurrents). A 16 h 30, mouvements d'ensemble, présenLE CRIME DE MARLY tation par les plus jeunes nageurs de l'U. S. Mézinaise (10 à 15 ans). Faris, 8 août. A 10 h. 40, courses de relais, 4 nages (dos, 11 y a quelques jours, des renseignements ïlgnês de foi, parvenus à la Sûreté, ont orien- basse over, crawl) par équipes féminines. A 16 h. 50, championnat vitesse, finale de té l enquète sur une voie nouvelle. 100 mètres, nage libre. On se souvient quj des ouvriers de la voie A 17 heures, water-polo, match revanche. avaient vu sur le marchepied du train en A 17 h. 30, plongeons acrobatiques de 10 m. tnaiche et se dirigeant vois li wagoiî dl et 20 mètres. premières, où se trouvait M. Janin, un homme Pour la finale des championnats militaires dont ils purent donner un signalement relade France de natation et de sauvetage, elle tivement précis sera disputée entre les champions des 24" Après enquête, il semble bien que l'homme corps d'armée et des gouvernements milion question ne serait autre qu'un individu qu' a vécu assez longtemps auprès de M. Ja- taires de Paris, Metz, Strasbourg, etc. Les épreuves comprennent : nin. 1» Vitesse : 100 mètres nage libre. Les signalements coïncident ; il y a donc 2« Trois plongeons : un de 3 à 5 mètres présomption que l'on soit sur la bonne piste ; sans élan ; un de 3 à 5 mètres avec élan ; d'autant plus que, le llndemain du crime, un de 8 à 10 mètres sans élan. l'individu recherohié actuellement )par fieij 3° Sauvetage : a) 100 mètres habillé ; b) Inspecteurs de la police a disparu de son recherche et maintien à la surface d'un mandomicile et n'y a pas été revu depuis ; c'est nequin de 40 kilos, immergé à 2 m. 50 de une charge grave contre lui. Soulhaitons que profondeur. cette piste soit plus heureuse que celles qu'on a suivies jusqu'à présent. ATHLETISME L'AGRESSION DANS LE RAPIDE DU HAVRE CHAMPIONNATS PROFESSIONNELS Versaihes, 8 août. Paris, 8 août. L'Espagnol Jean Avsgno, arrêté samedi soir Les championnats professionnels d'athléà Triel, comme étant l'auteur de l'agression commise, dans le rapide du Havre à Paris, tisme se sont disputés hier sous les auspices entre les stations d'Andressy et de i.ttvfiè- de la F. S A. F. au stade Pershing. Un pufait le loup, a *M amené ce matin, à la première blic relativement nombreux avait déplacement, attiré principalement par la heure, par les gendarmes de Poissy au compartieiaiation de De Nys. missariat central de Versailles. Résultat technique : , ,. Il sera transféré au parquet et mis à la dis100 mètres. — 1" Dacquey ; 2._Marchadie ; position de M. Huehnrii, juge d'instruction, qui lui fera subir l'interrogatoire d'identité. 3 Desmureaux. Temps. 54 s. 3/5. 'l.600 mètres. — 1" Dranoourt ; 2" G. Lacire; Jean Avigno sera ensuite ecroué à la prison 3" H. Lacire. Temps 4 m. 24 s. 3/5. Saint-Pierrl. Inondations à Feuilleton Le 1921 Secret Ûe la Mare-au- ois PREMIÈRE PARTIE LES PAPIERS DU MORT XVI Nos Voleurs étant déjà au courant du événement, nous ne rapportetrona Que les détails qu 'ils ignorent, et qu 'avait permis do dégager ta première enquête de fa police. Selon les témoignages recueillis, les malfaiteurs devaient être deux. L'un 'était jeté sur la femme (Vlinet, qu'il avait bâillonnée, après l'avoir renversée d'un coup de poing en plein visage. L'autre avait endormi le vieux Nivolet, malade dans son Ht, au moyen d'un masque de èoton imbibé de chloroforme. Le Matin continuait ainsi : « L'audace de cet attentat, en plein jour, Iragiqt -o ^V ™L 1-CONTRATS DE LOCATION ÊTRE PROROGÉS POUVANT Dans VEnregistrement Grave Accident PETITES NOUVELLES au centre de Marseille, semble démontrer qu'il était préparé de longue date. On se perd, d'ailleurs, en conjectures sur les causes de cet enlèvement. « La famille Nivolet, chez laquelle R se produit a déjà été, il y a un an, victime d'une tentative d'empoisonnement, «*ttt que nos lecteurs peuvent s'en souvenir. Maintenant que sa barbe avait repoussé et qu'il était revêtu de son élégance coutumière il était méconnaissable pour elle. H ne redoutait donc môme pas le hasard d'une rencontre. . Vinsi, trar*qtiillc pour l'avenir, heureux surtout d'en avoir fini avec le cauchemar dés menaces de Thorncrof. il allait en sifflotant insouciant, le long de la l.anneb'.cre dont les grands cafés et les beaux maga. sins venaient de s'éclairer et où se pressait cette foule cosmopolite si curieuse que cou naissent, seuls, les grands ports de la Méditerranée. , , Il trouvait tant de charme à cette heure de paix qu'il altendait depuis si longtemps que le spectacle (ie la rue auquel il restau d'ordinaire indifférent le retint dehors jusqu'à, l'heure du dîner. Du port aux allées de Meilhan ci inversement, il allait à petits pas, c n flâneur, un havane parfumé aux lèvres, regardant les affiches des théâtres, lorgnant les élégantes qu'il croisait, répondant aux saluts qu U recevait d'un petit coup de chapeau et avec un sourire protecteur. Les gens qui le connaissaient, se retournaient, pour l 'admirer, se disant : Ce Blaisols, que! bon enfant I... Comme H eat simple, avec tant de millions 1 Sa physionomie reposée exprimait, en effet comme la première fois que nous l'avons vu en son château de la Mare-auxBois, la plus simple et la plus cordiale bonhomie. 1 . .. Comme il repassait pour la quatrième fois devant le café de l'Univers et qu'il regardait distraitement, dans l'intérieur, es tables garnies de consommateurs sous les lustres éclatants, il vit soudain se dresser, derrière la glace où il s'appuyait, la haute taille et la figure d'oiseau de proie de Thorncrof. Celui-ci l'avait vu. Il tapa contre la glace et lui fit de la main signe d'entrer. Blsisois eut d'abord un mouvement de recul. La nrésence du docteur à Marseille, oit 1111 pare'il moment, semblait une menace. Mais, aussitôt rassuré par le sentiment de l'impuissance de Thorncrof, il répondit à son salut par un sourire et entra dans l'établissement. — Mon cher ! — Mon bon ! , Les deux hommes se serrèrent la main avec effusion, ils rivalisaient- d'hypocrisie. Aux yeux de leurs voisins, c'était une paire d'amis qui bénissaient le hasard de leur bonii'' rencontre. je viens de chez vous, mou cher Blalsois dit le docteur. Comme vous étiez sorti ie n'ai pas voulu demander à présenter m'es h.unma-es à Mme Blaisois. vu que ce n-est pas son ion* et que je l'eusse peutr èlre dérangé''. Mais je m'étais bien promis de retourner frapper h votre porte * l'heure du dîner, pour être sûr de voua trouver... — Ce bon Thorncrof ! Que je suis content de vous voir ! Depuis si longtemps 1... J'avoue que je ne m'attendais pas a. "Vous apercevoir fi travers cette glace I... — Qu'est-ce que vous prenez — Oh ! jamais rien... Cependant, pour vous faire plaisir... un vermouth Noilly. sieur, de nous surprendre comme ça. Ze croyais que vous nous oubliez, savez-vous ? La grosse juive avait encore épaissi depuis l'époque de la mort de Jean de Prémol. Son menton refoulait un collier de grais. Se volumineux, dont quelques poils n'augmentaient pas l 'agrément. Au milieu de l'énorme bouffissure flasque Les deux compères s'assirent et causèrent de cent choses indifférentes en buvant leurs de sa face que les fards n'arrivaient point à embellir, ses petits yeux se perdaient apéritifs. La présence de nombreuses personnes as- comme deux billes enfoncées dans un frosez près pour surprendre leur conversation mage de Hollande. Comme toujours, elle était richement les engageait tous deux à la prudence. Sept heures allant bientôt sonner, ils se mais laidement accoutrée, de soies voyantes et de dentelles si abondantes, que cerlevèrent. langues prétendaient —Vous venez dîner avec nous, n'est-ce taines mauvaises pas ? dit Camille en prenant le docteur par qu'elle ressemblait à un tas de chiffons. Nous pourrions égayer le lecteur en lui le bras. — Au fond, il se sentait une certaine pitié pour lui en songeant qu'il n'a- présentant les deux enfants de la maison : vait plus rien à craindre de ses divulga- un garçonnet de neuf ans et une fillette de tions... Le bien traiter, c'était adoucir l'a- six. C'étaient deux spéciments de bichons mertume du refus définitif d'argent qu 'il gâtés dont les propos bruyants et la mauvaise tenue charmaient leurs aimables pas'apprêtait à lui déclarer. C'était « dorer la rents. pilule » à maître Thorncrof. Lucie renversa son verre sur la manche Celui-ci accepta très joyeusement. — Enchanté de revoir Madame Blaisois... de Thorncrof. Oscar envoya des boulettes de pain dans son verre... Et vos enfants ?... Toujours deux ?... — Toujours deux... Intelligents, solides... Mais nous ne retarderons pas davantage Ils tiennent de leur mère... le cours de notre récit, h exposer les facé— Et de leur père !.. .Votls semblez touties variées qu'inspirait leur bonne éducajours aussi gaillard que jadis I... Quant à tion, aux enfants Blaisois. Nous les retrou, l'intelliffcnce, bien fin qui vous en remon- verons plus tard. trerait U 1-e banquier Camille Blaisois est C'était un dîner tout intime. Noémi s'atconnu au loin pour son habileté aux affaitendrissait cn se remémorant les bons moTe ments d'autrefois, quand 011 pouvait se voir Noémi I.achmann, accueillit le docteur plus souvent. Camille causait avec abanavec une joie parfaitement contrefaite, don, contant de bonnes histoires dont il -r- Oh ' que c'est zentil à vous, sàr Monriait lui-même le premier à gorge déployée. Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés le cas où un locataire verbal recevra , confié après l'expiration de Utl 1 «-élai mois. Il ne lui est pas possible °», d'iïT tice dans le délai légal, puisqu'il ui 6a h* son bail expirerait avant le ' i er rLB °rait « On ne peut donc lui reprocher im 1 19£ gence. Les magistrats devrom in» rié 8Îl la pensée du législateur. ^Pféte, 3» MAGISTRATS COMPETENTS Le président du tribunal civil s t,t nt «1 référé, est compétant pour les loVf» ou supérieurs a 600 francs ; le Wp,, est compétent pour les loyers « La proj-ogation pourra être accordée, a déclaré le rapporteur du projet de loi au Sénat, à toutes les locations quelles qu'elles soient, qui prendront fin entre le 1" juillet 1021 et le 1" avril 1922. réserve... faite pour 4o POUVOIRS DES MAGISTRATS les baux et locations verbales régis par la loi de 1918, dont nous entendons respecter Règle générale. - Le jug» pourra le droit de prorogation si celui-ci ne vient conditions de recevabilité de u ,' Sl 1* pas a expiration avant le 1er avril 1922. » sont remplies et si aucune excer*^*! Donc ïe législateur ne fait aucune dispeut être invoquée par le propriété <H tinction entre les baux dea locaux d'habi- corder une prorogation pouvant êtr ' «ctation et les baux d2 locaux commerciaux. au maximum, a six mois, à dater d , fi 'xée . ou industriels ; il rie fait non plus aucune . ration •«>««" du terme ici-me en eu cours au mon»! momerô * ex "^PiPi' distinction entre les baux qui ne pouvant i décision. Toutefois, dans la limita ^ fle la avv " 1023, la prorogation ctu i, bénéficier d e prorogations, en vertu des lois 1 avril ' » du ne Pourra antérieures, viennent normalement à expi- moindre d'un terme. ration et ceux qui ayant .déjà bénéficié de Le juge, au cas où il accordera une prorogations touchent au terme de ces proro- gation, fixera la majoration de lover gations nant compte de l'aggravation des ^ tûa rge» Tous ces baux peuvent être prorogés en subies par le propriétaire. vertu de la loi du 16 juillet 1921. La décision rendue ne sera suscerciii d'opposition ni d'appel. ^ W{ M 2° DÉLA5 POUR DEMANDER Exception. - Il est un cas où le LA PROROGATION toujours obligé d'accorder une prolon» .