491 Juin 10 N°160

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491 Juin 10 N°160
© Bruno Pin
l’invité du mois
Chaque mois 491 offre une carte blanche à un acteur ou une actrice de la vie culturelle
Hugues Mouret est naturaliste
et directeur de l'association naturaliste
Arthropologia investie dans le
programme européen Urbanbees,
parmi ses activités, elle a pour mission
la mise en valeur et la protection
de la faune et de la flore sauvages
et de ses habitats.
Hugues Mouret
© Julie Halatas
Les paysages hallucinants : volcans, forêts, mangroves,
plages de sable corallien... sont peuplés d'êtres
fascinants : pinsons, fous à pieds bleus ou rouges,
fous masqués, manchots, mouettes de lave, pélicans,
flamands, cormorans aptères, frégates, moqueurs,
pétrels, tyrans écarlates, iguanes marin et terrestre et
bien sûr les fameuses tortues... Et dans l'eau : raies
pastenague, aigle, dorée ou manta, requins marteaux
et à pointe blanche, des myriades de poissons multicolores... ou encore tortues vertes, loups de mer et
crabes... Citons entre autres spécificités végétales : les
incroyables cactus arborescents, les Parkinsonia, Scalesia,
Cordia, Darwiniothamnus, Cotons de Darwin...
Les Galapagos...
et la planète des Hommes ?
Un parcours atypique
Naturaliste autodidacte, je me suis formé au travers de
lectures, d'observations, d'expériences, de rencontres
et c'est une réelle passion qui m'habite. S'intéresser
aux choses de la Nature me paraît essentiel dans un
monde où l'on est de plus en plus déraciné et bien trop
éloigné de son environnement. Ainsi j'essaye de transmettre cette passion et les notions qui me semblent
fortes par le biais d'histoires naturelles, d'anecdotes
et d'expériences pour en restituer l'essence. Cela permet
souvent de raccrocher le monde des hommes à celui
de la Nature dans une sorte d'évidence imperceptible
auparavant et subitement incontournable.
Alors une question me taraude : comment l'Homme avec
ses prérogatives et ses prédispositions notamment cognitives peut-il faire abstraction de tout ce qui l'entoure ?
En 2001, pour contenter cette passion et agir concrètement, j'ai fondé avec des amis dont notamment ma
compagne Caroline (qui co-dirige aujourd'hui avec moi),
l'association Arthropologia, laquelle compte une douzaine
de salariés. Nos activités sont multiples : conférences,
sorties, animations, formations professionnelles,
enseignement, inventaires, expertises, publications,
chantiers de protection... Les thématiques relèvent
évidemment de la nature, mais également des alternatives
aux modes de production agricole ou encore du déclin
des pollinisateurs.
Ainsi, immense fut ma chance d'être sollicité pour partir
en mission, détaché 4 mois auprès de la Fondation
Charles Darwin et participer à l'inventaire des insectes
dans l'archipel des Galapagos, une terre mythique dont
le seul nom évoque tant de richesses, de particularismes.
Mais le fait le plus marquant reste sans doute la tolérance, voire la curiosité que les animaux (non chassés)
ont pour la gent humaine, et pour un naturaliste,
c'est assez frappant.
Toutefois, les Galapagos ne sont désormais plus
déconnectés du reste de la planète. Ici comme ailleurs,
lorsqu'on en prend la mesure, on ressent de plein fouet
le désastre écologique que l'on est en train de créer et
de vivre : destruction des ressources naturelles, changement climatique et perte de biodiversité, la sixième
extinction de masse, mais cette fois d'une fulgurance
terrible, dont le responsable est l'Homme : on est bel
et bien entré de plein pied dans l'Anthropocène !
Ouvrir ses yeux, comprendre et réagir
Abusés par les arcanes malsains de la haute finance
et de la course aux profits courts-termistes, on se laisse
aller dans une vie trop facile, où consommer, produire
et se développer toujours plus est devenu le sens de
notre vie. Est-ce vraiment cela VIVRE ?
Fini l'alarmisme, il nous faut passer de toute urgence
à un réalisme aigu afin de limiter l'inéluctable.
Car en réalité, la Terre se réchauffe à une vitesse
inimaginable. Les milieux naturels fondent comme
peau de chagrin : les forêts tropicales sont ravagées
pour des productions vouées à l'export (qui viennent
chez nous !) ; les mers sont écumées et les fonds
sont raclés par des engins toujours plus puissants.
L'agriculture, nécessité fondamentale de notre société,
est bafouée et la majorité des paysans se battent pour
survivre et gagner un salaire de misère.
Mécanisation, pesticides, engrais de synthèse, OGM …
nos modes de production et de consommation impactent
violemment la planète pour des centaines, voire des
milliers d'années. Fatalité et inéluctabilité ne peuvent
rimer avec l'avenir de l'humanité.
Films : un choix bien difficile à faire.
Fight Club de D. Fincher : où le narrateur schizophrène
utilise la bestialité primitive des hommes, des vrais,
pour constituer un réseau mondial et échafauder une
cabale unique, afin de remettre les compteurs bancaires
à zéro. Faudra-t-il y arriver un jour pour sortir de ce
système sans foi ni loi ?
Océans de J. Perrin : un des plus beaux films qu'il
m'ait été donné de voir. C'est de plus ici aux
Galapagos que j'ai eu la chance de voir cette œuvre
de peintre sur la beauté et la fragilité du monde des
mers. Le Peuple migrateur et Microcosmos produits
par le même grand homme font sans doute également
partie de mon top 5.
Super Trash de M. Esposito et Gazland de J. Fox sont
des films lanceurs d'alerte qui ne sont que trop peu
diffusés et que malheureusement les grandes chaines
ne programmeront sans doute pas.
Livres : Dans la dèche de Paris à Londres de G. Orwell
est une peinture accablante des conditions de vie des
intouchables de l'Europe du début du XXe siècle et
m'est avis que peu de choses ont dû changer dans ce
monde de déshérités...
Sur l'actualité environnementale, le choix est encore
bien délicat : L'événement anthropocène de C. Bonneuil
et J-B Fressoz et Les Apprentis sorciers du climat de
C. Hamilton. Mais lire ou relire aussi le grand F. Terrasson,
ainsi que les enquêtes fournies de F. Veillerette ou de
V. Tardieu.
Musique : Je fais le choix de mettre en exergue trois
textes : War de l'empereur d'Ethiopie Hailé Sélassié
(mis en musique par B. Marley), Masters of war de B.
Dylan et Imagine de J. Lennon ; si justes, si simples,
si évidents et pourtant si difficiles à appliquer.
Site web de l'association : http://www.arthropologia.org
Des photos de paysages, de faune, de flore, d'ici et
d'ailleurs sur : http://lib.arthropologia.org
Programme européen sur les abeilles URBANBEES :
www.urbanbees.eu
Car la Vie est belle !
Et ne s'agit-il pas ici d'une forme de « culture essentielle
de l'Homme, de par une culture de son milieu » ?
RÉDACTEUR EN CHEF BRUNO PIN
MAQUETTE ET INFOGRAPHIE JEAN-MARC CLEYET-MARREL - Tél : 04 78 39 89 27
e mail : [email protected]
BP 24 - 69910 Villié-Morgon
Tél : 04 74 04 25 71 - 06 82 37 53 38
Email : [email protected] - Site : www.491.fr
Quid de La Culture ?
Quelle place peut encore avoir la Culture dans un
monde où l'Homme est totalement dé-naturé ?
Je n'ai rien d'un artiste et ne suis qu'un béotien de la
Culture, mais, bien entendu, j'apprécie nombre
d'œuvres, même si je ne peux toujours me targuer
d'en avoir ou d'en comprendre les clés. J'en aime
simplement le rythme, le message, mais aussi la plastique
et la poésie. Profane de la culture artistique, je suis
bien plus à l'aise avec la culture animale et végétale.
SECRÉTAIRE DE RÉDACTION FRÉDÉRIQUE MATAGRIN
RÉDACTION ANNE HUGUET - ÉTIENNE FAYE - CHRISTOPHE JACQUET
OLIVIER SAISON
PUBLICITÉ Tél : 04 74 04 25 71- Portable : 06 82 37 53 38
IMPRESSION IPS Reyrieux
...491 est édité par 491 Sarl de presse au capital de 305€ - BP 24 - 69910 Villié-Morgon
ISSN : 1268-9149 - SIRET : 40325001600021
DIRECTEUR DE PUBLICATION BRUNO PIN
© 491 2014. Tous droits de reproduction réservés.
...491 est édité sans aucune subvention - 32000 exemplaires
/ Février 2014 / N°200 / 3
février
Pour les amoureux des sorties
collectives, le Centre culturel
affiche un mois riche et varié.
Au programme de la danse, une
fantaisie burlesque et du théâtre
qui occupe une place de choix.
Vous pourrez découvrir une création
de la compagnie Stéphane Müh,
vous promener dans l’univers décalé
de Bukowski, rencontrer la jeune
équipe de Grime et Concocte qui
cherche de nouvelles formes théâtrales
pour des rencontres plus actives
et sincères avec les spectateurs.
La grande scène accueille la soirée
d’ouverture des 25ème Rencontres
Théâtrales de Lyon.
Comme à son habitude le Centre
Chaplin aide également à la création
ou la diffusion de pièces d’auteurs
plus contemporains tels Pierre
David-Cavaz ou Thomas Bratsh.
Fin février le festival A Vaulx Jazz
égrènera ses premières notes sur
la ville et les environs...
Bref un mois pour sortir presque
tous les jours et faire des rencontres
ou des découvertes étonnantes…
Les naufragés
un grand tendre.» En voilà encore une qui s’est laissée
prendre par le charme bukowskien ! Ce Gainsbourg
de la littérature américaine plaît aux femmes malgré
une beauté cachée, un vice certain, mais une sensibilité et un talent avérés. Son double littéraire, Chinaski,
commet autant de frasques que son créateur. Bubu’s
n’écoute que son cerveau reptilien : il boit, fume,
fornique. Et le revendique en noircissant des pages
entières de romans et poèmes. Il nous expose ses
problèmes gastriques, les aléas de ses fonctions rectales,
nous confie que la nature l’ayant généreusement doté
il peut donc s’adonner frénétiquement aux plaisirs
de la chair (…)
Le spectacle se propose donc de retracer la vie de
Bukowski à travers douze comédiens et un montage
de textes tirés de nouvelles et poèmes. La première
partie est axée sur son premier amour, Jeanne, de
dix ans son aînée, encore plus alcoolique que lui,
qu’il a rencontrée dans une de ses virées nocturnes.
La deuxième partie commence par une lecture
parmi celles qu’il avait l’habitude de donner, celle-ci
pourtant ne va pas se dérouler jusqu’au bout…
Groupe de Théâtre Antique
de l'Université de Neuchâtel
Texte Plaute
Traduction collective
sous la direction de Pierre Siegenthaler
Mise en scène : Guy Delafontaine
Datée du 3e siècle av. J.C. la comédie de Plaute,
Rudens, met en scène le naufrage d’un proxénète et
de ses deux courtisanes. Rescapées, ces dernières
tentent de survivre, et par la même occasion
d’échapper a leur condition d’esclaves. Mais c’est
sans compter sur les rencontres, chanceuses ou
malchanceuses, qu’elles feront dans ce cadre exotique
d’Afrique du Nord. Des pécheurs aux prêtresses,
des vieillards aux esclaves fouetteurs, tous font
avancer l’intrigue, conduits par des ambitions
nobles, égoïstes ou charnelles !
13 février à 19h30
14 et 15 février à 20h30
Florence Barnola in Petit Bulletin 22 nov 2013
A tour de rôle
10 février à 20h
création théâtre - Compagnie théâtrale Müh
© Pierre David-Cavaz
Soirée d’ouverture du
Festival International
de Théâtre Etudiant
6 février à 19h30
7 et 8 février à 20h30
au centre
Les Rencontres Théâtrales de Lyon
fêtent leur 25e anniversaire !
Bubu's blues,
© Astrid Berglund
la vie rêvée de Charles Bukowski
Théâtre du Désordre des Esprits
Marie-Paule Laval, Bruno Boëglin
Tu t’es vu quand t’as bu ?
Le sulfureux auteur américain Charles Bukowski, mort
il y a près de vingt ans, fait l'objet d'un projet théâtral
et familial. La production made in Théâtre du Désordre
des Esprits- Compagnie Bruno Boëglin relate l'histoire
subjective d'un vieux dégueulasse.
Dans la famille Laval Boeglin : la mère, Marie-Paule
met en scène cette vie rêvée de Charles Bukowski.
Le père, Bruno, fondateur de la compagnie joue un rôle
dans l'histoire. Romain, le fils, aussi. L’autre fils,
Seymour, signe la scénographie et les lumières.
(…) L’étincelle aura été un documentaire réalisé sur
l’écrivain de la Côte Ouest. « En regardant ce dvd,
j’ai eu envie de faire un spectacle sur lui parce que
il ne correspondait pas du tout à l’image qu’on s’en
faisait. Le côté provocateur et tout ça. En fait c’était
Reuteuleu
© Jean-Paul Bajard
La vérité sur la véritable histoire véridique
de la véritable quête du Graaleux
Texte de Carmel Petit
Mise en scène collective
Compagnie Lune Noire
Depuis quelques années, la compagnie Lune Noire
explore le Mumming Play, forme de théâtre de rue
populaire apparue chez les Anglo-saxons autour du
XIIIe siècle, que les acteurs jouaient sur la place du
village pour fêter le retour du printemps.
Quoi de plus naturel que de farfouiller dans la légende
du roi Arthur pour en faire une comédie absurde et
déjantée ?
Le programme complet sur le site du centre
Chaplin
Trois courtes pièces réunies en un seul spectacle :
- Le pyjama en satin - La Légion - Les couples
La première : deux comédiens répètent une pièce
légèrement déconcertante. Qui se charge de la
mise en scène ? C'est là tout le problème.
La deuxième : un touriste débarque dans un café de
province désert tenu par un ancien légionnaire qui
cherche aussitôt à l'impressionner. Mais le légionnaire
n'est peut-être pas ce qu'il prétend. Le touriste non
plus. Au final, lequel impressionnera le plus l'autre ?
La troisième : Dans un immeuble coquet, deux
appartements contigus abritent les drames de deux
couples dont les femmes sont invisibles et inaudibles
pour des raisons différentes. Leurs drames s'enchevêtrent jusqu'à ne faire plus qu'une histoire.
Trois courtes pièces réunies en un seul spectacle.
Leur point commun : elles n’ont rien à voir les unes
avec les autres.
Leur particularité commune : elles sont écrites en
prose et n’ont aucune volonté d’analyser, d’éclairer
ou d’interroger. Seulement le plaisir qui rime avec rire.
charliechaplin
© Sébastien Frezza
culturel
28 février à 20h30
Frontière(s)
création danse Hip-Hop
Compagnie Kadia Faraux
18 février à 19h30
Chorégraphie Kadia Faraux
Composition musicale Franck II Louise
24 et 25 février à 20h30
Fantaisie clownesque pour harpe,
flûte et danse
Mercedes
Cie Adroite gauche
théâtre - Compagnie Grime et Concocte
© Daniel Michelon
Ça serait léger… de l’air… du son… Une suite musicale
pour corps, harpe et flûte. Une sonate clownesque…
concertante, déconcertante… Un spectacle à trois
corps, trois voix, trois vies.
Un tiercé, un trois-mâts, une trinité : au nom du père,
du fils et du simple d’esprit.
Être en trio, c’est constater qu’il en manque un pour
faire un quatuor, c’est regretter d’être trop nombreux
pour faire un duo, c’est l’impasse, l’impair, le bancal
de la valse.
Comment créer une fourmilière à trois, une machinerie
dansante ; un train de vie au plus loin des conventions,
une harmonique du bazar… Créer une trilogique, une
tresse burlesque à partir de trois virtuoses du spectacle
vivant qui pour cette création s’engage en corps et en
notes dans l’humanité du personnage clownesque.
Texte Thomas Brasch
Traduction Patrick Démerin pour l’Arche éditeur
Mise en scène Florent Fichot
Monter à bord de Mercedes, c'est jouer avec les possibles et changer la face du spectacle.
Spectacle interactif à partir de 12 ans
Thomas Brasch avait tendance à niveler les différences
entre RDA et RFA : partout confronté à une société de
plus en plus anonyme, livrée au règne de la technique,
l’individu cherche à donner un sens à sa vie.
Un sentiment de filiation nous porte vers Mercedes.
Face aux règles d’une société que nous tentons
désespérément d’apprivoiser, face à l’angoisse de ne
pas trouver sa place, face à l’obligation de ‘’gagner’’
et de ‘’réussir’’ sa vie, Oï et Sakko sont nos frères.
Un peu étourdis, dans un temps sans repères, déformé,
étrangement long, nous avons le théâtre et le jeu
pour répondre aux vertiges de notre condition.
Mercedes révèle les forces de création et de mouvement
de ses protagonistes. Aussi voulons-nous un spectacle
en perpétuelle évolution, constamment réinventé par
l’improvisation. Sans perdre de vue la structure même
du texte, encore et encore nous jouerons. Nous avons
l’espoir de faire de chaque représentation une rencontre
unique et ludique avec un public. Ensemble, nous
écrirons et développerons une multitude de situations,
nous inventerons le présent.
Car c’est bien dans le caractère ludique de Mercedes
que réside sa dimension utopique. Une utopie qui se
glisse dans le présent sans prétendre le bouleverser
de fond en comble. Simplement, nous rêvons notre
recherche comme un espace de liberté au sein duquel
chacun pourra choisir sa place, son rôle, et sa partition.
Ensemble, par le théâtre, jouons nous du principe
d’incertitude ! Créer des conditions d’imagination, de
doute, de réflexion et de proposition nous permettra,
peut-être, d’échapper à la stagnation générale…
et d’envisager d’autres possibles.
La transmission est la voie choisie par la chorégraphe,
sa source d'inspiration.
Kadia Faraux, fait plonger ses jeunes danseurs dans
l'espace de la création, transforme leurs blessures en
œuvre d'art, les invite à l'expérience du dépassement,
à la quête de leurs propres limites.
La chorégraphe va puiser, au fond de chacun d'entre
eux, cette formidable ressource pour la transformer
en un espoir d'avenir, un outil d'anti-fatalité, une autre
idée du vivre ensemble.
En interrogeant les processus de résilience qui
mènent les jeunes des ateliers vers les chemins de la
réconciliation, la chorégraphe réalise un travail sur
l'endurance créant une tension entre sa propre histoire et celle qui se construit avec ses danseurs.
C'est de cette source d'énergie qu'est née cette nouvelle création, Frontière(s)
Kadia Faraux et le hip-hop
Kadia Faraux n'a cessé de défendre la place des femmes
dans la danse hip-hop, au sein des compagnies :
Dance'N'Effeckt et 10 Coredence composées uniquement
de danseuses. L'enjeu étant de transmettre la danse
hip-hop dans le respect, la solidarité, la rigueur, la
conscience et la défense de la féminité.
© Seb Fanger
Petouchok
Infos pratiques
Venir à Chaplin, c’est facile !
Tarifs
■ Transports en commun, 30 min des terreaux
Métro ligne A jusqu’à Bonnevay, puis :
• C3, arrêt Vaulx-Hôtel de Ville Campus, retour assuré jusqu’à
00h15, bus toutes les 10 à 15 minutes en fin de soirée.
• C8, arrêt Vaulx-Hôtel de Ville Campus, retour assuré
jusqu’à 00h15, bus toutes les 15 à 30 minutes en fin
de soirée.
Le Centre Charlie Chaplin est situé à côté de l’arrêt Vaulx
Hôtel de Ville Campus.
Parkings gratuits à proximité.
plein tarif : 13 €,
tarif réduit : 11 €,
tarif spécial : 8 €,
tarif enfant : 5 €
■ Transport individuel
Par le boulevard périphérique sortie pont de Cusset, puis
prendre direction Vaulx-en-Velin Centre ville.
Le Centre culturel est situé à côté de l'Hôtel de Ville.
■ Co-voiturage
www.covoiturage-pour-sortir.fr
Abonnements
Abonnement A : 40,00 € (4 spectacles au choix dans la saison).
Abonnement B : Étudiants de moins de 26 ans, personnes handicapées, demandeurs d'emploi, intermittents du spectacle. 28,00 €
(4 spectacles au choix dans la saison).
Abonnement C : Enfants et jeunes scolarisés jusqu'en terminale.
16,00 € (4 spectacles au choix dans la saison).
Abonnement D : 70,00 € (10 spectacles au choix dans la saison).
Vous pouvez acheter vos places à l'unité
ou souscrire vos abonnements soit :
• en vous rendant directement au guichet du Centre culturel
• par courrier
• par Internet sur www.centrecharliechaplin.com onglet “billetterie”
charlie chaplin
Centre culturel communal
Place de la Nation - 69120 Vaulx-en-Velin
Tél. 04 72 04 81 18/19
Fax : 04 72 04 37 03
[email protected]
www.centrecharliechaplin.com
© N. Boudier
spectacles vivants
Cosmos
Joris Mathieu dans le Cosmos
Par Étienne Faye
Un homme en pleine maturité artistique,
qui, de mises en scène en mises en scène,
a affermi sa maîtrise exceptionnelle
des nouvelles technologies, son goût
du spectacle, de l'éblouissement,
des grands voyages dans les imaginaires...
Voilà comment je pourrais, en quelques
mots, décrire Joris Mathieu, le nouveau
directeur du Théâtre des Ateliers.
C'est une des bonnes nouvelles de
ce début d'année, un Théâtre allait
mourir, il va reposer un peu, pendant
les six prochains mois, mais il vit.
En février, le jeune successeur de Gilles Chavassieux sera
aussi à l'affiche des Célestins avec une pièce très attendue,
Cosmos, d'après Witold Gombrovitcz. Il me confie avoir
lu ce roman à l'âge de 17 ans : « je n'ai pas tout compris,
à l'époque, j'ai fait beaucoup d'effort, et c'est finalement
une de mes expériences de lectures les plus marquantes. »
Aujourd'hui, le metteur en scène de 36 ans avoue que
c'était le premier texte qui lui avait inspiré des images,
le début d'une écriture scénique. « Deux types marchent
sur une route de campagne polonaise, il fait 40° à l'ombre »,
raconte-t-il, « comme si c'était la route des hommes perdus ».
Et c'est alors qu'au milieu d'un feuillage, à hauteur
d'homme, ils aperçoivent un moineau pendu au bout
d'un fil. Les deux compères improvisés décident de
s'installer dans une pension toute proche, dans la forêt.
Ils y rencontrent un chat pendu, puis un homme.
Et Witold commence son enquête. « La volonté de choquer
de Gombrovitcz, lue souvent comme grand-guignolesque,
est pour moi, notamment dans ses romans, une poésie
noire ». Ce petit oiseau mort, c'est le désir étranglé :
6 / Février 2014 / N°200 /
« on sait que les pendus bandent, après tout ». La pension
de famille est un univers de planètes singulières, de
personnages gravitant autour de Léon le père, acteurs
d'un drame qui a eu lieu et qui n'est jamais dit. Witold
observe la lèvre fendue de la servante, y lit un signal,
ou alors sur le plafond, une marque est comme une
flèche. On assiste à une sorte de boulimie de signes,
tout fait sens, et l'on peut penser à Jean-Paul Sartre,
dans L'Existentialisme est un humanisme, qui nous dit
qu'il n'y a de signe dans le monde que si on le décide.
La « traduction scénique » découle de ce sentiment que
Joris Mathieu résume en une phrase : « le théâtre est un
oiseau pendu au bout d'un fil ». Cet animal innocent
supplicié se balance tel un pendule devant nous, même
s'il ne s'agit pas d'une séance d'hypnose. D'abord, le
personnage principal est montré, et peu à peu, il s'efface,
pour que le spectateur prenne sa place et se laisse
envoûter par cette plongée dans l'imaginaire inquiétant
et débridé de Cosmos.
« le théâtre est
un oiseau pendu
au bout d'un fil »
Les images construites par Joris Mathieu, jeux de scène
ou projections, sur des écrans hologaphiques, sont des
fantasmes qui ont toutes les apparences de la réalité.
« Ce qui est donné comme objectif n'est en vérité qu'une
vision subjective, ajoute l'artiste, même si c'est présenté
comme le réel ». De la part d'un maître de l'illusion, cela
résonne particulièrement, et, disant cela, je me souviens
des prouesses de son fantastique Ubik / Orbik, d'après
la vie et l’œuvre de Philippe K. Dick, un spectacle qui,
à mon sens, marquait les débuts de l'ère du Théâtre
numérique – pardon, Joris Mathieu préfère l'expression
de « théâtre optique ». Mais, est-ce que ce genre de
pièce peut trouver sa place aux Ateliers ? La scène y est
trop petite, en effet, mais le nouveau directeur des lieux
me rappelle que la compagnie Haut et Court ne s'est
jamais limitée à ces grands projets, multipliant les
interventions urbaines, les petites formes, voire, avec le
Bardo, les spectacles pour une personne : « Bien sûr, nous
animeront cet endroit, n'en doutez pas, mais surtout je
veux faire de ce Théâtre si différent, en plein centre-ville,
doté de deux belles salles, un lieu de partage ». Il va se
proposer en centre de ressources et d'échange pour les
artistes ayant des désirs de théâtre numérique, invitera les
artistes dont les questionnements, sur l'écriture scénique,
se ressemblent, à des work shop. « Nous n'avons pas
de gros moyens, me confie-t-il, mais il y a le temps de
la maturation et, ensuite, le temps de la production ».
Surtout, il prévoit d'accueillir une dizaine d'équipes par an,
au maximum, pour les valoriser au mieux, leur donner
du temps, et imagine organiser des projections, inviter des
poètes sonores, des conférenciers, aménager des espaces
critiques ouverts, le tout en résonance avec les spectacles
programmés... « J'aimerais que le public n'ait aucune
attente, qu'il vienne avec l'ambition de construire un
regard commun : à l'instar d'un musée, où le public
déambule, cherche une rencontre avec une œuvre, mais
ne l'attend pas, au sens strict ». Selon lui, « le théâtre ne
préexiste pas à la rencontre, il se situe à équidistance entre
l’œil et la scène, dans une sorte de troisième dimension ».
Fils d'un père peintre talentueux, d'une mère passionnée
de livres, Joris Mathieu, dont le premier dessin fut une
lettre, semble réussir une sorte de mariage d'une vision
graphique exigeante et fine avec un amour pour la
littérature romanesque. Et plongeant dans le Cosmos d'un
autre, il nous propose un univers, fascinant, le sien.
Du 25 février au 1er mars au Théâtre des Célestins
12 mars à l’Arc, Scène nationale Le Creusot
spectacles vivants
Merlin, Roi
Schiaretti monte Le Roi Lear, de Shakespeare
Par Étienne Faye
Christian Schiaretti met en scène Le Roi Lear, de William
Shakespeare, au TNP, avec Serge Merlin dans le rôle titre.
