Particularités du tableau de financement (tableau des flux de
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Particularités du tableau de financement (tableau des flux de
RECHNUNGSWESEN Kurt V. Auer, Besonderheiten der Cash Flow-Rechnung im Konzern erung und der Finanzplanung) eingesetzt werden soll. Probleme bereitet die derivative Ermittlung aber auch bei der Berechnung des Wechselkurseinflusses auf den Fonds «cash and cash equivalents». Für die Behandlung des Beteiligungserwerbs im Konzern-Cash Flow Statement hat sich international die Nettomethode durchgesetzt. Anmerkungen 1 Vgl zu diesen Bereichen z.B. Auer, K. V.: Cash Flow Statements im Einzel- und Konzernabschluss. Ermittlung, Analyse, Einsatzmöglichkeiten, Wien 1998; Pfuhl, J. M.: Konzernkapitalflussrechnung, Schriften zur Bilanz- und Steuerlehre, hrsg. v. Küting, K./ Wöhe, G., Bd. 20, Stuttgart 1994; Wysocki, K. v. (Hrsg.): Kapitalflussrechnung, Stuttgart 1998. 2 Siehe zu diesem Beispiel Auer, K. V., a.a.O. 1998 (Cash Flow Statements), S. 177ff. 3 Siehe zu diesen Vor- und Nachteilen Auer, K. V., a.a.O. 1998 (Cash Flow Statements), S. 52 ff. 4 Quelle der Abbildung: Auer, K. V.: Externe Rechnungslegung. Eine Fallstudien-orientierte Einführung in den Einzel- und Konzernabschluss sowie die Analyse auf Basis von US-GAAP, IAS und HGB, Heidelberg et al. 2000, S. 353. 9 Wobei z.B. nach US-GAAP die Equity-Methode den Regelfall für den Ausweis von Gemeinschaftsunternehmen im Konzernabschluss darstellt. Die Quotenkonsolidierung kommt in den US-GAAP nur in Ausnahmefällen zur Anwendung. Beispielsweise wenn die Quotenkonsolidierung in der betreffenden Branche die übliche Ausweisform darstellt. 5 Quelle: SFAS No. 95.146. 10 Der Goodwill berechnet sich durch Aufrechnung des Beteiligungsbuchwerts (160) gegen das anteilige Eigenkapital mit 35 GE, d.h. 0.5(100+150). 6 Erl.: SFAS (Statement of Financial Accounting Standard), IAS (International Accounting Standard). 11 Siehe dazu Auer, K. V., a.a.O. 2000 (Externe Rechnungslegung), S. 458 ff. 7 Der Goodwill ergibt sich durch Aufrechnung des Beteiligungsbuchwerts mit dem anteiligen Eigenkapital mit 70 GE, d.h. 320 - 1.0 (100 + 150). 12 Im Falle der two-line-consolidation (Kapitalanteilsmethode) werden in der (Konzern-)Bilanz zwei Posten ausgewiesen, dh «Beteiligung an assoziierten Unternehmen» sowie «Firmenwert (Goodwill)». 8 Erl.: Berechnung des Goodwills: 320 0.7(100+150) = 145. Berechnung des Minderheitenanteils: 0.3(100+150) = 75. 13 Quelle: Auer, K. V., a.a.O. 2000 (Externe Rechnungslegung), S. 460. RESUME Particularités du tableau de financement (tableau des flux de trésorerie) dans le groupe Si, dans les comptes annuels du groupe, un tableau de financement complète le bilan et le compte de profits et pertes en tant que troisième élément des comptes annuels consolidés, le périmètre et les méthodes de consolidation des comptes annuels externes sont aussi valables pour l’établissement du tableau de financement consolidé. La méthode dérivative utilisée pour l’établissement de ce tableau de financement à partir du bilan consolidé et du compte de profits et pertes consolidé est considérée comme étant la méthode de calcul dominante dans la pratique. Par rapport à la méthode originaire, la méthode dérivative présente surtout l’avantage, outre son application aisée, d’éviter des écritures de consolidation spécifiques au tableau de financement. Les limites de la méthode dérivative se manifestent toutefois dans les cas où le tableau de financement doit être utilisé pour des objectifs de gestion interne (p.ex. dans le cadre de la gestion axée sur les valeurs et de la planification financière). La méthode dérivative occasionne cependant aussi des problèmes dans le calcul des incidences des taux de change sur le fonds «disponibi890 lités (moyens liquides apparentés)». Cette influence doit en principe être indiquée pour tous les domaines ayant une répercussion sur le tableau de financement. En règle générale cependant, les dates des différentes transactions ne sont pas connues lors de l’application de la méthode dérivée de calcul. Seules sont connues les dates de leur impact sur le bilan et sur le compte de profits et pertes. Ainsi, les cours de conversion pris en considération dans le tableau de financement sont alors les mêmes que ceux appliqués dans le cadre de la conversion des postes du bilan et du compte de profits et pertes. Dans ce cas, seule une approche de la situation réelle exigée peut être obtenue. La conversion des transactions d’un groupe en monnaies étrangères avec un cours moyen (pondéré) n’est en général possible que pour le secteur opérationnel. Dans le cas d’acquisitions de participations, la fiction d’achat à la base de la consolidation du capital est abandonnée dans le tableau de financement pour la présentation des participations consolidées selon la méthode de l’intégration globale. En conséquence, les augmentations de l’actif immobilisé, de l’actif circulant et du capital étranger en tant que transactions fictives d’investissement et de financement n’apparaissent pas dans le tableau de financement consolidé, mais au contraire uniquement le flux de trésorerie se rapportant au versement du prix d’achat à des tiers. Sur le plan international, la méthode dite nette s’est imposée pour cette présentation, les liquidités reprises de la filiale étant déduites du prix d’achat. Dans le sens de la théorie de l’unité, les liquidités sont également entièrement déduites dans les cas où une société mère / le groupe acquiert moins de 100% d’une telle entreprise. En tant que particularité dans la consolidation selon la méthode proportionnelle, il faut savoir que, en raison de la reprise d’une quote-part des valeurs patrimoniales de l’entreprise commune dans le bilan consolidé, seule une quote-part des disponibilités peut être portée en déduction du prix d’achat. Compte tenu du caractère particulier de la méthode de consolidation par mise en équivalence, une déduction des liquidités n’entre dans ce cas pas du tout en considération. KVA/RB L’Expert-comptable suisse 9/00