-esl Les formes applicables à la mise en jeu de de jouissance. U est, en effet, de nomhro prorogations qui expirent à une rp,. }a loi du.16 juillet 1921 sont celles mêmes de ne la loi du 1" mars 1931. concordant pas avec l'expiration du l «tne normal. Or, en vertu de cette dernière loi, la proCes prorogations seront toujours nrat rogation doit être demandée dans le délai d'un mois à dater d e la promulgation de la gées d'un délai suffisant pour achevé loi. Une demande introduite après ce délai mois en cours, s'il s'agit de location au m le doit être rejetée. Cette même règle doit le trimestre en cours, s'il s'il s'agit s 'agit de deïocS être appliquée quant aux demandes de pro- comportant quatre termes par par an an, et et h „ rogation en vertu» de la loi nouvelle. La loi mestre en cours, s'il s 'agit de location du 16 juillet a été publiée au Journal 0',fi- comportant qu'un ou deux termes par an"* ciel le 17 juillet. Elle est exécutoire en pro5» CONDITIONS DE RECEVABILITE vince, clans Chaque arrondissement, un jour DE LA DEMANDE ET EXCEPTIONS franc après eue le Journal Officiel qui la contient est parvenu au chef-lieu de cet arLes conditions de recevabilité de la rondissement. mande et les exceptions qui lui sont onn ,vT Le délai d'un mois doit-il courir, selon les bles sont les mêmes que celles déflrriai lieux, du jour où la loi est devenue exécu- la loi du 1er mars 1921 et que nous toire, ou bien ce délai court-il strictement analysée dans la chronique juridiq avons ue pa. du jour de la promulgation, et expirer pour rue le 1er' mars dernier. toute la France à la même date ? C'est là matière à discussion. Gabriel VICUIER-CQRSSe. Le législateur n'a pas prévu, d'autre part, bâtonnier du barreau d'Albl. nanciei Maline du 9 août UN GROS IGNORANT Un monsieur qui parle de ce qu'il ignore écrit dans Excelsior l'écho suivant qui n'est qu'un tissu d'erreur, grossières : ' débats con fa3, la Chambre des ne pouvant parvenir a équilibrer ^nces parlementaires, le Statut d6S bedUX â l0 ^f- a un texte d attente ojui permet aux locataires, dont les baux sont venus â expiration le 30 juin 1981, ou pourront venir 4 expiration après cette date, ae demander aux magistrats leur maintien dans les locaux loués. députes ÎSïl , Congrès interallié de l'apprentissage Le Baionime lais les Trains 09 ^îr LA LOI III] 16 JUILLET ÏM Si! LES BAUX A LOYER S ^ LA PROVENCE ENVAHISSANTE «. On ne s'en doute pas à Paris ; mais depuis le mot célèbre de Paul Arène : le MM kouve, l e Midi ou plutôt la Pivveuee a l'ait mieux, elle tend à absorber - et de toute façon — tout le pays de Ejiance, de la Loire aux Pyrénées. Déjà, à la'Uveur de sa pre paeande littéraire, tous les dialectes, si divers de la langue d'Oc, s'appellent couramment et uniformément le provençal El) la reine du félibrige, institution provençale s il en fut, est du Limousin (!), et voici nue la finance elle-même inscrit sur des coupures monétaires qui ont cours dans tous les départements, et sous la rubriuue (légion Provençale, les noms d'Avignon, Nîmes et Comtat Venaissin, du Languedoc et du Daupliiné (!). « Les « i-égioiialistes », qui mènent le branle, ont encore obtenu d'autres succès Dans plusieurs lycées de cette région méridionale, où le français a dans les dialectes locaux une si rude concurrence, on a créé des chaires de lansiie provençale. Attendonsnous à voir désormais consacrer les locutions : Je suis élé malade ; j'en ai de besoin, elle s'est faite mal ; le monde sont méchants, cet orange est doux, et tant d'autres conforLA MARINE ALLEMANDE mes à la syntaxe de l'idiome populaire, M. Georges Garreau expose dans le Matin qu'on appelait autrefois le patois, mais que les moyens employés par ï'Aliemagne pour personne n'oserait plus, dans le pays de rehausser sa marine marchande : Mistral, désigner sous un pareil nom, crainte de se faire lapider. » « CT&t la municipalité berlinoise qui s'inv Le pauvre homme qui a écrit cela ignore pose un gros effort pour améliorer son réjustement que le français ridicule que parseau fluvial et faire de Berlin un des centres lent tant de cens du Midi, est le fruit direct «e navigation intérieure les plus actifs de de la proscription absolue de la langue d'Oc 1 Europe centrale. chez des populations dont elle est la lan« C'est la municipalité de Kiel qui vote 11 gue maternelle. Lorsque les Provençaux, au maliions de marks pour les agrandissements lieu d'être perstcutés pour avoir parlé leur du port à l'etnoouchure du canal, pose la preidiome auront appris à le parler correctemière pierre d'un grenier à grains qui emmament, et non plus à le patoiser.ils parleront gasinera les céréales des vapeurs de la Plata beaucoup mieux le français. C'est tout le pour les distribuer aux caboteurs de. la Baltitravail du Frère Savinien, approuvé par les que. Ainsi cornpte-t-elle, par le développement plus grands philologues. de son activité commerciale, Compenser les « La langue d'Oc est le latin du pauvre! », effets de^ sa ruine comme port de guerre, disait Vermenouxe. Et quand on s'étonnait « La Cbarn'bre de commerce de Gorlitz es- que lui, . simple primaire, eût écrit de si Pere obtenir la création d'un canal reliant beaux ' r ers français, il déclarait : « C'est lElno à l'Oder. Quant au canal Neckirr-iia- vrai, je n'ai pas appris le latin, mais je suis r.ube, c'est maintenant chose décidée, quoibilingue tout de même ». Sous le haut patronage de M. le Sous-Seque les frais de construction s'élèvent à' 2 De tout cela, le rédacteur d'Excelsior ne crétaire d'Etat de l'Enseignement technique, milliards de marks et que la durée des trase doute même pas. Il estime que l'argot de la ville de Lyon et ia Société de la Foire vaux doive être de dix ans. Le Reich particiPaname, le sabir qui se barbouille sur les ont décidé d'organiser, avec la collaboration pera aans la dépense de la première franche grands boulevards, est le nec vins vitra de de l'Association française pour le développepour ko millions de marks ; le VVurtenuVrg la correction et de l'élégance firancais.es. ment de l'Enseignement teciinkiue, un Consupportera la majeure partie du reste. L'ignorance, comme disait le regretté Rosgrès interallié de l'Apprentissage, qui se « Cologne projette, de vastes améliorations l chaoh, est ane grande force. tiendra du 12 au 15 octobre 1921, à l'occasion de la réunion d'automne de la Foire de Lyon. Le Comité d'organisation est présidé Championnat de l'Eure. — 1" Thosys par M. Edouard Herriot, député et maire de Lyon. (Lille), 16 k. 855 ; 2. Lepers (Tourcoing) Les travaux du Congrès porteront sur le *3 k. &45 ; 3. Drancourt (Paris), 16 k. 455. recrutement des apprentis par l'orientation Prix du Président de la République, 1.000 professionnelle, sur les moyens d'établir l'omètres relais. — 1. Club des Sports de FranParis, 8 août. bligation légale et le contrôle de l'apprence ; 2. C. S. R. des Quatre-Ciheuiius. Temps Le marché demeure sans affaires et plutôt tissage, sur sa réglementation par les cham2 m. 7 s. 1/5. bres de métiers, sur les cours professionSaut en hauteur. — Devez (Fourmies), lourd dans l'attente des premiers résultats de nels, sur la taxe d'apprentissage, etc.. Ces 1 m. 60 ; 2. Desreumeaux, 1 m. 50 ; Canei la réunion du Conseil suprême, dont les discussions liaradssont devoir être longues et laquestions ne sont pas nouvelles : elles ont (Bordeaux), 1 m. 45. été étudiées de divers côtés et d'une manière « . Saut, en [Longueur. — t. Bonnet (Fourmies), borieuses. approfondie. Il s'agit d'en dégager des soluLes changes ont peu. varié, sauf le dollar 5 m. 79 Deisreuimaaux, 5 m. 54 ; Lemaire, qui revient de 15--02 à 12.76. tions pratiques, bien adaptées aux conditions 5 m. 22. actuelles de la vie industrielle et commerRentes françaises, calmes : 3 %, 56.40 ; Lancement du poids. — t. J. L. Vasseur ; ciale de les coordonner et d'établir entre 2. A. Vasseur, 10 m. 16 ; 3. Keller, 9 m. 00. Bons 6 %, 496.50. ' elles les liaisons nécessaires. Banques, simplement lourdes : Da PariLancement du disque. — 1. L. Vasseur, Dans l'esprit des organisateurs, la tâche sienne, 1-302 ; l'Union Parisienne, 792 ; Lyon36 m. 08 ; 2. Vasseur, 33 m. 35. du Congrès est d'aboutir à l'élaboration nais, 1.366 ; Société Générale, 690. Le record est battu. d'un travail d'ensemble qui servira ultérieuNavis'ations irrégulières- : Suez, 5.590 ; Lancement du javelot. — t. Louis Vasseur, rement de base pour les projets soumis aux Charaséurs réunis, 569 ;. Tiumsatlantiçïue, 235. 4? m. 17. délibérations du Parlement par l'initiative Cuprifères, calmes, sauf la Utah qui revient Handicap international. — 3.000 mètres, 1. gouvernementale. à 617 sur la baisse du dollar ; Rio, 1.413. de Nys, en 8 m. 57 s. 1/5. On espère ainsi pouvoir hâter le vote Industrielles russes, sans changement apLa foule envahit le terrain, ovationnant d'une loi sur l'apprentissage dont la promulpréciable Bakou, 2.505 ; Lianoscfî, 441 ; Plade Nys. gation est attendue, depuis si longtemps et tine, 540: North-Cancasian, 5.675. Au coure de la réunion, Mlle L. Breard a avec une si légitime impatience, dans les Pétrolifères, faibles sur les avis des places tattu le record dni monde des 440 yards en milieux industriels. 1 m 17 s. l/ô (ancien record 1 m. 10 si) et étrangères : Esgle, 240 ; Royal Deutch, 19.650; l'équipe de « Fémina » le record mondial des Shel, W Omnium des Pétroles, 452. Diamantifères et mines d'or quelque peu 440 yàrd= -pelais en 50 s. 2/5 (ancien record réalisées • De Beers, 509 ;Rand-Mines, 111.50; 1 m. 1 seconde). Jiagerafon'teàn. 113 : Crown-Mines, 97. M. Beringer, receveur à Arthez (Basses-PyLA PRANCE BAT LA BELGIQUE Caoutehoutières, sans affaires. rénées), est nommé receveur de 3 e classe à Roubai.x, 8 août. En valeurs diverses, peu de changement : la Verpillière ; M 1-avaur, receveur à Ossun Voici les résultats de la rencontre de l'é(Hautes-l'yréiices), est nomme receveur de Sucreries d'Egypte. 700 ; Penarroya, 978 : quipe athlétique de France contre l'équipe de Gafsa, 615. 3' ciasse à Arthez ; M. Garive, receveur à LeBelaiaue : , .,. coux (Puy-de-DOme), est nommé receveur à Société d'Eludés e>. d'informations financière» 100 mètres plats : t. Brocihard (Belge), 11 s.; Ossun. 4B. rue lïoienne. Paris (*' arr,) t. Moutrlin (Français). . m mètres j»ats : 1. Ferry (Français), 50 s.; -<©*2 Delvart (.Frlançais). . , . Bagïiàres-de-bigarre, 8 août Lancement du disque : 1. Guerre (Belçe), Dimanche dernier, à 7 h. oO, sur la route 36 m 75: 2. Bôraneer (Français), 35 m. 76. îles nains de Salut, en face de la villa d'L'zer, Saut en longueur avec élan : 1. Couillaud deux sous-oUlciers en promenade faisaient (Franoaiis). 