Ce qu'il y a de formidable, et d'assez rare, c'est que
l'ensemble de la troupe, Kent (Vincent Winterhalter, héro
fidèle), Gloucester (envoûtant Philippe Duclos), Edgar
(Christophe Maltot, époustouflant), Edmond (Marc Zinga,
si joueur), le fou (Andrew Bennett, jusqu'à la mort), qui
l'accompagnent tout au long de cette furieuse errance,
et aussi Philippe Sire, Clara Simpson, Mathieu Petit...,
se mettent au diapason du roi. Ou plutôt, dirais-je, se
calent sur le même métronome, un presto qui bat tel un
cœur prêt à éclater : c'est d'ailleurs l'expression du fidèle
serviteur du roi, Kent, à la fin de l'aventure, alors que
tout meurt autour de lui. Cette énergie, cet emballement,
c'était justement ce qu'il exigeait de chacun, organisant
le jeu pour un enchaînement le plus nerveux possible
des scènes, et respectant, en cela, dit-il, un « système
de narration vive » de la pièce. Le roi est vieux. Il
pense partager son royaume entre ses trois filles, et
vivre une retraite heureuse, entouré d'une centaine de
chevaliers. En contrepartie, il demande à chacune d'elle
une déclaration publique d'amour filial, ce que l'aînée,
Goneril, et la cadette, Regane, réussissent brillamment.
Cordélia, la benjamine, s'y refuse, ne revendique qu'un
amour normal d'une fille pour son père, et la colère du
roi est monumentale, une ire mythologique, qui ne le
quittera plus jusqu'à ses retrouvailles avec elle, juste
avant de mourir. Pour l'instant, le jugement de Merlin
tombe, aussi définitif et lourd que la hache dont il porte
le nom, il la renie et la marie au roi de France. « Que ta
vérité te serve de dote », dit-il, et en effet, quel héritage
laisser à quelqu'un qui refuse le rituel politique...
Sûrement pas une responsabilité politique. Goneril et
Regane prennent le pouvoir et ne s'entendent que le
temps de réduire le roi à sa plus simple condition. Lear,
comme démembré, dépouillé de tous les artifices de la
royauté, est un homme, dans toute sa misère : « je ne me
suis pas assez occupé de cela », regrette-t-il, quand il est
bien tard, et, dans sa folie : « Le chien en place fait loi ».
Rejeté par son engeance, il a les pieds dans la terre
humide de son pays, il erre au milieu des cailloux de
mousse noire et de la paille, semés çà et là, avec des
gestes augustes. Regardez le regard de Serge Merlin,
dans la même seconde, féroce et perdu, suivez sa frêle
et blême silhouette, protégez-vous de ses imprécations.
Le metteur en scène nous dit son admiration pour le
comédien « qui n'est jamais dans la vraisemblance, il est
dans la réalité de ce qu'il vit, même pendant les répétitions ».
Le décor est un demi Théâtre du globe, souvenir du lieu
qu'animait William Shakespeare, très blanc, lumineux,
soutenu par de multiples arcades, qui sont autant de
portes. « Tout est tendu, pas de zone d'ombre », me confie
Christian Schiaretti, qui a voulu un Roi Lear blanc, et
une mise en scène pensée à partir du jeu et du verbe.
La traduction signée Yves Bonnefoi, en vers irréguliers,
nous fait pourtant entendre un rythme, présent dans la
version originale, et une belle langue baroque dénuée
de paraphrase, directe, vive, méchante. Et, alors que la pièce
évoque les deux corps du roi, l'immortel et symbolique
s'opposant à l'humain, un orage fantastique semble sortir
de la tête de Serge Merlin, et s'abattre sur lui. Le spectateur, qui y entend l'écho de la nature, sent aussi le
terreau humide qui embaume et, mieux encore s'il est
placé dans les premiers rangs, est au plus près des
comédiens, dont la présence physique est rien moins
que poignante. Et il y a la fin de l'errance, le roi, à la
lisière d'un nouveau monde, où il n'a pas sa place, va
basculer. Victimes des passions humaines, ses deux aînées
se sont entretuées. Pour lui, revoir Cordélia, celle qui ne
feinte pas, dans son armure de vierge et de sainte française,
c’est se laisser aller enfin au silence, trouver la paix, et
les retrouvailles du père et de sa fille sont émouvantes
aux larmes. Mais l'aventure ne se termine pas avec
cette étreinte, cette suspension au-dessus du gouffre. Le
roi revêtu de toute sa majesté, et d'une robe blanche de
marié, mais sans joie, impuissant à sauver la vie de
celle qu'il venait de retrouver, se couche dans la boue.
Jusqu'au 15 février au TNP
© Michel Cavalca
Un petit vieillard hilare, presque
sautillant, ne sachant trop quelle place
il doit prendre dans la file, quelles
mains il peut saisir. Un compagnon,
puis une compagne, le mène
au devant de la scène, faire front,
rejoindre l'acclamation debout d'un
public émerveillé de son talent brutal,
depuis plus de trois heure.
C'est la dernière transfiguration de
Serge Merlin qui, tel un démon sans
âge, arpenteur vociférant, vient de
quitter le corps du roi.
/ Février 2014 / N°200 / 7
DÉBAT
« Parler du bien
peut être moins
facile que de
parler du mal »
Dans son essai Un si fragile vernis
d’humanité, le philosophe
Michel Terestchenko, invité à débattre
par la Villa Gillet le 26 février,
s’interroge : qu’est-ce qui, en l’homme,
mène à la bienveillance, ou à l’inverse
à détruire l’autre – processus qui,
lors de la Seconde guerre, a poussé
certains à sauver des Juifs au mépris
de leur sécurité. Et d’autres à obéir à
des ordres qui ont fait d’eux, du moins
en apparence, des « monstres ».
Interview par Olivier Saison
Michel Terestchenko
Une catastrophe aussi singulière que la Shoah peut-elle
servir de cadre générique à une réflexion portant sur
la « banalité » du mal et du bien ?
Ce sont quand même des exemples particulièrement saisissants et éclairants. Ils sont certes pris dans des situations
extrêmes, mais le propos s’applique à d’autres types de
comportements de sauvetage. Au fond, la Shoah constitue
une espèce de matrice.
Avez-vous choisi ce cadre historique avant d’élaborer
votre théorie ou, au contraire, celle-ci en découle-t-elle ?
Les théories sont arrivées après. C’est venu de fil en aiguille,
un livre en entraînant un autre… A la base je voulais
remettre en cause ce modèle de l’égoïsme dominant en
sciences sociales et travailler historiquement sur l’altruisme,
sur les doctrines de bienveillance ou de sympathie. Puis je
me suis dit : c’est très bien tout ça, mais ça ne permet pas
de rendre compte ni de l’altruisme sacrificiel, ni de la
destructivité, ni des comportements de certains « sauveteurs ».
L’éclairage que vous apportez sur ces notions d’altruisme
et d’égoïsme est très empirique.
Oui, c’est ça. L’intérêt était de partir de la conduite effective
des individus. Je me suis aperçu que ces modèles classiques
ne permettaient pas de rendre compte de ces situations-là.
Y compris le travail d’Hannah Arendt ?
Sa thèse était profondément juste. Ce n’est pas qu’elle
était défaillante, mais que de nombreux travaux sont
venus la confirmer de façon inattendue. Il était
d’ailleurs assez saisissant de voir cette rencontre entre
une philosophe et un chercheur en psychologie sociale
comme Steve Milgram…
Vous évoquez le phénomène d’intensité de bienveillance
selon qu’elle s’applique à des êtres plus ou moins proches
de soi… Mais qu’en est-il des gestes de bienveillance
ciblés, qui obéissent plus à un choix strictement
personnel qu’à l’influence de liens particuliers avec
le destinataire de la générosité ? D’un altruisme
ponctuel qui n’émanerait pas d’une disposition
constante d’un individu ?
Dans le cas des sauveteurs, c’était vraiment leur manière
d’être. Mais l’altruisme peut prendre des formes très
diverses, il n’est pas incompatible avec des motivations
de type égoïste. Il y a des variations, des degrés, et c’est
ce que j’essaie de montrer.
En assouplissant cette conception de l’altruisme et
donc de l’égoïsme…
Il y a toute une conception très dominante de l’altruisme
radical, sacrificiel, mais là, tout à coup, l’altruisme n’était
plus un sacrifice mais une expression de soi, un accord
avec soi, non un renoncement à soi. Il fallait assouplir
8 / Février 2014 / N°200 /
l’égoïsme en montrant qu’il n’est pas incompatible avec
d’autres motivations de type altruiste, à la condition
d’assouplir également l’altruisme, et de ne pas lui donner
ce tour sacrificiel si dominant dans la pensée, par
exemple chez Levinas.
Un prolongement possible de votre réflexion serait
d’ordre économique : en quoi une société libérale
promeut-elle cette notion d’altruisme sacrificiel,
presque inaccessible, et d’égoïsme naturel…
Le libéralisme est individualiste, mais pas forcément
égoïste. Il est centré sur l’individu mais pas nécessairement
égoïste, comme le montra John Stuart Mill. Il est très
important de distinguer l’égoïsme de l’individualisme.
Toute société est fondée sur la valeur suprême de l’individu.
Qu’en est-il de la notion chrétienne de charité ? Est-elle
compatible avec votre idée d’un altruisme désintéressé ?
C’est une question compliquée. Dans la religion chrétienne,
l’altruisme n’est pas tant naturel. La charité est mise en
mouvement par la grâce. La bienveillance que j’ai choisi
d’évoquer est une théorie naturelle, alors que la charité
est une bienveillance plutôt surnaturelle. Beaucoup des
gens qui ont pratiqué cette bienveillance n’étaient ni
croyants ni pratiquants…
Dans le cas du pasteur André Trocmé, au Chambon-surLignon, où 5000 juifs ont trouvé refuge, c’est difficile
à croire.
Mais pas dans le cas de Giorgio Perlasca (sympathisant
fasciste italien qui a sauvé plusieurs milliers de Juifs
hongrois Ndr)… Même la femme d’André, Magda, possédait
une éthique de vie plus simple, plus naturelle que son
époux. Rien n’oblige de donner à leur geste une espèce
de condition théologique qui ferait de leur bienveillance
une bienveillance surnaturelle.
A vos yeux, la bienveillance est sans transcendance,
simple trait de personnalité ?
Sans transcendance, je ne dirais pas ça. Dans un paragraphe,
j’évoque quand même quelque chose qui se manifeste à
travers ces quelques exemples d’altruisme.
Le Bien ?
Le Bien. Oui. De même que je pense que les actions de
destructivité comme celles du nazisme sont une incarnation
du Mal. Et je mettrais vraiment une majuscule. Je l’ai
expliqué dans d’autres ouvrages, et en particulier dans
celui que j’avais consacré avec l’historien Edouard Husson
aux Bienveillantes de Jonathan Littell… Au-delà des
individus qui agissent d’une certaine manière sans
transcendance il y a néanmoins une espèce de manifestation
du Bien, avec une majuscule, de même que la Shoah est
une incarnation du Mal, également avec une majuscule.
Le titre Un si fragile vernis d’humanité donne une
coloration très sombre, l’impression que votre livre
va davantage insister sur la banalité du mal que sur
celle du bien…
C’est vrai. Le titre est un peu trompeur, mais il était si
joli ! (rires) Vous avez raison, le livre n’est pas du tout
aussi pessimiste… Il commence de façon très sombre
mais, finalement, s’y opère quand même une espèce de
remontée vers la lumière. Ce qui a en tout cas frappé
beaucoup de gens, c’est qu’on se mette à parler du bien
alors que personne n’en parle jamais.
Vous l’expliquez comment ?
D’abord parce que les travaux de recherche en psychologie
sociale sont bien moins nombreux sur l’altruisme que
sur la destructivité, et aussi parce que la fascination
pour le mal est beaucoup plus grande que pour le bien.
Dans un certain sens, il est plus « attrayant » et peut-être
plus facile de parler du mal que de parler du bien. J’ai
le projet d’un autre livre sur lequel je travaille avec ma
femme, qui porte sur la « littérature et le bien », par rapport
au mot de Bataille : « Si la littérature s’éloigne du mal,
elle devient vite ennuyeuse. » Comme si le bien était un
peu bêta, ou religieux et angélique, et qu’il était difficile
d’en parler de façon sérieuse.
Vous insistez d’ailleurs sur la sensation de plénitude
éprouvée par des Justes tels André Trocmé…
C’est ce que j’appelle la présence à soi. Une manière
d’accomplissement ou de réalisation de soi, avec les autres.
Le mal étant alors perçu par une indifférence à soi-même
et donc aux autres…
C’est ça. Du moins dans les exemples que j’ai pris. Ce qui
n’est évidemment pas le cas de Hitler ou de Staline, mais
celui des simples exécutants, comme le 101e bataillon de
réserve de la police allemande. Cette approche est éclairante
parce que plus ordinaire, plus commune, et a beaucoup
plus d’implications dans la vie quotidienne : dans toute
sorte de milieux où vous êtes soumis à des pressions qui
vous conduisent à adopter ce comportement, à s’absenter
de soi, comme celui des administrations, des prisons, des
hôpitaux psychiatriques ou même des entreprises. Les
institutions jouent un rôle fondamental. Ma conclusion
n’est pas seulement un appel à une espèce de vigilance
personnelle, c’est aussi un appel à une vigilance politique.
Ce qui compte n’est pas tant ce que les individus font,
que ce que les institutions font d’eux. Tout ce qui, dans
les régimes démocratiques, peut conduire les individus à
une sorte de démission.
Le 26 février à 20h à l'Opéra de Lyon, Les Forces
Obscures. Avec Lionel Obadia, Michel Schneider
et Michel Terestchenko.
© aFrançois Stemmer
spectacles vivants
Tragédie
Les corps
au paroxysme
d’Olivier Dubois
Par Anne Huguet
Olivier Dubois fait partie des chorégraphes
passionnants du paysage artistique français.
Entré en résistance avec son solo Pour tout l’or
du monde (2006), il continue de bousculer
nos codes et nos pensées avec des pièces
jusqu’au-boutistes et sans compromis qui
ne peuvent qu’interpeller et bouleverser.
Après Révolution où il entraînait 12 femmes
dans une endurante rotation chorégraphique
de plus de deux heures, voilà Tragédie,
autre pièce manifeste et obsessionnelle, qui
questionne la notion d’humanité et du vivre
ensemble et nous propulse dans « une sensation
du monde » (tels sont ses mots) qui ne laisse
guère indemne.
Sur le plateau vide, 18 danseurs nus soit 9
femmes et 9 hommes, tous différents et tous
semblables dans leur anatomie froidement
crue, marchent au pas et encore au pas dans
un mouvement perpétuel lancinant. Une sorte
de défilé ininterrompu d’individus en marche
et en rythme sur des motifs -toujours les
mêmes, 12 pas- répétitifs, une vague humaine
sans fin. Les premières 25 minutes sont déstabilisantes, on vous prévient, on se demande
ce qu’on fait là, on finit même par décrocher.
C’est à ce moment-là que surviennent les
premiers accidents qui viennent irrémédiablement parasiter et perturber cette marche
cadencée répétitive. Spasmes, gestes convulsifs
d’un bras, genoux qui se tordent. La suite ne
sera que crescendo, tant dans le mouvement
porté souvent à son paroxysme jusqu’à la transe
et la folie hurlante que dans la musique qui
martèle ses bpms et ses beats hardcore, de
plus en plus en fort. Telle la tragédie antique,
la pièce se découpe en 3 parties pour vous
emmener jusqu’au final, l’apocalypse ou
l’apothéose et ce chaos organisé de formes
exsangues et suantes enchevêtrées qui
s’enroulent, se cognent, se hissent entre
elles, se recouvrent, glissent, se relèvent,
balayées par une lumière blafarde verdâtre
qui les sublime. Il y a presque du Géricault
là-dedans tellement c’est beau à en couper
le souffle.
Il y a bien sûr une chorégraphie millimétrée
régie par des consignes très strictes pour le
corps, l’espace, la cadence. Presque obligatoire
si l’on veut résister à la transe. Il y a des
courses, des chutes, de la marche, encore de
la marche, des tableaux d’ensemble de
chairs en extase, des espèces de pogos, il y
a ce menuet sublime qui arrive là, magie de
l’instant, il y a cette énergie tribale, ces
convulsions et ces tremblements, il y a cette
transe qui s’empare de tous jusqu’au martèlement collectif haletant. Oui, on entend
leurs cris, leurs humeurs, leurs prise d'air, et
ça vous prend aux tripes, ça ne vous lâche
plus. Il y a jusqu’à la lumière qui vient sans
cesse magnifier les peaux, les plastiques et
les gestes. Depuis la lumière blanche du
début qui crée des sortes d’aplats sur les
corps qu’on ne devine qu’en partie, jusqu’à
cette scène magistrale avec les stroboscopes
qui hachent la danse collective, la ralentissent
et l’accélèrent en ne donnant à voir que des
fragments de mouvements. Le rendu est
incroyable et on reste sans voix devant la
beauté de ces corps brillants éclairés en
pointillés. Choc.
Maison de la Danse, 26 et 27 février
/ Février 2014 / N°200 / 9
spectacles vivants
The Need for Cosmos
de Samuel Sighicelli
Du Floyd à Michaux
Par Bruno Pin
Concert… Performance… Presque.
Bienvenu dans le monde parallèle qu’offre The Need for Cosmos, créé l’année passée
au Théâtre de la Renaissance et rejoué pour deux dates dans la région, Samuel Sighicelli
vous offre un véritable voyage, alors attachez vos ceintures et ne ratez pas le décollage.
The Need for Cosmos de Samuel Sighicelli est une synthèse poétique de l’ère psychédélique.
La conquête de l’espace sert de fil conducteur, le temps de la guerre froide avec son florilège
sur fond d’armement nucléaire et de propagande sont au rendez-vous. En arrière-plan,
les vidéos. Au premier plan, 4 musiciens, et non des moindres. Entre les deux,
Benjamin Guyot, tel un dynamiteur, un empêcheur de tourner en rond, avec le texte,
sa présence et sa voix.
Musique : de The Piper at the Gates of Dawn et son mythique Astronomy Domine
du Floyd, Samuel Sighicelli et le groupe Caravaggio réussissent une belle performance
en fusionnant la musique psychédélique et le post-rock, grand écart très abouti pour
2 univers musicaux qui pouvaient paraître distancés par le temps. Les musiciens sont
Samuel Sighicelli, Éric Échampard, Benjamin de la Fuente et Bruno Chevillon, une
belle brochette de talents.
Textes : il est question de John Fitzgerald Kennedy, de Timothy Leary, d’Allen Ginsberg,
d’Andy Warhol… et des textes d’Henri Michaux, le grand poète, le voyageur terrestre,
ou plutôt maritime, qui, dès le milieu des années 1950, commence ses expériences
d’écriture avec les hallucinogènes. La mescaline entre dans son processus de création ;
plusieurs ouvrages (Misérable Miracle, L’Infini turbulent, Connaissance par les gouffres…)
dans le but d’explorer l’univers des drogues comme l’opium, le haschich, le LSD et
surtout la mescaline, proposant une esquisse philosophique de la drogue. Dans The
Need for Cosmos, les textes empruntés à Michaux sont extraits de L’Infini turbulent.
Vidéos : permanence de l’image, sur fond d’archives de la NASA, les images sont
souvent inédites et assez belles plastiquement.
Théâtre de la Renaissance le 4 février - Train-Théâtre le 6 février
Bubu n'est pas un bobo
Bubu's blues, La vie rêvée de Charles Bukowski
© Jean-Paul Bajard
Par Étienne Faye
C'est Chinaski, le Chinaski
des bouquins de Bukowski, il
est avec Jane, le frigo est plein
de bières, et il la prévient, il ne
faut pas tout boire. Sauf qu'il
va la voir plus tard à l'hôpital,
et puis on apprend qu'il n'est
pas allé au boulot pendant
deux jours, à la poste, sans
prévenir, il vient s'excuser, il était
en deuil. Bubu's blues, La vie
rêvée de Charles Bukowski est
à l'image de cette suite de scènes,
alternant les interventions de
l'écrivain alcoolique, excessif, comparant avec une sorte de respect son propre génie
à celui d'Henry Miller, et celles de son personnage emblématique, qui vit la même
vie, mais de façon mythique. Marie-Paule Laval a eu l'excellente idée de s'associer à
Bruno Boëglin pour l'écriture de ce spectacle délirant, et à sa compagnie, le Théâtre
du Désordre des Esprits, pour la production. Le délire de Charles Bukowski, on le
connaît bien aujourd'hui, ou plutôt on le reconnaît, avec délice, il surprend toujours
par sa verdeur et son culot, c'est un train lancé à pleine vitesse. Ainsi, tandis qu'on
apprend que la poésie « c'est meilleur qu'une chatte », le personnage, toujours
infoutu de la fermer, avec des idées qui lui viennent comme des besoins, enlève une
morte, la trouve tellement belle, s'en attriste, et se laisse entraîner par son compagnon
de beuverie dans une scène d'un burlesque étonnant. L'ami, ébloui par la beauté de
la morte, tombe amoureux de ce qui ressemble beaucoup, pour lui, à la femme idéale,
avant que ne se pose le problème de la cachette du cadavre. Toute morale bue, l'épisode,
qui est à mourir de rire, est une charge sans merci contre les fantasmes masculins
les plus méprisables et le comportement, aussi, de certaines femmes. La mise en
scène de Marie-Paule Laval est dynamique, avec une distribution importante, une
douzaine de comédiens, dont Olivier Desmaris dans le rôle de l'écrivain, et Bruno
Boëglin lui-même. À voir.
Du 6 au 8 février au Centre Communal Charlie Chaplin à Vaulx-en-Velin
10 / Février 2014 / N°200 /
© Jean-Louis Fernandez
spectacles vivants
Tender land
Un opéra américain par Jean Lacornerie
Par Étienne Faye
Le pays tendre d'Aaron Copland, c'est le territoire
intérieur de nos jeunes années, qui s'ouvrent à tant
d'expériences, tant de possibles. Jean Lacornerie
reprend Tender Land, créé au Théâtre de la
Renaissance (en co-production avec l’Opéra de Lyon),
quand il en était le directeur. Et la production est
en effet importante, puisque le metteur en scène
avoue 12 choristes, 7 solistes, 13 musiciens et un
chef d'orchestre, sans compter les techniciens.
Lauri, dix-sept ans, vit dans une famille de
métayers dont le père est absent, obligée d'employer
plus pauvres encore qu'elle pour les récoltes. Cette
histoire se passe pendant les années trente,
l'Amérique profonde est exténuée par la crise. Les
hommes sont jetés sur les routes pour chercher du
travail, et deux d'entre eux, justement, proposent
leur service au grand' père qui mène la maison.
Jean Lacornerie ressort des cartons un opéra dont
on peut regretter avec lui qu'il soit si peu joué,
alors qu'il est si touchant et qu'on y pourrait
même, sans se forcer, trouver des résonances dans
notre époque – ou, pour mieux dire, dans notre
crise à nous. L'ingéniosité du directeur du Théâtre
de la Croix-Rousse est une fois de plus, ici, remarquable. Le décor est celui d'une ferme simple,
comme il se doit. Les murs de planches entre lesquels
se joue le drame abritent également une ferme de
poupée, où les chanteurs manipulent des marionnettes,
elles-mêmes projetées sur un écran vidéo. Les occasions
de jeux, multiples et plaisantes, grâce aussi à des
panneaux de bois percés de fenêtres, permettent un
mouvement constant, l’énergie circule. Les costumes,
dans ce contexte pas vraiment flamboyants, amènent
leur fantaisie, de la couleur. La musique est typiquement américaine, composée et populaire,
comme en cinémascope, les arias savent nous
emmener, nous émouvoir... Il s'agit cette fois d'une
recréation, avec une nouvelle distribution, que
Jean Lacornerie qualifie de « très réussie », avec
Philippe Forget à la baguette.
Rencontre avec le metteur en scène.
Qu'est-ce qui vous attache autant à cet opéra, créé
en 2010 au Théâtre de la Renaissance ? Est-ce son
sujet, la crise ?
Et bien d'abord c'est une grande chance de reprendre
un spectacle, ce n'est pas si courant, et c'est grâce à
l'Opéra de Lyon. Cette œuvre possède une impressionnante
force dramatique, et je m'étonne qu'elle ne soit pas plus
jouée par ce qu'on appelle le « grand circuit ». Le lien
avec la crise, c'est effectivement le point de départ.
La crise des années trente est d'une violence inimaginable.
Les hommes, sans travail, sans espoir d'en trouver,
prennent la route, direction la Californie, des camps de
sans abris sont montés, beaucoup de gens ont faim. Ce qui
me frappe, dans l'actualité de cette pièce, c'est la présence
de la rumeur, qui parcourt les campagnes. On croit savoir
que deux violeurs sévissent dans le pays, il y a cette
espèce de fantasme sécuritaire, et en particulier, une
peur du crime sexuel, comme par hasard.
En quoi ce pays est-il « tendre »?
Le titre n'est jamais expliqué, on peut le prendre comme
une sorte de commentaire, ou une question : qu'est-ce qui
est tendre, dans ce pays ? Et lorsque l'on écoute le grand
aria de la mère, qui clos l'opéra, toute sa petite vie
s'écroule, les espoirs qu'elle formait dans l'éducation de
sa fille Lauri sont anéantis parce que, finalement, la jeune
fille est partie avant même de recevoir son diplôme.
Pourtant, elle ne peut s'empêcher de penser que « quelque
chose » commence. Copland, qui note son « regard de
pierre », lui connait aussi un cœur qui s'attendrit.
Pourquoi Lauri, abandonnée par son amoureux,
prend tout de même la route ?
Parce que c'est ce qui arrive aux enfants, ils s'en vont.
Du reste, les Américains du début du XXe siècle sont
souvent des immigrés, et leur rapport aux racines, leur
attachement à la terre, ne sont pas les mêmes que ceux
que l'ont peut avoir en Europe. Il faut voir, après le
cyclone de la Nouvelle Orléans, les gens sont allés faire
leur vie ailleurs, c'est tout.
Quelles sont vos options de mise en scène ?
L'idée de ce drame est née d'un ouvrage, Louons maintenant
les grands hommes, de James Agee et du photographe
Walker Evans. Aaron Copland et son compagnon, Erik
Johns, qui a écrit le livret, avaient été sensibles aux
photos d'une femme et de sa fille, deux gros plans, la
plus jeune avait encore cette flamme qui s'était éteinte
dans les yeux de sa mère. Je voulais donc travailler sur
cette idée du gros plan et jouer avec les échelles. J'ai
imaginé une sorte de grange vernissée de noir, et j'ai
assemblé un certain nombre de symboles américains,
comme compressés dans cet espace restreint de la scène.
Erik Johns, le librettiste, était peintre. Il a construit une
pièce en composant des paysages intérieurs. Et j'ai demandé
à Émilie Valantin de concevoir des marionnettes, manipulées par les chanteurs, qui me permettent de diversifier
les dimensions du récits.
Du 1er au 9 février au Théâtre de la Croix-Rousse
/ Février 2014 / N°200 / 11
spectacles vivants
© Nadia Gravelle
Par Etienne Faye
Notre siècle - Fritz The Cat
Un festival de culture
arménienne, après tout, on
pouvait se demander par quelle
bizarrerie du paysage lyonnais
cela n'existait pas. On estime
à près de deux cent mille
le nombre d'habitants d'origine
arménienne dans l'agglomération, et Katia Boudoyan,
présidente fondatrice du si jeune
Centre national de la mémoire
arménienne, installé à Décines,
raconte qu'avant la guerre,
dans cette ville, ils représentaient
plus de 40 % de la population,
et encore 12 % aujourd'hui.
Quelques questions
à Katia Boudoyan.
Comment avez-vous eu l'envie
d'un festival ?
La genèse d'Arménie au cœur est
d'abord une histoire d'amitié. Je voulais
faire un événement sur le cinéma
trop méconnu d'Artavazd Péléchian,
en diffusant ses films, et avec une
conférence de Rémi Fontanel, enseignant en études cinématographiques
et audiovisuelles à l'Université Lumière
Lyon 2, qui est probablement le plus
grand spécialiste mondial du cinéaste
arménien. Péléchian est inconnu
aussi parmi la diaspora, alors qu'il
a créé une façon de filmer qui porte
son nom. Rapidement, il y a eu cette
possibilité d'un ciné-concert, avec le
groupe de rock Fritz The Cat (qui
joue sur le film Notre siècle, ndr),
mais le Centre national de la
mémoire arménienne était trop petit.
Françoise Maimonne est une amie,
et elle m'a proposé le Théâtre Astrée,
où elle est en résidence. Du coup,
l'occasion était belle aussi de montrer
les photographies de Rajak Ohanian,
à l'ENSSIB, École Nationale supérieure
des sciences de l'information et des
bibliothèques, juste à côté, ainsi qu'à
la galerie Domus. Un artiste exigeant
et rare qui s'est intéressé aux
Arméniens, mais pas seulement,
capable de s'installer deux ans dans
une ville pour n'en tirer, finalement,
qu'une dizaine de clichés. Une rencontre
avec lui, très attendue, sera organisée
à l’École normale supérieure.
On est loin du folklore, si j'ai bien
compris...
C'est super le folklore, vraiment, mais
ce n'est pas ce qui nous intéressait.
Il existe une création contemporaine
arménienne qui mérite d'être valorisée.
Ainsi, en plus de la photographie et
du cinéma, auquel je me dois d'ajouter
la projection de Sayat Nova (Couleur
de la grenade) de Sergueï Paradjanov,
nous présenteront deux soirées littérature. La première, avec Hermine
Karagheuz, sera un moment de lecture
d'extraits d'Erevan, le livre de Marine
Petrosyan, suivi d'un récital des plus
belles œuvres pour piano écrites par
Arno Babadjanian et interprétées
par la pianiste Svetlana Eghanian.
La deuxième sera une soirée de poésie,
avec Françoise Maimonne, d'ailleurs,
et Saté Khatchatryan.
Est-ce que ce festival est appelé à
se renouveler ?
Nous en avons une forte envie, en
effet. Nous n'oublions pas que 2015
sera le centenaire du génocide, et
nous préparons, bien entendu,
nombre de manifestations, une journée
d'étude, une promotion des parcours
d'enfants rescapés qui ont fait la
culture de la France... Le génocide
est la base de tout, la raison de notre
émigration. Mais la culture arménienne, notamment de la diaspora,
est vivante et ne se résume pas au
génocide. Ce genre de manifestation
est l'occasion de le rappeler.
Du 4 au 7 février à l'ENSSIB, l'ENS,
Théâtre Astrée, Centre national de la
mémoire arménienne.
12 / Février 2014 / N°200 /
Le Raoul Collectif
déniche l’harmonie
dans le chaos
Par Christophe Jacquet
La bande de joyeux lurons
belges dynamite le conformisme
ambiant avec Le Signal du
promeneur.
« Soyons frères parce que nous sommes
perdus. » Voilà l’intuition qui, un beau
jour, a réuni cinq jeunes acteurs belges.
Elle a fait naître leur groupe, le Raoul
Collectif, et leur premier spectacle, Le
Signal du promeneur. L’un des plus
enthousiasmants à voir cette année, alors
qu’il stigmatise un monde dans le coma.
Sous respiration artificielle.
Le club des cinq, lui, veut avancer sans
béquille. Alors il fait du théâtre. Parce que
« dans un monde qui se détruit, la création
reste le seul moyen de ne pas se détruire
avec lui ». Créer oui, mais pas n’importe
comment. Le Raoul Collectif s’est formé à
Liège en 2009. Romain David, Jérôme de
Falloise, David Murgia, Benoît Piret et
Jean-Baptiste Szézot y suivent les cours
du conservatoire royal, où, observe David,
« les classes sont mélangées sur chaque
projet, donc on voit vite avec qui on a des
préoccupations communes ». D’après Romain,
cela ne relève pas uniquement d’affinités
artistiques : « Il y a ici cinq jeunes gens qui
vivent dans un système dans lequel ils se
sentent véritablement oppressés. » Pour s’en
échapper, ils cherchent dans les faits divers
des exemples, des personnes qui ont osé sortir
du cadre imposé. Eux-mêmes s’extraient lors
de longues marches en forêt dans les Ardennes
et les Cévennes. Rien d’anecdotique ici.
Les deux fils se rejoignent pour tisser la
matière du Signal du promeneur. Le spectacle,
ils l’écrivent ensemble de bout en bout,
dans un aller-retour constant de la table
au plateau. « Nous avons travaillé pendant
un an et demi pour nous mettre d’accord »,
rapporte le collectif à l’unisson, pour qui
« tout réside dans une lutte permanente
contre la prise de pouvoir ».
Le Signal du promeneur
Les tensions à l’œuvre chez les Raoul électrisent la scène. Chacun pourrait tirer son
épingle du jeu, égrener sa propre partition.
Le prologue, splendide, nous donne déjà
une indication contraire. Dans la nuit, un
homme surgit, éclairé par sa seule lampe
tempête. Il fraie son chemin jusqu’au centre,
y rameute quatre acolytes en bottes et vestes
de chasse. Ils viennent de partout, on devine
leur fatigue, et se rassemblent pour chanter
en chœur un air de Beethoven. L’harmonie
trouvée éclate quand déferle la parole.
Elle reviendra en musique. Tour à tour, les
promeneurs entament le récit d’un événement
extraordinaire. Les monologues invoquent,
sans les nommer, cinq individus « en rupture
avec les formes figées de la société ».
On retrouve l’explorateur Mike Horn,
Christopher McCandless, l’étudiant égaré
en Alaska qui inspire le film Into the wild,
Fritz Angst, malade incurable qui vomit
son éducation aisée, un entomologiste fou,
traquant un ptérodactyle au fin fond du
Mexique, ou Jean-Claude Romand, dont le
Raoul Collectif fait du procès un sommet
de parodie.
Si extrêmes soient-elles, ces sorties de route
alimentent des discours savants sur le monde
tel qu’il va. Mal. Le spectacle est loin de s’en
satisfaire. Dans un décor de clairière dévastée,
où des mottes de terre chutent et le piano est
désaccordé, les promeneurs s’interrompent
sans cesse, s’invectivent. Mettent leurs
certitudes à l’épreuve de gags et pirouettes
insensés. Le Signal du promeneur crée
alternativement des étincelles, quand la
pensée déraille, et des moments de grâce,
quand les acteurs se retrouvent autour d’une
mélodie. Il livre le portrait réjouissant
d’acteurs qui, selon Romain, composent
« une seule personne, contradictoire, qui veut
se mêler de tout et a besoin d’aide, de temps
à autre, pour faire le point avec elle-même ».
Du 13 au 15 février
au Théâtre de la Croix-Rousse, Lyon 4e.
Les 15 et 16 avril au Forum Meyrin à Genève.
© Céline Chariot
L'Arménie
au cœur
spectacles vivants
Sandrine Mini
Le Toboggan
continuera
de danser
© DR
Par Olivier Saison
« Je veux travailler avec des gens vivants !
Dans les musées, on ne voit plus que des
artistes morts, il y en a marre ! » Elle n’y
peut rien, Sandrine Mini : les artistes, elle
les préfère en chair et en os. En mouvement.
Bref, contemporains. Déjà, quand elle était au
Musée national Picasso, à Paris, la nouvelle
directrice du Toboggan s’occupait des publics,
et, encore avant, à Rome, à l’ambassade de
France, de la programmation culturelle en
matière de théâtre (contemporain), de musique
(contemporaine), et de danse (contemporaine)
– les trois inclinations du Toboggan. Ce qui
faisait d’elle la candidate idéale pour succéder
à Jean-Paul Bouvet, à la tête de la structure
de Décines depuis son ouverture, en 1996,
et parti à la retraite. « J’ai vu l’annonce en
septembre dans Télérama... mais il y avait
plus de 90 candidats ! » Autant dire qu’elle
est enthousiaste d’avoir été choisie, Mme
Mini : le défi de succéder à une personnalité
aussi respectée et compétente l’effraie
moins qu’il ne la galvanise.
« Heureusement, j’hérite d’un outil superbe. »
Et, par son histoire familiale – son père est
né à Palerme, et sa mère en Bretagne –
d’une passion pour les publics cosmopolites.
Son premier geste, pour digérer le trac des
entretiens, fut d’aller goûter aux plats de la
Maison culturelle arménienne. « Le métissage
me fascine et de voir tous ces gens venus
d’ailleurs, d’Afrique du Nord, de Pologne,
d’Arménie, qui se connaissent, et animés de
cet esprit de village, je trouve ça fabuleux ! »
À la tête de la scène décinoise
depuis son ouverture,
Jean-Paul Bouvet laisse place
à Sandrine Mini, une jeune
franco-sicilienne de 43 ans
qui entend bien garder le cap
de son prédécesseur.
Travailler autour d’un langage commun sera
sa priorité en matière de théâtre, avec un
accent mis sur « le mot lui-même, dans des
décors dépouillés. » Et en ligne de mire des
projets comme l’Encyclopédie de la parole
et la Coopérative d’écriture – que le public
décinois, quel qu’il soit, ne s’attende pas à
rester les fesses posées sur son siège.
Un autre projet qu’elle aura à cœur sera de
monter un bal populaire « mais pas démagogique : je voudrais que les Décinois,
même ceux qui sont le plus éloignés de la
culture, arrivent au Toboggan en se disant :
ici, on est chez nous. » Mais, pour cela, il
faudra désacraliser le lieu et décloisonner les
disciplines artistiques, en amplifiant encore
le lien avec le jeune public – notamment via
des ateliers musique (avec le pédagogique
trio de jazz Journal Intime) ou des cartes
blanches données avant chaque spectacle,
dans la partie restaurant, à des jeunes talents
locaux de la danse. « On repart avec une
coloration danse importante », souligne-t-elle
à ce propos, « à travers la convention que
nous avons signée avec la Maison de la Danse,
et dans le cadre de la Biennale, où nous recevrons
trois pièces, dont deux créations. » Dont elle
ne veut pas encore dévoiler les noms, pour
ne griller la politesse à personne. Décloisonner
est l’autre objectif qu’elle s’assigne pour
cette demi-saison qui vient de s’ouvrir.
Après l’incontournable Quatuor Debussy
en janvier, ce sera au chorégraphe burkinabè
Salia Sanou de faire trembler le toboggan les
27 et 28 février avec son spectacle Doubaley.
Pas de décor, mais de la danse, de la
musique et du cirque – le tout chorégraphié
par un artiste, qui, avant d’embrasser la
scène, se destinait à une carrière d’officier
de police. Comme quoi, tous les chemins
mènent à Décines.
/ Février 2014 / N°200 / 13
FÉVRIER 2014
© David Ignaszewski
LITTérature
Pyjama party
avec Dany (Laferrière) :
« Je mise sur le charme »
Interview par Olivier Saison
Ah elles sont bien installées, à présent,
les Assises internationales du roman…
Les huitièmes du nom, toujours organisées
par la Villa Gillet et le Monde, auront lieu
du lundi 19 au dimanche 25 mai. S’il est
un peu tôt pour dévoiler le nom des prestigieux invités, l’un d’entre eux nous a
écrit pendant la nuit depuis un hôtel de
Rimouski, une ville située dans le nord
du Québec, confortablement installé, lui
aussi, dans son pyjama – un « habit de
travail comme un autre » ainsi qu’il le
décrit dans son dernier livre, Journal d’un
écrivain en pyjama, texte qui se veut être
un recueil de « notes éparses s’adressant à
des gens qui aiment bien écrire sans vouloir
devenir écrivains ». Dany Laferrière, à la
désinvolture toujours intacte malgré sa
récente entrée parmi les Immortels de
l’Académie française, évoquera d’ailleurs
« la puissance créatrice de l’art » avec sa
consœur américaine Siri Hustvedt aux
Subsistances, dans le cadre de ces
Assises, hélas en tenue civile cette fois.
Pour l’heure, un seul mot d’ordre :
soyons désinvoltes, n’ayons l’air de rien.
Ecrivez-vous encore en pyjama ? Même
l'été à Haïti ? Même l'hiver à Montréal ?
J'écris en pyjama parce que je suis insomniaque
depuis un voyage à Tokyo. Je me réveille
chaque matin à 3 heures, et cela même si je
me couche à minuit. Donc je travaille en
pyjama. J'ai maintenant une collection de
pyjamas : un pour chaque saison.
Votre pyjama favori, est-il rayé, unicolore,
à pois ? En satin, en soie ou en flanelle ?
Mes pyjamas sont surtout rayés car j'aime
qu'un pyjama ressemble à un pyjama. En
soie l'été, et en coton l'hiver.
Ecrire dans votre habit d'académicien vous
a-t-il traversé l'esprit ?
Au moins une fois, j'écrirai en vert. Je n'ai
pas de pyjama de cette couleur.
L'épée est-elle lourde à porter, ou légère
comme une plume ?
Je n'ai pas encore d'épée. J'envisage de me
trouver un page pour porter l'épée à ma
place si elle est trop lourde.
16 / Février 2014 / N°200 /
Quel sentiment a motivé l'écriture d'un
Journal d'un écrivain en pyjama ? La peur
de ne plus rien avoir de chaud à vous
mettre, ou l'envie de vous mettre à nu ?
Un sentiment d'intimité... J'ai voulu écrire
un livre de cuisine et c'est devenu un livre
sur l'écriture... La cuisine ressemble à l'écriture.
Les épices, c'est le style. Et le temps de cuisson
est important dans les deux cas. Et surtout,
on n'écrit pas un livre pour le lire comme on
ne fait pas la cuisine pour soi. Ça n'a d'intérêt
que si on l'offre à quelqu'un.
Il pointe parfois dans les pages de ce
« Journal » non pas une amertume, mais
un certain désenchantement par rapport à
votre talent… Doutez-vous toujours de
votre aptitude à la fiction ou ce même
doute constitue-t-il au contraire, à votre
avis, l'étoffe de votre moi d'écrivain ?
Je sais bien que je suis un écrivain moyen.
Je mise sur le charme. Un lecteur charmé vous
trouve des qualités que vous n'avez pas.
Tandis qu'un talent trop évident agace.
Quand la rédaction de ces « notes » a-t-elle
eu lieu ? S'est-elle étalée sur plusieurs années ?
Une année. Trop de choses à faire dans la
vie pour accorder plus d'une année à un
livre. Tant de livres à lire, de petits cafés à
découvrir, et puis il y a les filles...
A ce propos, quel est votre fruit mûr préféré :
la grenade, toujours ?
Oui. La grenade qui éclate dans la bouche
comme un baiser d'adieu.
Quel est l'accessoire ou le type d'habit que
vous détestez le plus ? Le nœud papillon ?
La pantoufle ? Le bracelet de cheville ?
La pantoufle. Je porte mon pyjama nu-pied
et cela même en hiver à Montréal. Je voudrais
savoir pourquoi les pantoufles sont si laides.
Elles donnent une mauvaise image du confort.
Quelle est la tenue dans laquelle vous vous
sentez le plus à l'aise ?
Nu.
Dany Laferrière, Journal d’un écrivain en pyjama,
Grasset
19 mai aux Subsistances, aux Assises
Internationales du Roman.
20 mai à la Bibliothèque de Tarare
spectacles vivants
Chapitres de la chute
Si le capitalisme
m’était conté
Par Christophe Jacquet
L’économie est un vaste terrain de jeu.
S’il investit de plus en plus le travail, le
théâtre s’immisce très peu dans les aventures du capital. Arnaud Meunier, lui, ça
ne l’effraie pas. Le directeur de la
Comédie de Saint-Étienne a déjà puisé
chez Michel Vinaver le portrait choral
d’un entrepreneur fou, King Gillette,
inventeur du rasoir jetable. D’après Vinaver,
King retrace « la transformation du mode
de fonctionnement de l’économie à partir
de la fin du XIXe siècle ». Ecrits par Stefano
Massini, les Chapitres de la chute démontent
le même processus. En trois épisodes,
l’auteur italien retrace le parcours des
Lehman Brothers, de l’immigration de
juifs allemands en Amérique à l’une des
plus retentissantes faillites de l’Histoire,
le 15 septembre 2008.
Comment un commerce de l’Alabama
devient en un siècle et demi la quatrième
banque d’investissement au monde ?
Stefano Massini raconte en détail la success
story d’une famille qui se délite à mesure
qu’elle s’enrichit. On tient là la matière
d’une bonne série télé ; Arnaud Meunier
ramasse le tout en 3h30. Il fait du conte
de Massini une tragicomédie musicale,
dont la seule chanson est le texte, entonné
à plusieurs voix.
Le premier chapitre, truculent, dépeint
l’ascension des Lehman dans la frénésie.
Henry quitte sa Bavière natale pour le
sud des Etats-Unis en 1844. Deux frères
le suivent, Emanuel puis Mayer, pour y
monter une petite boutique de tissus et
de confection. Elle prospère au fil des
disputes d’Henry, l’aîné, la « tête », et
d’Emanuel, le cadet, « le bras », et des
initiatives de Mayer, le « bulbe », qui fait
tampon. A l’étroit sur le bord de scène,
les acteurs qui les incarnent s’affairent
sans arrêt, jonglant entre le récit directement
adressé au public et les courtes
séquences jouées, où l’on s’empoigne et
se congratule.
La pièce règle son pouls sur l’activité des
Lehman. Après la mort d’Henry s’amorce
le deuxième chapitre. Celui de l’apogée.
De la guerre de Sécession au krach de
1929, la fratrie et ses fils, Philip et
Herbert, s’adaptent et enflent. Ils ne font
plus des vêtements, mais de l’argent.
Dans l’immobilier, la banque et les
armes, enfin en Bourse, qu’ils contribuent
à créer. Plus le spectacle avance, plus
l’agitation décroît, le décor s’agrandit et
se vide. Les Lehman s’éparpillent. Ils ne
font plus rien que se regarder vivre.
Au troisième chapitre, un seul se débat.
Robert Lehman, dit Bobby l’immortel, le
petit-fils clinquant. Quand ses partenaires
se figent dans la pénombre, Serge
Maggiani, remarquable en héritier harassé,
lui donne de l’éclat. Il solde l’empire
dans la lumière, parce qu’il ne sait plus
quoi en faire, en s’agitant sur un
podium. La chute, Arnaud Meunier la
décèle dans les gestes. C’est là que sa
mise en scène est passionnante, nous
happe quand elle change des fourmis
appliquées en criquets impavides, qui
finissent papillon affolé.
Du 11 au 15 février au théâtre des Célestins.
© Jean-Louis Fernandez
En 2008, la faillite de Lehman Brothers
scelle une spectaculaire histoire familiale.
Avec Chapitres de la chute, Arnaud Meunier
en tire une fresque haletante, où argent
et liens du sang font mauvais ménage.
/ Février 2014 / N°200 / 17
chroniques sonores
CHRONIQUE
Par Bruno Pin
Thee Silver Mt Zion Memorial Orchestra livre
un nouvel opus FUCK OFF GET FREE WE POUR
LIGHT ON EVERYTHING en ce début d’année et
vient poser son Austerity Blues sur les planches
de l’Épicerie. On attend toujours avec impatience
les gars du label Constellation, les anglophones
de Montréal ont montré depuis quelques lustres et
par leurs exigences musicales les multiples chemins
empruntés de Godspeed You Black Emperor à
The Silver Mount Zion the memorial orchestra. La
tension est palpable Fuck Off Get Free (For The
Island Of Montréal), la musique monte avec ce titre ouvrant l’album,
puis passant par le titre Austerity Blues, dépouillée et minimaliste, la
musique du quintet est toujours exigeante avec ses moments de tension
et de calme à la croisée des styles sur fond de post-rock.
L’Épicerie Moderne le 18 février
Voilà un nom qui ne court pas les rues, Luis Lopes
humanization 4tet sort un LIVE IN MADISON
(Ayler Rds/Orkhestra) trempé dans le chaudron
du free jazz/punk version 21e siècle. Voilà un disque
bourré d’énergie, pas de répit ou si peu et même
si le guitariste (Luis Lopes) semble quelquefois en
retrait il nous offre des instants de tension extrême.
Vous l’aurez compris, la musique du quartet est une
véritable dynamite, intense et radicale, les deux
Gonzales, Aaron à la contrebasse et Stefan à la
batterie, propulsent littéralement la musique et le
saxo ténor de Rodrigo Amado est telle une tornade ; ce live est simplement
monstrueusement magnifique et puissant. Entre un premier titre d’Arthur
Blythe qui monte en puissance, une belle ballade Long march for Frida
Kalho, et un Dehumanization Blues en forme de free/blues, ce disque
vaut toutes les attentions. Jazz pour oreilles expérimentées.
Bruits de peau avec aux baguettes magiques le
batteur Gunter Baby Sommer qui sort un disque
au titre explicite DEDICATIONS (Intakt rds).
Hommage aérien aux grandes figures du jazz et il
est évidemment seulement question de batteurs,
de Philly Joe John à Pierre Favre, de Han Bennink
à Max Roach et d’autres encore. Gunter Baby Sommer
habitué des belles rencontres et des musiques
improvisées (il a joué avec Peter Brötzmann, Evan
Parker, Louis Sclavis, François Méchali, Barre Phillips,
Wadada Leo Smith, Cecil Taylor...) nous offre l’occasion
d’entendre un batteur rompu au jazz contemporain et l’évidence est là,
ce type est particulièrement incroyable, de Klangstück für Pierre tout en
délicatesse à A letter to Paul, le musicien s’amuse et joue avec élégance
une musique inventive. Sommer sait aussi se servir de sa voix, alors là
il chantonne, ici ses cordes vocales jouent d’autres mots, d’autres sons.
Sur Art Goes Art, une flûte, un saxo... s’immisce, et pour finir Self portrait
nous entraîne sur d’autres rives.
Là où l’on aurait pu craindre un exercice bruitiste et ennuyeux, on se
retrouve avec un disque plein de rondeur et de douceur.
On l’attendait de pied ferme, et c’était déjà une
bonne raison. On savait que ça n’allait pas tarder
après l’arrivée de deux 45 tours (juin et octobre)
sous tension. Michel Cloup Duo nous livre un
album MINUIT DANS TES BRAS (Ici d’ailleurs)
qui dans un fracas de guitare nous fait dresser
l’oreille et nous met le cerveau en alerte. Après
Diabologum et Experience, la route tracée par
Cloup a pris divers chemins de traverse, univers
incandescent du free rock à un groove hypnotique.
La base. On connaît les références du guitariste,
depuis le temps et les beaux hommages qu’il en fit dans un Experience (2005)
titré Positive karaoke with a gun avec des reprises tendues à l’extrême
de NTM, Costes, Public Enemy...
Aujourd’hui c’est en duo que le musicien s’accorde toutes les libertés
avec comme compagnon de voyage Patrice Cartier (ex-Expérience) à la
batterie. Vous cherchiez un groupe de rock à vous mettre entre les
dents, une musique incandescente qui doit autant à Sonic Youth qu’à
Shellac, vous devriez jeter une oreille sur cet album. Des titres longs
comme on aime, Michel Cloup garde le cap d’une musique exigeante,
des belles surprises jalonnent ce disque. On attend avec impatience son
passage à Lyon, c’est à chaque fois un grand moment de live.
En concert au Clacson le 9 mars
18 / Février 2014 / N°200 /
Par Bruno Pin
« Ma musique fonctionne de la même façon que mon esprit, en sautant d’un bord à un autre, c’est-à-dire
en mélangeant les parties composées à d’autres improvisées. »
John Zorn, Libération 2 septembre 2013
Beau titre à rallonge Tony Hogan m’a payé un ice cream soda avant de me
piquer maman (Editions Philippe Rey) et belle surprise de l’écrivaine écossaise
Kerry Hudson avec un premier roman très réussi.
Janie nous raconte sa vie, c’est courant, sauf que celle-ci dans les premières lignes
nous explique qu’elle vient de naître, alors surprise, un nourrisson qui parle dès
les premiers instants, puis enfant à deux ans, quatre ans... Ce livre se dévore
parce qu’il est drôle et incisif, malgré le sujet. Il nous plonge dans le monde ouvrier,
plutôt à la frontière, on est plus dans le quart monde, (on pense inévitablement
à Ken Loach), l’auteure est issue de ce milieu, chômage, alcool, drogue, violences
conjugales et elle sait nous parler avec justesse des souffrances et galères de
Janie Ryan et de sa mère Iris, un livre entre sourires et larmes.
© Julien Mignot
CHRONIQUE NOMADE
CHRONIQUE
On le suit depuis quelques lustres ce Rodolphe Burger, de son Kat Onoma (ah ! le temps
du beau Stock Phrases et des autres) et celui du Live à La Chapelle (Over You petit
instant magique) à ses exercices de style avec Olivier Cadiot. Voilà l’homme des rencontres (Bashung, Poulet, Cadiot, Truffaz, Marchand, Habbad, Doctor L, Balibar,
Costes...) qui fourmille d’idées et d’envies, véritable tête chercheuse dans le paysage
un peu fluet du rock hexagonal. Un son. Une voix. Une culture rock en bandoulière.
Rodolphe Burger se penche avec respect sur un de ses pères. Lou Reed, The Legend.
Alors on attend avec impatience sa venue en belle compagnie à Macon : I m waiting
for the man, Sunday morning, Sweet Jane... vont vibrer dans ce théâtre, du Velvet
dans l’air résonnant jusqu’aux tréfonds souterrains du rock animal, de cette primitive
musique qui fait le lien entre hier et aujourd’hui parce que l’ombre du Velvet
Underground est toujours d’actualité, malgré les années, même après plus de quarante
ans, alors « This is a Velvet Underground song that I’d like to sing » dixit Nico.
Le 8 février au Théâtre de Mâcon.
Rendez-vous jazzistique mais pas que, avec la venue de
Laurent Dehors à l’Amphithéâtre de l’Opéra, trois concerts
pour trois soirées ouvertes aux instruments à vent, à cordes
et percussions. Où comment offrir un panorama des talents
des musiciens qui forment Tous Dehors. Musicalité et
humour, politique et opéra, jazz et improvisation, fantaisie
musicale et transversalité stylistique, musette et rap...
voilà en quels mots l’univers de ce musicien poly-instrumentiste qui se joue des classifications. Entouré d’une
ribambelle de musiciennes, l’excellente Catherine
Delaunay à la clarinette, Anne Magouët au soprano et musiciens : Bourne, Chevillon, Sabattier,
Quillet... les murs de l’Amphi devraient tanguer sous les assauts rythmique des musiciens.
Entre Le temps des cerises et Mozart, entre L’International et Verdi, ces trois soirées s’annoncent
comme une porte ouverte aux chemins de traverses.