6 m. 74 1/2; 2. Lofebvre (Belge), caracoler leurs chevaux lorsque l'une des 6 Du 8 août. ietes, mal tenue, se jeta brusquement sur 1 500 mètres plats : t. Brossard (Français), — T^'e général Allen, commandant les forces l'attelage de l'omnibus Bortignan, faisant 4' 14'' 2/5; 2 Ijangrcnay (Français). américaines en pays rhénans, est arrivé à le service publie de l'établissement thermal, Lancement du poids : 1. Pierre (Français), Paris pour se consulter avec M. Harvey, en t 'atteiage s'aftoia et, avant img le conduc12 m 87 ; 2. Ways (Belge). M m. 30. llô' mèt'-es haies : 1. lourde (Français) , ce qui concerne les frais de l'armée américai- teur ait eu ie temps d'aviser, i omnibus fut ne d'occupation, qui se montent à 275 mil- précipité dans le. ravin profond que sur17" 175; 3. Audinot (Français). lions plombe à cet endroit ie chemin. Saut à la perche : %. Muzard (Français), — On a découvert en Cyrénaïque une maL'omnibus portait quatorez voyageurs. Huit 3 m. 10 ; 2. ex-eequo, Lagarde (Français) et gnifique statue de Vénus parfaitement infurent retirés blessés parmi les débris de la Powel (Btlge). „ 4 , . , tacte, lia trouvaille a été faite dans les bains voiture, dont trois très grièvement. Une dame, <>00 mètres plats : 1 Jamois (Français), de Cyrénée. arrivée du Toulouse la veille et qui venait de 23" 4'5 ; 2 Durev (Français). — On annonce la mort sur-venue A Paris de prendre son premier bain, transportée à l'hôm mètres plats : 1. Brossard (Français) Mlle Bart.be Bady, l'actrice qui avait créé pital, n'avait, pas encore repris connaissance 2' 11" 3/4; 2. Gouylleux. avec suo;ôs de neamlbreux rôles du répertoire dans la soirée. Son état inspire de vives inSa ni en haut eur avec élan : R Lowden, moderne, particulièrement du théâtre de M quiétudes Le conducteur, M. Datignac, a été 1 m. 80 • 2. Guilloux. fortement contusionné. Henry Bataille. 5 000 mètres plats : 1. Corelet (Français), — A la suite de la défection du personnel Parmi les grands blessés, deux personnes 16' 3" 2'5: 2. Pacq-uot (Belge). allemand de l'im-primerie de Mayence, l'Echo de Toulouse, M. et Mme Bonnefont, arrivés SOt) mètre? relais : 1. .Tamois. V 38 4/5. la veille à Bagnères, descendus au FamilvRésultat du classement général : France bat du Uhin, seul quotidien français en RhénaJ Hôtel. nie, n'a pas paru. Belgique par « points 1/2 contre 40 1/2. A VICHY VicViy. de Son port fluvial. Des capitalistes anglais sei miteraient même assez disposes à les réaliser en échange d'à vantâtes* particuliers et, noiainiiieut, de la concession d'entrepôts dans le nouveau port, solution dont la Belgique et la France ne sauraient se désintéresser « loi est te bilan de lclfort maiilime aileinûnd. Quel est le notre ? L'Etat liquide, retarde les travaux promis aux ports, abandonne tout programme nouveau L anftement privé avait donné un bel exemole au lendemain ue l'armistice, mais il a suffi de la crise momentanée qui sévit actuellement pour arrêter net ses commandes, alors la flotte française est encore inférieure de moitié à nos besoins. _ « F'otir passer le temps, nous faisons des niscoiirs; Le déficit d'un demi-milliard subi par la flotte d'Etat en deux années d'exploitation ejji a fourni, à lui seul, plusieurs kilomètres, si bien que nous avons presque oublié ce chiffre que tout Français devrait ceFcuaunt connaître ; « Au cours de la seule année 19J), par insuffisance de notre pavitMi Vm> 6 limma rds d retran T * ' « lret a g A Gendarmerie Par décision ministérielle en date du 5 août 1621, les militaires et anciens militaires désignes ci-après sont admis dans la geaOj* mené pour servir dans Parme à cheval • 17* légion. — Camille Cruzel, ex-maréchal des logis, proposé par a compagnie du dets Jean-Auigusun-Ciémeiit Massot, ex marèctuj des logis, proposé par la compagnie des Py. 7 Kiioes-Onentales. ' Paul Agode, ex-soidat, propos-; par la com. pagine ce la Haute-Garonne (élève) jeau-Firançois Rul, cx-canonnier. proposé par la compagnie d'j l'Ariège Albert-Arthua'-Eloi Koimrgues ei«oldâi 6 ,PUr la Com ,a lli i d rcnnf i » < « Tarnet-G* Jean Ponsolle, ex-soldat, proposé 1par la compagnie de l'Ariège U1 J wâ K vlère ?, - ' ex-soldat, 113- régiw ^, r% aitlll,erw3 lou|, 1e, (Tarn) domicilié à Art» Miiile-Célestin Rouziès, ex-soldat par Ha compagnie de l'Aveyron. proposé * wu * proposé par la compagnie de la Gironde" Adrien-Albert Boucq, ex-maréchal d*s loals r ar la compagnie de la Gharentc-ia L5Ç ie ne?,!î ure.P Jean-Klébor Hérif, canoral, 17» rêeiffiejit de tirailleurs sénégalais. 13« compagnie détaché à la prevote de la > division de l'année du Levant, secteur postal C10 Flonentin-Andre-Eugène Cornuault, ex-soldat, propose par la compagnie de la Charente-fnferieure. Pierre-Joslph-Lucien I.auzin, ex-soldat proposé par la compagnie des Basses-PyiV-nées Justin-Oélestin-Marttal Le Collais, ex-scidat proposé par la compagnie des Hautes-Pyrénées (élève). CHEMINS DE FER DU MIDI EXCURSIONS A BAGNERES-DE-LUCHOM. ET A SUPER BACNERES Les 7, 14, 15, Sl et 23 août 1931 Train de plaisir à prix réduits de ToulouseMalabiau à Luchon et retour Horaires. — Aller : Toulouse-Matabiac, départ, 6 h. 20 : Luchon, arrivée, 9 heures. Retour : Luchon, départ, 22 h. 45 ToulouseMatabiau, arrivée. 0 b. 59. (Les 8' 15, li 22 et 29 août). Prix des places (retour compris) : 2' classe, 27 francs ; 3" classe. 17 francs. (Non compris le timbre quittance de 0 fr. 25 par billet.) Le nombre des billets est limité. Pour plus amples renseignements, consul A nos Correspondants tfous prions instamment nos redacteurs-co* respondants : f D'envoyer sans retard toutes les l»/«" mations ; r De condenser leurs courriers ; , ... S De résumer les crmmunicatîens '< w 'i.-s officiels ; i° De ne pas envoyer rte longs article % peut dire beaucoup en auelauet lignes t On eût dit que les braves gens fêtaient 1 retour de l'enfant prodigue ! tl Mais Throncrof ne s'abandonnait P j5 ', ' avait négligemment changé son verre celui de Mme Blaisois au commencen iei du repas et pris un soin assidu à ne se se ' vir qu'après elle de manger et de boireAu café, il déclara n'en'pas prendre, 1^ régime, pas plus que de cognac ni a e odeurs. ,g Le docteur craignait que dans sa ou dans son petit verre ne s'égara _ ^ quelques gouttes de son élixir d'hériM** de quelque produit analogue. ,;n* La femme de chambre ayant e /tau coucher les enfants, les Blaisois et le vité passèrent au petit salon. — Un cigare ? offrit Camille. a„ — Merci, répondit Thorncrof, | jreien-Et sortant 1e sa poche un étui de f» ^ s il v prit un cigare absolument senm < nÇ> ceux de Blaisois, qu'il alluma et ton» à fum*r tranquillement. ,„ c» 9" il Un grand feu de bois brûlait dan? minée. >n <, d'", Camille s'enfonça dans les coussi ^ moelleux divan, et les pieds c0 \lU %^ti'Z se se livra aux douceurs de la . en' regardant mnuVr les spirales < -4. qu'il soufflait doucement vers le P 1» ffrjw" MARDI 9 AOUT 1921 DANS LA REGION — lv>s jeune* «'«as et Dor.'.n:». l'f TE I .QO.VLK <Jil quartier Maultec désirent Talro partie *n a fcto Kvaie sont pries te s» '«a"»! a ! u réunion Jrtoera» qui aur-t lieu '•• mercredi 10 courant. 4 mut beium. salle Dubois mmm m Du 8 août Boulevard Strasbourg. t avec vent rt en- SEMAINE DE SOLDES " Ï^Ln.re a mut'. 1 ininiun Dam mus les cafés DEMANDEE Une . SUZON » Reconnue licite 122 ianvler 1920) Agent BONNET, 37 rue de Languedoc, î*! lever. 4 " ;>' ;o le 19 11 « tendance La Médaille de la Famille française A* , ,.<A la Famille française u été ta médaille de '<• de famille dont les noms jéoernée aux i» c juivents = . . _ à na .U pne. Mm6s Médaille d0 a ff lf .'11 its ; Cazabon a Gas*agne. tJiïfifW*. £ Toulouse. 8 enfants . Es«enfants ; Denai, ^ e[lfiints ; Gourdeau. & 'aire, à T«**« * GraW er. à Toulouse. f t 'à Viliefranche-de-ljauraManière. a Lafourguette. Marsal. a Saint-Félix. THÉÂTRE DES VARIÉTÉS joffre et Cassive J£L I 10 Mîmes Allané. à Cas^^^ntt^A^ioi; à Saint-Félix. 6 en*»S? e S à Saint-Félix. 7 enfants ; Bacfants : BaMb"e. ? enmnts . Ballongue. »UF 'tnirn 7 enfaii'ts Baurens. à Toulouse, :, C f , ;.mts -'Berthouimeu. à Saint-Félix 6 en! 6 *? vudot à Toulouse. 5 enfants , Blanc, te ^tsint FelS: 6 enfants ; Bounhoure. à Saintô. Sai enfants ; Canal, à Cassagno. 5 enenla - enfants , Capellc. ^^%^Tc^ * Toulouse. n «niants • CheîdQlden-Zatrarriga. à 1 oulçuse. Iwiflnu ; Constantin, à PelAonmôre, 6 en6 Daude à Montlaur. 6 enfants : Desfànts ,p;ez. \ Toulouse f enfants ; Donat. à Tou' 6 enfants ; Fabre, à Toulouse. 5 enlouse. tants ' Faure. à Saint-Félix. 5 .enfants . Fronenfants ; Guionie. à Touton, imioe Y enfants : C.uiraud. à Toulouse, 6 en},„... * • Kersale à' Yrlkdranehe-de-Uaiira#ais. R eniants; Laffite, à Toulouse. 5 enfants; Mac liave. • Vouïouse 'i enfants ; Mestrc. à Tonint-Félix, 6 cnH IKA 5 enfants ; Natoly. a fonts'- Pertes à Toulouse. 7 enfants . Pradei. * Montlaur '7 enfants , Rey. à Saint-Félix. 7 «-niants Redon, à Toulouse. 5 enfants . cX lch "à Cassag'ties, 5 enfants ; Syrmen. à 2y n i., u îe 5 enfants ; Tlierou. à Toulouse fi priants ; Viaillard. a Toulouse. 6 enfants : iVfinoUBs à Toulouse. 6 enfants. Les Œuvres d'Assistance Le- sulfyventicffis suivantes ont été accordées iux œuvres ci-après : Sociétés de secours mutuels des employés ie voimiitèct et d'a'duiinîstra.tion. à Toulouse. 80 fr éet membres de renseignement prfnj&lré.' laïque et public-, de la Haute-Garonne. 200 fr : Association des mutilés et réformés de Toulouse et de la Hauto-C.aronne. 2 000 fr. prêche du Bureau de biienf aisance, 1.200 fr.; Œuvre de ta charité maternelle de Toulouse. 1.000 fr . Protection toulousaine de l'enfance, à Toulouse, 4 080 fr.; Goutte de lait toulousaine a Toulouse (avec consultation de .nourrissons) 3.500 fr.: Ligue contre la mortalité infantile (section de la Haute-Garonne), à Toulouse 2 000 francs Chemins de Fer du LIGNE DE CAR30NNE AU Nous no nous trompions pas en disant li'cr Tito la représentatto i doniîc par la tournoe Ba'-et avec jollro et CassUo serait «n vrai rê«al Où nous i ous irimpioas, par exemple, c asi quand nous di- . sions àufl les raulous.ibH viendraient en Joule 1 ai nlaudir ces excédents artistes. Alors que, au Hasard AIT la toi d a no ntiiciu) convoie on se pr< cinite aux vàrtotes p.uir •entendre une pièce tfueiconque jou<5e par dès acteurs qicleonques, giaiid pu'Mtc, d faut le i-econnattie, a boudé du tûétai pour ee ipreitfffef soir, a un spectailo connu et à des artistes de premier plan Ceux qui sont venus et qui ont bravé la cha leur n'ont pas été déçus, en tait cas. et nu-Ju« Us n'ont pas tr^p souffert de la temréirature, car la salLo des Variétés est encore fraîche On y a répandu seulement uno espèce de déstnftctaru tui est extrén.entent Lizirre Enfin, fl y a peut tire les gens cm aimoit cette Dde av. Passons à un sujet plus seront* M Joffre a to admtrabîe :1a ns Uoub %u'.\Xlie II loue ce rote célèbre ave* une varioté, ur.c vetritô. un naturel si partaMs -lue la pièce Ole ".ans <ré l'on s'en aiierçoive On n'y epr>uve pas une 9e<'onde d'en nui Tout est k-l nien m's ec l'iace. sl eract, si anemout détaillé I On ne peut pas mieux — et avec une plus parfaue conscience :ntêrpnHer ce rflo célèbre Après une assez fort entr acte, d a reparu dans I* rd'e de Lucien je héros d une très amusante farce de Georges Fey tenu : Feu la mère de Mldame, qui appartient a cette L'«ra# fie liéces do ménage en un acte illustrées par On purge B*t*. Là. M Jofïre. a j même art pr«Vis et n-ir mieux ajoute la plus désrtpi tante fantaisie. Mme Cas-ùvj. Iieaucoup plus a L'aise dans cette bouffonnerie, rj.ia dans la pièce proton i? et amère ue Cous-tel ine. lui aon.no nno répliqua cndiabl-.t'e speclicle s'est donc terminé suir les o'.iîc tieares et demie par un tou-rire jfonéral. On r.e pou tait rien désir» io mieux (ette roprisentatioa originale et qui n'a viou de banal sera encore donnée co soir et demain, ras 'fouloiis-iims vrais amateur, de théâtre, fèreni bien de profiter de la rare occasion qui '>ui* c*t offerte, <ar les deux princ-paux protagonistes sont parfaitement entourés, spèctaieiw n; par Arme Emma Fiche] une boucio très nature ; Mit Adcelia et r-mil IjCiiclie. Sud-Ouest MAS-D'AZIL A titre d'essai, à •partir du 10 août courant tous les trains de la ligne de Gat'bonne au Mas-d'Azil s'arrêteront au pont de Castagnes entre Sabarat et le Mas-d'Azil Contre le Chômage Les chômeuses possédant une machine à coudre peuvent se présenter aux Ateliers Généraux contre le Chômage, nouvelle carton chérie, au Polygone, où du travail facile leur sera immédiatement délivré \A\ A. P. BARBAZAN (Hfe-Gae) GRAND HOTEL T0URISTIC Confort moderne, déjeuner complet. 