Amphithéâtre de l’Opéra, le 13 février, Chanson politique - 14 février, Une petite histoire de l’opéra
15 février, Big Band Tous Dehors
Quelques musiciens européens pour rendre un hommage aux pères du
Free Jazz et Jazz Contemporain, l’idée est certes ambitieuse de se
réunir sous le nom de Braxtornette Projet et je ne vous ferai pas l’affront
de vous expliquer les deux racines ce celui-ci mais l’écoute est joyeuse
et salutaire. Die Hochstapler (les imposteurs) quartet franco/allemand/
italien joue le répertoire de O. Coleman et D’Anthony B. et « Nous utilisons
leurs compositions et leurs concepts pour créer notre musique ; nous ne
les copions pas, nous les volons, c'est en cela que nous sommes des
imposteurs »
Beau mois de février où jazz rime avec Périscope, le 28 février.
Le pavé incontournable de ce début d’année pourrait bien être le roman de
Donna Tartt. Le Chardonneret (Editions Plon) est une vraie réussite qui vous
offre la possibilité de prendre la poudre d’escampette en vous embarquant dès
les premières pages dans l’extraordinaire histoire de Théo (jeune garçon de 13 ans)
et de ce petit tableau (33x28) peint en 1654 par Carel Fabritius. Tout au long
du récit qui s’étale sur une quinzaine d’années, nous allons croiser la famille
Barbour, le père alcoolique de Théo, l’ami Boris, russe et totalement déjanté,
drogué qui accompagnera le jeune Théo pendant quelques années, la frêle et
inaccessible Pitta, Hobbie l’antiquaire et père de substitution, quelques individus
étranges, des rôdeurs, des profiteurs, des alcooliques, des drogués... dans une
grande fête littéraire qui pourrait devoir autant à Dickens qu’à Dostoïevski
tout en faisant le grand écart dans les méandres de la littérature contemporaine. Un roman populaire
avec toutes les qualités du genre.
Pour finir cette chronique un peu d’humour et du bel ouvrage. L’image date de 1919 pour
les premières et les dernières de 1924 et c’est tout simplement un pur moment de drôlerie
et de magie. Ils sont frères les Fleicher. Max tient plutôt la plume et Dave la production, à
eux deux ils sont animateur, réalisateur, producteur, scénariste, acteur et compositeur et
créent le personnage de Popeye, de Betty Boop et de Superman, rien que ça. L’objet qui
nous intéresse aujourd’hui est un DVD mis en musique par Guy Villerd, Jean Bolcato et
Thierry Cousin et nous propose la version restaurée de sept courts-métrages animés des
Fleicher : Koko le clown (Arfi). Osmose totale entre image et musique. Dvd jeune public
très recommandable pour public moins jeune car les aventures de Koko le clown sont
pleines d’inventions.
/ Février 2014 / N°200 / 19
Musique
Quand Les Souris Dansent
par Anne Huguet
Bratsch
© François Junot
Une 6e édition mitonnée aux petits oignons pour le sympathique festival Quand Les Souris
Dansent qui prend du galon en 2014 et s’installe 20 jours durant, entre Lyon et Villeurbanne,
pour tordre le coup aux préjugés et festoyer sur tous les modes. Avec une programmation
toujours éclectique qui ose les mélanges (cinéma, expo, musiques, théâtre…), joue la carte
de l’émergence mais qui, cette année, invite aussi quelques artistes confirmés de notoriété
nationale voire internationale. Christophe Cerri, son programmateur et directeur passionné,
est fier d’inviter les Bratsch. « Ça fait 25 ans que je rêve de les programmer !». On ne
présente plus ce quintet explosif et virtuose qui, depuis 40 ans, ne cesse, entre Carpates
et Méditerranée, de se renouveler et réinventer mélangeant répertoire tzigane et musiques
des Balkans, bouzouki et violon, jazz manouche et klezmer, voire même musette, folk
et sonorités plus urbaines. C’est un vrai road-movie musical qui vous attend avec Urban Bratsch
(leur nouveau spectacle) ou virée poétique et charnelle dans les nouvelles mythologies
urbaines de toutes ces villes qui les ont influencés (Odessa, Salonique, Budapest, Paris, Lisbonne,
NYC etc…). Pour boucler de la plus belle des façons cette 6e édition ! (28 février),
Quand Les Souris Dansent…, c’est aussi tout un travail de réflexion autour de Culture &
Handicap. Comment bien vivre ensemble les uns avec les autres avec nos différences ?
Qu’est-ce la normalité, l’anormalité ? Autant de questionnements qui sont aujourd’hui
l’un des fils conducteurs du festival croix-roussien et qui seront abordés par le biais de
spectacles (Invisibles ?, Cie Sisma), d’ateliers de sensibilisations et de débats, dont la
rencontre avec la comédienne sourde Emmanuelle Laborit autour du documentaire
Avec Nos Yeux qui sera présenté au CIFA St-Denis (19 février). C’est également de la chanson
qui guinche, sensible ou acérée avec les inusables Karpatt et le folk-blues à la française
de Balmino (15 février), des petites jauges pour retrouver une certaine proximité avec
le public dans des ambiances plus acoustique et même roots (Los Don Diegos, 22 février),
les ambiances batucada sur la place publique (8 février) ou encore les riffs affutés et les cuivres
funky de l’électro-brass-band Les Monstroplantes (14 février). Demandez le programme.
Du 8 au 28 février
■ Happy Jawbone Family Band débarque de nulle part avec ses sonorités
boisées et sa pop psyché bordélique jubilatoire. Production prolifique
pour ces hippies lo-fi du Vermont qui ont sorti fin 2013 un 1er album
éponyme chez Mexican Summer. Plein d’instruments bizarres et de
sonorités trafiquées (melodica, klaxons, claviers tordus, guitares
sèches, autoharp…), plein de chœurs foutraques et de chant choral
habillent et habitent ces chansons de folk (d’anti-folk ?) dansantes et
joyeuses quoiqu’un peu barrées.
Kraspek Myzik, 4 février
■ « Le rap, c’est le verbe, la technique, la crasse et le bitume ». La Gale
a le cœur d’une orientale (mère libanaise), le franc-parler d’une punk
(ses 1ers émois), le look d’une rockeuse et la rage au ventre. Après des
débuts, entre Beyrouth et Dubaï, avec la virulente MC Mali-Kah, elle
enregistre l’an passé ses propres textes, avec MC Rynox et DJ Chikano,
sur les beats de Christian le batteur de Honey For Petzi. Des textes
souvent à cran qui hurlent le malaise social, le racisme quotidien, la
cause palestinienne ou encore « ceux qui se la racontent ». C’est
certes sans concession et rugueux mais le rap de la Lausannoise peine
parfois à dépasser certains clichés rap éculés et c’est dommage. Avec
2 autres rappeuses affûtées, Pumpkin et Billie Brelok.
Les Abattoirs, 8 février
■ Black Rebel Motorcycle Club fait partie de ces groupes à perfectos
qu’on écoute d’une oreille. Parce que le trio californien a signé de loin
en loin quelques pépites bien senties de blues musclé ou de rock garage
presque stoner. Et c’est vrai qu’en 2010 leur Beat The Devil’s Tatoo
tenait plus qu’agréablement la route avec ses guitares saturées et ses
ambiances plombées. Plus mélancolique avec ses tempos lents et ses
riffs vicieux, le récent Specter At The Feast déçoit même si l’excellent
Rival gonflé à bloc ou la belle reprise de The Call Let The Day Begin
viennent sauver la mise.
Radiant, 10 février
20 / Février 2014 / N°200 /
© Fanny Roduit
Par Anne Huguet
■ Les Londoniens avaient été plébiscités « Découverte 2012 ». Breton
revient à l’attaque avec un 2e opus War Room Stories (sortie 3 février),
mitonné avec rage et délectation dans une ancienne station de radio
abandonnée à Berlin (leur studio-squat londonien ayant été rasé). Au
menu beats lourds, nappes électro et synthés syncopés, cordes, piano
chargé d’échos et guitares pour naviguer à vue entre grosse teuf électro
sous obédience LCD Sound System Got Well Soon, pop-funk catchy
Envy, collages urbains et electronica plus classieuse Brother, Search
Parties. Un live en 3D avec force projections et images, on se doute,
pour ces stakhanovistes du multimédia.
Salle du Kao, 11 février
© Sean Hartgrove
CONCERTS EXPRESS
CHRONIQUE
■ On connaît de réputation les Nashville Pussy, quatuor tonitruant qui
carbure aux rythmiques plombées, aux guitares acérées et aux vociférations
sauvages. Depuis quelque 20 ans (et 5 albums), les rockeurs sudistes
balancent, entre hard rock, rock sudiste et psychobilly, leurs morceaux
provocants (ça parle beaucoup de sexe, drogues, baston et bien sûr de
rock’n roll) et enflamment un public presque convaincu d’avance (motards
et tout autre adepte de rock dur). Quelque part entre Motörhead et
AC/DC, les Nashville jouent pied au plancher, hurlent, se douchent à la
bière et font monter les degrés dans le public. « Let them eat pussy ! »
Ninkasi Kao, 19 février
▲ La Gale
▲ Nashville Pussy
▲ Crystal Slits
▲ Of Montreal
■ Coup de cœur. Le quintet new-yorkais Crystal Stilts débarque en
France pour présenter son dernier (le 3e) opus Nature Noir, sorti à
l’automne chez Sacred Bones. Il y a la voix subjugante -et en permanence
reverbée- de JD Townsend qui vous enveloppe et vous tourneboule, il
y a ces mélodies bancales accrocheuses qui vous envahissent et ne vous
lâchent plus. Des guitares déglinguées, des effets, quelques cordes
sublimes, de la reverbe en veux-tu en voilà, des claviers psychédéliques
et surtout cette science innée du songwriting comme dans le meilleur d’une
chanson pop. Quelque part entre noisy pop, americana mélancolique et
ballade rock hantée, le combo de Brooklyn confirme la beauté trouble
de sa musique.
Clacson, 21 février
■ Of Montreal, combo délirant toujours emmené par le déjanté Kevin
Barnes, distille une pop psychédélique déstructurée jusqu’à la moelle
et ragaillardie par moult expérimentations et effets. Polyphonies aigües
et chœurs enveloppants, synthés en cascade, juxtaposition de tempos
ou encore collages de styles sont quelques-uns des subterfuges
fréquemment utilisés par ces gais lurons qui sont capables des pires
excentricités sur scène… hélas pas toujours du meilleur goût !
L’Épicerie Moderne, 24 février
Chaque mois deux artistes choisissent un mot afin de vous livrer
un texte court et une image autour de ce choix.
© Olivier Favier
mot[s]
Antonelle Amirante
est comédienne
et metteure en scène
E’ PERICOLOSO
SPORGERSI
(ne pas se pencher au dehors)
Ecrit dans d'autres langues, sur la bordure de chaque fenêtre des trains,
quand celles-ci s’ouvraient encore à des extérieurs bien réels,
l’avertissement ne demandait qu’à être transgressé
E’ pericoloso sporgersi, mais il n’est pas interdit de regarder par la fenêtre !
Traversant la frontière entre mes deux pays, l’Italie et la France, je suis passeuse de mots qui
ont la chance de pouvoir voyager « sans papiers » ; traduits, appris par cœur et joués sur scène.
Et puis, même s’il est dangereux de se pencher, il faut parfois prendre des risques pour
regarder au-dehors :
Se pencher à la fenêtre pour échapper à l’écran qui clignote et hypnotise.
Se pencher à la fenêtre pour mieux voir à l’intérieur.
Se pencher à la fenêtre pour respirer un air nouveau.
Se pencher à la fenêtre pour accueillir les mots d’ailleurs qui, par leur distance et leur étrangeté,
nous font « entendre » mieux ceux du compartiment d’à côté.
Durant mon dernier voyage, dans une gare du sud d’Italie, un homme m’a confié dans un
texte les mots des femmes de son village. Dans un contexte géographique et historique où
la parité homme/femme n’effleurait ni la pensée et encore moins la vie de tous les jours,
ces mots nous permettent de mieux réfléchir sur la situation actuelle.
Des mots venus d’ailleurs pour nous rappeler que les droits que l’on croit acquis restent
fragiles car les regards continuent de juger et de blesser. Toujours.
Aujourd’hui, j’accompagne ces mots dans leurs voyages vers leur représentation en France,
et au même moment, dans un autre train, les femmes d’Espagne se penchent pour crier et
défendre leurs droits en péril.
Artiste associée au Théâtre de Vienne
Mère/Fille le 27 février, Espace Albert Camus, Bron - Archipels les 21 et 22 mars, Théâtre de Vienne
Arrange-toi (création 2014) du 14 au 25 octobre TNP, les 6 et 7 novembre Théâtre de Vienne
Nasser Djemai
est auteur
et metteur en scène
COUP
J'étais leur jouet préféré, ça les faisait rire. Ils jouaient au ping-pong avec moi, à toi,
à moi, à moi, à toi. A chaque fois que je passais je prenais un coup. Si ce n’était pas l'un,
c'était l'autre. Je les appelais les deux chiens. A chaque fois que je passais je me faisais
mordre. Je déteste les chiens ça me dégoute. C'était les plus forts du collège, ils étaient
grands, ils n’arrêtaient pas de rire ensemble, tout le temps, tout le temps ils riaient.
Et leur jeu préféré, c'était moi ! C'était un coup, un coup et encore un autre coup.
Impossible d'échapper à ces chiens. Des fois j'évitais les coups en les faisant rire.
J'avais toujours une petite blague pour éviter les coups. Et quand je n’avais pas de
blague c'était les coups. Pourtant je faisais tout pour être transparent, pour pas qu'ils
me remarquent. Je faisais tout pour ne pas qu'il posent leurs regards sur moi. Je pensais
m'habituer aux coups, un jour ou l'autre je ne sentirai plus rien. Mais non, à chaque
fois ça fait mal, à chaque fois c'est pire. Surtout quand les autres sont là et me regardent
en silence. Et je sais qu'ils se disent « Tant mieux c'est pas moi ».
Immortels du 18 au 22 février, MC2 de Grenoble
Invisibles le 21 mars au Théâtre Théo Argence, Saint-Priest
/ Février 2014 / N°200 / 21
agenda
Pour mars, envoyez vos infos avant le 18 février à [email protected] et [email protected]
B-ROY - MADJID - JOAN
MJC Aurec/Loire à 20h30. 8€, 06 22 62 14 69
LA FÊTE À BOBY - Sémaphore
TAMBOUR BATTANT - LOO & PLACIDO
2METHYLBULBE1OL etc.
Cave à Musique 23h/5h. 14€ - 10€
NOVEMBRES - DEEP ON TIME - IMPAKT
LAST REQUIEM - Tannerie à 20h30. 5€ à gratuit
ODDATEEE - PSYKICK LYRIKAH
RADZIA & SUMMERS - LaPéniche à 21h. 10€ - 6€
LO’JO - MOUNTAIN MEN - La Commanderie à Dole
à 20h. 20€ - 15€, 03 84 37 50 40
SAN SEY’A & LAURENT GARDEY
A Thou Bout d’Chant à 20h30. 13€ - 9€
NORA KAMM QUARTET
Clef de Voute à 21h. 10€ - 8€
OLDELAF - Radiant-Bellevue à 20h30. 27€ - 22€
TRIO G.C. WESTON / MAJCHRZK / GEMBALSKI
DUO CHATTI / PORTIER - Jack Jack à 20h. 12€ - 10€
DAVID LEMAITRE - JULIA KAT
Épicerie Moderne à 20h30. 10€ - 8€
Poly’Sons : VALÉRIAN RENAULT
Théâtre de l’Iris à 20h. 14€ - 4€
KIKO DIDGE - Tannerie à 19h. Gratuit
DIMANCHE 2 FÉVRIER
TAGADA TSING - Agend’Arts à 18h. 9€ - 4€
WIDDERSHINS - KAVIAR SPECIAL
Kraspek Myzik à 20h30. 6€
VENDREDI 7 FÉVRIER
DAG - LA SALLE DU FOND À GAUCHE
Salle Léo Ferré à 20h30. 12€ - 9€
AND SO I WATCH YOU FROM AFAR - NI
Marché Gare à 20h30. 12€ à gratuit
CHROMB - Périscope à 21h. 10€ - 8€
PRINS THOMAS - MARK ERNESTUS
present JERI-JERI - MZKBX
Le Sucre 23h/5h. 16€ - 12€
SLAMARILLA SESSION - 6e Continent à 21h. Gratuit
PSYKICK LYRIKAH - X’ - ZAJAZZA
Ninkasi Kafé à 21h. Gratuit
ZYCE - MORTEN GRANAU - NEUROMOTOR etc.
Salle du Kao 23h/5h. 18€ - 15€
DJ SARAH FINCI
Club48 Lyon 8e à 21h30. 12€ - 6€, 06 15 24 77 80
LILY LUCA & BERYL B - Agend’Arts à 20h. 9€ - 4€
SAN SEY’A & LAURENT GARDEY
A Thou Bout d’Chant à 20h30. 13€ - 9€
IVAN BALDET 5TET - Clef de Voute à 21h. 10€ - 8€
SULIKO - POLYPHONIES DE GÉORGIE
Amphithéâtre Opéra de Lyon à 20h30. 16€ - 10€
KAVINSKY - Transbordeur à 20h. 29€
BLAWAN - OXYD - PEEV - LIKHAN’
Club Transbo 23h30/5h. 15€ - 13€
CALVIN COAL
Aqueduc à 20h30. Gratuit sur réserv. au 04 78 35 08 02
GNÔ - FRANCK CARDUCCI - GAËT
Le Fil à 21h. 15€ - 11€
PROHOM - MONA KAZU - LaPéniche à 21h. 10€- 6€
LUNDI 3 FÉVRIER
THE DOORS ALIVE - Transbordeur à 20h. 33€
SAMEDI 1ER FÉVRIER
LE BONK - RENO BISTAN - AÏSSI - TAMBOR Y SON etc.
6e Continent à 21h. 3€
WAXIST - SACHA MAMBO - Le Sucre à 21h. 9€
ÉVELYNE GALLET - Agend’Arts à 20h. 9€ - 4€
KENDRA MORRIS - Transbordeur à 20h. 20€
PALANDRI - LORD RUBY - Toï Toï Le Zinc à 20h30.
MOUNAM & THE SOUL FUNK SOLIDERS
MOTOWN REVIVAL - Épicerie Moderne à 20h30. Gratuit
Les Nuits Givrées : TÉTÉ - GAËL FAURE
Aqueduc à 20h30. 16€ - 7€, 2J/21€
WALL OF DEATH - CHEVEU
Abattoirs à 20h30. 13€ - 10€
LE SON ÉTRANGE - KARLIT & KABOK ET SON
ORCHESTRE - TCHOPDYE - DESCHANNEL etc.
Le Fil à 20h30. Gratuit
Festival Guitare Vallée : BERNARD ALLISON - Z STAR
Salle Jean Dasté Rive-de-Gier à 20h30. 20€ - 16€
MARDI 4 FÉVRIER
HAPPY JAWBONE FAMILY BAND
Kraspek Myzik à 20h30. 6€
Poly’Sons : YÉTI - Théâtre de l’Iris à 20h. 14€ - 4€
GRABEN ORCHESTRA - Karavan Théâtre à 19h. 5€
KENT - FRED RASPAIL
Train-Théâtre à 20h30. 19,5€ - 16€
MERCREDI 5 FÉVRIER
TRAAMS - Sonic à 21h. 10€ - 8€
CODY CHESNUT - MARIAM MEREBA
Épicerie Moderne à 20h30. 16€ - 12€
OMAR SOSA QUARTETO AFROCUBANO
Le Fil à 21h. 23€ - 17€
JEUDI 6 FÉVRIER
POP. 1280 - Sonic à 21h. 6€
GÄEL HORELLOU QUINTET feat. ABRAHAM BURTON
Périscope à 21h. 12€ - 10€
JC SATÀN - AVIONS - Marché Gare à 20h30. 16€- 12€
TARJA TURUNEN - Transbordeur à 20h. 31,5€
KILL THE NOISE - OXIDIA - NASTY J - KPUSH
Club Transbo 23h30/5h. 15€ - 13€
LOUIS2000 - DUNGENESS
Kraspek Myzik à 20h30. 6€
22 / Février 2014 / N°200 /
SAMEDI 8 FÉVRIER
DAG - LA SALLE DU FOND À GAUCHE
Salle Léo Ferré à 20h30. 12€ - 9€
COBRA - Sonic à 21h. 10€ - 8€
TUUNG - TACHKA - Marché Gare à 20h30. 16€ - 12€
OGHAM - Périscope à 21h. 12€ - 10€
MAGIC MOUNTAIN HIGH LIVE - MOVE D - KOSME
Le Sucre 23h/5h. 16€ - 12€
ALDEBERT - Bourse du Travail à 20h. 32€ - 15€
DJ SOTURUSA - BOIKUTT - DEEP etc.
6e Continent à 20h. 5€ - 3€
CLARK - KÄPÄK - LEOME - BOTINE etc.
Salle du Kao 23h/5h. 17€ - 15€
SULIKO - POLYPHONIES DE GÉORGIE
Amphithéâtre Opéra de Lyon à 20h30. 16€ - 10€
ROB MOIR - MIKE NEOGRAF
Kraspek Myzik à 20h30. 6€
Quand les souris dansent... : BATUCADA BANDANA
Place de la Croix-Rousse à 12h. Gratuit
LILY LUCA & BERYL B - Agend’Arts à 20h. 9€ - 4€
THE THIRSTY SELENITS BAND - CHARLIE AND
THE SOAP OPERA + Bal Funk
Salle du Quai MJC Vienne à 20h30. 10€
LA GALE - PUMPKIN - BILLIE BRELOK
Abattoirs à 20h30. 13€ - 10€
LE VELVET DE RODOLPHE BURGER
LA GÉNÉRALE D’EXPÉRIMENTATION
Mâcon Scène Nationale à 20h. 24€ - 14€
ALICE FRANCIS - LIOR SHOOV
Tannerie à 20h30. 15€ - 9€
DUB FX - O.B.F SOUND SYSTEM
AL TARBA vs NIXON -KRAK IN DUB - DUBMENTALIST
Le Fil 21h/3h. 22€ - 16€
AXEL BAUER - Train-Théâtre à 20h30. 19,5€ - 16€
LOU MARCO - RAYMONDE HOWARD
Moulin de Brainans à 20h30. 13€ - 9€
DIMANCHE 9 FÉVRIER
CAROL’S COUSIN - MY NORTH EYE
Kraspek Myzik à 20h30. 6€
Quand les souris dansent… :
DUO STANTCHEV / MARTIN
101 Marches Lyon 4e à 18h. Gratuit
LILY LUCA & BERYL B - Agend’Arts à 18h. 9€ - 4€
LOCO DICE - HECTOR - Le Sucre 15h/22h. 18€
EMMANUEL MOIRE
Bourse du Travail à 19h. 42€ - 38€
TURISAS - Salle du Kao à 19h. 28€ - 25€
SHANNON WRIGHT SOLO - RAYMONDE HOWARD
Épicerie Moderne à 20h. 13€ - 9€
LUNDI 10 FÉVRIER
BLACK REBEL MOTORCYCLE CLUB - KID KARATE
Radiant-Bellevue à 20h. 29€
ZÉ LUIS - NANCY VIEIRA
Théâtre de Villefranche à 20h30. 24€ - 15€
MARDI 11 FÉVRIER
BRETON - DID - Salle du Kao à 20h30. 24€ - 21€
PIERRE LAPOINTE
Radiant-Bellevue à 20h30. 27€
NORIG - Espace Albert Camus à 20h30. 16€ - 9€
MERCREDI 12 FÉVRIER
MARY OCHER - Kraspek Myzik à 20h30. 6€
FABULA - LAMARCA - ORCHIDS
Ninkasi Kafé à 21h. Gratuit
TRIO LOUIS SCLAVIS / KEYVAN / CHEMIRANI
Théâtre de la Renaissance à 20h. 20€ - 8€
TÊTES RAIDES - Embarcadère Montceau-les-Mines
à 21h. 20€ - 10€, 03 85 55 1311
JEUDI 13 FÉVRIER
QUINTET LAURENT DEHORS & ANNE MAGOUËT
Amphithéâtre Opéra de Lyon à 20h30. 16€ - 10€
NAKED IN THE WOOD - HAMM
Kraspek Myzik à 20h30. 6€
ESTAÇAO BRASIL - Clef de Voute à 21h. 10€ - 8€
RÉMO GARY - A Thou Bout d’Chant à 20h30. 13€- 9€
PATRICE - Radiant-Bellevue à 20h. 28,5€
LES TIT’NASSELS - ERWAN PINARD
Salle du Kao à 20h. 20€ - 14€
LUNATIC TOYS - Périscope à 21h. 10€ - 8€
ANNE SILA - JOE BEL - PETHROL - MISO SOUP
DE LA MONTAGNE - PAN - SCHLASS - ANTON SERRA
Marché Gare à 20h30. Gratuit
DEVILABEL CORPORATION (DLC) - MIR-941
Jack Jack à 20h. 12€ - 10€
agenda
DIMANCHE 16 FÉVRIER
IMPERIAL PULSAR - Le Fil à 18h. 12€ - 6€
TRIO ANGELIKA - Clef de Voute à 21h. 10€ - 8€
JC SATÁN - Cave à Musique à 21h. Prix libre
MARDI 18 FÉVRIER
MARTEAU MATRAQUE
Kraspek Myzik à 20h30. 6€
DEAD PREZ - J.P.G. & NEMESIS MUSIQUE
Club Transbo à 20h. 15€
THEE SILVER MOUNT ZION MEMORIAL ORCHESTRA
Épicerie Moderne à 20h30. 16€ - 12€
CLARIKA
Salle de l’Isle à l’Isle-d’Abeau à 20h30. 21€ - 15€
CLAIRE DITERZI
Train-Théâtre à 20h30. 19,5€ - 16€
MERCREDI 19 FÉVRIER
NASHVILLE PUSSY - ENLARGE YOUR MONSTER
Salle du Kao à 20h. 23€ - 17€
BILL CALLAHAN - CIRCUIT DES YEUX
Épicerie Moderne à 20h30. 18€ - 14€
TRIO LOUIS SCLAVIS / KEYVAN / CHEMIRANI
Théâtre de la Renaissance à 20h. 20€ - 8€
YODÉLICE - FOREST POOKY - Le Fil à 21h. 28€- 23€
DAVY SICARD - ARTHUR RIBO
La Rampe / Échirolles à 20h. 21€ - 9€
VENDREDI 14 FÉVRIER
ÂME - VILLANOVA - Le Sucre 23h/5h. 16€ - 12€
ANNE SILA - JOE BEL - PETHROL - MISO SOUP
DE LA MONTAGNE - PAN - SCHLASS - ANTON SERRA
Marché Gare à 20h30. Gratuit
SIMON AUTAIN - PEPPERMINT
Salle des Rancy à 20h30. 12€ - 9€
ZET’LA - 6e Continent à 21h. 5€ - 3€
THIRTY SECONDS TO MARS
Halle Tony Garnier à 20h. 34€
EJECA - URULU - Salle du Kao 23h/3h. 15€ - 12€
Quand les souris dansent... :
LES MONSTROPLANTES - WAILING TREES
CCVA Villeurbanne à 20h. 12€ - 10€
YODELICE - Transbordeur à 20h30. 29€ - 26€
LAURENT DEHORS / MATTHEW BOURNE
Amphithéâtre Opéra de Lyon à 12h30. Gratuit
QUINTET LAURENT DEHORS & ANNE MAGOUËT
Amphithéâtre Opéra de Lyon à 20h30. 16€ - 10€
ANDRÉ DULTRA QUARTET
Clef de Voute à 21h. 10€ - 8€
RÉMO GARY - A Thou Bout d’Chant à 20h30. 13€- 9€
JAMIE CULLUM - Radiant-Bellevue à 20h30. 33€
SUMMER REBELLION - FLY DRAGONFLY
Jack Jack à 20h. 12€ - 10€
JULIETTE - Sémaphore à 20h30. 28€ - 14€
PASCAL DANEL CHANTE BÉCAUD
Espace Jean Poperen Meyzieu à 20h30. 20€ - 17€
LE BARBERSHOP QUARTET
Centre culturel Jean Moulin Mions à 20h30.
12€ - 10€, 04 72 23 26 10
SOFT MACHINE - POST IMAGE & JOHN GREAVES
Abattoirs à 20h30. 18€ - 15€
KAREYCE FOTO - Salle des Fêtes de Romans (01)
à 20h30. 9€ - 6€, 04 74 50 40 00
DANIEL MILLE joue Astor Piazzolla
MARINA CEDRO TRIO - Train-Théâtre à 20h30. 20€
SAMEDI 15 FÉVRIER
BIG BAND TOUS DEHORS
Amphithéâtre Opéra de Lyon à 20h30. 16€ - 10€
TRIO CORTEX SUMUS Au Salon de Musique-Lyon 5e
à 20h. 8€, 06 26 23 22 02
GUTBUCKET - Périscope à 21h. 12€ - 10€
SOUND PELLEGRINO THERMAL TEAM
MATTHIAS ZIMMERMANN etc.
Le Sucre 23h/5h. 16€ - 12€
FROM & ZIEL - Salle des Rancy à 20h30. 12€ - 9€
BALKAN EXPRESS - BM du 5e St-Jean à 15h. Gratuit
Quand les souris dansent... :
KARPATT - BALMINO + CIE SISMA
Salle La Ficelle Lyon 4e à 20h. 12€ - 10€
BIG BAND TOUS DEHORS
Amphithéâtre Opéra de Lyon à 20h30. 16€ - 10€
BILLIE BRELOK - KABOK - Kraspek Myzik à 20h30. 6€
ELIE DUFOUR & VOODOO TRIO
Clef de Voute à 21h. 10€ - 8€
BABYSHAMBLES - Transbordeur à 20h. 35€
ITALOJOHNSON - DJ SENTIMENTS
Club Transbo à 23h30. 15€ - 13€
ELMER FOOD BEAT - ELZED
CCO à 20h. 24€ - 19€
LIMINANAS - MAGNETIX - Clacson à 20h30. 11€- 9€
JULIETTE - Sémaphore à 20h30. 28€ - 14€
ARIFA
Musée St-Romain-en-Gal à 20h30. 15€ - 12,5€
PATRICE - Le Fil à 20h30. 27€ - 24€
KAREYCE FOTSO
Le Sou La Talaudière à 20h30. 14€ - 7€
Battle dance hip-hop : POCKEMON CREW
MELTING FORCE CRW - BBF etc.
Tannerie à 14h. 5€
SOVIET SUPREM - SUPERFLÈCHE
Moulin de Brainans à 20h30. 14€ - 10€
JEUDI 20 FÉVRIER
GAËTAN ROUSSEL - Transbordeur à 20h. 33€
TREMPLIN « ET EN PLUS ELLES CHANTENT »
Kraspek Myzik à 20h30. 6€
MAMZELLE AMANDINE
A Thou Bout d’Chant à 20h30. 13€ - 9€
EMMANUEL LE POULICHET
Agend’Arts à 20h. 9€ - 4€
ABIGOBA - Radiant à 20h. 8€
LABEL ROUSSE - MICKAËL ROUX - EL WOOD
Médiathèque de Vaise à 18h30. Gratuit
CONNAN MOCKASSIN
Épicerie Moderne à 20h30. 15€ - 11€
SCAMPI - Abattoirs à 20h30. Gratuit
VENDREDI 21 FÉVRIER
Mirage Festival : FULGEANCE - SOULEANCE
BARON RETIF & CONCEPTION PEREZ etc.
Le Sucre 23h/5h. 14€ - 10€
PASCALE CHARRETON - Agend’Arts à 20h. 9€ - 4€
CHRISTOPHER MURRAY
A Thou Bout d’Chant à 20h30. 13€ - 9€
JACK MONO BLUES - 6e Continent à 21h. 5€ - 3€
WOODKID - Halle Tony Garnier à 20h. 43€ - 35€
MODERAT - ANSTAM - Transbordeur à 20h. 25€
CRYSTAL STILTS - ABSCHAUM
Clacson à 20h30. 15€ - 13€
APPLE JELLY - 1982 - Jack Jack à 20h. 12€ - 10€
RAY LEMA / BALLOU CANTA / FREDDY MASSAMBA
Théâtre Bourg-en-Bresse à 20h30. 24€ - 10€
DELUXE - D-TURN - Tannerie à 20h30. 21€ - 15€
EBONY BONES - LE COMMON DIAMOND
Cave à Musique à 21h. 15€- 11€
LOU MARCO - RAYMONDE HOWARD - PETHROL
Le Fil à 20h30. 8€
THE VOCA PEOPLE - Zenith à 20h. 42€ - 37€
SAMEDI 22 FÉVRIER
Mirage Festival : CLARO INTELECTO - CONFORCE
CLFT MILITIA - Le Sucre 23h/5h. 15€ - 11€
PEGASE - SANTORÉ - Marché Gare à 20h30. 14€- 10€
DRAGON FILI EMPIRE - Périscope à 21h. 10€ - 8€
CLAVE 12 - 6e Continent à 21h. 5€ - 3€
TREMPLIN « ET EN PLUS ELLES CHANTENT »
Kraspek Myzik à 20h30. 6€
Quand les souris dansent... : LOS DON DIEGOS
MEJ Croix-Rousse à 20h. 8€ - 6€
PASCALE CHARRETON - Agend’Arts à 20h. 9€ - 4€
TREMPLIN DÉMON D’OR - Clacson à 20h. 5€
Dub station#8 : IRATION STEPPAS feat ECHO RANKS
+ SALOMON HERITAGE SOUND SYSTEM...
Espace 140 - Rillieux-la-Pape
LOÏC LANTOINE - OTTAEDRO#3
Abattoirs à 20h30. 15€ - 12€
JEFF MILLS - JAM CITY - SVENGALISGHOST
VAGHE STELLE - GHOST JAM etc.
Le Fil 22h/3h. 22€ - 17€
WEACE - PIRA.TS - LaPéniche à 21h. 8€ - 5€
MO’KALAMITY - LEAH ROSIER
Moulin de Brainans à 20h30. 14€ - 10€
DIMANCHE 23 FÉVRIER
YUCK - JENNY WILSON - MAGIC FABI
Le Sucre 15h/22h. 11€
LE SOLEIL SOUS LE BRAS
Agend’Arts à 18h. 9€ - 4€
DUO BALZAM - 6e Continent à 21h. 5€ - 3€
LUNDI 24 FÉVRIER
CATE LE BON - Sonic à 21h. 8€
OF MONTREAL - Épicerie Moderne à 20h30. 15€- 11€
MARDI 25 FÉVRIER
CONTROL VOLTAGE - Kraspek Myzik à 20h30. Gratuit
SUISSA - FRANÇOIS GAILLARD
Karavan Théâtre à 20h. 10€, 2J/24€
KARIMOUCHE - JUR
Train-Théâtre à 20h30. 15,5€ - 13,5€
MERCREDI 26 FÉVRIER
HOT DOG CARABINE - ALEXIS & THE BRAINBOW
Ninkasi Kafé à 21h. Gratuit
HAFANAN - FIVE B. BLUES
Clef de Voute à 21h. Gratuit
JEUDI 27 FÉVRIER
RAMONA CORDOVA - RAYMONDE HOWARD
Marché Gare à 20h30. 12€ - 8€
PIERRICK VIVARÈS
Salle Léo Ferré à 20h30. 12€ - 9€
LINDA LEMAY
Bourse du Travail à 20h30. 45€ - 42€
WOODSLIDE - MOTORHAZ - JAYH MO’FIVE
MATT TRICKER - Marquise à 23h. 5€
CHRIS PUREKA - Kraspek Myzik à 20h30. 6€
METEOROS DUO - Agend’Arts à 20h. 9€ - 4€
TAÏNI & STRONGS - DENIS RIVET & INVITÉS
Club Transborde à 20h. Gratuit sur invit.
TRAM DES BALKANS - RUBBER MAN
Espace Baudelaire à 20h30. 15€ - 8€
ANNE PACÉO QUINTET
Centre Culturel d’Écully à 20h30. 10€ - 8€
VENDREDI 28 FÉVRIER
TRIO CORTEX SUMUS
Aux Trois Gaules-Lyon 1er à 21h, 04 72 87 08 25
PIERRE MARGOT, LES NUITS DE LA PLEINE LUNE
A Thou Bout d’Chant à 20h30. 13€ - 9€
METEOROS DUO - Agend’Arts à 20h. 9€ - 4€
JULIEN DORÉ - Bourse du Travail à 20h30. 55€ - 35€
SALADES DE BRUITS & LES ZONDITS
Salle des Rancy à 20h30. Gratuit
THE MISTAKEN SONS OF ALABAMA
ALLOFYOU DOWN - Ninkasi Kafé à 20h30. Gratuit
REDEYES - SKS - PEYO - ASCO
Ninkasi Kafé 23h/4h. Gratuit
DRY - THE SHIN SEKAI
Salle du Kao à 20h. 25€ - 22€
VICTOR RUIZ - N’TO - PH NEUTRE & SY ELLE
Salle du Kao dès 23h30. 17€ - 15€
DIE HOCHSTAPLER - Périscope à 21h. 8€ - 6€
Quand les souris dansent... :
BRATSCH - LA FANFARE DES PAVÉS
CCVA Villeurbanne à 20h. 22€ - 18€
LOUDBLAST - BENIGHTED - Transbordeur à 19h. 22€
KENT - Karavan Théâtre à 20h. 19€ - 13€, 2J/24€
JOSEPH ARTHUR - PSYCHOPHONIC MACHINE
Salle Jean Dasté à 20h30. 7€
BIGA RANX - ON DUB GROUND - THE BANYANS
Le Fil à 21h. 23€ - 19€
DLSM - PIRA.TS - THE CYBER MUDJAHEDEEN etc.
Tannerie à 21h à 5h. 12€ - 8€
FESTIVALS
QUAND LES SOURIS DANSENT… #6
Divers lieux Croix-Rousse & Villeurbanne
06 26 18 08 34. www.lacocotteprod.com
Musiques, théâtre, expo (Recyclons-nous),
projections & sensibilisation autour de la « Culture
& Handicap » + ateliers de réflexion
8 au 28 fév. 22€ à gratuit, 3J/36€
TATIANA NE CHANTERA PAS LE ZOUKISTAN, Cie Telkel
MEJ (22, rue du Chariot d’Or Croix-Rousse)
27 fév à 20h30. 8€ - 6€
AVEC NOS YEUX (docu, 2013)
+ Rencontre-débat avec Emmanuelle Laborit
CIFA St-Denis 19 fév à 20h30. 5,5€
MIRAGE FESTIVAL (2E)
Dans une dizaine de lieux à Lyon
(Le Sucre, Amphi Opéra, Lavoir Public…)
miragefestival.com
Programmation hybride autour des arts numériques
et audiovisuels. Performances, installations,
workshops, conférences, concerts etc.
Performances Ryoichi Kurokawa - Nonotak
Suga - XX+XY - CT4C etc. / Installations Murmur
Extrapolis - Light’n’Brick - A Scanner Darkly
etc. / Musique Conforce - Claro Intelecto Fulgeance - Narco Polo - Solstice etc.
19 au 23 fév. 15€ - 10€, pass/50€
LATE SPECULATON, Nonotak
+ RAW GEOMETRY, Noitu
Amphithéâtre Opéra de Lyon - 22 fév à 20h30. 10€
LES POLY’SONS (11E)
Théâtre des Pénitents - Place des Pénitents
Montbrison - 04 77 96 39 16
7 lieux (Fil, Théâtre Iris…), 22 concerts,
37 artistes + 8e Tremplin Poly’Sons (1/02) etc.
KENT + ENTRE 2 CAISSES - 5/02
AXEL BAUER + VICTOR - 7/02
MELISSMELL + NICOLAS JULES - 11/02
THOMAS FERSEN - 13/02
GAËL FAURE + JEAN GUIDONI - 14/02
ÉMILY LOIZEAU - 18/02
LOUISVILLE + LOÏC LANTONE - 20/02
ALAIN SOURIGUES + OLDELAF - 22/02
Jusqu’au 22 fév à 20h30 (ou 19h). 23€ - 5€
CLASSIQUE
SAMEDI 1ER FÉVRIER
ONL & ANABELLA STEINBACHER,
dir. Marek Janowski - Mozart, Bruckner
Auditorium de Lyon à 18h. 56€ - 13€
DIMANCHE 2 FÉVRIER
ORCHESTRE DE L’OPÉRA DE LYON
& MARIE-NICOLE LEMIEUX, dir. Stefano Montanari
Vivaldi, Bach, Muhly
Opéra de Lyon à 16h. 50€ - 10€
THOMAS OSPITAL - Escaich, Bach, Brahms …
Auditorium de Lyon à 16h. 16€ - 8€
ORCHESTRE DU CONSERVATOIRE DE PARIS
& NICHOLAS ANGELICH, dir. Patrick Davin
Ravel, Roussel, Koechlin
Espace des Arts à 16h30. 23€ - 9€
LUNDI 3 FÉVRIER
DÉPARTEMENT MUSIQUE ANCIENNE, CNSMD Lyon
Amphithéâtre-Darasse à 18h. Gratuit
MARDI 4 FÉVRIER
CLASSE DE DIRECTION DE CHŒURS
& ENSEMBLE VOCAL, CNSMD Lyon - Bach, Hersant
Salle Varèse à 20h. Gratuit
NINA MILLET - Musique de Chambre
Médiathèque de Vaise à 12h30. Gratuit
JEUDI 6 FÉVRIER
LA CHAPELLE RHÉNANE, dir. Benoît Haller - Bach
Théâtre du Vellein à 20h30. 29€ - 20€
VENDREDI 7 FÉVRIER
GAUTIER CAPUÇON / FRANK BRALEY
Debussy, Schubert, Britten, Beethoven
Salle Rameau à 20h30. 46€ - 10€, 04 78 47 87 56
ONL / CHŒURS ET SOLISTES DE LYON-BERNARD
TÉTU, dir. Leonard Slatkin - Berlioz
Auditorium de Lyon à 20h. 56€ - 13€
QUATUOR VOCE & KYRIE KRISTMANSON
Théâtre de l’Atrium à 20h30. 15€ - 8€
SAMEDI 8 FÉVRIER
ONL / CHŒURS ET SOLISTES DE LYON-BERNARD
TÉTU, dir. Leonard Slatkin - Berlioz
Auditorium de Lyon à 18h. 56€ - 13€
OSE, ORCHESTRE SYMHONIQUE NOUVELLE
GÉNÉRATION & VINCENT LE TEXIER,
dir. Daniel Kawka - Mahler
Théâtre Théo Argence à 17h. 18€ - 6€
DIMANCHE 9 FÉVRIER
MUSICIENS DE L’ONL
Scriabine, Rimski-Korsakov, Tchaïkovski
Auditorium de Lyon à 11h. 16€ - 8€
MARDI 11 FÉVRIER
WEN CHUN JIANG / EMMANUEL CULCASI
Amphithéâtre-Darasse à 20h. Gratuit
ESTELLE GOURINCHAS - Musique de chambre
Médiathèque de Vaise à 12h30. Gratuit
MERCREDI 12 FÉVRIER
ORCHESTRE DU CNSMD LYON & STÉPHANIE PADEL,
dir. Peter Csaba - Schumann, Weber, Beethoven
Salle Varèse à 20h. 12€
QUINTETTE SYNTONIA & SARAH NEMTANU
Franck, Chausson
Salle Rameau à 20h. 35€ - 18€, 04 78 38 0909
JEUDI 13 FÉVRIER
ONL & VADIM REPIN, dir. Leonard Slatkin
Prokofiev, Chostakovitch, Schnittke
Auditorium de Lyon à 20h. 56€ - 13€
ORCHESTRE DU CNSMD LYON & STÉPHANIE PADEL,
dir. Peter Csaba - Schumann, Weber, Beethoven
Salle Varèse à 20h. 12€
CARTE BLANCHE AU CRR LYON
Théâtre Astrée à 20h30. Gratuit
VENDREDI 14 FÉVRIER
INGOLF WUNDER - Beethoven, Chopin
Auditorium de Lyon à 20h. 46€ - 8€
MASAHIKO OMORI / TRUNG HIEU DO
& BENJAMIN D’ANFRAY
Salle Varèse à 18h et 20h. Gratuit
SAMEDI 15 FÉVRIER
ONL & VADIM REPIN, dir. Leonard Slatkin
Prokofiev, Chostakovitch, Schnittke
Auditorium de Lyon à 18h. 56€ - 13€
DIMANCHE 16 FÉVRIER
ORCHESTRE DES JUNIORS, dir. Quentin Hindley
Auditorium de Lyon à 16h. Gratuit
LUNDI 17 FÉVRIER
MUSIQUE DE CHAMBRE, CNSMD Lyon
Salle Varèse à 18h et 20h. Gratuit
MARDI 18 FÉVRIER
DÉPARTEMENT MUSIQUE ANCIENNE, CNSMD Lyon
Machaut
Salle Varèse à 20h. Gratuit
MERCREDI 19 FÉVRIER
DÉPARTEMENT MUSIQUE ANCIENNE, CNSMD Lyon
Amphithéâtre Opéra de Lyon à 12h30. Gratuit
JEUDI 20 FÉVRIER
ONL / BERTRAND CHAMAYOU / ISABELLE DRUET,
dir. Leonard Slatkin - Mozart, Mahler
Auditorium de Lyon à 20h. 46€ - 8€
VENDREDI 21 FÉVRIER
ONL / BERTRAND CHAMAYOU / ISABELLE DRUET,
dir. Leonard Slatkin - Mozart
Auditorium de Lyon à 15h. 10€
DÉPARTEMENT MUSIQUE ANCIENNE, CNSMD Lyon
Amphithéâtre Opéra de Lyon à 12h30. Gratuit
PLAMENA MANGOVA - Brahms, Beethoven, Chopin...
Salle Rameau à 20h30. 37€ - 5€, 04 78 47 8756
CLASSES DE PIANO & CNSMD LYON
Musées Gadagne à 12h30. Gratuit, 4 37 23 6046
ATELIER XX-21, dir. Fabrice Pierre
Harvey, Fourès, Pascal…
Salle Varèse à 20h. Gratuit
CHŒUR CRESCENDO, dir. Jean-Michel Blachon
Mozart
Église St-Claude Dardilly-le-Haut à 20h30.
16€ - 12€, 04 78 35 98 03
CARTE BLANCHE AU CONSERVATOIRE
DE MUSIQUE DE VILLEFRANCHE
Auditorium de Villefranche à 12h15. 14,5€ - 10,5€
ORCHESTRE SMPHONIQUE DE MÂCON,
dir. Éric Geneste - Varèse
Mâcon Scène Nationale à 20h30. 24€ - 14€
LA CHAMBRE PHILHARMONIQUE
& ANDREAS STAIER, dir. Emmanuel Krivine
Mozart, Haydn
La Rampe/Échirolles à 20h. 30€ - 10€
/ Février 2014 / N°200 / 23
agenda
OPÉRA
SPECTACLES
MUSICAUX
SAMEDI 22 FÉVRIER
ONL / BERTRAND CHAMAYOU / ISABELLE DRUET,
dir. Leonard Slatkin - Mozart, Mahler
Auditorium de Lyon à 18h. 46€ - 8€
DIMANCHE 23 FÉVRIER
MUSICIENS DE L’ORCHESTRE
DE L’OPÉRA DE LYON
Rossini, Berio, Mendelssohn
Opéra de Lyon à 11h. 22€ - 10€
MUSICIENS DE L’ONL - Borodine, Glière
Auditorium de Lyon à 11h. 16€ - 8€
VANESSA BONAZZI / DELPHINE TERRIER
Temple du Change Lyon 5e à 15h. 20€ - 15€
CHŒUR CRESCENDO /
ORCHESTRE SYMPHONIQUE SEQUENZA,
dir. JM BLanchon - Mozart
Église ND de Lourdes à St-Fons à 17h. 20€ - 10€,
04 78 26 53 50
MARDI 25 FÉVRIER
DÉPARTEMENT MUSIQUE ANCIENNE,
CNSMD Lyon
Médiathèque de Vaise à 12h30. Gratuit
ANDRÉ RIEU
Halle Tony Garnier à 20h. 79€ - 52,5€
MERCREDI 26 FÉVRIER
HENRI-CHARLES CAGET / RAMON LOPEZ
Amphithéâtre Opéra de Lyon à 12h30. Gratuit
JEUDI 27 FÉVRIER
JEAN-MARC FOLTZ / RAMON LOPEZ
Amphithéâtre Opéra de Lyon à 12h30. Gratuit
MUSIQUE DE CHAMBRE, CNSMD Lyon
Gœthe-Institut à 20h. Gratuit
CHŒUR CRESCENDO /
ORCHESTRE SYMPHONIQUE SEQUENZA,
dir. JM BLanchon - Mozart
Auditorium de Lyon à 20h30. 25€ - 9€,
04 78 41 48 21
VENDREDI 28 FÉVRIER
RAMON LOPEZ & COLLECTIF D’IMPROVISATION
DU CNSMD LYON
Amphithéâtre Opéra de Lyon à 12h30. Gratuit
SECTION MUSIQUE-ÉTUDES INSA LYON,
dir. Laurent Richard
Pastorius
Théâtre Astrée à 20h30. Gratuit
AMPHITHÉÂTRE OPÉRA DE LYON
Place de la Comédie - Lyon 1er - 04 69 85 54 54
NOVECENTO : PIANISTE d’Alessandro Baricco
5 et 7 fév à 12h30. Gratuit
OPÉRA DE LYON
Place de la Comédie - Lyon 1er - 04 69 85 5454
LE COMTE ORY de Rossini, Orchestre et Chœurs
de l’Opéra de Lyon, dir. Stefano Montanari
MS : Laurent Pelly
21 au 27 fév à 20h, di. à 16h, 1er, 3 et 5 mars à 20h.
94€ - 10€
+ L’École du Spectateur « Le Comte d’Ory »
21 fév à 18h
+ Prélude littéraire avec les Élèves de l’ENSATT
25, 27 fév et 1er mars à 19h. Gratuit
THÉÂTRE INSTANT T
35, rue Imbert Colomès - Lyon 1er - 04 78 39 45 83
J’AI MILLE CHANSONS DANS MA TÊTE, Cie Atlantis
Conception : Waléry Doumenc
28 fév et 1er mars à 20h30. 11€
CHAPELLE DE LA TRINITÉ
29/31, rue de la Bourse - Lyon 2e - 04 78 38 09 09
LA MÉCANIQUE DE LA GÉNÉRALE, Le Poème
Harmonique, dir. Vincent Dumestre & Stefano
Amori - MS : Nicolas Vial
Mus : Falconieri, Uccllini, Dario…
9 fév à 17h. 45€ - 28€
FONDATION BULLUKIAN
26, pl. Bellecour - Lyon 2e - 04 72 52 93 94
Voyage à travers les mots et les sons de la terre
d’Arménie avec SPITAK - 6 fév à 18h30. Gratuit
MPT SALLE DES RANCY
249, rue Vendôme - Lyon 3e - 04 78 60 64 01
CHANTS MÊLÉS, Natasha Bezriche
21 fév à 20h30. 12€ - 9€
LUMIÈRE NOIRE. Natasha Bezriche chante Ferré
22 fév à 20h30. 12€ - 9€
THÉÂTRE DE LA CROIX-ROUSSE
Pl. Joannès Ambre - Lyon 4e - 04 72 07 49 49
THE TENDER LAND de Copland, Orchestre
de l’Opéra de Lyon / Solistes & Chœurs du Studio
de l’Opéra, dir. Philip Forget - MS : Jean Lacornerie
1er au 9 fév à 20h, di. à 15h. 30€ - 5€
MJC DU VIEUX LYON /
SALLE LÉO FERRÉ
5 pl. St-Jean - Lyon 5e - 04 78 42 48 71
DE CI DE LÀ - 19 et 20 fév à 10h et 15h. 6€ - 4€
HALLE TONY GARNIER
20, pl. A. Perrin - Lyon 7e
BHARATI. IL ÉTAIT UNE FOIS L‘INDE.
MS : Gashash Deshe
15 fév à 20h30. 39€ - 35€
THÉÂTRE ASTRÉE
Campus de la Doua - 6, av. G. Berger
Villeurbanne - 04 72 44 79 45
HERMINE KARAGHEUZ / SVETLANA EGANIAN
« Poètes contemporains arméniens »
4 fév à 20h30. 6€ à gratuit
JONAH AND THE WHALE d’après Melville et Knox,
Galdric Subirana / Franck Gizycki & CNSMD Lyon
20 fév à 20h30. Gratuit
TNP
8, pl. Lazare-Goujon - Villeurbanne - 04 78 03 30 00
OUI ÇA VA MAL, JE SUIS HEUREUSE
d’après Jean-Pierre Siméon
Cabaret inventé par Laurence Besson
Brasserie 33 TNP, 3 et 10 fév à 19h. 11€ - 8€
TRANSBORDEUR
3, bd. Stalingrad - Villeurbanne - 04 78 93 08 33
Burlesqu’O’Rama avec ASTRO ZOMBIES
THE CHAINSAW BLUES COWBOYS
LADA REDSTAR - BETTINA CORELONE
LOU ON THE ROCKS - DJ MAQRUIS etc.
22 fév à 19h. 18€
CENTRE CULTUREL
CHARLIE CHAPLIN
Pl. de la Nation - Vaulx-en-Velin - 04 72 04 81 18/19
PETOUCHOK. Fantaisie clownesque pour harpe,
danse et flûte, Cie Adroite Gauche
MS : Alain Reynaud, Heinzi Lorenzen
18 fév à 19h30. 11€ - 5€
THÉÂTRE DE VÉNISSIEUX
8, bld Laurent Gérin - Vénissieux - 04 72 90 86 68
REPLAY, Cie Rythm’A Corps
Conception, MS : Quentin Dubois, Jérémy Daillet
5 fév à 15h. 11€ - 8€
JE HAIS LES GOSSES !