10 îr.j dîner complet, 10 fr.; chambres depuis 3 fr. 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Les Vols Le commissaire de police du 3' arrondissement procède à une empiète relative au vol duo? bicyclette, commis au pn&tudice de M Urbain. Castex, laitier à Saint-Simon Les Gens violents T.e conunissair-e.de indice du 4' arrondisse, m .lkS k , <ù»l>ostUon du procureur de de îf" n qi /,/ e , wmrn '' ^hofelo Bouton, âgé 5 demeimant rue Pouzonàr»^^"! fô mcllI ké f de coups e t blessures Dispensaire Marin 83, Rue des Lois. 33 Pendant les chaleurs prenez quelques gouttes £f£f £££ Carmes Boyer tians un peu d'eau fraîche. TOULOUSE 'Consultations oratuites : ma "«. de 9 u. à 11 h. tm°» nez. so'ge, oreilles. rcr8tH soirl ïèn™n, de 4 h. è a 6 h., médecine seneiale, sérum de Qulnton ve vendredi matin, de g h. n 11 h. : méde- mar(!i, MALADIES BE POITRIHE BRONCHITE ClfRONlQUK TUBERCULOSE e, t Consultations de. 10 à 13 h et. de S à e h WJIVTQTJE : 9, Rue Croix-Baragnon, TOULOUSE Vous serei plus jolie encore, vous conserverez fraîcheur et i | AT Ci. 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Bataille de fleurs. favorisée par un temps splemlide. la bataille fut ext êmement brillante. Trente voitures y prirent Part. Le combat fut, acharné, l'animation extraordinaire et la bataille fleurie lie esca que lorsque éclata la bombé annonçant la fin des hostilités galantes. , L'orchestre du Casino, la Fanfaie Luchonnaise et la Lyre de Castelsarrasin, 45 exécuLE COMPTE RENDU DE LA SÉANC r tants, contribuèrent à son succès ainsi que M. Cazal-Garr.elsy, secrétaire général du coParis, 9 &oC mité des fêtes, dont le dévouement inlas En ouvrant la session du Conseil suprême, sable est à s i un aie r. M. Briand, qui présidait, a souhaité la bienLe jury, composé de MM. Paul Laf.-nt, sous- venue aux membres de la Coniéience. 11 a secrétaire d'F.tat aux P. T. T., Second, préfet fait appel a l'union de tous pour résoudre de la Hame-Garonne marquis de MéranviU» les problèmes graves et difficiles posés devant de Sainte-Claire, d ctèur Gerjjaès, maire, Heu la Conférence.' ri Àurlol, député, Taussac, sous-préfet de St. 1 Si l'esprit d'accord et de solidarité qui a Gaudens, P. Bo»«pniaison, Henri de Oors-ic-, marqué les réunions précédentes règne enCaz il-Gamelsv et docteur Molinéry, a décerné core, a-t-il ajouté, la tàcue pourra être meles prix suivants • née à bien. C'est dans un esprit de collabora Grand prix d'honneur, Mme Btcheherria lion que la France aborde les travaux de cette (auto glaïeuls', ; arand prix, d'originalit M,Conlerence, » de Malafosse (bateau fleuri) ; Mine Benot, M. Lloyd George a remercié M. Briand. Il (montagnarde) ; FJaihliseement thermal (-mois- a observe que le problème de la Haute-Silésie sonneurs) ; 1er srrand prix, Mlle Sam P.ttk est peut-être le plus difficile de ceux qu'ait eu (auto hortensias) ; Mme Paz (panier géra- à aborder le Conseil suprême. niums et glaïeuls) : 2» grand prix, Mlle L' ys, M. Lloyd George est cependant persuadé Mlle Péguret, Mme Ricard, comtesse Orlows- eue si les membres du Conseil abordent ce Ua, Mlle Marre, Mlle Bifault, Mme Audibert, problème avec ie ferme propos d'arriver à un Mlle Chassecou Mlle Flammarion, Mlle accord, la solution est possible. MT Lloyd George a déclare qu'il convenait Kahn. Les décisions du iury ont été diversement d>ritendire d'abord les explications des exaccueillies par le piiblic nombreux qui assis- perts. Ensuite, comme il a été convenu, le tait à la distribution des récompenses. Conseil abordera la irueslion des; renforts en SALI ES.DU-SALAT. - La foire. - La foire liaute-Silésie. M. Bonomi, prenant alors la parole, a mard'août de Salies-du-Salat, tombant cette année le 15, jour de l'Assomption, est reportée qué l'importance dos décisions à prendre et leur influence sur ta paix du monde.' au lendemain 16 août. M. Briand a salué ensuite, au nom de ses Distinction honorifique. — Nous apprenons collègues, le peprésentant de la nation amérique M. Nougué, maire démissionnaire de Sa- caine. lies, vient d'être l'objet de deux distinctions. M. Harvey a remercié M. Briand et l'a as1° Par décret du président de la République suré qu'il transmettrait au président Harding paru au « Journal officiel ». M. Nougué a été les cordiales paroles qu'il venait de pronommé officier de l'instruction publique pour noncer. services rendus à la cause de l'enseignement Enfin, le vicomte Hayashi a donné son (professionnel ; adhésion à la procédure proposée et a expri2» Par ordonnance de S. A. le prmee de mé sa ferme conviction, qu'une solution seMonaco M. Nougué a reçu la croix de che- rait trouvée par la Conférence. Le Conseil suprême a abordé ensuite l'exavalier de l'ordre de Saint-Jacques, en raison du îôle très important qu'il a Joiié an men du problème de Haute-Silésie. M. Briand a suggéré que le président de moment du congrès de l'hôtellerie française. la commission des experts alliés fasse conNos félicitations. naître au Conseil les principes directeurs OARAMAN. - Triste affaire. — Une très sur lesquels les experts juridiques s'étaient grave affaire de mœurs a nécessité une vaste mis d'accord pour l'application des clauses enquête qui a rayonné jusque dans les villadu traité de Versailles. ges voisins. M. Lloyd George ayant accepté, M. Froma. On a arrêté, pour prathmos a»" geot a présenté alors les conclusions sur lesîme dizaine de filles on femmes dont nous quelles l'accord s'était établi précédemment taisons ici le nom par égard pour les familentre exnerts. Sir Ceci! Hurtou, au nom des expe.ts b titanCes malheureuses, arrêtées samedi soir, niques, a exposé -que les enclaves doivent être ont été transférées à la maison d'arrêt de évitées comme impraticables et injustes pour Villefranehe. les deux parties ; les communes économiqueQue ceci serve de leçon à celles que les ment inséparables ne peuvent pas être se. sentiments d'honneur ou de religion ne parées et le centre de la région industrielle suffisent pas à tenir dans la droite voie. La crainte de la police est parfois le com- doit donc être concédé à l'Allemagne. M. Laroche a exposé ensuite la thèse franmencement de la sagesse. çaise ; celle-ci tend à atttibuer aux deux parties les communes d'après le résultat du vote quand celui-ci est indiscutable. S'il don ne lieu à des enclaves, il faut tenir compte pour les éviter des conditions geographiq es La Médaille de la famille française et économiques et régler l'attribution de laLes médailles d'argent et de bronze de la commune intéressée suivant les liens qu'elle Famille Française ont été décernées aux mè- présente avec les territoires avoisinants. C'est pourquoi l'ensemble du bassin boitiller doit res de familles dont les noms suivent : revenir à la Pologne, d'après l'opinion franMédaille d'argent, — Mines Astrié, à l'Hospitalet ; 8 enfants ; Bompart, à Ignaux ; çaise. -M. Laroche fit la critique du projet an8 enfants ; Paulin Bousquet, à Mazères, 8 enfants ; Jean Loubet, à Sentenac-d'Oust, 8 glais; il lui reprocha en particulier d'attribuer les 9'11 des votants polonais à l'Allemaenflants ; Léon-Martial Maury, à Vira, 8 enfants ; Marcelin Nicol, à Mazères, 9 en- gne et 2M1 seulement ces votants polonais à fants • Louis Paret à Ventenac, 8 enfants; la Pologne II réfuta ensuite la thèse britanFrançois Pujol, à Mazères, 9 enfants ; Jean- nique du triangle industriel indivisible en Sapet Pujol, à Sentenac-d'Oust, 9 enfants ; montrant par exemple que l'une de ses prinJean Raynaud, à En-graviès, 9 enfants • Paul cipales villes, Kattowitz, était, au dire des AlSabatie, à Ségura, 8 enfants ; Marcel Séguô- lemands eux-mêmes, la capitale du district de las, à Mazères, 9 enfants ; Jérôme Sicre, à Pless, attribué unanimement à la Pologne. Enfin M, Torre Franca présenta quelques Mérens, 9 enfants. Médaille de bronze. — Mmes Audouy,, à remarques au nom de la délégation italienne. Entre les deux projets contradictoires en Ségura. 7 enfants ; aBrat, à Sentenac-d'Oust, 6 enfants ; Bardou, à Manses, 5 enfants ; présence : le français, qui attribue 80 % de Bérennes. à Sainte-Croix, 6 enfants ; Ber- ses votants à la Pologne contre 52 % à l'Alletrand, à Foix, 7 enfants ; Blazp, à Foix, 6 magne ; l'anglais, qui donne à l'AUemiag-ne enfants ; Bouin, à Mérigon, 6 enfants ; Cam- 88 % de ses votants contre 30 % seulement à bus, à Rimont, 6 enfants ; Cau, à Sentenac- la Pologne, il semble, en effet, qu'il doive y d'Oust. 5 enfante ; Déjean, à Pamiers,' 7 avoir place pour une solution transaction enfants ; Delpecih, à Varilhes, 5 enfants ; relie juste et raisonnable. 11 n'est pas douteux qu'avec l'esprit de col Eyohenne, à Mas-d'Azil, 7 enfants ; Fouet,, à Lavelanet, 7 - enfants ; veuve Founeau, à lahoration confiante qui a iprésidc à cette pre Sentenac-d'Oust. 5 enfants ; veuve Joseph, mière séance, on n'arrive à la paix de l'EuFouneau. à Sentenac-d'Oust. 5 enfants ; rope. Fraisse, à Mérens, 5 enfants ; Cadrât, à COMMUNIQUE OFFICIEL Foix, 5 enfants ; Galy, à Gourbit, 6 enfants ; Gouiric. à Saint-Amadou, 5 enfants ; GorLe procès-verbal suivant de la preinière dien, à Sentenac-d'Oust, 7 enfants ; Laborde 4 Manses, 6 enfants ; Ladouce, à Ségura, 6 séance du Conseil suprême a été com.muni enfants ; Montie, à Foix. 6 enfants ; Mou- que hier soir : chard, à Mérens, 7 enfants ; Moure, à Ax-lesLe Conseil suprême s'est réuni, à 15 heures, Thermas, 5 enfants ; Pauly, à Sainte-Croix, 6 enfants ; Jean-Baptiste Punol, à Sentenac- au ministère des affaires étrangères. M Briand a souhaité la bienvenue aux dé d'Oust, 5 enfants ; Jean-Boudil Pujol, à Sentenac-d'Oust, 5 enfants ; Joseph-Palès Pu- légués et s'est félicité en leur nom de la ren trée du représentant des Etats-Unis dans le jol, à Sentenac-d'Oust, 5 enfants. Conseil des Alliés. La commission des experts a été invitée à Grande journée d'Union Latine faire connaître le résultat de ses travaux. Le comité régional d'Union Latine de Toute président de cette commission a exposé louse organise pour vènuredi 'iiî courant une les principes juriclimics sur lesquels les °-x manifestation artistique dans la ville d'Ax-les- perts se sont mis unanimement d'accord Sir Cecil Hurst a. expose en détail le point Thermes, avec le concours de tous les artistes et de l'orchestre du Casino. de vue britannique. Après lui, M- Laroche M. Beluel, adjoint au maire de Toulouse a développé la thèse française, el M. Torre et maître de conférence à la Faculté des Let- Franca les remarques de la délégation ita tres, en sa qualité de délégué à la propa- henné. gande, fera une conférence sur l'Union LaLe Conseil suprême entendra demain matin tine. les hauti commissaires alliés à Oppeln sur lus différences questions qui se rattachent à li situation présente en Haute-Silésie et en particulier la question de sécurité. Incident Ânglo- Allemand en Siléiie Opoeln, 9 août'* • Un détachenvmt britannique, qui venait de faire une perquisition au château de llot.zu tiowitch. cercle de Rcsemberg, oà avaient été Saisis des fusils, des mitrailleuses et des caisses de grenades, a été attaque a coups de feu par des [artisans allemands, qui obligèrent (officier anglais commandant le détachement à rendre les armes saisies, ainsi que des prisonniers arrêtés au château, les deux frères de Patmwiiz, l'tasi*ëete«r du domaine et quatre autres individus. r-irr"|-rç|fr BOMBARDEMENT TRÉBIZÛNDE Londres, 9 août. L'Agence Renier apprend de source anglaise que des navires de guerre grecs ont bombardé Trébizonde, Samsoun et d'autres ports, à cause des attaques dont la population étrangère de l'Asie-Minetire a été victime de la part des Turcs. DÉ IÈS lies (i El 7 sotil )9?1 5. Rue Vélanc dirigé par Mlle av. LACONDE tours d'éducation piw . tlm K l'tlleâ et jeunes mUi!il Pnmaration aux divers * examens Cours J ar correspondance Manne Dang-li, ,19 ans boni, tt 'epuet *«. AlCjanase La-ssu-i. fcj ans. rue Oztn.ne. i. Marie R.vn >n1 CI ans des PavoÙets. % Rende Fou teilles 16 ans, r. LiurniAre», 47. Jean i-iscof tris. 70 ans. route du Lavattr. 5 Pierre Monfraiv. 77 ans. r des Rénîerts. Rcscr ( : nrra.l)et. l mois. av. Crm'pcl 7s Aadrt R'.cli.trl.. 57 ans. arcades du CneCcte, ta Michel Couly, n mn'.s. allto C!ia ries de-FU lo, 49 Georges Doutiot 2 ans. A Croix '«aurade Auguste Stable ans, me Palaprat. 3) Antoinette Massé, to lours. r.-.'ie de Revel. Jean Gi mbrot, 7 -j ans a 'I.-irdenne lle.iif ic*.:e San-.elle, 0 «n». n* Ce r.a ctreî te Renée l.asarle. t» jours, 'rue des Diane hen ît, Vicior.ne Parayre. 74 ans r (ïravolotte io Frr.irç.iis nAr.in*. ans, r. d Alsace lorraine 75 I. uc.;« Dimiaux. (il ans. Iiou-l la Marquette II. /*jpu'c^ : 4 — Asile d'aliénés : 1. T. 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Notre confrère Alain de B-oùard, l'un des fils d'un autre de ûos plus anciens confrères, le cher et vénéré baron Sébastien de Botiard, a été, le 29 jamier dernier, proclamé docteur ès lettres, en séance solennelle de la Sorbonne, 4 la suite d'une brillante soutenance de sa thèse majeure sur « Le gouvernement temporel des Papes au moyen âge ». Déjà lauréat de l'Ecole des Chartes,, diplômé des Hautes-Etudes, ancien membre de l'Ecole française ue Rome professeur à l'Institut catholique de Paris, archiviste titulaire aux Archives nationales, M. Alain de Boùard, a l'issue d'une s-aiiee de six heures, au cours de laquelle il a exposé et développé sa thèse, puis l 'a défendue contre les objections des six docteurs qui l'examinaient, a reçu la mention « très îionorablc », la plus haute qui se décerne en pareille, occurrence. C'est dire la fieité avec laquelle nous saluons ce diplôme de docteur ès lettres, qui jette un nouvel éclat sur une famille réputée déjà pour ses titres littéraires, et jui prouve, chez les amis des meilleures traditions françaises, un souci particulièrement fervent du progrès des études libérales et de la culture désintéressée .. A notre tour, nous adressons au baron Sébastien de BÔtlartl qui fui pendant plusieurs années notre confrère dans les Hautes-Pyrénées, nos sincères félicitations. S'il a donné à la France des savants, il lut a donné aussi îles héros, et nous «allions pieu, sèment la feelle figure de son nis blen-admé, Sébastien de Roiiard. chevalier de 1a Légion d'honneur, tombé pour son pays. A notre époque de lâcheté et fTégoîsme, ce chef d'une famtll! patriarcale, tviw- fteconipli du •:iMiii!h »mmr chrétieri, oui ne cè*M durant toute sa rte de e. iMïbatfèe pour son Ideti et pour ln vérité, mcrit,< d'être pïop-osé a tmiçs comme un admirable exemple Qu'il veuille bien ét-e assur,» de notre iet pectucux attachement. J. A. Les Attentats Terroristes en Espagne Las tossioas dam les Trains Paris, 9 août Méeislas Charrier a été confronté hier aprèsmidi avec plusieurs voyageurs qui furent dévalisés par les bandits, il résulte des témoignages de ces derniers que Charrier n'a joué qu'un rôle passif : il n'aurait attaqué ni dévalisé aucune des victimes de l'attentat Resté dans le couloir du wagon, il aurait fait le guet, tandis que Bertrand et Thomas opéraient dans las compartiments. Charrier a dit qu'à Mdcon, où ses deux camarades vinrent le rejoindre, car ils avaient jusque là voyagé séparément, il eût bien voulu s'échapper, mais il était trop tard II a déclaré ensuite orne Thomas eut un moment la pensée de s'attaquer A l'express Paris-Calais et que rendez-vous avait été pris à ce sujet. Le Nouveau GouYerneur de Féerie Paris, 9 août. Bien qu'il n'ait pas encore arrêté définitivement la composition de son cabinet, M. Steeg a chargé M. 'iignoux, ancien directeur du cabinet de M. Ranx, préfet de police, de rein pliT les mêmes fonctions au cabinet civil du gouverneur général. Il conserve son secrétaire. M. Bubioka, qui remplira les fonctions de. chef du sociétariat particulier. •> Les Taxes Postales Paris, 9 août. L'Administration des po-tes rappolle que les taxes postales applicables en Fiance depuis le l op avril 1921 aux correspondances à destination de l'étranger sont fixées comme suit Lettres, de 0 à 20 grammes. 0 fr. 50; ai'-des sus de 20 gr., par 20 gr. ou fractions de 20 gr en sus des êfi premiers. 0 fr 25. Cartes postales : 0 fr. 30 ; papiers d'affaires imprimés, échantillons unr 50 ,gr. ou fraction de 50 gr., 0 fr 10 avec minimum de 0 fr. 20 pour les èTrhîfrîtillons et die 0 fr 50 pour les papiers d'affaires. Pour les autres taxes, se renseigner dans le» bureaux de pUSte. Le Naufrage de Va Alaska» LE NAUFRAGE DE L' « ALASKA » 9 août Uorsdtte te vapettr Alaska e #46 sur iè point ! de sombrer, un passager, «éteetiiant sa cela j turc de sau • étage, l'offrit au eapirtine en i disant » saijvc/ votre vie ». Mais celui-ci dé tourna la tête, déclarant qu'il préférait mou iir ciKlooli trvec le vaflrSTÎui dont il avait la : charge. '. Une explosion de chaudière a liftW la pert» ^du navire. Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés Vous ne pousserez plus cette plainte, si seulement vous prenez de simples bains rie piecîs saltraiés -* Dublin, 9 août. En présence du danger d'une «rupture des négociations de paix avec l'Irlande, le gouvernement britannique est revenu sur sia première décision et a remis on liberté, M. Mac Keown. le seul des membres du Parlement occulte d'Irlande oui fût encore prisonnier et que le gouvernement avait jusqu'ici refusé de mettre en liberté parce que les tribunaux militaires l'at aient condamné sous l'inculpation de meurtre. (Californie) MAIS OH S MES PAUVRES PIEDS... Si vous avez des cors ou durillons douloureux, la niante des pieds qui vous brûle comme du feu, ou si la fatigue et la pression de la chaussure vous causent d'autres maux de pieds, vous pouvez facilement soulager et vous débarrasser de ces souffrances en trempant les pieds dans une cuvette d'eau chaude à laquelle vous aurez ajot ïé une poignée de-saltrates d'usage courant. Un bain ainsi préparé, rendu ixèdicinal et ltgèrement oxygéné, fait promptement disparaître toute enflure et meurtrissure, toute sensation de douCONDAMNATION D'ANARCHISTES leur et de brûlure. Le fait «,u'un Barcelone, 9 août. tel bain est légèLa cour d'assises a condamné hier à huit rement oxygéné ans de prison chacun des terroristes : Acher, ivnd des plus surnommé le poète, et Crepos, pour fabricaefficaces pour tion de bombes. combattre la A la suite des déclarations de terroristes i mauvaise odeur rrrêtés, ta police a trouvé dans une maison ; et autres effets de campagne près de Tarragone une bombe | désagréables d'une transpiration excessive, que l'on avait préparée pour faire éclater sur la voie ferrée au passage de l'express de Ma- j et pour guérir l'Irritation oui résulte soudrid pendant le voyage que devaient faire, i vent de réchauffement des pieds soit le ministre de la guerre, soit celui des ! L'action amollissante de l'eau chaude saltravaux publics. j tratée sur les callosités de la peau fait que { des cors, durillons et oignons sont re.wlus tellement mous, ue vous pouvez facilement Tf -SÎBg i les enlever sans douleur et sans miindïe de à v-ata» votij blesser ; de plus, des banc ïn.si prévi ellt tOut0 IorDlî,u de nouAPRÈS L'ATTENTAT DU RAPIDE i^» ™. ^ MAC KEOWN REMIS EN LIBERTÉ Eurêka J 'AIME BIEN L MARCHE Londres, 9 août. Suivant l'Agence Router, ie gouvernement britannique observe, depuis la réunion du Conseil suprême de mars dernier, la neutralité la plus rigoureuse dans le conflit grécoturc. Tous les bruits contraires, dit-elle, sont sans fondement, te désir de la Grande-Bretagne est d'obtenir le règlement pacifique des affaires du proche Orient, toutefois l'attitude intransigeante du .erouvernemem d'Angora est un très grand clostacle aux perspectives ds paix. » Pour la Paix Irlandaise - DE NEUTRALITÉ DE L'ANGLETERRE N'AIS'S^CES WiS G IT 7 »0[ r 1951 c-c/u-jtes Pu.ios. rue M.ilaiiiai. :8 Çhristisne Oasau, avenuo do Lyon, il, Jean Oaceltos. me Danton, i KeuéO C'onstans. rue Na/.areih, n. Maurite Moutamat. tjuart. Lanusse Cr -Daurade)- (p| ta Guerre ÊFto-toqtie AillEGE ALBI. -- Les relations Alhi.Montaul»an. — 11 serait facile d'assurer d'une façon normale les relations entre Montauban et Albi. Par exemple les voyageurs quittant Montauban à 7 h. 45 et arrivant à Saint-Sulpice à 8 h. 55 ont l'ennui de constater que le tram de Toulouse-Alibi vient de quitter Saint-Sulpice à 8 h. 41, c'est-a-dire 14 minutes avant Si l'on remarque que le seul train utilisable pour les voyageurs pour aller à Albi ne part qu'à 13 h. 21, on peut déplorer l'étrange réglementation du service des correspondances. Il suffirait d'une modification bien minime dans les horaires pour changer oette situation. i PETITES NOUVELLES Les Saltrates remettent et entrelievment les pieds en partait état, di sorte que vos chaussures les plus étroites vous sembleront aussi confortables que les plus usagées. NOTA — Les Salttates Ilodell, sels naturels très purs et très concentrés, sont vendus à un prix modique dans toutes les bonnet pharmacies Méfiez-vous des contrefaçons. AVIS BË U Mademoiselle Anna ROQUES : Madame veuve Iules LARR1EU, née ROQUES , Madame CALESTROUPAT, née LAIUUEU ; Monsieur René CALES'I ROUPAT ; les familles LARRIEU, CALESTRO U PAT . COSTES, LACOSTE et MASSIP, ont la douleur de faire part à leurs amis et connaissances de la perte cruelle qu'ils viennent d'éprouver en la personne de Du 9 août. — L'aviso Cassiopée a appareillé à Lorient pour le Guatemala, où il représentera la France aux graiides fêtes qui auront lieu en septembre prochain. Mademoiselle Louise ROQUES — Dimanche 14 août, aura lieu, en présence leur sœiir. tante, cousine, parente et alliée, du Pape, la lecture du décret sur les vertus de Sœur Thérèse de l'Enfant-Jésus, religieuse •pieusement dtéeédée lo 7 août 1981, à l'âge de 64 <ans„ et les prient d'assisté» à ses obsèques professe des Carmélites de Lisieux. — Le Lolcal Anzeiger publie un récit ten- qui auront lieu demain mercredi 10 août 1921. dancieux de l'incident Langevin. L'auteur de à lo heures du matin, sur la paroisse de la ce récit, un certain major Schweiss, déclare Dalbade On se réunira A la maison mortuaire, place être le voyageur qui arracha la cigarette des du Salin, n" 19. mains du capitaine français Il ne sera jias fait d'autre invitation. — La Chine a fait savoir au département d'Etat à Washington qu'elle approuvait la IPomp fua. Mualcli . 