Entre 2 Caisse chante Allain Leprest - MS : Juliette
28 fév à 20h. 18€ - 8€
ESPACE ALBERT CAMUS
1, rue Maryse Bastié - Bron - 04 72 14 63 40
LES SEA GIRLS FÊTENT LA FIN D’ANNÉE
MS : Patrick Haudecœur
17 fév à 20h30. 18€ - 10€
LE KARAVAN THÉÂTRE
50, rue de la République - Chassieu - 04 78 90 88 21
LES POULES DE LA BRUYÈRE (Lully / La Bruyère),
Ensemble Boréades & Chœur Emelthée,
dir. Pierre-Alain Four
+ MUSIC AT THE CASTEL TAVERN,
Ensemble Céladon, dir. Paulin Bundgen
21 fév à 20h. 19€ - 13€
TRAVERSÉE DE LA SCÈNE À LA RAGE,
François Gaillard - 28 fév à 20h30. 15€ - 10€
24 / Février 2014 / N°200 /
RAMDAM
16, ch. des Santons - Ste-Foy-lès-Lyon
04 78 59 62 62
LES HARMONIQUES DU NÉON
MS : Anne-Laure Pigache
8 fév à 19h. 5€ à gratuit
THÉÂTRE DE LA RENAISSANCE
7, rue Orsel - Oullins - 04 72 39 74 91
THE NEED FOR COSMOS
avec Caravaggio et Benjamin Guyot
Conception, mus : Samuel Sighicelli
4 fév à 20h. 20€ - 8€
AN OLD MONK, JOSSE DE PAUW / KRIS DEFOORT
6 et 7 fév à 20h. 20€ - 8€
LE BRISCOPE
Parc de l’Hôtel de Ville - Brignais - 04 78 05 31 13
TRAVERSÉE DE LA SCÈNE À LA RAGE,
François Gaillard - 28 fév à 20h30. 15€ - 10€
L’ÉPICERIE MODERNE
Pl. René Lescot - Feyzin - 04 72 89 98 70
BLACK BOX, Cie Kahlua - 23 fév à 17h30. 10€ - 5€
LE SÉMAPHORE, THÉÂTRE D’IRIGNY
C Culturel Champvillard - Rue de Boutan - Irigny
04 72 30 47 90
JEUX À SATIÉTÉ - 22 et 23 fév à 20h30, di. à 15h.
10€, infos / 04 78 46 39 36
AUDITORIUM DE VILLEFRANCHE
96, rue de la Sous-Préfecture
Villefranche/Saône - 04 74 60 31 95
OSKAR & VIKTOR, OPUS 2
Conception : Cédric Marchal, François Thollet
22 fév à 20h30. 16€ - 13€
THÉÂTRE DE BOURG-EN-BRESSE
11, pl. Grenette - Bourg-en-Bresse - 04 74 50 40 00
LA FACE CACHÉE DE LA LUNE
(THE DARK SIDE OF THE MOON), Cie Inouïe
Conception, dir. : Thierry Balasse
7 fév à 20h30. 29€ - 19€
CENTRE CULTUREL LE SOU
19, rue Romain Rolland - La Talaudière
04 77 53 03 37/04 77 53 92 00
N’GON (La Lune en Kiyansi), Robbas Biassi Biassi
MS : Philippe Zarch - 16 fév à 17h. 5€
TRAIN-THÉÂTRE
1, rue Aragon - Portes-lès-Valence - 04 75 57 14 55
THE NEED FOR COSMOS
avec Caravaggio et Benjamin Guyot
Conception, mus : Samuel Sighicelli
6 fév à 20h30. 15,5€ - 13,5€
COMÉDIE DE VALENCE /
THÉÂTRE LE BEL IMAGE
Pl. Charles Huguenel - Valence - 04 75 78 41 70
MISS KNIFE CHANTE OLIVIER PY
12 fév à 20h. 21€ - 8€
HUMOUR COMÉDIE
SALLE RAMEAU
29, rue de la Martinière - Lyon 1er
LES VIRÉS DE FRANCE INTER
8 fév à 20h30. 24€
BOURSE DU TRAVAIL
205, pl. Guichard - Lyon 3e
13 À TABLE revisité par Pierre Palmade
25 fév à 20h30. 38,5€ - 35,5€
AGEND’ARTS
4, rue Belfort - Lyon 4e
DELIRIUM TRÈS MOTS, Vincent Rocca
13 au 16 fév à 20h, di. à 18h. 12€ - 7€
ESPACE GERSON
1, place Gerson - Lyon 5e - 04 78 27 96 99
DÉCOUVERTE JEUNES TALENTS - Lu. à 20h30. 5€
BAZAR, Et Compagnie - Ma. à 20h30. 15€ - 5€
Willy Rovelli EN ENCORE PLUS GRAND
29 jan au 8 fév à 20h30, sa. à 20h et 22h. 15€ - 11€
HALLE TONY GARNIER
20, pl. A. Perrin - Lyon 7e
LA TOURNÉE DU TRIO. FERRARI / TSAMÈRE /
LECAPLAIN - 26 fév à 20h. 39€ - 36€
TRANSBORDEUR
3, bd. Stalingrad - Villeurbanne - 04 78 93 08 33
DÉPRESSION MUSICALE, Les Décaféinés
19 fév à 20h. 30€
TOBOGGAN
14, av. Jean Macé - Décines - 04 72 93 3014
PIERRE RICHARD III, Pierre Richard
11 fév à 20h30. 29€ - 23€
+ PIERRE RICHARD, DU THÉÂTRE AU CINÉMA
ET VIS VERSA - Ciné-Togoggan 12 fév à 20h30
SALLE LA PASTORALE
C Culturel Champvillard - Rue de Boutan - Irigny
04 72 30 47 90
LA LILY (Ligue d’Improvisation Théâtrale)
20 fév à 19h. 34€
CAVE À MUSIQUE
119, rue Boullay - Macon - 03 85 21 96 69
LES FRAPPADINDES15 fév à 20h. 12€ - 8€
SPECTACLES
TRANSDISCIPLINAIRES
PERFORMANCES
AMPHITHÉÂTRE / SALLE 3000
Cité Internationale - 50, quai Ch. de Gaulle - Lyon 6e
RETRO TEMPORIS, Dani Lary
8 fév à 16h et 20h30. 55€ - 25€
NTH8 / NOUVEAU THÉÂTRE DU 8E
22, rue Cmdt Pégout - Lyon 8e - 04 78 78 33 30
NOIR, BLANC, BLANC, NOIR., Groupe Moi
1er fév à 20h. Prix libre (0 à 100€)
SALLE 7 UNDERGROUND, Guy Naigeon & Invités
28 fév à 19h. Gratuit
THÉÂTRE DE LA RENAISSANCE
7, rue Orsel - Oullins - 04 72 39 74 91
CINELANDIA Conception - MS : Alfredo Arias
18 et 19 fév à 20h. 20€ - 8€
+ Lever de Rideau avec INSA LYON
19/02 à 19h
LE CABARET LUNAIRE d’Arnold Schönberg
MS : Pierre Meunier
25 et 26 fév à 20h. 20€ - 8€
ARTS DU CIRQUE
ÉCOLE DE CIRQUE DE LYON /
MJC MÉNIVAL
29, av. de Ménival - Lyon 5e - 04 72 38 81 61
CABARET CIRQUE avec Les Catherines
& Scène Découvertes - 8 fév à 20h. 18€ - 12€
ENCORE PLUS…, Cie Toi d’Abord
+ PARABOLE, Cie du Subterfuge
22 fév à 20h30. 9€ - 6€
HALLE TONY GARNIER
20, pl. A. Perrin - Lyon 7e
L’EMPEREUR DE JADE, Les Étoiles du Cirque de Pékin
MS : Alain Pacherie
11 fév à 20h. 50€- 35€
LE GALET ESPACE CULTUREL
Rue du Collège - Reyrieux - 04 74 08 9281
RUE DE GUNGUOIS, Cie Prise de Pied
Conception : Saïlen Rose, Benoît Héliot
22 fév à 18h30. 15€ - 7€
MAISON DU PEUPLE
4, pl. Jean Jaurès - Pierre-Bénite - 04 78 86 62 90
CIR-K 180°, Cie Blabla Productions
9 fév à 15h30 14€ - 12€
ESPACE CULTUREL JEAN CARMET
Bd du Pilat - Mornant - 04 78 44 05 17
SIX PIEDS SUR TERRE, Cie Lapsus
MS : Johan Lescop
23 fév à 17h. 17€ - 10€
ZENITH SAINT-ÉTIENNE
Rue Scheurer Kestner - St-Étienne
L’EMPEREUR DE JADE, Les Étoiles du Cirque de Pékin
MS : Alain Pacherie
8 fév à 20h. 50€- 35€
ESPACE DES ARTS
5 bis, av. Nicéphore Niepce - Chalon/Saône
03 85 42 52 12
SÉQUENCE 8, Les 7 Doigts de la Main
MS : Shana Carroll, Sébastien Soldevilla
12 au 15 fév à 20h. 27€ - 13€
THÉÂTRE
MARRIONNETTES
ESPACE 44
44, rue Burdeau - Lyon 1er - 04 78 39 79 71
FEU LA MÈRE DE MADAME,
Nolokingdom Théâtre - MS : Élodie Lasne
Jusqu’au 2 fév à 20h30, di. à 16h. 15€ - 10€
UNE FEMME SEULE de Dario Fo / Franca Rame
MS : Aurélie Sorrel-Cros
4 au 9 fév à 20h30, di. à 16h. 15€ - 10€
SAINT-EXUPÉRY, LE JEU DE LA MORT ET DU HASARD,
Cie Le Minotaure & Jean-Jacques Greneau
11 au 16 fév à 20h30, di. à 16h. 15€ - 10€
BATAILLE de JM Ribes / Roland Topor,
Cie les Émergents
18 au 23 fév à 20h30, di. à 16h. 15€ - 10€
TITUS ANDRONICUS de Shakespeare,
La Grenade / Grain Théâtral
MS : Thibault Duperron-Seillac
25 fév au 2 mars à 20h30, di. à 16h. 15€ - 10€
LES CLOCHARDS CÉLESTES
51, rue des Tables Claudiennes - Lyon 1er
04 78 28 34 43
STALKING, Collectif Bis - MS : Julien Michel
Jusqu’au 2 fév à 20h, lu. à 19h, di. à 17h. 15€ - 8€
SOLOS, Camille Pasquier
7 au 19 fév à 19h, di. à 16h. 15€ - 8€
ZOOM, Cie Les Gens de Passage
MS : Jean-Marc Galéra
7 au 19 fév à 20h15, di. à 17h15. 15€ - 8€,
2 spect / 16€
THÉÂTRE INSTANT T
35, rue Imbert Colomès - Lyon 1er - 04 78 39 45 83
D’ABORD, ILS NOUS REGARDENT
de Claude Monteil - MS : Samuel Bousard
12 au 22 fév, me. au sa. à 20h30. 11€
CÉLESTINS, THÉÂTRE DE LYON
4, rue Charles Dullin - Lyon 2e - 04 72 77 40 00
INNOCENCE de Howard Barker, Association nÖjd
MS : Gerrard Mcarthur et Howard Barker
Jusqu’au 1er fév à 20h30. 21€ - 12€
KISS AND CRY de Thomas Gunzig
Conception : Michèle-Anne De Mey
& Jaco Van Dormael
Jusqu’au 6 fév à 20h, di. à 16h. 35€ - 9€
CHAPITRES DE LA CHUTE de Stefano Massini
MS : Arnaud Meunier
11 au 15 fév à 20h. 35€ - 9€
UNE HEURE ET DIX-HUIT MINUTES
d’Elena Gremina - MS : Anne-Cécile Auxire-Marmouget
13 au 26 fév à 20h30. 21€ - 12€
La Face Nord Cie
D’après l’œuvre de
Edmond Rostand
« Cyrano de
Bergerac »
5 au 17
février
Réservations 04 78 37 98 17
Théâtre des Marronniers
www.theatre-des-marronniers.com
CALIGULA d’Albert Camus - MS : S. Olivié-Bisson
18 au 2 fév à 20h. 35€ - 9€
COSMOS. UN JOUR JE VOUS RACONTERAI
UNE AUTRE AVENTURE EXTRAORDINAIRE
d’après Gombrovicz, Cie Haut et Court
MS : Joris Mathieu
25 fév au 1er mars à 20h. 35€ - 9€
THÉÂTRE DES MARRONNIERS
7, rue des Marronniers - Lyon 2e - 04 78 37 98 17
CYRANO PROJECT d’après Edmond Rostand,
La Face Nord Cie - MS : Jérôme Sauvion
5 au 17 fév à 20h30, di. à 17h, lu. à 19h. 15€ - 8€
THÉÂTRE DES ASPHODÈLES
17 bis, imp. St-Eusèbe - Lyon 3e - 06 01 26 51 10
ATTENDS-MOI À LA PORTE - MS : Michel Tallaron
21 et 22 fév à 20h30. 15€ - 12€
SOUS LE CAILLOU
23, rue d’Austerlitz - Lyon 4e - 04 27 44 34 38
L’HISTOIRE DE L’HOMME. VERSION III,
Cie Traverses - MS : Valentin Traversi
12,13, 21 et 22 fév à 20h30. 13€ - 10€
THÉÂTRE DE LA CROIX-ROUSSE
Place Joannès Ambre - Lyon 4e - 04 72 07 49 49
LE SIGNAL DU PROMENEUR
Conception & MS : Raoul Collectif
13 au 15 fév à 20h, sa. à 19h30. 26€ - 5€
LA BONNE ÂME DU SE-TCHOUAN de Brecht
MS : Jean Bellorini
19 fév au 2 mars à 20h, sa. à 19h30, di. à 15h.
30€ - 5€
ENSATT
4, rue des Sœurs Bouvier - Lyon 5e - 04 78 15 05 07
PRINTEMPS - Texte & MS : Carole Thibaut
17 au 28 fév à 20h + 20 et 22 fév à 15h. 10€- 5€
MAISON DES PASSAGES
44, rue St-Georges - Lyon 5e - 06 95 00 49 98
LA KABYLIE CONTÉE, Nadia Larbiouene
16 et 23 fév à 15h. 10€ - 7€
FRIDA KAHLO. L’ESQUISSE DE MA VIE,
Cie Novecento & Nadia Larbiouene
16 et 23 fév à 17h30. 12€
THÉÂTRE DU POINT DU JOUR
7, rue des Aqueducs - Lyon 5e - 04 72 38 72 50
THÉÂTRE PERMANENT. MACBETH de Shakespeare
jusqu’au 8 fév, ma. au sa. à 20h. 5€
OTHELLO de Shakespeare
11 fév au 8 mars, ma. au sa. à 20h. 5€
L’ÉLYSÉE
14, rue Basse Combalot - Lyon 7e - 04 78 58 88 25
ELECTRE d’après Sophocle, Cie TAC
MS : Cyril Cotinaut
31 jan et 1er fév à 19h30. 12€ - 10€
(EN CAS DE NÉCESSITÉ ABSOLUE),
LÂCHE LA BRIDE, Cie Allerlei - MS : Marie Brillant
4 au 8 fév à 19h30. 12€ - 10€
MÉDÉA FIAM - MÉDÉA NUNC SUM
d’après Sénèque, Cie La Viande
MS : Marlène Deschamps
18 au 20 fév à 19h30. 12€ - 10€
LE CROISEUR
4, rue Croix Barret - Lyon 7e - 04 72 71 42 26
BAR(RE), 3e Année Art Dramatique
4 au 7 fév à 19h30
FESTIVAL SUPER ÉROS 2014.
Performances, théâtre, danse, installations etc.
17 au 22 fév dès 19h (prog. en cours)
NTH8 / NOUVEAU THÉÂTRE DU 8E
22, rue Cmdt Pégout - Lyon 8e - 04 78 78 33 30
FILLE DE… de Leïla Anis, Théâtre du Grabuge
MS : Géraldine Bénichou
12 au 15 fév à 20h, sa. à 17h. Prix libre
TNG
23, rue de Bourgogne - Lyon 9e - 04 72 53 15 15
FOCUS TEATRODISTINTO
Écriture & MS : Daniel Gol, Laura Marchegiani,
Alessandro Nosotti
5 au 27 fév. 17€ - 9€
KISH KUSH. TRACES D’UNE RENCONTRE
5, 8 et 9 fév, me. à 15h, sa. à 18h, di. à 16h
LE MOUTON NOIR
15, 16 et 19 fév, sa. à 20h, di. à 16h, me. à 15h
LE JEU DU LOUP
22, 23 et 26 fév, sa. à 20h, di. à 16h, me. à 15h
RADIANT-BELLEVUE
1, rue Jean Moulin - Caluire - 04 72 10 22 19
L’ÉTUDIANTE ET - MS : José Paul
31 jan et 1er fév à 20h30. 38€ - 26€
UN DRÔLE DE PÈRE de Bernard Slade
MS : Jean-Luc Moreau
7 et 8 fév à 20h30. 38€ - 26€
www.491.fr
agenda
C.C.O.
39, rue Courteline - Villeurbanne
AUTOMNE ET HIVER de Lars Noren,
Cie Leila Soleil & Lee Harvey Asphalte
MS : Hadda Djaber
Jusqu’au 1er fév à 20h. 14€ - 12€, 06 64 09 41 43
THÉÂTRE ASTRÉE
Campus de la Doua - 6, av. G. Berger - Villeurbanne
04 72 44 79 45
DON QUICHOTTE d’après Cervantès
de Sylvain Levey, Cie Les yeux Grand Ouverts
MS : Grégory Benoît
11 fév à 20h30. 12€ - 6€
L’HOMME ET CETERA, Cie Les Perles de Verre
Conception, MS : Béla Czuppon
25 et 26 fév à 20h30, me. à 19h30. 12€ - 6€
THÉÂTRE DE L’IRIS
331, av. de Préssensé - Villeurbanne - 04 78 68 86 49
LES FOURBERIES DE SCAPIN de Molière
MS : Philippe Clément
Au CCVA, 234 av. Émile Zola, 19, 22 et 23 fév à 20h,
di. à 15h. 17€ - 6€
MOLLY d’après James Joyce, Cie Protéiformes
25 fév au 1er mars à 20h. 14€ - 4€
TNP
8, pl. Lazare-Goujon - Villeurbanne - 04 78 03 30 00
LE ROI LEAR de Shakespeare
MS : Christian Schiaretti
Jusqu’au 15 fév à 19h30, di. à 16h. 24€ - 8€
LE TRIOMPHE DE L’AMOUR de Marivaux,
Raskine & Cie - MS : Michel Raskine
Jusqu’au 21 fév à 20h, di. à 16h. 24€ - 8€
LUNE JAUNE, LA BALLADE DE LEILA ET LEE
de David Greig, Le Théâtre Exalté
MS : Baptiste Guiton
12 au 22 fév à 20h30, di. à 16h30. 24€ - 8€
BRITANNICUS de Racine - MS : Jean-Louis Martinelli
21 fév au 2 mars à 20h, di. à 16h. 24€ - 8€
LES GENS d’Edward Bond,
Théâtre des Nuages de Neige - MS : Alain Françon
26 fév au 8 mars à 20h, di. à 16h. 24€ - 8€
LE TOBOGGAN
14, av. Jean Macé - Décines - 04 72 93 30 14
LA PASSION DE MÉDÉE, Cie Premier Acte
Texte & MS : Sarkis Tcheumlekdjian
6 fév à 20h30. 17€ - 9€
ESPACE BAUDELAIRE
83, av. de l’Europe - Rillieux-la-Pape
04 37 85 01 50
L’ÉPREUVE de Marivaux, Cie Imaginoir Théâtre
MS : Cyril Tournier - 6 fév à 20h30. 15€ - 8€
CENTRE CULTUREL CHARLIE CHAPLIN
Pl. de la Nation - Vaulx-en-Velin - 04 72 04 81 18/19
BUBU’S BLUES, LA VIE RÊVÉE DE CHARLES
BUKOWSKI, Théâtre du Désordre des Esprits
MS : Marie-Paule Laval + Bruno Boëglin
6 au 8 fév à 20h30, je. à 19h30. 13€ - 8€
LES REUTEULEU. Festival international étudiant
10 fév à 20h. 6€
À TOUR DE RÔLE, Cie Théâtrale Müh
Texte & MS : Pierre David-Cavaz
13 au 15 fév à 20h30, je. à 19h30. 13€ - 8€
MERCEDES de Thomas Brasch,
Cie Grime & Concocte - MS : Florent Fichot
24 et 25 fév à 20h30. 13€ - 8€
L’ALLÉGRO
Pl. de la République - Miribel - 04 78 55 80 20
LOVE MATCH - Spectacle d’improvisation théâtrale
14 fév à 19h30. 9€ - 8€ - enfant 7€
L’ORAL ET HARDI
de Jean-Pierre Verheggen, par Jacques Bonnaffé
Allocution théâtrale poétique et humoristique
25 fév 20h30. 22€ - 20€ - enfant 12€
LA NUIT - Cie Théâtre Sans Toit
Théâtre de marionnettes - Conception, MS Pierre Blaise
26 février 14 h et 15 h 30. 8€
LE KARAVAN THÉÂTRE
50, rue de la République - Chassieu - 04 78 90 88 21
LES BOUGRES, Théâtre du Maquis
Conception, MS : P. et J. Béziers, David Teysseyre
7 fév à 20h. 19€ - 13€
LES FOURBERIES DE SCAPIN de Molière,
Théâtre du Kronope - MS : Guy Simon
14 fév à 20h. 19€ - 13€
LE POLARIS
Av. de Corbetta - Corbas - 04 72 51 45 55
AU FIL D’ŒDIPE de Brice Berhoud,
Cie Les Anges au Plafond - MS : Camille Trouvé
21 fév à 20h30. 15€ - 9€
+ I-Magine - Petrek et Ivan Sigg - à 19h30
THÉÂTRE THÉO ARGENCE
Pl. Ferdinand Buisson - St-Priest - 04 78 20 02 50
SWIFT !, SKAPPA ! & Associés
12 fév à 10h et 15h. 10€ - 5€
TÊTE HAUTE de Joël Jouanneau, Collectif MxM
MS : Cyril teste
19 fév à 18h30. 10€ - 5€
S’EMBRASENT de Luc Tartar, Théâtre Bluff
MS : Éric Jean
28 fév à 20h30. 18€ - 6€
THÉÂTRE DE VÉNISSIEUX
8, bd Laurent Gérin - Vénissieux - 04 72 90 86 68
END/IGNÉS de Mustapha Benfodil, Cie El Ajouad
MS : Kheireddine Lardjam
21 fév à 21h. 18€ - 8€
ESPACE ALBERT CAMUS
1, rue Maryse Bastié - Bron - 04 72 14 63 40
SŒUR DE de Lot Vekemans, Cie Mangez-Moi
MS : Émilie Joumard
13 fév à 19h30. 7€ - 5€
MÈRE / FILLE de Laura Forti, Cie AnteprimA
MS : Antonella Amirante
27 fév à 19h30. 16€ - 9€
MJC LOUIS ARAGON / JACK JACK
Pl. Gaillard Romanet - Bron - 04 78 26 87 25
PEOLPLE’S CABARET, Cie l’Envers et l’Endroit
MS : Stéphanie Chevarin
5 fév à 14h30. 8€ - 5€
UNE FEMME SEULE, Cie du Sourire
MS : Ghislaine Bendongué, Vincent Villemagne
28 fév à 20h. 12€ - 10€
THÉÂTRE JEAN MARAIS
53, rue Carnot - St-Fons - 04 78 67 68 29
RAS, Cie Maduixa Théâtre
19 fév à 15h. 6€
TARTUFFE de Molière, Luca Théâtre
MS : Laurent Vercelletto
28 fév à 20h30. 13€ - 10€
RAMDAM
16, ch. des Santons - Ste-Foy-lès-Lyon
04 78 59 62 62
LOUVE, Collectif La Toile - 8 fév à 19h. 5€ à gratuit
THÉÂTRE DE LA RENAISSANCE
7, rue Orsel - Oullins - 04 72 39 74 91
L’ÎLE SOLAIRE d’après Michel Tournier
avec Wilhelm Latchoumia
Conception, mus : Samuel Sighicelli
21 fév à 20h. 20€ - 8€
LA MOUCHE,
THÉÂTRE SAINT- GENIS-LAVAL
8, rue des Écoles - St-Genis-Laval - 04 78 86 82 28
Festival Paroles, Paroles
Divers lieux, 6 au 14 fév. 8€ - 6,5€
INVENTAIRE 68, UN PAVÉ DANS L’HISTOIRE /
Nicolas Bonneau - 6 fév à 19h
ALI 74, LE COMBAT DU SIÈCLE /
Nicolas Bonneau & Mikael Plunian
7 fév à 20h30
L’ÉTOURDISSEMENT de Joël Egloff,
La Cie Sens Inverse / Denis Déon
10 et 11 fév à 19h
LES PETSEURS (7 PEURS),
Cie Izidoria / Myriam Pellicane - 12 fév à 19h
MAÎTRE FENDARD (AH, AH, AH), Fred Tousch
13 fév à 19h
CARTE BLANCHE À CIE CASSANDRE
14 fév à 19h
LA MOUETTE de Tchekhov - MS : Christian Benedetti
27 fév à 20h30. 23€ - 10€
LE SÉMAPHORE, THÉÂTRE D’IRIGNY
C Culturel Champvillard - Rue de Boutan - Irigny
04 72 30 47 90
PARTAGE DE MIDI de Paul Claudel
MS : Philippe Adrien
28 fév à 20h30. 18€ - 9€
THÉÂTRE DE L’ATRIUM
35 av. du 8 Mai - Tassin - 04 78 34 70 07
PEDRO PÁRAMO de Juan Rulfo, Cie Premier Acte
MS : Sarkis Tcheumlekdjian
21 fév à 20h30. 15€ - 8€
ESPACE CULTUREL JEAN CARMET
Bd du Pilat - Mornant - 04 78 44 05 17
T.I.N.A. (THERE IS NO ALTERNATIVE)
de Simon Grangeat, Cie Cassandre
MS : Sébastien Valignat & Marijke Bedleem
7 fév à 20h30. 17€ - 10,5€
THÉÂTRE DE VILLEFRANCHE
Pl. de la Sous-Préfecture - Villefranche
04 74 68 02 89
UN BEAU MATIN, ALADIN avec Matej Forman
MS : Charles Tordjman
15 fév à 15h. 14,5€ - 10,5€
INNOCENCE d’Howard Barker, Association nÖjd
MS : Howard Barker & Gerrard McArthur
25 et 26 fév à 20h30, me. à 19h30. 24€ - 15€
THÉÂTRE DE BOURG-EN-BRESSE
11, pl. Grenette - Bourg-en-Bresse - 04 74 50 40 00
PEDRO PÁRAMO de Juan Rulfo, Cie Premier Acte
MS : Sarkis Tcheumlekdjian
11 au 13 fév à 20h30, me. à 19h, je. à 14h. 24€- 10€
FAUST ET USAGES DE FAUST,
Cie Émilie Valantin & Jean Sclavis
Ms : Émilie Valantin
18 fév à 20h30. 24€ - 10€
VALISES D’ENFANCE, Cie Pipa Sol
MS : Christine Delattre
Salle des Fêtes/Ceyzériat, 22 fév à 20h30. 9€ - 6€
UN BEAU MATIN, ALADIN
Conception, MS : Matej Forman et Charles Tordjman
25 au 27 fév à 20h30, me. à 19h, je. à 14h. 24€- 10€
CENTRE CULTUREL ARAGON
88, crs de Verdun - Oyonnax - 04 74 81 96 80
MODÈLES, Cie La Part des Anges
MS : Pauline Bureau
27 fév à 20h30. 16,5€ - 9€
MÂCON SCÈNE NATIONALE
1511, av. Ch. de Gaulle - Mâcon - 03 85 22 82 99
PETER PAN d’après JM Barrie, Cie L’Artifice
MS : Christian Duchange
1er fév à 17h. 24€ - 8€
MÈRE COURAGE ET SES ENFANTS de Brecht,
CDN Thionville-Lorraine - MS : Jean Boillot
13 fév à 19h30. 24€ - 14€
+ Le libéré de Bertolt Brecht ou la Lâcheté
quotidienne de Maria Koleva (docu, 76)
13 fév à 18h30
ESPACE DES ARTS
5 bis, av. Nicéphore Niepce - Chalon/Saône
03 85 42 52 12
PARTAGE DE MIDI de Claudel - MS : Philippe Adrien
6 et 7 fév à 20h 23€ - 9€
MACBETH de Shakespeare - MS : Anne-Laure Liégeois
20 et 21 fév à 20h. 23€ - 9€
L'ARC, SCÈNE NATIONALE
LE CREUSOT
Esplanade F. Mitterrand - Le Creusot - 03 85 55 13 11
TÊTE HAUTE de Jouanneau, Collectif MxM
MS : Cyril Teste
13 fév à 19h30. 10€ - 8€
ACTÉON [MINIATURE] + PYGMALION [MINIATURE]
d’après Ovide, TJP - CDN d’Alsace
Conception : Renaud Herbin
20 fév à 19h30 et 20h15. 20€ - 10€
HORS LES MURS THÉÂTRE JEAN VILAR
Salle Polyvalente - Av. du Prof. Tixier
Bourgoin-Jallieu - 04 74 28 05 73
INNOCENCE, Association nÖjd
Texte & MS : Howard Barker, Gerrard McArthur
4 fév à 20h30. 16€ - 8€
BELGRADE de Angelica Liddelll, La Meute
MS : Thierry Jolivet
25 et 26 fév à 20h30. 16€ - 8€
THÉÂTRE DU VELLEIN
Av. du Driève - Villefontaine - 04 74 80 71 85
MOBY DICK d’après Fabrice Melquiot
et Herman Melville - MS : Matthieu Cruciani
19 fév à 18h30. 8€ - 6€
TU TIENS SUR TOUS LES FRONTS
d’après Christophe Tarkos
Conception, MS : Roland Auzet
25 et 26 fév à 20h30. 21€ - 15€
LE TRENTE /
ESPACE SAINT GERMAIN
Auditorium - 30, av Gal Leclerc - Vienne
04 74 85 00 05
NUIT VÉNITIENNE de Musset, Théâtre & Cie
MS : Michel Belletante
4 au 8 fév à 19h. 30€ - 20€ (+ repas)
THÉÂTRE DE VIENNE / CARRÉ VIENNE
4, rue Chantelouve - Vienne - 04 74 85 00 05
Week-end Alfredo Arias
Conception, MS : Alfredo Arias - 14/15 fév
CINELANDIA - 14 fév à 20h30. 20€ - 10€
HERMANAS - 15 fév à 20h30. 20€ - 10€
+ Bal Tango avec Tango de Soie
AU PONT DE POPE LICK de Naomi Wallace,
Cie Ariadne - MS : Anne Courel
27 fév à 20h30. 20€ - 10€
+ L’Amérique de la Grande Dépression à travers
la littérature américaine - Librairie des Lucioles
22 fév à 16h
/ Février 2014 / N°200 / 25
agenda
LA COMÉDIE DE VALENCE
Pl. Charles Huguenel - Valence - 04 75 78 41 70
UN BEAU MATIN, ALADIN
Conception, MS : Matej Forman, Charles Tordjman
4 et 5 fév à 18h + me. à 14h30. 21€ - 8€
BIENVENUE DANS L’ESPÈCE HUMAINE
Conception, MS : Benoît Lambert
Comédie Itinérante, 4 au 28 fév à 20h. 12€ - 5€
LES GENS d’Edward Bond,
Théâtre des Nuages de Neige - MS : Alain Françon
19 et 20 fév à 20h. 21€ - 8€
+ Grand Témoin : Alain Françon - 18 fév à 19h
L’ODEUR DES PLANCHES de Samira Sedira
avec Sandrine Bonnaire - MS : Richard Brunel
21 au 24 fév à 20h. 12€ - 8€
RABAH ROBERT (TOUCHE ALLEURS QUE LÀ
OÚ TU ES NÉ) - Texte & MS : Lazare
26 et 27 fév à 20h. 21€ - 8€
+ Lecture d’auteur : Lazare - 26 fév à 18h
PÔLE FESTIF DE LA TALAUDIÈRE
Rue du Stade - La Talaudière - 04 77 53 03 37
L’INTRÉPIDE SOLDAT DE PLOMB d’après Andersen,
Cie Stefan Wey - MS : Tobias J. Lehman
5 et 7 fév à 20h30, me. à 17h. 5€
DÔME THEÂTRE
135, pl. de l’Europe - Albertville - 04 79 10 44 80
TARTUFFE 2012 de Molière, Luca Théâtre
MS : Laurent Vercelletto
12 fév à 20h30. 25€ - 16€
LECTURES
RENCONTRES
CONFÉRENCES
28E FÊTE DU LIVRE DE BRON
Hippodrome de Parilly - 4/6, av. Pierre Mendès France
Bron - 04 78 26 09 31
14 au 16 février, ve. 12h30/20h, sa. di. 10h30/19h30.