84, r. Farsammienn. T. tim 1 oate du 11 novembre pour l'ouverture de la Conférence du désarmement à Washington. — Les arrivages de bestiaux ont été si nombreux hier au rnar&hb de la Viflette qu'on 10 n'en n'avait vu de semblables depuis de nombreuses années. En effet, 9.000 boeufs sont arrivés par les différentes gares qui desservent le miarohé. Monsieur Jean BAYLAC ; Mademoiselle — Le commissaire spécial de la gare du Jeanne BAYLAC, négociant en volailles , les Nord a appréhendé en -gare de la Chapelle familles BAYLAC, DAUBER T. GiUBEKT ci jdu Bourget huit individus inculpés de vols MARESTAN. CASTAN, VEBDIEB et MOULIS, de marchandises. prient leurs amis et connaissances d'assister — La 5» Coupe Jacques Schneider, course à l;i messe de n eu vaine qui sera dite le merde vitesse pour avion, a été gagnée, à Venise, par l'aviateur italien Bri gante, sur un appa- credi 10 août 1921, d 9 heures, A l'église SaintFrançois Xavier (Crqtx-de- Pierre) pour le rereil de marque italienne. pos de l'ànie de — Un député libéral indépendant, M. WinMadame Bernadette BAYLAC tc.ringiiïa.m, est mort hier soir dans la salle de .lecture de la Chambre des Communes. Née DAUBERT — Le prix du charbon ayant subi une forte On se réunira à l'église. baisse, des milliers de mineurs gallois se trouvent acculés au chômage Transport des Oovribrs Vendangeurs La Compagnie des Chemins de fer du Midi a l'honneur d'informer le public que, pendant la période du 15 août au 10 octobre 1921, elle appliquera les conditions Ci-après, tour le transport des ouvriers vendangeurs [hommes et femmes), se rendant aux travaux de récolte et voyageant exclusivement cn 3' classe, par groupe de 5 au minimum (ou payant pour co nombre), d'une gare quelconque à une gare quelnonque du réseau : Prix. — Pour les parcours jusqu'à 151 kilomètres (trajet simple), prix des billets daller et relour du tarif spécial G. V. h* 2, corn portant une réduction de 20 % sur les prix du Tarif général ; Pour les parcours compris entre 152 et 44 kilomètres (trajets simples) • prix uniformes, aller et retour, de 21 fr. 55 (majoration et impôt compris) ; Pour tout parcours excédant 244 kilomètres 1 Réduction de 50 % sur les prix du tarif général (billet simple). Yalidilé. — Le voyage de retour ne /peut .s'effectuer moins de dix jours et plus de 75 jours après le voyage d'aller. Demandes de réductions. — Les demandes de réductions doivent être établies soit par le chef de l'exploitation viticole uni embauche lfts ouvriers, soit par le chef de (Troupe do ces ouvriers, si l'embauchage n'est pas encore effectué. Dans ce dernier cas les demandes doivent être appuyées d'une attestation du maire relative au but du déplacement. Les intéressés trouveront, dans toutes les gares du réseau des formules de demandes accomnagnées d'un feuillet explicatif détaillant, toutes les conditions auxquelles sont subordonnées l'application des réductions cidessus. Les demandes, une fols rcmiplies, doivent parvenir à la gare cinq Jours au moins avant la date du départ dee ouvriers. PRIX DES ANNONCES Annonces, dern. page, toutes éditions 3 » Ré< 'lames, 3" page, — 6 »» Faits divers, 3' page, — — 6 >• 3 » Chronique locale, édit. Toulouse seul. Chronique locale des départenentsi (Albi, Foix, Agen, Montauban, Auch, etc. ). 2 « 7 .. Chronlquo locale toutes éditions 13 » Deuxième page. — — Première pa«e, — — 14 » CAHNET nt i.\ ExrnESS. (Naissances. Mariages, Fiançailles), forfait ÎO fr l'Insertion. Avia n.virtuaire : M fr. p. 1 édit.; 30 fr 2 édit.; 40 fr. toutes édition» (supplément de 10 fr. lorsque lo texte dépasse 20 li£nes>. Petites annonces économiques (mercredi, samedi}, la ligne % t 6. 60 i- POMPES FUNÈBRE" GÉNÉRALES — Ccnvots. tentures, cercueils, lettres, etc.. Exhumations et transports pour tous pays. Couronnes mortuaires. Cboix le plus important j. Hue LufayetU -- Téléphone io 30 MARCHÉ DE LA VILLETTE Paris. S e»rts. Bœufs - Amonîs, 5 915, invendus. 1,423 : ira QU4» Mil net, 5.20; vit, 3.tî. 2' «UAlUô. net. 4 «6; vif. 2 23 y qualité, net. sua. vif, 1 uo, fi-tx" exticinei, net. i.«0 a VO. vif, oco a 3.36. Vaci.es — VeteifeeS. 4.** iioeacines, CIS : tri) «uni lie. net 5 *0, vif. 3 12; r ipiahio, net. 4 3«, vit. |U T qualité net. 3 70; vit. i «5; prix exirémej, net, 1.00 à 5 .00, vil, it;"i il 3 se 'taureaux — Amonts 4.7 .1; invendus. 39 : Ire <nU. lite net. 3 .S0: vif. 2.93 r sPUiliif. net. J.5>; v .I 1 15'. 3' qualité net 3 ;K>, vIT. 1 »•>. prix exli Omo». llOt 1.6» H 4. Il): Vif, 9 69 h 2 40. Veaux — Anieii*. 3 491, invemhis, 499 ; ire qniillt.fi. net 8 0-1; vil, 4 £9; 2' qualité, net, c 59, vif, 325. 3* qualité, net. 5.»; vif. ÏW; prix extrêmes, net. 2 .50 à S.»); vif, ! 25 à 5 28. Mrwon». — Amenés, -|.r.42, Invendus, 3.151 • ire qualité. I.Ot. 9.99; vif, 4 32 2' qualité net. c 59; vif, 3 i2; 3' mal i té. «et. 5 99; vif 2 19. prix exirtiuet, net 3.90 à 10 "9, vif. 144 ;'t 4J9. Porct — An.en.îs, 3 799 : ire quallt*, net, LU; vif. 5.W; 2* quaPlô. net. 034; vif. 4.7B; 3" quallt*. not C.t-S; vif. 4 0); prix extrfcmos net, 4 .90 a LS8; vif. 2 50 a 5 19 Vente .rcanvai.v), pr.x en lials.se, pros t ttall. m.oVlotis sans ehaniiromen'.. MAR&HE DU HAVRE nu s aoftt. Cotons -- Tendance soutenue ; vente» too '>allej 1 root 220; septe-nbre. w.i; octol>ro. 220: r.ovunui.^ vis. décembre. 217; Janvier. 217; féc-ler 2 le- nu -s, 215. avril 214; mal 213; Juin, S12; Jullet, 211 Cafés, — Tendance- alnio , ve de» milles août 123 75; septembre. 119 75 .ii lol.re. 1.8 2.S, novembre 117 25, ilécc'nlire. :,U „anvier. 119.75 février 109 mars. 109; avril ia3: mal ,rl, juin isepu lut 1Jet if» lAtnfi. - Taa -Lince calme, ventes nulles ac-UC 429. septembre' 429., , octtf .Te, ,10. novembre 40 >i décembre. 390; Janvier. *0; évrie.- 379; mars. 3St>. se» MARQMfi DES SUCRES Paris, s août, 240 . le.mlan .-6 tr>, l'allée ÇWtlH*. BU '.MO 1,0,0-! ; t-ii'lanci! très faible Cote officielle. 319 S 9t» (MiMrtcre. MARCHÉ DES VINS ... . Ni me*. 8 n<*H. Ii -oc. -I\ boa (roili. s'a - a„« j ,v,c fr .- .11 de vie "o"'' .1» ni s ir vies reno,..- aramoi» B ion t agues ,t« v. S- à ,ie ci 7:- fr . bVaae bourm. on 1, .le 75 | s;, «e es k 73 fr , arjftonris blancs i, ( 0* j ir, Ce. et à 75 it.. Je tout 101 pris prip.-i.-tfi fT a T(~L |IAINRT> KR|», MARDI CHEMIN DE FER DE PARIS A ORLÉANS Rrésil 1385...:.... — 1903 , — Rescision..., Espagne li.««r~... Mexicain 5 % — 3 % Uakou lialia liraXpan La Compagnie d'Orléans organisera, du M Juillet au 15 septembre 1921, plusieurs circuits automobiles pour permettre, au départ de Rocamadour et de Brive, la visite des sl Intéressantes régions du Haut-Quercy, ' du Sarladala et du Bas Limousin. Cape Copr^a* Cliartered..,. ...... Oii I no , Crown Mipes (De Iteetrs orijln™.. — Préférence.. . — Au départ do ROCAMADOUR (garo) Circuit A. — Les GOUFFRES des CAUSSES Départ : 9 h. 45. — Retour vers 18 h. 30. — Les jeudi et dimanche. — Prix par place : 85 francs. Rocamadour (gare), Rocamadour (ville), L&cave (déjeuner), Martel, Cirque de tVItmtvalent, Carennac, Saint-Céré. Montai, Padlrac, Alvignac. Rocamadour (gare). Circuit B. — Les P ANORAMAS du SARLADAIS Départ : 9 heures. — Retour vers 18 h. 30. — Le mercredi de chaque semaine. — Prix par plare : 40 francs. Rocamadour (gare), Rocamadour (ville)} Bouillac, Surlat (déjeuner), Beynac, Domino., Vitrae, Saime-Mondane, Souillac, Docamaâour (gare). Dletrtch Easiern F«tst Rand EslréUas Ferreira4 Genuld %...... — 6 % — — 1917 4 % .... 191S 1941)5 %lu>.. i— l*»ti % Intl.. — «feU6%n .J. Crédit .Nauuual.. — iajo... ©uest-litat l'unis lt*8 Tony, in isauigascar 3 {%. i% 56 f>3 SO 81 66 66 95 97 9o 462 465 311 260 Br&it \sm — i % Alt-ïfius Occident. teaoGlilue iswtt... — i»i3 ; M*. '•:>•. I9t* — 181S «SSrie S % 18SS «- quart.,»..... — vm 50 15 . . 50 . . . 50 00 . . 50 iO Espagne *"-«iit"„ Holrlén.Vju». •>...' IVade :--«.Sn»i> 1301» — 18OT.... " Î8â«.. — l»lg 212 iO Marée isii........ — 1810 , 210 50 5? — tes*..., 260 75 — quart..» ..... 65 7ô — quart — — — — — — — 1— — — ., Norvège Portugal.......... — OW Tabacs. Roumain Russes tt«80 — ISS9 — Consolidé — 1901 — 1Ï9I. — 1R96 ;. ...... »" quart 61 . ISSMÎ. 260 ' cinqutèL»9... 52 190Ô 322 25 ojuart. " 25 2 3/4% 1610 213 ô(j demie it» 75 t % 1310 213 quart..»...., 52 »j iaia 19; 50 1917 4"6 cinquième... 93 -t. — 3 ï %.., — i9r^i. ......... — 1909 — 1814 Serbe 1395 — 18!» — 1S06.. ........ — 1909 , — 1913 Suède Suisse Turc Unifié — 1914 Hanq. Bs.sio-Plata Atbènes Laod Uuiti — — libéré 1619... 35!) — non lira. 1S18. .. " Banque France.... yj -'o " — Algérie — Parte Cle Algérienne.. Comptoir Foncier Algérie. .'>,^ ' 5 30 q ' '1220 Crédit foncier.. 931 , 340 699 154 — 1888... 270 . •» Î886 283 .. — cinquième... 59 . — I8t» 2S3 50 — 19U3 29 i 50 — MH» 163 . — 1813 313 . — * % 1913..... 374 .. — libéré 1917... 259 — non lib. 1917. Bons 1S87 ''76 50 1SSS 87 50 OOJHîïni noies 1«79.. 129 75 — cinquième... 87 — 1S90 452 50 — 1691 253 — 1892... ....... 27H .. — 1699., Î72 — ivœ '99 . — 1912 158 .. — 1t«0 443 . foc. Marseillaise.. 5(53 . . Crédit Lyonnais.- <3o0 . . — M-ivbilier 4>5 . . feciéts Générale.. 690.. kCtlue Fruucilae. 287 .. — Hat OWrfflL. «5 Daloa ParUle&ae. ' Sente Foncière.... *>'•» • Sôae Giielma *o5 .. — OibligatWB. . iW tat Algérien «2 .. — Obligation». 256 .. Rat 5o'6 — OiMijratioB. . 3i2 .. — Nouvelle.... 281 75 — 2 1% 274 . . Lyon 73u .. — OM.ga.tiMk. . 312 .. Méditerranée 5 %, 458 50 -- 3 % * 238 . — Fus,ion 4 tj8 . — Nouvelle.... 262 ?5 — 8J% 254 50 Midi — Obligation.. m 75 — Nouvelle.... 266 ~ 2 1 % 258 Nord ,-20 — ttURgatton.. 289 — Nouvelle.... 21)2 — 94% 2*7 806 Orléans usas — 1904, — MX».. Gaine iSSa... — tWB., — 1003... • • <>** — 1800. — ISii... — !913 iîgrpte ÈJntflée.... — 3 i % .. *» ISK... ........ 4a3 io — 1908 10 Bulgare ii 20 a* 63 325 3u5 335 385 4*5 322 Siaeis \mi 3u8 VUKctfS PatlslSei. 569 — 1SÎ1 330 — «.«art . «S — 1875 419 — T«epùeiî«t t Angleterre.....,,»,. Argeatui MS8»,.,.,. — 189S — lfWO.. — 1907. ......... — 1909....,,..,.. "~ lGli <i[., r<ït , l B«iee 40 45 ;u 45 tsO â 25 .. . .. .. Espagne Qoram" îtalleane Mexique Londres» Mexico.., , Ottomane Franç. Rie Plate.. Orient Foncier Eg-yptlic. Andalous — Obl®at. tf\. Atchlson.. Contrai Padfl ...... Chic. Mllwaw .-«e.. Congo Gels Li es... Lombards.. — Obllgat on... — Neuveï e Mérldionaui .. .... N.-York N.-Î(aven. Nitrate-Rat way.. Nord Espa? n« — Preni 1ère PalCî>elui» ) Barcelone Asturtes.. ] 5to . . 89 50 857 »? 30 ..... 75 75 50 25 .. 50 . . .. 50 .. .. 50 .. ».»«...... Piebel tu OuAsta 910 Vieille Montasme. P 24 Klnta Jouissance. 132 Parts SuiheTfcie Peinte A Fïtre... ftumatra.. TapanoctlB , .. . • -* •• .. • • • •• •• •• • • " '• 3i5 130 1235 475 190 415 8o3 115 * 5 7 35 75 136 267 '" 254 203 ' ' 443 430 532 «jo 525 li» 101 133 383 45 179 146 1« H 430 533 43 44 740 '' '' 35 25 S5 56 ^5 75 7a ' " 11) 23 52 18 35 21 50 22 ^5 1» . il 25 17 00 28 93 21 30 il .. 41 50 34a 264 i;8 ' 51 .. l4'> 40 41 .. 35 . 31 25 390 .. 98 .. 249 . . 388 461 409 ÏS2 615 332 100 930 340 236 46 85 26 13» — *%t" *7 — * % s* Rallwr Electrkj.. 300 155 BaJoD que 415 Sara/ otise 404 — Première.. .. 369 VVa? >nst,itg 129 Brtîjnsk OrliMdi» 100 — Préférence.» 58 M> «eevka 1405 Rio Tinto 621 S- «nowlee , 30b Central Mlulng... 50 1 .againa* 210 ' ^uîtaro 493 Azote » 2085 Est lAslattCfl». 343 Napbte 227 Carpet... Provodntck \b * Raffiberlcs Egypte .j"0 — Paris 'J 2 ;; Tabacs OUoin&ea.. l ; Jo Pfeillppmsa.., Portugal »- 5 Crédit cemmeic',. J19 ï-^iemliLS A-tgêrte.. lz 5 CBibtes Té»jrrapb. 560 Enejirie Médlterr, */8 j .'. .. . 50 . . .. . .. . .. 50 . .. .. .. .. .. .. .. .. .. .. . .. .. î» J. M. B. C. M. 18. — 1° L'indemnité temporaire des petits retraités de l'Etat (T20 fr.), supprimée par la loi des majorations de pensions d'ancienneté (26 mars KM», n'est pas rétablie. Le projet adopté à ce sujet par le Parlement n'entrera en application que lorsqu'il aura fait l'objet d'une loi nouvelle dont le « Journal Officiel » n'a pas encore enregistré la promulgation ; 2° line veuve de militaire qui reçoit une pension de 800 ïr., majorée de 300 tr. pour chacun de ses eniants, est en possession de tout ce que lui accorde la toi sur les pensions. Quant à 1 anvrage de 6.000 francs dont il s'agit, je n'en connais pas la provenance, et je ne puis émettre aucun avis. — Remis 2 francs au journal ; reIXl'GiTC i GJÏlG'Tlt'S A. B., CafcVerets. — Il appartient au souisintendant du chef-lieu de département dont dépend le domicile de la veuve d'instruire cette affaire. Une demande de pension et de majoration pour les orphelins doit donc lui être adressée, en l'accompagnant d'un certificat visé par le maire, du médecin traitant pendant la maladie qui a occasionné le décès. Le dossier sera ensuite complété par les pièces que désignera la sous -intendance. Au cas de rejet de pension, il pourra être fait une demande de secours, qui sera adressée au ministère des pensions, 66 rue d« Bellechasse, à Paris — Remis 2 francs au Journal ; remerciements J. M. 58. — 1° Le 211° R. I. est au nombre des unités combattantes qui sont susceptibles d 'ouvrir le droit à la médaille interalliée de la Victoire ; 2 3 Les militaires rendus à la vie civile qui sollicitent l'autorisation du port du ruban de cette médaille adressent leur demande à leur dernier corps d 'aiflfectation ; en ce qui vous concerne, au commandant de la 17» section de C. O A., à Toulouse. — Remis 3 francs au journal ;remereieimients. A. C. 20, Ciment. — Aux termes de l'article 50 de la loi du 31 mars 1919, l'Etat vous doit la différence existant entre la pension d'invaliiiité, 1.560 francs, et la rente de 773 francs dont vous jouissez en application de la loi du 9 août 1698. sur les accidents. C'est donc cotte dilfeirence, soit 787 francs (et non l'intégralité de la pension d'invalidité) qui vous est due, à titre de mobilisé dans une usine travaillant pour la défense nationale. — Remis 2 francs au journal ; remerciements. Commandant ô. SOUVILLE. - t% - £ 128 50 ! — KMditerrm. >fc»în.'V«9 !32 Cbftt. Commentry. mncoOb ... Comment. Fourca. Dyle Bacalan...;. _ ge^tae "J • Decauvilie - BordeauK.... 160 Fives IJlle - Var. ,BH . Alats - Nlco W3 . Voitures i;20 Aciéries Marine... Aaaoctat. Ulalène. 180 . Longuevlîle.. ...... >quhao 00 — Parts Boléo 316 Denaln Anzin..... Jeumoivt 315 Creuset Cuivre Pyrites.,.. 250 Arièjre Elect. Métallurgie. 902 • TréUlertes HaïTB.. 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'",;) taw 322 131 1-64 2ol 9TJ 233 «30 1420 2100 245 159 272 loi 47 130 -^3 jj.jy adt) IOJO iu'u jyi 530 u5o 15 0 j^à 1240 VExpress du Midi est en vente chez MM.: En vue de faciliter aùx voyageurs l'accès du nouvel express Bordeaux-Strasbourg », la Compagnie d'Orléans vient de se mettre d'accord avec les Chemins de fer d'AlsaceLorraine et de Guillaume-Luxembourg, en vue du transport des voyageurs par billets directs simples et d'aller et retour, ainsi que des bagages et des chiens, entre un certain nombre de gares de son réseau et de celui d'Alsaee-Lorraine, en transit par ceux de PL.-M et de l'Est, vià Moulins-Petit-Croix, ou Arouiins-ls-sur-TiLle. Les gares de la Compagnie d'Orléans autorisées à délivrer des billets et enregistrer les bagages dans ces conditions sont les suivantes : Agen, Angers-Saint-Laud, Angoulême Bats, Baule-Escoublac (la), Bordeaux-Bastide, Bor» deaaix-Saint-Jean, Bourges, Brive, Châteauroux, Cahors, Coutras, Croisic (Le), Libour» ne, Limoges-Bénédictins, Lorient, Montauban Moniluçon, Nantes, Pérîgueux, Poitiers, Por» 11ir.net, Pouliguen (Le), Quibcron, Quimper, Redon, Ruffec, Saint-Nazaire, Saumur Tours, Tulie, Vannes, Vierzon, Villeneuve-sur-Lot. Ces nouvelles dispositions sont dès maintenant applicables. ALET i M. Doutre (Pierre). AMELIE-LES-BAINS : M. Estieu ARRE AU-CAOÉAG : M. Ribot, tailleur ARGELES-GAZOST : Gltre, journaux. AX LES-THERMES ; M. Emile Bunuel. AULUS-LES-BAINS : M. C. Rivièrfc AUDINAC-LES-BAINS : M. Darron. épicier BAC DE-BICORRE : M. Frêmat. libraire M. Sajous, libraire ; M. E. Gaubert, libraire Mme Pierrette Soucaze, à ra.mpan. BARÊGES : Mlles F'rilet. sœurs. BAYONNE : M. Tastet BIARRITZ : M. Tuzague. BANYULS ! Barbe Pierre, tabacs CAOEAG-LES-BAINS : Mlle Sajous CAPVERN : Mme Joséphine Carràre Mlle Dastugue, libraire. CAUTERETS : M. Gallet ; M. Luche, II- Petites ÂiGices Econoiip j j 1 : ' | ; | CHEMIN DE FER DE PARIS A ORLÉANS I I Il est rappeié aux Touristes et Baigneurs ; désireux de se rendre.. dans les stations thermales d 'Auvergne, que les relations entre Pa- ! ris et ces stations s'établissent commodément, ainsi qu'il est indiqué ci-après : Service de nuit. — A) Jusqai'au 19 septembre. — Départ de Paris-Quai d'Orsay à 22 heures ; arrivée à E vaux-] es-Bains, 7 h. 23, à La Botirboule 7 h. H9, au Mont-Dore 7 h. 39, à SalnbNectalrc (P 9 h. 30. •• • •• i^jr, •• §40 ' CHEMIN DE FER DE PARIS A ORLÉANS EXTENSION DU SERVICE DES LOCATIGM3 DE PLACES DANS LES TRAINS En vue de donner de nouvelles facilités au public pour la location dec places dans les trains qui entre de plus en plus dans les mœurs, la Compagnie d'Orléaus a juge utile d'étendre ù un certain nombre de points de son réseau le régime primitivement restreint à quelques grandes gares Des ticuets garde places de 1 , 2' et 3 classe sont ainsi à la disposition des voyageurs dans certains trains rapides et express de Erand parcours dans les gares de : ParisOuai-d'Orsay, 'Agen, Angers, Angouième, Aurny \uriilac. Bcffdeaux-Bastide et BordeauxSaint-Jean, Bocirges, Brive, Cahors, Châteauroux La Baule-Escoufclac, La Botirboule, Le Croisic Le Lioran, Le Mont-Dore, Le Pouliffiien ' Libournc, Limoges-Bénédictins, Lorient' Menlluçon, Nantes, Orléans, Périgueux, Pornichet, Quiberon, Quimper. Saint-Nazaire, Toulouse. Tours, Vannes. Vie-sur-Cè-rc, Vierzon. T— ' &*n r RIX - dos - ludû " 1113 " 41 ,0 - 1 IV. 50 la licjrio LE Entrée FRANGE " Wn :: SXP JSttT M «S&i \%& mn IHmréiTmi 17, Rue d'Alsaee-Lorraine, Toulouse ''.S PAPETERIE. LIBRAIRIE. .JIJ.Îtlilre;!.». HALL DE PUBLICITÉ ARTICLES DE BUREAU. PARFUMERIE. LIRE TOUS LES JOURS Les Nouvelles de la Dernière Heure, Faiu Divers, Sports, Bourse, Journaux Illustrés Modes, Actualités Photographiques, " MAROQUINERIE. OBJKiS FANTAISIE. IMPRESSIONS £N TOUS GENRES. Au Hattcte VEXPRESS, sont reçus les Abonnameni et Ordres ci 2 Publicité 48, Rue d'Aisace-LorrasÈie, TOULOUSE La Pins importante lannfaslare Française û] vetome:its COSTUME CHASSE, trois pièces, en très beau coutil COMPLET CHASSE, trois pièces, cote de cheval, qualité 62. » gg yy "COSTUME" CHASSE, très .belle - >• toile impermcahlo j COSTUME CHASSE, trois pièces, toile nationale qualité extra BLOUSE CHASSE gabardine imperméable.... .' 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SUi'nt-Nazaire; Toulouse, Tours. Vannes Vic-sur-Cère, Vierzon. Pour tous renseignements, s'adresser aux gares intéressées. -^et- p LES MEILLEUR MARCHÉ ROBES, BLOUSES, COLIFICHETS, MANTEAUX,. TAILLEURS HABILLEMENT Rhumes, Angines, Grippe, TUBESCULOSS. Maladies de PEAU : Démangeaisons, Furoncles, Eczémas, Acné, Ulcères variqueux, Brûlures, Coupures, Maladies des YEUX : Onctslmie, et). SONT GUERIS PAR L* 1 PI.:.US PUISSANT ANTISEPTIQUE? INDISPENSABLE oour la TOILETTE !NTtN!R iPréservatif et Caratif des MALADIES de la FHIV1S.1S : jjBïétrites, Pertes, Cancers, Suites de couches, etc. | ADJUDICATION RES TREINTC. A TOULOUSE LE 29 AOUT 1S21 Confection de : 5.000 (cinq mille) paires de brodequins officiers. ; Les déclarations •n tenant intention de soumissionner et 1 s pièces qui doivent y être jointes devront ; arvenir à la Sous-lntendance de l'HabiUeme nt, rue Duranti, à TOULOUSE, le 16 août 1 321 au , plus tard, Pour tous autres i enseignements consulter les affiches et s'ad 'esser à la Sous-Intendance de l'Habiltemc nt, rue Duranti, à TOULOUSE, et aux Sons- intendonces de l'Habillement des 11 e, 14 e et lô 3 régions. BÉS ©s3 ©HSSAïrF PARFAIT VVh"". Pmx: Sfr.le flacon pour 20 lit. Brochures. ' 8» de l 'ANIODOÎi, -40, Rua Cocdorcat, Pari*. J, DAVER. - P ARIS Revue illustrée mensuelle d'instruction religieuse pour les familles, directeurs et directrices d'œuvres, maîtres et maîtresses, catéchistes, candidats aux brevets. L'abonnement, annuel, est de 6 fr. et peut partir de chaque mMs. Directeur M. l'abbé Etienne Oasson, li, rue Auguste-Ccmte, Lyon. Sommare du numéro d'août • L'Assom-ption de Marie et les triomphes db la pureté. — Renseignements religieux. Conseils utiles, Notes apologétiques au jour le jour : Pratiques à observer ; Calendrier liturgique. COMPAGNIE DES CHEMINS DE FER DE PARIS A ORLÉANS, DU MIDI ET DES WAGONS- LITS. SOCIÉTÉ DU PRÊT GRATUIT, fondée S Toulouse, en 1828. — Bureaux situés rue SaintJean, 3 (près la place des Carmes!, ouverts lea lundi, mercredi, vendredi, de 9 bernes du matin à midi. — Prêts sur gagea. TRAIN RAPIDE DE LUXE « PYRÉNÉES COTE D'ARGENT Mise en marche entre Paris, Bordeaux, Biarritz, Hendaye, Pau et Lourdes, avec correspondance sur l'Espagne et le Portugal, et jusqu'au 85 septembre inclus, sur Cauterets. Ce train, exclusivement composé de wagons-lits, comportera en outre un wagon-restaurant entre Paris et Saint-Pierre-des-Corps. YÔYO SANS POOS fi TASSE Garanti Toutes _. Retour du 12 aotH ai; 9 octobre (.inclus) Cauterets départ 19 h. 5 (1) : Pierrefitte, départ 20 h .»43 (11 Lourdes, départ 21 h. 49 , Pau, déoart ag h 31 ; Lisbonne, par Medina départ Su h. (Les dimanche, mardi et jeudi.! Lisbonne, par Madrid, départ 15 h. 25. (Les lundi, nercredi et samedi.) Madrid (Nord), départ 9 h., Her.f M, départ 23 h. 15 ; SaintJean-de-Luz, départ 22 h. 31 • Biarritz-Ville, départ 22 h. 37 ; Bordeaux-Saint-Jean, départ i La plus fraîche la plus parfuniée 2 lî 23 Paris-Quai d'Orsay, avivée 11 h. F), j Correspondance a lit frontière avec les i trains express de ou sur Madrid et Lisbonne, j Renseignements et location à la gare de Paris-Ouai d 'Oisa"^. à l'Agence Orléans-Mkh, L N VENT£ PAR OUT 16, boulevard des Capucines, Paris, ainsi qu'aux agences de la Compagnie des Wagon .jLits. Nota — Pendant la période de circulation du train rapide (de luxe) « Pyrénées-Côted'Aruent », les trains rapides 23 P. O. —CADEAUX POUR FETES ET MARIAGES 11 Midi — 10 Midi — 24 P. O., circulant entre Paris. Biarritz et Hendaye, ne compren- OBJETS D'ART, DÉCORATIONS ET RUBANS dront aucune place de luxe. Maison AVERSENQ Toulouse, 4 rue do la Poste, Toulouse Fabrique de joaillerie, bijouterie, orfèvrerie. Vente directe sans intermédiaire. POUR CR0QOER o et tontes les Plimnacias, Ml. 11 CABINET IMM0EIUER, 17, rua tJ'A.OS^ lait i tendra, acheter immeubles, eommoreca. {JÉ%($%Ô mtunban < 'i 'nrn.