Gratuit
Débats & entretiens. Lectures, contes & spectacles...
SYLVIE GERMAIN - ALAA EL ASWANY - JAMES
MEEK - JAMES SACRÉ...
+ Journée de Réflexion « D’autres vies que la
mienne » 14 fév 13h/17h. 20€ à 5€
+ Lecture-concert BRIGITTE GIRAUD
ALBIN DE LA SIMONE
Médiathèque Jean-Prévost à Bron, 13 fév à 20h30
+ Soirée Cinéma et Littérature. LES ENFANTS ROUGES
de Santiago Amigorena (2013) + débat
Cinéma Les Alizés, 14 fév à 20h30 4,9€,
04 78 41 05 55
INSTITUT DES CHARTREUX
58 rue Pierre Dupont - Lyon 1er - 04 78 27 02 48
JONATHAN COE, entretien avec Vanessa Guignery
13 fév. à 19h30. 5€
BIBLIOTHÈQUE DU 1ER
7, rue St-Polycarpe - Lyon 1er - 04 78 27 45 55
Les Vaincus de l’Histoire.
Les fondateurs du Japon moderne
6 fév à 18h30
OPÉRA DE LYON
Pl. de la Comédie - Lyon 1er - 04 69 85 5454
LIONEL OBADIA / MICHEL TERESTCHENKO /
MICHEL SCHNEIDER - Les Forces Obscures
26 fév à 20h. 5€ à gratuit
RESTAURANT QUAI DES ARTS
Les Subsistances - 8 bis, quai St-Vincent - Lyon 1er
FABRIQUE DE L’OREILLE #3.
Avec Jonathan Duplissy et Anne Blanchet
26 fév à 18h30
PAVILLON RIVES DE SAÔNE
Quai St-Antoine - Lyon 2e - 04 78 30 55 15
Les mille et un métiers de l’art contemporain.
19 fév à 20h
THÉÂTRE DES MARRONNIERS
7, rue des Marronniers - Lyon 2e - 04 78 37 98 17
LES APÉRITIVES
[Alison Cosson, Perrine Gérard, Marilyn Mattei,
Pauline Noblecourt, Samuel Pivot, Guillaume Poix]
M. en voix : Dominique Laidet
18 fév à 18h30.Gratuit sur réserv.
BIBLIOTHÈQUE DE LA PART-DIEU
30, bd Vivier-Merle - Lyon 3e - 04 78 62 18 00
Pas de printemps pour la Syrie.
Les clés pour comprendre les acteurs
et les défis de la crise (2011/13) - 5 fév à 18h30
Pourquoi ranger la bicyclette dans le garage ?
7 fév à 18h30
La musique sacrée de Marc-Antoine Charpentier
11 fév à 18h30
Au pays de Riches. - 14 fév à 18h30
Le Feu et la mort dans l’Antiquité - 15 fév à 16h
Regards croisés autour de Gombrovicz
18 fév à 18h30
Histoires et témoignages
sur l’immigration italienne à Lyon
19 fév à 18h30
THÉÂTRE DE LA CROIX-ROUSSE
Pl. Joannès Ambre - Lyon 4e - 04 72 07 49 49
PIERRE LARROUTUROU / JOSEPH VOGL /
JC VOLOT
Capitalisme, Libéralisme : un état des lieux
5 fév à 20h. 5€ à gratuit
MJC DU VIEUX LYON /
SALLE LÉO FERRÉ
5 pl. St-Jean - Lyon 5e - 04 78 42 48 71
ATELIER DE DÉSINTOXICATION DU LANGAGE
par La Scop L’Orage - 15 fév 9h/13h. 10€ - 4€
MUSÉES GADAGNE
1, pl. du Petit Collège - Lyon 5e - 04 37 23 60 46
Le textile et les arts décoratifs à l’exposition
internationale urbaine : l’art déco en avant
première ? - 1er fév à 14h30. Gratuit
Les premiers professeurs de pharmacie
de l’université de Lyon
12 fév à 14h. 4€
1914-2014 : quelle modernité urbaine ?
15 fév à 14h et 16h. Sur billet d’entrée
L’expo internationale de Lyon en 1914,
un tremplin pour Herriot
22 fév à 14h30. Gratuit
MÉDIATHÈQUE DU BACHUT
2, pl. du 11 Novembre 1918 - Lyon 8e
04 78 78 12 76
SALEH DIAB, poésie parlée - 7 fév à 18h30
Perception inconsciente : mythe ou réalité ?
13 fév à 17h
Les neurosciences face aux spectres
et autres phénomènes hallucinatoires
27 fév à 17h
MÉDIATHÈQUE DE VAISE
Pl.Valmy - Lyon 9e - 04 72 85 66 20/22
Pat Metheny par Jean-Louis Almosnino
11 fév à 18h30
BRUIT de François Bon - 12 fév à 18h30
Autour des Chants de guerre que j’ai vues
18 fév à 12h30
Autour de l’Opéra STEVE FIVE,
avec Oxmo Puccino et Roland Auzet
22 fév à 15h
CAFÉTÉRIA DU CROUS
Campus de la Doua - Bât. Astrée - 6, av. G. Berger
Villeurbanne - 04 72 44 79 45
Pourquoi les idées nous empêchent-elles
de voir le réel ? - 17 fév à 18h30. Gratuit
CENTRE NATIONAL
DE LA MÉMOIRE ARMÉNIENNE
32, rue du 24 Avril 1915 - Décines - 04 72 05 13 13
Le Cas de l’Arménie
par Florence Tsorig Mardirossian
21 fév. à 20h30. 5€
PLANÉTARIUM DE VAULX-EN-VELIN
Pl. de la Nation - Vaulx-en-Velin - 04 78 79 50 12
L’Univers des Quasars. - 20 fév à 20h. Gratuit
THÉÂTRE THÉO ARGENCE
Pl. Ferdinand Buisson - St-Priest - 04 78 20 02 50
La Fabrique. RDV#4 (lectures)
LE T DE N-1 & FROMAGE DE TÊTE
MS : Catherine Pavet
17 fév à 19h30. 10€ - 5€
+ Soirée Art-Science :
ouverture Laboratoire(s) d’Hiver à 18h30
ROULEZ JEUNESSE. Théâtre et adolescents - 28 fév
THÉÂTRE DE VIENNE
4, rue Chantelouve - Vienne - 04 74 85 00 05
VÉRONIQUE DE KAYSER. Femmes et laïcité
28 fév à 19h
CINÉMA
CINÉ-CONCERT
ON CARTOON DANS LE GRAND LYON 4E
25 salles du Grand Lyon
ALOÏS NEBEL de Tomas Lunak, Rép.Tchèque - 11
CHICO ET RITA de F. Trueba et J.Mariscal, GB/Esp. - 10.
LES CONTES DE LA NUIT de M. Ocelot, Fr. - 11. etc
Rétrospective Jean-François Laguionie
22 fév au 9 mars
31E FESTIVAL INTERNATIONAL
DU PREMIER FILM D’ANNONAY
www.annonaypremierfilm.org
8 premiers films en compétition / Thématique
« Écrans gourmands » / Courts-métrages
et autres films hors compétition
Invités 2014 : Régis Marcon, Stéphane Audran,
Andréa Ferréol etc.
7 au 17 fév. 6,8€ / 68€ à 29€
AUDITORIUM DE LYON
149, rue Garibaldi - Lyon 3e - 04 78 95 95 95
FANTASIA - LIVE IN CONCERT (Walt Disney) /
ONL & LOUIS SCHWIZGEBEL, dir. Frank Strobel
Mus : Gershwin, Beethoven, Tchaïkovski etc.
26 fév à 15h et 20h. 46€ - 8€
MJC DU VIEUX LYON / SALLE LÉO FERRÉ
5 pl. St-Jean - Lyon 5e - 04 78 42 48 71
POT DE THÉ / POT DE FER de Claude Hirsch (docu,
11) + débat « Salariat : quel pouvoir d’agir
dans un système de domination ? »
20 fév à 20h. Gratuit
BIBLIOTHÈQUE JEAN MACÉ
2, rue Domer - Lyon 7e - 04 78 96 48 30
LE SABLE, ENQUÊTE SUR UNE DISPARITION
de Denis Delestrac (docu, 2004)
22 fév à 15h
INSTITUT LUMIÈRE
25, rue du Premier Film - Lyon 8e - 04 78 78 18 95
10e Prix Jacques Deray :
ZULU de Jérôme Salle (FR, 2013)
8 fév à 19h. 7,2€ à 4,5€
Rétrospective Jean-Pierre Melville
jusqu’au 26 fév
LE SAMOURAÏ (67) / L’ARMÉE DES OMBRES (69) /
LE DOULOS (62) / LES ENFANTS TERRIBLES (49) etc.
LE DEUXIÈME SOUFFLE (66)
+ Conférence sur Jean-Pierre Melville
11 fév à 19h30 (puis 21h). 7,2€ à 4,5€
Rétrospective Michael Curtiz - jusqu’au 27 fév
26 / Février 2014 / N°200 /
LA FEMME AUX CHIMÈRES (EU, 1950)
+ Dossier spécial Michael Curtiz
4 fév à 19h30 (puis 21h). 7,2€ à 4,5€
Michael Curtiz par B. Tavernier - 7 fév à 20h45
CAPTAIN BLOOD (EU, 1935)
+ Conférence sur Les Pirates au Cinéma
23 jan à 14h30 (puis 16h30). 7,2€ à 4,5€
MÉDIATHÈQUE DU BACHUT
2, pl.du 11 Novembre 1918 - Lyon 8e
04 78 78 12 76
Le Cinéma chinois. - 15 fév à 16h
THÉÂTRE ASTRÉE
Campus de la Doua - 6, av. G. Berger - Villeurbanne
04 72 44 79 45
NOTRE SIÈCLE d’Arnaud Pélechain (1982)
FRITZ LE CAT (ciné-concert)
5 fév à 19h. 6€ à gratuit
+ Rencontre-débat autour du cinéaste Pelechain
ENS, 5 fév à 14h30
MOI, PARADJANOV, ARTISTE SOVIÉTIQUE
de Serge Avédikian (2013)
7 fév à 20h30. Gratuit
PLANÉTARIUM DE VAULX-EN-VELIN
Pl. de la Nation - Vaulx-en-Velin - 04 78 79 50 12
SÉANCES D’ASTRONOMIE.
Une immersion totale au cœur de l’Univers
sous un dôme-écran géant
Me. à 14h et 15h30, sa. à 11h, 14h et 15h30,
di. à 11h, 14h, 15h30 et 17h. 8€ - 6€
LA RAMPE
La Ponatière - 15, av. du 8 Mai 45 - Échirolles
04 76 400 505
HANSEL & GRETEL d’après les Frères Grimm,
La Cordonnerie (ciné-spectacle)
Conception, MS : Métilde Weyergans et Samuel Hercule
18 fév à 20h. 17€ - 9€
DÔME THEÂTRE
135, pl. de l’Europe - Albertville - 04 79 10 44 80
HANSEL & GRETEL d’après les Frères Grimm,
La Cordonnerie (ciné-spectacle)
Conception, MS : Métilde Weyergans et Samuel Hercule
26 fév à 19h30. 25€ - 16€
DANSE
LES SUBSISTANCES
8 bis, quai St-Vincent - Lyon 1er - 04 78 39 10 02
LES YEUX OUVERTS + TROIS DÉCENNIES
D’AMOUR CERNÉ, CCN de Tours
Chor : Thomas Lebrun
25 fév au 1er mars à 20h. 8€
Festival aire de jeu #3
4 créations Danse & Musique contemporaine. 1
compositeur invité : Nico Muhly
28 jan au 1er fév à 20h. 8€, pass/24€
LOOM - Chor : Yuval Picq
28 jan au 1er fév à 19h30, me. ve. à 22h15, sa. à 19h
CRÉATION EN COURS - Chor : Yasmeen Godder
28 jan au 1er fév à ma. 21h45, me. à 20h,
je. à 22h15, ve. à 19h30, sa. à 19h45
FRAIL - Chor : Kyle Abraham
28 jan au 1er fév à 22h30, me. à 19h30,
je. à 21h45, ve. à 20h15, sa. à 20h30
AMPHITHÉÂTRE / SALLE 3000
Cité Internationale - 50, quai Ch. de Gaulle - Lyon 6e
LA BAYADÈRE, St-Pétersbourg Ballet Théâtre
Chor : Marius Petipa
18 fév à 20h. 65€ - 28€
MAISON DE LA DANSE
8, av. Jean Mermoz - Lyon 8e - 04 72 78 18 00
AU-DELÀ, Cie Baninga - Chor : DeLaVallet Bidiefono
3 et 4 fév à 20h30, lu. à 19h30. 21€ - 12€
EN PLATA, Enclave Español Compañia de Danza
Conception, dir. art : Antonio Pérez, David Sánchez
6 au 8 fév à 20h30. 29€ - 17€
PLAY, Sidi Larbi Cherkaoui
et Shantala Shivalingappa / Eastman
12 au 14 fév à 20h30, me. à 19h30. 29€ - 17€
S TRA - LA CRÉATIVITÉ DANS LA TRADITION,
Arushi Mudgal - 16 fév à 15h. 21€ - 12€
DON QUICHOTTE AU TROCADÉRO
Conception, chor : José Montalvo
19 au 23 fév à 20h30, me. à 19h30, di. à 15h.
42€ - 22€
+ Vidéo-débat Des traditions pour une modernité
8 et 22 fév à 18h
+ BAL POUR DANSER - 23 fév à 17h
TRAGÉDIE, / Cie COD - Chor : Olivier Dubois
26 et 27 fév à 20h30, me. à 19h30. 29€ - 17€
CNSMD
3, quai Chauveau - Lyon 9e - 04 72 19 26 61
du 26 au 28 fév à 20h. Gratuit
ATELIERS D’HIVER DU DÉPARTEMENT DANSE
Chorégraphies des enseignants
Toboggan le 15 fév à 14h30 et 19h30. Gratuit
RADIANT-BELLEVUE
1, rue Jean Moulin - Caluire - 04 72 10 22 19
GROSSE FUGUE - Chor : Maguy Marin
+ CRITICAL MASS - Chor : Russel Maliphant
PASSAGES, Création Ballet de l’Opéra de Lyon
Chor : Rachid Ouramdane
22 au 27 fév à 20h30, di. à 16h. 25€ - 15€
LE TOBOGGAN
14, av. Jean Macé - Décines - 04 72 93 30 14
PARDI}, Cie La Vouivre
Conception, MS : Bérengère Fournier, Samuel Faccioli
21 fév à 20h30. 17€ - 9€
DOUBALEY (LE MIROIR), Cie Mouvements Perpétuels
Chor : Salia Sanou
27 et 28 fév à 20h30. 17€ - 9€
CCNR [CENTRE CHORÉGRAPHIQUE
NATIONAL DE RILLIEUX-LA-PAPE]
30 ter, av du Gal Leclerc - Rillieux - 04 72 01 12 30
FOLKS - Chor : Yuval Picq
13 et 14 fév à 20h30. 10€ - 7€,
résa / 04 37 85 01 50
HIPPOPOTOMONTROSEQUIPPEDALIOPHOBIE,
Collectif Ès
14 fév à 19h. Gratuit sur réserv.
LE POLARIS
Av. de Corbetta - Corbas - 04 72 51 45 55
DANS LE VENTRE DU LOUP,
Cie Didascalie - Marion Lévy
7 fév à 20h30. 15€ - 9€
+ La Soupe aux Amandes (à 19h30)
CENTRE CULTUREL
CHARLIE CHAPLIN
Pl. de la Nation - Vaulx-en-Velin - 04 72 04 81 18 / 19
FRONTIÈRE(S) - Chor : Kadia Faraux
28 fév à 20h30. 13€ - 8€
L’ALLÉGRO
Pl. de la République - Miribel - 04 78 55 80 20
WELCOME TO PARADISE
par le CCN Ballet de Lorraine
Petter Jacobsson
Chor : Joelle Bouvier et Régis Obadia
14 fév à 19h30. 9€ - 8€ - enfant 7€
ESPACE ALBERT CAMUS
1, rue Maryse Bastié - Bron - 04 72 14 63 40
RÉCITAL À 40, Centre Chorégraphik Pôle Pik
Chor, dir. : Mourad Merzouki
6 au 8 fév à 20h30, je. à 19h30. 18€ - 10€
PÔLE PIK
2, rue Paul Pic - Bron - 04 78 21 48 74
04 72 14 63 40
CATHARSIS - Chor : Sigrid Flory
28 fév à 12h30. Gratuit
LE SÉMAPHORE, THÉÂTRE D’IRIGNY
C Culturel Champvillard - Rue de Boutan - Irigny
04 72 30 47 90
EMZARA. NOÉ DANS LE LIVRE DES JUBILÉS,
Cie Maryse Delente - Chor : Maryse Delente
7 fév à 20h30. 18€ - 9€
THÉÂTRE DE VILLEFRANCHE
Place de la Sous-Préfecture - Villefranche
04 74 68 02 89
BOXE BOXE, CCN Créteil et Val-de-Marne
Cie Käfig & Quatuor Debussy
Chor : Mourad Merzouki
4 et 5 fév à 20h30 me. à 19h30. 28€ - 15€
THÉÂTRE DU VELLEIN
Av. du Driève - Villefontaine - 04 74 80 71 85
SWAN LAKE, Cie The Dance Factory
Chor : Dada Masilo
31 jan et 1er fév à 20h30. 25€ - 18€
RÉCITAL À 40, Centre Chorégraphik Pôle Pik
Chor : Mourad Merzouki
12 au 14 fév à 20h30. 21€ - 15€
THÉÂTRE DE BOURG-EN-BRESSE
11, pl. Grenette - Bourg-en-Bresse - 04 74 50 40 00
L’ASPIRATEUR (DE LA POUSSIÈRE AUTOUR
DU CŒUR), Le Grand Jeté ! - Chor : Frédéric Cellé
4 fév à 20h30. 24€ - 10€
MÂCON SCÈNE NATIONALE
1511, av. Ch. de Gaulle - Mâcon - 03 85 22 82 99
LA CÉRÉMONIE - Chor : Nathalie Pernette
18 fév à 20h30. 24€ - 8€
+ Projection L’ENFANT SAUVAGE
de François Truffaut (FR, 69)
Cinémarivaux, 17 fév à 20h30
L'ARC, SCÈNE NATIONALE
LE CREUSOT
Esplanade François Mitterrand - Le Creusot
03 85 55 13 11
INFANTIA - Conception : Jean-Pascal Viaut
6 fév à 19h. 10€ - 8€
LA RAMPE
La Ponatière - 15, av. du 8 Mai 45 - Échirolles
04 76 400 505
PARDI}, La Vouivre
Conception : Bérengère Fournier, Samuel Faccioli
4 fév à 20h. 21€ - 9€
ROYAUME UNI + LE SACRE DU PRINTEMPS,
Ballet Preljocaj - Chor : Angelin Preljocaj
26 et 27 fév à 20h. 30€ - 10€
DÔME THEÂTRE
135, pl. de l’Europe - Albertville - 04 79 10 44 80
OUPS + OPUS + PARDI}, La Vouivre
Conception : Bérengère Fournier, Samuel Faccioli
6 fév à 19h30. 30€ - 21€
EXPOSITIONS
ARCHIPEL,
CENTRE DE CULTURE URBAINE
21, pl. des Terreaux - Lyon 1er - 04 78 30 61 04
SUR LES MURS
Jusqu’au 9 mars, ma. au di. 13h/19h. Gratuit
BF 15
11, quai de la Pêcherie - Lyon 1er - 04 78 28 66 63
Biennale Musiques en Scène 2014 :
ANNE-SOPHIE BOSC, GÉRALDINE KOUZAN
Unfolding - Taipei + ROMAIN BOULAY
& JULIEN MIJANGOS
Jusqu’au 22 mars, me. au sa. 14h/19h
BIBLIOTHÈQUE DU 1ER
7, rue St-Polycarpe - Lyon 1er - 04 78 27 45 55
RENAISSANCE DU CONISME.
LE TEMPS DES MÉCÈNES
Jusqu’au 14 fév, ma. au ve. 13h/19h,
ma. me. 10h/12h, sa. 13h/17h
À VARTAN. Donation Frédéric-Vartan Terzian (photos)
27 fév au 24 av, ma. au ve. 13h/19h,
ma. me. 10h/12h, sa. 13h/17h
GALERIE FRANÇOISE BESSON
10, rue de Crimée - Lyon 1er - 06 07 37 45 32
GÉRARD PÉLISSON - Utopies volatiles
Jusqu’au 22 fév, me. au sa. 14h30/19h
GALERIE-ATELIER 28
28, rue Burdeau - Lyon 1er - 04 78 28 07 72
PIERRE BENDINE-BOUCAR - Florilège
Jusqu’au 15 mars, me. au sa. 14h30/19h30
ANNE-MARIE ET ROLAND PALLADE
ART CONTEMPORAIN
35, rue Burdeau - Lyon 1er - 09 50 45 85 75
06 72 53 70 34
DENIS RIVIÈRE
Jusqu’au 15 mars, me. au sa. 14h/19h
GALERIE FRANÇOISE SOUCHAUD
35, rue Burdeau - Lyon 1er - 06 87 95 17 98
MOHAMED LEKLETI - La Religion du Trait
Jusqu’au 15 mars, me. au ve. 15h/19h,
sa. 14h30/19h30
GALERIE LE RÉVERBÈRE
38, rue Burdeau - Lyon 1er - 04 72 00 06 72
BERNARD PLOSSU - De l’Atlantique
à la Méditerranée / du Portugal à la Grèce
Jusqu’au 12 av, me. au sa. 14h/19h
GALERIE NÉON
41, rue Burdeau - Lyon 1er - 04 78 39 55 15
QUENTIN MAUSSANG - Être une chose
Jusqu’au 15 fév, me. au sa. 15h/19h
GALERIE PHOTOSTAGE
1, rue Camille Jordan - Lyon 1er
09 52 50 96 81/06 12 21 80 39
STÉPHANE CHARPE
New-York , des pièces du Puzzle
Jusqu’au 2 fév, ma. au ve. 10h/16h
GALERIE POME TURBIL
48, rue Burdeau - Lyon 1er - 06 11 37 91 53
ANNE MOREAU - La force de Chevarache
Jusqu’au 15 mars, me. au sa. 15h/19h
GALERIE REGARD SUD
1/3, rue des Pierres Plantées - Lyon 1er
04 78 27 44 67
ALDO SOARES - Carnac, autour de Guillevic
Jusqu’au 15 mars, ma. au sa. 14h/19h
ITEM L’ATELIER
3, imp. Fernand Rey - Lyon 1er - 04 78 72 18 40
MICHEL DEWEVER-PLANA - L’Autre Guerre
14 fév au 26 mars, lu. au ve. 10h/17h, sa. 14h/18h
LE BLEU DU CIEL
12, rue des Fantasques - Lyon 1er - 04 72 07 84 31
KARIM KAL & ANDRÉ GAMET
Souvenirs d’en France, hier et aujourd’hui
6 fév au 5 av, me. au sa. 14h30/19h30
MAPRA
9, rue Paul Chenavard - Lyon 1er - 04 78 29 53 13
MYETTE FAUCHÈRE / HERVÉ BRIA
Jusqu’au 1er fév, ma. au sa. 14h30/18h30
+ me. je. ve. 10h/12h30
AU P’TT BAZAR ALICE CALM / ÉLODIE SABARDEIL
13 fév au 1er mars, ma. au sa. 14h30/18h30
+ me. je. ve. 10h/12h30
MUSÉE DES BEAUX-ARTS
20, pl. des Terreaux - Lyon 1er - 04 72 10 17 40
LYON 1914 : EDOUARD HERRIOT,
TONY GARNIER ET LES ARTS
Jusqu’au 17 mars, me. au lu. 10h/18h,
ve. 10h30/18h. 7€ - 4€
+ Parcours et visite en miroirs avec Musée Gadagne
12 et 26 fév à 15h (+3€)
agenda
JOSEPH CORNELL ET LES SURRÉALISTES
À NEW-YORK : DALI, DUCHAMP, ERNST, MAN RAY…
Jusqu’au 10 fév, me. au lu. 10h/18h,
ve. 10h30/18h. 7€ - 4€
me. au lu. 10h/18h, ve. 10h30/18h. 7€ - 4€
FONDATION BULLUKIAN
26, pl. Bellecour - Lyon 2e - 04 72 52 93 94
JULIE LEGRAND - La convergence des atomes
Jusqu’au 15 mars, ma. au sa. 13h/19h
MUSÉE DES TISSUS
ET DES ARTS DÉCORATIFS
34, rue de la Charité - Lyon 2e - 04 78 38 42 02
ANTINOÉ, À LA VIE, À LA MODE.
VISIONS D’ÉLÉGANCE DANS LES SOLITUDES
Jusqu’au 28 fév, ma. au di. 10h/17h30. 6€ - 3,5€
LES LAURÉATS DU SALON DE MONTROUGE
Modules Fondation Pierre Bergé
YSL hors les murs
Jusqu’au 12 jan, ma. au di. 10h/17h
MUSÉE DE L’IMPRIMERIE
13, rue de la Poulaillerie - Lyon 2e - 04 78 37 65 98
EDUARD OV Á EK - Jusqu’au 16 mars, me. au
di. 10h30/18h. 5€ à gratuit
BIBLIOTHÈQUE DE LA PART-DIEU
30, bd Vivier-Merle - Lyon 3e - 04 78 62 18 00
UNE FABRIQUE DE L’INNOVATION. Trois siècles
de Révolutions industrielles en Rhône-Alpes
Jusqu’au 1er mars, ma. au ve. 10h/19h, sa. 10h/18h
GALERIE VRAIS RÊVES
6, rue Dumenge - Lyon 4e - 04 78 30 65 42
LUC EWEN - Lost memories
Jusqu’au 15 mars, me. au sa. 15h/19h
MUSÉES GADAGNE
1, pl. du Petit Collège - Lyon 5e - 04 78 42 03 61
MUSÉE D’HISTOIRE DE LYON
& MUSÉE DES MARIONNETTES DU MONDE
COLLECTIONS PERMANENTES
Me. au di. 11h/18h30. 8€ à gratuit -26ans
+ Visite « Les Clés de la Ville de Lyon »
2 fév à 15h (+3€)
+ Visite « Cap sur les Marionnettes »
2 et 23 fév à 11h15 (+3€)
+ Visite guidée Édifice - 9 fév à 11h15 (+3€)
+ Visite en Marionnettie - 9 fév à 15h (+3€)
+ Visite « Raconte-moi la ville »
16 fév à 11h15 (+3€)
+ Visite « Petites et grandes histoires
de la soie à Lyon » - 16 fév à 15h (+3€)
LYON, CENTRE DU MONDE !
Exposition internationale et urbaine de 1914
Jusqu’au 27 av, me. au di. 11h/18h30. 7€ - 5€
+ Visite-Expo, je. à 16h et sa. 11h15 (+3€)
Arrêt sur Objet « Carte postale Exposition
internationale urbaine de Lyon -1914 »
16 fév à 11h30
+ Balades Urbaines « Edouard Herriot :
changer le paysage de la Ville durablement »
Bourse du Travail/Place Guichard - 16 fév à 15h (5€)
+ Balades Urbaines « Lyon, fleuron
de la Cité moderne du 20e siècle »
Ninkasi Gerland, 16 fév à 15h (+5€)
+ Balades Urbaines « Grange-Blanche : un hôpital
pavillonnaire au service de l’hygiénisme »
5, pl. d’Arsonval Lyon 8e, 15 et 16 fév à 15h (5€)
MUSÉE GALLO-ROMAIN
17, rue Cléberg - Lyon 5e - 04 72 38 49 30
COLLECTIONS PERMANENTES
Plus de cinq siècles de découvertes
Ma. au di. 10h/18h. 4€ - 2,5€
+ Les Clés du Musée, pour comprendre Lugdunum
2 fév à 15h (+2€)
+ Visite spéciale «L’art d’aimer »
Ts je. à 15h 9 fév à 15h (+2€)
+ Visite contée « Les Amours des Dieux ? »
16 et 22 fév à 15h (+2€)
+ LES ÉTERNELS, Cie Lesdeuxavionsblancs
14 fév à 21h, 23 fév à 15h
MAC LYON
[MUSÉE D'ART CONTEMPORAIN]
Cité Internationale - 81, quai Ch. de Gaulle
Lyon 6e - 04 72 69 17 17
MOTOPOÉTIQUE
21 fév au 20 av, me. au di. 12h/19h. 6€ - 4€
CENTRE D’HISTOIRE DE LA RÉSISTANCE
ET DE LA DÉPORTATION
14, av. Berthelot - Lyon 7e - 04 78 72 23 11
20 ANS DU CHRD - Collections permanentes :
nouveau parcours, nouvelle scénographie
Me. au di. 10h/18h. 6€ à gratuit
POUR VOUS MESDAMES !
LA MODE EN TEMPS DE GUERRE
Jusqu’au 13 avr, me. au di. 10h/18h. 5€ - 3€
GALERIE ROGER TATOR
36, rue d’Anvers - Lyon 7e - 04 78 58 83 12
JEAN-CHARLES AMEY & FERRÉOL BABIN
Objet Lumière - Jusqu’au 14 fév, lu. au ve. 14h/19h
SNAP
4, rue de la Thibaudière - Lyon 7e - 06 74 84 67 06
PERRINE LACROIX. Mauer
Jusqu’au 1er mars, me. au sa. 14h/9h
MÉDIATHÈQUE DU BACHUT
2, pl. du 11 Novembre 1918 - Lyon 8e
04 78 78 12 76
MAGALI JEANNINGROS & AURÉLIEN BERTINI
L’Autre Moitié du Ciel
LA FEMME AU TEMPS DE MAO
11 fév au 8 mars, ma. je. 13h/19h, ve. 12h/19h,
me. 10h/19h, sa. 10h/18h
L’ATTRAPE-COULEURS
Mairie annexe - 5, pl. Henri Barbusse - Lyon 9e
04 72 19 73 86
ZOÉ BENOIT - Archisony#5
Jusqu’au 15 mars, me. ve. 13h/18h, sa. di. 14h/18h
GALERIE DOMUS
Campus de la Doua - 31, av. Pierre de Coubertin
Villeurbanne - 04 72 43 19 11
RAJAK OHANIAN - Portrait d’une P.M.E.
Jusqu’au 28 fév, lu. au je. 9h/17h, ve. 9h/16h
INSTITUT D’ART CONTEMPORAIN
11, rue Doc. Dolard - Villeurbanne - 04 78 03 47 00
MANFRED PERNICE - Fiat (lux)
Jusqu’au 23 fév, me. au di. 13h/19h, je. 20h.
4€ - 2,5€
LE RIZE
23/25, rue Valentin-Haüy - Villeurbanne
04 37 57 17 17
CULTES. LES RELIGIONS DANS LA VILLE
4 fév au 24 mai, ma. au sa. 12h/19h,
je. 17h/21h. Gratuit
M.L.I.S. F. MITTERAND
247, crs Émile Zola - Villeurbanne - 04 78 68 04 04
GUERRILLA GIRLS
Jusqu’au 15 mars, ma. au ve. 14h/19h, sa. 14h/18h
URDLA CENTRE INTERNATIONAL
ESTAMPE & LIVRE
207, rue Francis-de-Pressensé - Villeurbanne
04 72 65 33 34
CFRUEL SPORTING
Jusqu’au 28 fév, ma. au ve. 10h/18h, sa. 14h/18h
LE POLARIS
Av. de Corbetta - Corbas - 04 72 51 45 55
RICHARD VESSAUD / MARIE BOURGET /
CLARA CUZIN
13 fév au 7 mars, ma. au ve. 9h-19h
PLANÉTARIUM DE VAULX-EN-VELIN
Pl. de la Nation - Vaulx-en-Velin - 04 78 79 50 12
HISTOIRE D’UNIVERS,
DU BIG BAND AU GRAIN DE SABLE.
Expo permanente
Me. 13h30/17h, sa. di. 11h/17h. 6€ - 4€
EXPLORE MARS
Jusqu’au 4 août, me. 13h30/17h, sa. di. 11h/17h.
6€ - 4€
LA FERME DU VINATIER
CH Le Vinatier - 95, bd Pinel - Bron - 04 37 91 51 11
ART BIS (peintures et sculptures)
Jusqu’au 28 fév, ma. au ve. 14h/17h
PIERRE TARRAQUOIS / BRICE ROBERT
Quand les ados font le mur
Jusqu’au 28 fév, ma. au ve. 14h/17h
ESPACE ARTS PLASTIQUES
MADELEINE-LAMBERT
12, rue Eugène-Peloux - Vénissieux - 04 72 21 44 44
ERNESTO SATORI
Jusqu’au 22 mars, me. au sa. 14h/18h
CENTRE D’ARTS PLASTIQUES
Espace Léon Blum - Rue de la Rochette - St-Fons
04 72 09 20 27
JEAN-BAPTISTE SAUVAGE
Jusqu’au 1er fév, ma. au sa. 14h/18h
DES NOUVELLES DE LA KULA (expo collective)
22 fév au 19 av, , ma. au sa. 14h/18h
L’ÉPICERIE MODERNE
Pl. René Lescot - Feyzin - 04 72 89 98 70
JEAN-LUC NAVETTE - Une ode à la nuit…
5 fév au 30 mars, ma. au ve. 10h/12h - 14h/17h
Vernissage le 9 fév à 19h
FORT DU BRUISSIN
Centre d’Art Contemporain - Ch. du Château
d’Eau - Francheville - 04 72 13 71 00
VERS UNE HYPOTHÈSE. Elena Bajo /
Jesùs Alberto Benitez /
Louise Hervé & Chloé Maillet /
Fleur Noguerra / Niok Oberthaler /
Guillaume Robert / Paola Yacoub
Jusqu’au 23 fév, ve. sa. di. 14h/18h. Gratuit
CENTRE CULTUREL D’ÉCULLY
21, rue E. Aynard - Écully - 04 78 33 64 33
LE STUDIO HARCOURT (photos)
Jusqu’au 28 fév, lu. au ve. 14h/18h
+ ma. au ve. 9h/12h30
MAISON DU FLEUVE RHÔNE
1, pl. de la Liberté - Givors - 04 78 73 70 37
IDÉES BARGES
Jusqu’en juil 14, me. sa. 13h30/17h30,
di. 14h/18h. 5€ à gratuit -16ans
LE TRENTE / ESPACE SAINT GERMAIN
Auditorium - 30, av. Gal Leclerc - Vienne
DOROTHEA LANGE - Migrant Farmers
11 fév au 8 mars, ma. ve. 13h/18h,
me. sa. 10h/18h
MUSÉE ARCHÉOLOGIQUE
Rte Départementale 502 - St-Romain-en-Gal
04 74 53 74 01
COLLECTIONS PERMANENTES
Ma. au di. 10h/18h. 4€ - 2,5€, je. free
+ LES ROMAINS DÉBARQUENT, Pax Augusta
23 fév 14h30/17h
+ Visite Découvertes, les objets « phare »
Di. et je. à 15h. (+2€)
LES IROQUOIENS DU SAINT-LAURENT,
PEUPLE DU MAÏS
Jusqu’15 av, ma. au di. 10h/18h.
6€ - 4,5€ à gratuit le je.
+ Les Grandes thématiques de l’exposition
Di. je. à 16h30 (+2€)
MUSÉE PAUL DINI
Pl. Faubert - Villefranche/Saône - 04 74 68 33 70
LES LYONNAIS RENCONTRENT L’ORIENT
Le Voyage au cœur de la Création
+ Itinéraires d’Artistes [AUBANEL / FAVIER /
GIORDA / TRUPHÉMUS etc.]
Jusqu’au 9 fév, me. 13h30/18h, je ve. 10h/12h30
- 13h30/18h, sa. di. 14h30/18h. 5€ - 3€
H2M / ESPACE D'ART CONTEMPORAIN
+ MONASTÈRE ROYAL DU BROU
Bourg-en-Bresse. H2M au 5, rue Teynière,
04 74 42 46 00. Me. au di. 13h/18h. gratuit
Église & musée 63, bd du Brou, 04 74 22 83 8.
Tlj 9h/12h-14h/17h. 7,5€ à gratuit
AU-DELÀ DE MES RÊVES (>50 artistes et 80
œuvres. Photos installations vidéos etc.)
SOPHIE CALLE / CHRISTIAN LHOPITAL /
JAN FABRE / TONY MORGAN etc.
Jusqu’au 23 fév, me. au di. 13h/18h. 6€ à gratuit
CITÉ DU DESIGN
3, rue Javelin Pagnon - St-Étienne - 04 77 49 74 70
HISTOIRES DES FORMES DE DEMAIN
Collection de Design du Musée d’Art Moderne
Jusqu’au 16 mars 2014, ma. au di. 11h/18h.
5.6€ - 2€
MUSÉE D’ART ET D’INDUSTRIE
2, pl. Louis Comte - St-Étienne - 04 77 49 73 00
PAQUEBOT DE FRANCE. DESIGN EMBARQUÉ
Jusqu’au 28 fév, tlj 10h/18h. 4,9€ à gratuit
YANNIS MARKANTONAKIS
Merveilleuses Flottaisons
Jusqu’au 28 fév, déc, tlj 10h/18h. 4,9€ à gratuit
MUSÉE D’ART MODERNE
Rue Fernand Léger (La Terrasse) - St-Priest-en-Jarez
04 77 79 52 52
JOËL SHAPIRO / PETER HALLEY /
JEUNES CRÉATEURS À NEW YORK
L’Art Américain des années 1960 à nos jours
Jusqu’au 18 mai, me. à lu. 10h/18h sf jrs fériés.
5€ - 4€
L'ARC, SCÈNE NATIONALE LE CREUSOT
Esplanade François Mitterrand - Le Creusot
03 85 55 13 11
PLANTU
Cartooning for Peace. Dessins pour la paix
Jusqu’au 7 mai, ma. au sa. 13h30/19h,
sa. 14h30/18h
LIEUX DE CONCERTS
6e Continent - 51, rue St-Michel - Lyon 7e - 04 37 28 98 71
Abattoirs - Route de L’Isle d’Abeau - Bourgoin - 04 74 19 14 20
Agend’Arts - 4, rue Belfort Lyon 4e
Allégro - Place de la République - Miribel - 04 78 55 80 20
Aqueduc : chemin de la Liasse - Dardilly - 04 78 35 98 03
À Thou Bout d'Chant - 2, rue de Thou - Lyon 1er - 04 72 98 28 22
Amphithéâtre Astrée - 6,av. Gaston Berger - Villeurbanne - 04 72 43 19 11
Bar L’Absynthe - 22, rue de Flesselles - Lyon 1er - 06 76 72 14 26
Bastringue - 14, rue Laurencin - Lyon 2e
Bistro Fait Sa Brocante - 3, rue Dumenge - Lyon 4e - 04 72 07 93 47
Boulangerie du Prado - 69, rue Sébastien Gryphe - Lyon 7e - 06 21 21 41 33
Boulevardier - 5, rue de la Fromagerie - Lyon 1er - 04 78 28 48 22
Bourse du Travail - Place Guichard - Lyon 3e
C.C.O. - 39, rue Courteline - Villeurbanne - 04 78 93 41 44
Café du Bout du Monde Brotteaux - 120, rue Bugeaud - Lyon 6e - 04 72 74 44 82
Carré 30 - 12, rue Pizay - Lyon 1er - 04 78 39 74 61
Casa Musicale - 1, ch. de Fontenay - Lyon St-Rambert - Vergoin - 06 14 02 81 40
Cave à Musique - 119, rue Boulay - Mâcon - 03 85 21 96 69
Caveau du Chien à 3 Pattes - Croix-Rouge - Belleville - 04 74 66 14 61
Centre Charlie Chaplin - Place de la Nation - Vaulx-en-Velin - 04 72 04 81 18
Centre Culturel d’Écully - 21, avenue Edouard Aynard - Écully - 04 78 33 64 33
Chapelle de la Trinité - 31, rue de la Bourse - Lyon 1er - 04 78 38 09 09
Citron - 20, rue St-Georges - Lyon 5e - 04 78 37 63 97
Clacson - 10, rue Orsel - Oullins - 04 72 39 74 93
Clef de Voûte - 1, place Chardonnet - Lyon 1er - 04 78 28 51 95
Cocotte Minute - 4, rue Belfort - Lyon 4e - 04 72 00 96 412
Crescent Jazz Club - 83, rue Rambuteau - Mâcon - 03.85.39.08.45
De l’Autre Côté du Pont - 25, cours Gambetta - Lyon 7e - 04 78 95 14 93
Double Mixte - 19, Avenue Gaston Berger - Villeurbanne - 04.72.44.60.17
DV1 - 6, rue Violi - Lyon 1er - 06 61 64 43 69
Épicerie Moderne - Ctre Léonard de Vinci - pl. R. Lescot - Feyzin - 04 72 89 98 70
Espace Albert Camus - 1, rue M. Bastié - Bron - 04 72 14 63 40
Espace Baudelaire - 83, av. de l’Europe - Rillieux-la-Pape - 04 37 85 01 50
Espace Double Mixte - La Doua - 43, bld du 11 Nov. 1918 - Villeurbanne - 04 72 44 60 19
Espace Jean Carmet - Bld du Pilat - Mornant - 04 78 44 03 12
Espace Culturel Saint-Genis-Laval - 8, rue des Écoles - St-Genis-Laval - 04 78 86 82 28
Espace des Arts - 5 bis, av. Nicéphore Niepce - Châlon-sur-Saône - 03 85 42 52 12
Espace St-Germain - 30, av. Général Leclerc - Vienne
Espace Tonkin - 1, av. Salvador Allende - Villeurbanne - 04 78 93 11 38
Fée Verte - 4, rue Pizay - Lyon 1er - 04 78 28 32 35
Fnac Bellecour - 85, rue de la République - Lyon 2e - 04 72 40 49 49
Fnac Part-Dieu - 17, rue du Docteur Bouchut - Lyon 3e - 04 78 71 87 00
Grrrnd Zero Gerland - 40, rue Pré-Gaudry - Lyon 7e
Hall C - Plaine Achille - St-étienne - 04 77 48 76 16
Halle Tony Garnier - 20, place Antonin Perrin - Lyon 7e - 04 72 76 85 85
Hot Club de Lyon - 26, rue Lanterne - Lyon 1er - 04 78 39 54 74
Îlo Café d’Expression - RN 89 - Rte de Lyon - St-Genis l’Argentière - 04 74 72 26 12
Jack Jack / Mjc Aragon - Place Gaillard Romanet - Bron - 04 78 26 87 25
Jazz Du Bout du Monde - 3, rue d’Austerlitz - Lyon 4e - 04 72 98 39 08
Johnny’s Kitchen - 48, rue St-Georges - Lyon 5e - 04 78 37 94 13
Karavan Théâtre - 60, rue de la République - Chassieu - 04 78 90 88 21
Kraspek Myzik - 20, montée St-Sébastien - Lyon 1er - 04 69 60 49 29
Kotopo - 14, rue René Leynaud - Lyon 1er - 04 72 07 75 49
L’Apéro Rock - 31, rue Ste-Geneviève - Lyon 6e - 06 63 95 09 94
L’Atrium - 35, avenue du 8 mai 1945 - Tassin-la-Demi-Lune - 04 78 34 70 07
L’Atribut - 122, rue Marietton - Lyon 9e - 04 72 29 10 66
LaPéniche - 52, quai St-Cosme - Chalon/Saône - 03 85 94 05 78
Le 13 Espace d’Interventions - 13, rue Leynaud - Lyon 1er - 06 03 94 23 14
Le Fil - 20/22, bld Thiers - St-Étienne - 04 77 34 46 40
Le Galet, Espace culturel - rue du Collège - Reyrieux - 04 74 08 92 81
Le Rize - 23/25, rue Valentin-Haüy - Villeurbanne - 04 37 57 17 17
Le Sou - 19, rue Romain Rolland - La Talaudière - 04 77 53 03 37
Le Sucre - 50, quai Rambaud -Lyon 2e
Les Trois Gaules - 10, rue Burdeau - Lyon 1er - 04 72 87 08 25
Les Valseuses - 1, rue Chappet - Lyon 1er
L'Impromptu Kafé - 7 place Colbert - Lyon 1er - 06 61 18 67 24 / 06 17 52 45 75
Luminier - 50, rue de la République - Chassieu - 04 78 90 88 21
Lyon’s Hall - 21, rue Joannes Carret - Lyon 9e - 06 61 43 45 35
Mâcon Scène Nationale - 1511, av. Ch. de Gaulle - Mâcon - 03 85 22 82 99
Marché Gare - 34, rue Casimir Périer - Lyon 2e - 04 78 38 49 69
Marquise - Quai Augagneur - Lyon 3e - 04 72 61 92 92
Médiathèque de Vaise - Place Valmy - Lyon 9e - 04 72 85 66 20
MJC Le Cadran - 15, chemin de Feyzin - Vénissieux - 04 72 50 00 69
Mjc de Chazelles - rue Joanny-Désage - Chazelles/Lyon - 04 77 54 29 21
Mjc Jean Cocteau - 23, rue du 8 Mai - St-Priest - 04 78 20 07 89
Mjc Ô Totem - 11, av. G. Leclerc - Rillieux - 04 78 88 94 88
Mjc de Ste Foy-lès-Lyon - 112, av. Foch - Ste-Foy-lès-Lyon 04 78 59 66 71
Mjc de Tassin - 16, av. de Lauterbourg - Tassin - 04 78 34 28 78
Moulin de Brainans - Poligny - 03 84 37 50 40
Nakamal - 36, av. Joannès Masset / Angle rue L. Loucheur - Lyon 9e - 04 78 47 20 16
Nec - St Priest-en-Jarez - 04 77 74 41 81
Ninkasi / Kafé / Kao - 267, rue Marcel Mérieux - Lyon 7e- 04 72 76 89 00
Nouveau Théâtre Beaulieu - 28, bld de la Palle - St-Étienne - 04 77 46 31 66
Opéra National de Lyon - 1, place de la Comédie - Lyon 1er 04 72 00 45 45
Palais des spectacles - Bld Jules Janin - St-Étienne - 04 77 49 47 81
Péniche Loupika - 47, Quai Rambaud - Lyon 2e - 04 72 41 75 24
Périscope - 13, rue Delandine - Lyon 2e - 04 78 42 63 59
Plateforme - Face au 4, quai Augagneur - Lyon 3e - 04 37 40 13 93
Polaris - Av. de Corbetta - Corbas - 04 72 51 45 55
Pub des Capucins - 5, place des Capucins Lyon 1er - 06 76 37 63 67
Radiant-Bellevue - 1 rue Jean Moulin - Caluire - 04 72 10 22 19
Salle 3000 - Cité Internationale - 50, quai Charles de Gaulle - Lyon 6e
Salle Aristide Briand - Jardin des Plantes - Av. Antoine Pinay - St-Chamond - 04 77 31 04 41
Salle Genton - 21, rue Genton - Lyon 8e - 04 37 90 55 93
Salle des Iris - montée des Roches - Francheville - 04 78 59 66 66
Salle Jean Carmet - Mornant - 04 78 44 05 17
Salle Jeanne d'Arc - 16, rue Jean-Claude Tissot - St-Étienne - 04 77 25 01 13
Salle Léo Ferré/MJC Vieux Lyon - 5, place St-Jean - Lyon 5e - 04 78 42 48 71
Salle Molière - 18-20, quai de Bondy - Lyon 5e
Salle Rameau - 29, rue de la Martinière - Lyon 1er
Salle des Rancy - 249, rue Vendôme - Lyon 3e - 04 78 60 64 01
Salle Varèse - CNSMD - 3, quai Chauveau - Lyon 9e - 04 72 19 26 59
Sémaphore - Chemin de Boutan - Irigny - 04 72 30 47 90
Sirius - face 21, quai Augagneur - Lyon 3e - 04 78 71 78 71
Sonic - Péniche Mascaret, face au 4, quai des Étroits - Lyon 5e - 04 78 38 27 40
Soucoupe - 4, rue Mourguet - Lyon 5e - 04 78 38 31 25
Subsitances - 8, quai St-Vincent - Lyon 1er - 04 78 39 10 02
Tannerie - 123, place de la Vinaigrerie - Bourg-en-Bresse 04 74 21 04 55
Théâtre Antique Vienne - rue Pipet - Vienne - 0892 702 007
Théâtre Astrée - Campus de la Doua - 6, av. G. Berger
Villeurbanne - 04 72 44 79 45 / 04 72 43 19 11
Théâtre des Pénitents - Place des Pénitents - Montbrison - 04 77 96 39 16
Théâtre de Vénissieux - 8, bld. Laurent-Gérin - Vénissieux - 04 72 90 86 68
Théâtre de Villefranche - Pl. de la Sous-Préfecture Villefranche - 04 74 68 02 89
Théâtre du Vellein - Av. du Driève - Villefontaine - 04 74 80 71 85
Théâtre Jean Marais - 53, rue Carnot - Saint-Fons 04 78 67 68 29
Théâtre Jean-Vilar - 12, rue de la République - Bourgoin-Jallieu - 04 74 28 05 73
Théâtre Théo Argence - Pl. Ferdinand Buisson - Saint-Priest - 04 78 20 02 50
Toboggan - 14, avenue Jean Macé - Décines - 04 72 93 30 00
Toï Toï le Zinc - 17/19, rue Marcel Dutartre - Villeurbanne - 04 37 48 90 15/06 87 15 52 82
Train Théâtre - 1, rue Aragon - Portes-lès-Valence - 04 75 57 14 55
Transbordeur - 3, bld Stalingrad - Villeurbanne - 04 72 43 09 99
Trokson - 110, montée de la Grande Côte - Lyon 1er - 04 78 28 52 43
Zenith - St-Étienne - Rue Scheurer Kestner - St-Étienne
/ Février 2014 / N°200 / 27

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