-eMT. VOS ORGANES le SAM Gr çomOat te^ rhumQU^me^' par poAs 2* fa A LA CROIX-VERTE, 11, r. Rémusa.. Toulouse iS«u"H • fca>»*! • tas— » 1 TRANSPIRATION vaincue pair l'EXSUDOL, ^ VJZ^fàA^n adeur et donAe • OIGNON DU TOULOUSE Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés BGE hlectrolyse, Serums et Yarrin* 12. (lue ti'Aisaoe - TOUIOOS» Ouvert de lû h. t 6 U.. mardi esxsia» PIED fiUX I le aérant AMBI'ÉE BESSON Imprimerie sréolala. PiJTi3s, Métaux meubles, vestiaires, vieux dentiers or et aX* gent, pièces démonétisées, etc., au plus nau» prix. 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Cartes do Vîeito PPP7 Çni ,rava 'l "tanuei fan, b. payé, Un Cl. OUI s. quittei emploi. Ec. Ets. Rivière, 18, r. Pierre- Corneille, Lyon. RIVAL Pur Cac 47, Sue d'Alsaee-Lorraine. il •n 2 mois. Ecrire ; Judenoe. 5 /• rue Dunkeraue. Paris» qui soit cuit à l'Usine 1 — Aller du 11 août au 8 octobre 1921 (inclus Parts-Quai d'Orsay, départ 19 h. 14. Bordeaux Saint-Jean, arrivée 3 h. 55. Biarritz-Ville, arrivée 7 h. 27 ; Saint-Jeande-Luz, arrivée 7 h. 38 ; Hendaye, arrivée i 7 h. 49 : Madrid (Nord), arrivée 21 h. 10 ; Lis- 1 bonne, -par Madrid, arrivée 16 h. 16. (Les lundi mercredi et vendredi.) Lisbonne, par Medina, arrivée 9 h. 50. (I>es mardi, jeudi et samedi.) Pau. arrivée 7 h. 37 ; Lourdes, arrivée 8 h. 31 : Plerrefltte. arrivée 9 h. 14 (1) : Cauterets. arrivée 10 h 03 (1). '«TOME INFIRMIERE est le seul Chocolat HORAIRES LE PLUS GRAND MUTILÉ DE TOULOUSE qui se tient toujours à la disposition des personnes qui voudraient bien lui faire leurs commandes de tous Vêtements tricotés. 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Service de jour. — Jusqu'au 30 septembre. — Départ de Paris-Quai d 'Orsay à 8 h. 01, arrivée à Charnblet-Néris ,Néris-les-Balns) U h. 4ô. à Evaux-les-Bains lô h. 04, à La Bouitboule 117 h. 59, au Mont-Dore 18 h. 20, à SaintNectaire (1) 20 heures. xJtjs^ x ^jrr, Assortiments VOYAGES AU MAROC PORT-VENDRES : M. Matirette. RENNES-LES-BAINS : M. Flamand, coiffeur. SALIES-DE-BëARN : M. Landreau, libraire. SIRAEAN : M ^Jio, à Salécium. USSAT-LES-BAINS": M. Ruffie. tabacs. ViCHY : à la Gare. L'E.rpres.s dit Midi publie, deux fois par semaine, le mercredi et le samedi, en quatrième page, un tableau spécial pour les PETITES ANNONCES ECONOMIQUES. Ces annonces paraissent dans toutes les éditions. Elles figurent sous les rubriques : Offres et demandes d'emploi — achats, locations et ventes — fonds de commerce — occasions — chevaux, voitures, autos — cours et leçons, etc., etc.. Le prix de ces annonces est de 1 fr. 50 la ligne par insertion. Chaque ligne se comnose de 35 caractères d'imprimerie (lettres ou signes de ponctuation) .II est donc aisé de connaître d'avance le montant de l'insertion. En raison de la modicité du prix et pour éviter envois de factures et recouvrements, les PETITES ANNONCES sont payables d'avance ; le montant doit être ioint à la lettre d'envoi. Pour les mentions : « S'adresser au bureau du journal ou Hall de l'Express », ou bien encore : « Ecrire à des initiales ou à des noms conventionnels », il est --erçu un supplément de 1 franc. Les réponses aux initiales ou aux noms de convention adressées aux bureaux du journal, doivent être retirées par les intéressés. Elles sont transmises sur demande moyennant le paiement de 1 franc nour frais. L'Express du Midi se borne à publier les textes qui lui sont confiés : il ne fournit aucun renseignement sur l'objet de ces annonces. Pour cette publicité, il n'est pas envoyé de numéro justificatif. Ces annonces doivent parvenir au journal le mardi et le vendredi, avant midi, dernier délai, pour paraître le mercredi et le samedi. I2UA»..EII^-02 a-Xili CHEMIN DE FER DE PARIS A ORLb /iNS 1° Par Bordeaux-Casablanca. Billets directs simples des trois classes, valables 15 jours, de Paris-Quai d'Orsay, Orléans, Tours, Limoges et Cannât pour Casablanca et vice-versa, avec enregistrement "direct des bagages des villes ci-dessus pour Casablanca. Au départ des gares de Paris-Austerlitz, Blols, Bourges, Châteauroux, Montargis, Vierzon, Le Mans, Vendùme, .Angers, Saumur, Angouième, Poitiers, Aurillac, Brive, Périgueux Qermont-Ferrânï, Montluçon, Moulins, Ùssel, Lorient, Nantes, Saint-Nazaire enregistrement direct des bagages de cale pour Casablanca sur présentation d'un billet pour Bordeaux (Bastide ou Saint-Jean) et d'un billet maritime de Bordeaux à Casablanca ou d'une lettre ou dépêche constatant que le voyageur a sa place retenue sur le paquebot. Traversée Bordeaux-Casablanca en trois jours ; services hebdomadaires dans chaque sens (départs tous les jeudis). A Casablanca, délivrance de billets au départ de Bordeaux pour toutes gares françaises et enregistrement des bagages pour les mêmes destinations par l'agence de la Compagnie d'Orléans, 4, rue de l'Horloge. 2" Par l'Espagne et Tanger. C'est la voie offrant la plus courte traversée maritime (3 heures seulement entre Algésiras et Tanger, avec services quotidiens). Entre Paris et Algésiras, viâ'Bordeaiix-Madrtd et vice-versa, billets directs simples ->t d'aller et retour avec enregistrement direct des bagages. Les billets Algésiras-Parts peuvent être obtenus à Casablanca, à l'agence de la Compagnie d'Orléans. 18 — TOULOU iB 18. Rus Deriîert-Rochereaa, Relations entre le Réseau d'Orléans et les Chemins de fer d'Alsace-Lot raîno et de Guillaume-Luxembourg, pour le transport des Voyageurs, Bagages et Chiens. EAUX-BONNES : M L. Lavigne. LAMALOU : Didier Mezoul, dépositaire. LUCHON 1 Mme Estrade, bureau de tabac ; M. Dourteau, dépositaire de journaux. LOURDES : Miqueu. LOURES-BARBAZAN : M. J. Raygot. LA NOUVELLE : Mlle Joséphine Larmet, et Mme Jean-Pierre Pons, épicerie, quartier du Fort.. LA FRANQUI -PLAGE : Mme Périer, épicerie, Etablissement thermal. PIERREFITTE -NESTALAS : M. Gerde re- 50 HntchiTison Colombta 30 -'.- 50 Wyotmtmr Ord1n~ 105? 50 75 — Privilégiée. Grosnyl OrdtnaHe PrtvilAeîee. i:",. Omnlium Pétroles. Monaco Ct-wrnrlèvne. 4375 .. 50 — OWlpailou. !>60 .. 235 .. 50! NV^d Brésil lSo ôu Royal Dente» 73, , Huelva M yfass, Maritimes.. oo . c NOUVEL BORDEAUX-STRASBOURG Voitures directes des 3 classes. — Wrtjr-ns-LIts avec couchettes entre Paris et le Mont-Dore 72 V. es 50 4 d'Ea(i!j biaire. Les renseignements donnés sont gratuits : cependant certains lecteurs des « Renseignements Militaires » ont pris l'habitude de joindre une offrande à leurs demandes. Celles-ci continueront à être versées à notre caisse d" propagande. 720 670 -• 220 -. 618 226 425 454 45t 478 447 uai)$ le? Ville? VOYAGES ' AUX STATIONS THERMALES D'AUVERGNE I (1921) j .. .. .. . •• .-• 30 •• •• • _ EXPRESS • Du 8 août. Fonds d'Etat français. — 3 % au porteur, 56 20, 66 60 ; 3 % amortissable, 68, 68 35 ; 3 J % amortissable tout payé, 5 %, 81 25, 81 G5 : 4 % libéré 1917, 6S 40, 6G 80; 1948, 66, 66 50 5 % amortissable 1920, 95, 95 50 • 6 % libéré, 97 ; Ob. Crédit national 5 % 1919, 454. 456 ; 1920, 4C4, 466. Emprunts de Villes — Ville de Paris : Obligations, 1671 3 %, 330 ; 1834-ls95, 2 è %, 212 ; 1005. 2 3/4 %, 322 ; 1917, 5 è, 495, Valeurs françaises. — Obligations communales 1880, 453. — Foncières 1833, 266 50. — Communales 18911, 252 50. — Foncières 1695, 286 75. — Communale 1939 libéré, 440. — Est, actions , ex-coup. 127, 560. — Bons décennaux 6 % fusion ancienne, 268 50. — Midi, actions, ex-coup. 132, 672. — Nord, actions de jouissance ex-coup 103, 511. — Orléans actions, ex-coup. 138, 806. — Ouest, actions, ex-coup. 2 612. Valeurs diverses (actions). — Mines de Carmaux, ex-coup. 82, 692. — Mines d'Albi, ex-coup. 26, 401. — Chemin de fer à voie étroite du Tarn, ex-coup. 50, 95. — Pyrénéenne Ex. 10, 490. — A. Ferronnerie du lidi ,ex-coup. 36, 1050 — Banque Courtois, y-coup. 2, 1053, 1055. Valeurs diverses (obligations). — Oib. Epargne 6 % 1916, ancienne, 425. — Ob. Marina Niger 6 %, 452. — Cociété des vins de lanyuls 6 %, 4M). — Ob. de 1000 fr. chemins de fer et hôtelsdemontagne 7 %, 1030. Londres, Changes. "— Espagne : 10-5 1/4 46, 48 à. -Q L * « EXPRESS » " " " " ' ' ' •' " " 'M — » * r — *% 2; 37 fi 26 17 .. Taganres 160 6* MbraiijraayUt* 22 Thnrst» ^. 1.3 .iTobacéo 343 Toula. 191 Tranjsvaal 40 Tuiies Sosncwlce.» 97 75jr*taJi Ceuuer 617 19 2 J Village Deep. — Main 35 Wa.!fon« «0 Chargeurs FrMte. 805 m Métal 143 Brasior 81 rm ieprovienu». . . . 765 75l>onet7. 355 50 Hotcbkita. . 2ol Motoblc*. 41 Gnome... 21)3 Pe-utoKl. 3J0 25 Peuseot. 400 '" S:uituu-Ti»«i.. 734 .-iB-HKk. , 385 .-. Albi. 400 76 HiKiury 1070 30; BraaT20.0 5ti| Czeladl 720 Ekaterln-iw**..,.. 255 Catemou 230 Bourse de Toulouse ObJigatwm.. .ta:, Nouvelle .... 2o3 23 i — sti «02 Ouest — Obligation.. 293 — Nouvelle .... 277 50 — 5 * 163 9 1 254 Enerpie Industr... H8 7o Ouest AJsréT'.an..... ,10 . Enerir. Sud-Ouest. 289 . — fumigation. . 234 • Générale Eloctrfc. 833 Cad Itoanee 93 . KaiFralae Energlo. 315 — Obligation. . 237 . Oaz Parts 234 . Decta; Marseille. .. 334 . Courrlèrea.. ....... • Mgfts Généraux. 500 . Lens , 214 . - TranKiU.anttque. . 241 . Canmaux 69o . — Priorité ira-raid Combe •'<" • — 3 % 259 30 Krtvo: Rojï 61 J, — * % 354 Mteçs Loire -°Messageries -02 50 A.tfrérie Tunisie.... »440 . — Priorité zC i . . Mines Fer '>' — ? î % 8'21 2o Meikta 2350 • 376 50 Nielle! ^> Métronotitaln 3 J 0 .. Aciéries France... 550 . - 3 1 % 331 . Cbanners Fi 'ance. 3u0 . 3^9 .. — Lolne 8o0 . Nord -Sud 164 .. — Naval-Ouest. 102 . - s % 313 . — Gironde 724 . Omettras 0-0-.. — St-Nazalre... 850 % 325 .. — — 156 24 117 2(i 43 151 1921 CHEMIN DE FER DE PARIS A ORLEANS 25 STsansS.... 30 Slinmer... . 'Spasky.... 50 Spies COURS DES CHANGES "Londres, -56 -58 1/2 ; New-York. 12 75 ; Allemagne. 15 3-/4; Argentine, SÎ3 3/4; Belgique, 90 1/2; Bulgarie, 10; Espagne, 166 1/4; Hollande, 394 li/2; Italie, S5 1/2, Norvège, 16-1 ; Prague, 16 3/8; Roumanie, lfi 1/2; Suède, 264 3/4 ; Suisse, KM 1/2; Vienne 1 3/2. "musse lùMiNit 3 taî 131 41 113 83 23 I ona ....... .....»» 2' Llanosoff 441 Maiacca Ornlin"... 8> — Préié-fene/j... 77 Maltaof 218 Mexlc. E.^gle «ird. 240 — l'réîêrftïice... Ï4J Meiicû 207 Miami 295 Mo .iei -rontein 71 Montocattnl 69 Mount Elllet 4i NorW. Caucastaa ... 38 Padaag., Ptiospriatea Tnnto. 128 463 Platine Québec. ...... ...... 544 283 Raisins 2JÛ Ra>ndton!etn •• 37 Bandndnes 113 Ray |t)5 Robinson De*®.... 22 - Gotd 21 Ruesian OU......... 40 Kuialà Iaurluo) AU PARQUET i 97 5 (1!) n naAnc9u»ca.. ...... Jai.erstonteta. ..... Du 8 août. 3 135 108 109 85 114 33 82 56.'. 152 120 160 85 34 28 24 GoM Hors* SIM».. Gotdfleia» Hartmann. Uiut Voisa M. — Au départ de BRIVE (gare) Circuit 1. — Les Conçus de la DOUUOGNE Départ : 12 heures. — Retour vers 19 heures.1 Tous les jeudis. Drive (gare),- Turenne, Les Qualrc-Routes. Vayrac. Carennac, Bretenoux (Châieau dé Castelnau), Beaulleu. Argentat, Roches-de-Vic, Beynat, Brive (gare). Circuit 2. — Les MANOIRS du HA(JT-QUEUCY Départ : 12 heures. — Retour vers 19 heures. — Tous les dimanches. Brive (gare), Turenne, Martel, Cirque de Montraient, Saint-Donis-près-Martel, Carennac, Montai, Bretenoux (Château de Çastelnau-j, Beaulieu, Meyssac, Collonges, Brive (gare). Prix par place pour les circuits 1 ou 2 • 46 francs. — ». Butte jCaoutchOtics. ! nroettM s % ... éâte-urussabla s %. AOUT EN BANQUE Argentin 0 CIRCUITS AUTOMOBILES LE HAUT -QUERGY LE SARLADAIS ET LE BAS LIMOUSIN DANS 9
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