Connaissez Ouro Preto, partie de L`histoire de Minas Gerais

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Connaissez Ouro Preto, partie de L`histoire de Minas Gerais
Connaissez Ouro Preto,
partie de L’histoire de
Minas Gerais
Joyau incomparable du Baroque, Ouro Preto raconte une partie importante de
l’histoire Brésilienne. Berceau d’événements monumentaux, où est née l’exploitation minière au Brésil, a été retirée des entrailles de ses montagnes une incalculable quantité d’or et de pierres précieuses, envoyés au Portugal et d’autres pays.
Noyau de la Religiosité et des traditions de Minas, elle conserve plus de 60 temples catholiques entre églises et chapelles, dispersées à travers ses 12 districts.
Centre du bourg qui a atteint, à son apogée au XVIIIe siècle, plus de 60.000
habitants à la recherche d’or et de richesses, elle a été le théâtre de la grande
révolte qui préconisait l’indépendance du Brésil du joug du Portugal – L’inconfidência Mineira, en conséquence de quoi ses fils les plus illustres, braves intrépides et déterminés, ont été condamnés à mort et à l’exil.
Elle s’est transformée en la Capitale de l’État de par son importance politique et
historique; elle a perdu cette position mais, vu son immense richesse culturelle, a
été élevée au niveau de première ville Brésilienne, Patrimoine Culturel de L’humanité par l’UNESCO en 1980, après avoir été classée ville Patrimoine Nationale
par l’IPHAN en 1938.
Ouro Preto garde les racines de la culture originale brésilienne, elle a une collection extraordinaire d’œuvres d’art aux caractéristiques propres, dans l’ensemble
préservé du 18e siècle, avec une histoire créée par des héros, des martyrs, poètes et lettrés, toujours hautaine, libertaire et influente dans les grands épisodes de
la construction de la nationalité brésilienne.
Elle maintient, conservés, ses biens architectoniques, sa culture religieuse et des entrelacements historiques, héritage qui enorgueillit sa population zélée, qui a gardé
cet héritage pour les générations qui succèdent à la colonisation brésilienne.
Les marques de l’histoire brésilienne sont inscrites dans les entrailles de ses maisons, dans les rues, les pentes, temples et ruelles, comme témoignage d’une ville
unique, vivante, spéciale, Où Chaque Jour Est Historique.
Soyez les Bienvenus à Ouro Preto
Jarbas E. Avellar
Secrétaire Municipal du Tourisme, de l’Industrie et du Commerce
Ouro Preto - 2014
Guide Ouro Preto
Copyright©2014 - L&E Graphar - Ouro Preto.
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Données historiques: Alex Bohrer
Données Commerciales: Marcelo Hipólito
Consulting: Raphael Simões
Recherche et texte: Luara Bertoni Franchi, Maria Angélica Amorim et Pollyanna Assis
Photographies: Vitória Fotos (Fourni par la ville de Ouro Preto); Dimas Guedes
(première couverture); Paulo Carvalho, Pollyanna Assis et Raphael Simões.
Cartes: Fournies par la Ville de Ouro Preto
Coordination éditoriale: Paulo Lemos
Coordination de production: Pollyanna Assis
Conception graphique et création: Livraria & Editora Ouro Preto - LEOP
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Examen: Luís Ricardo Rodrigues Pires
Appui: Secrétariat Municipal du Tourisme, de l’Industrie et du Commerce
Version pour les Français: Cia. das Traduções
CATALOGAGE AVANT PUBLICATION (CIP)
Lemos, Paulo (org.)
Guia Ouro Preto / Org. Paulo Lemos – Ouro Preto: Editora Graphar, 2014
ISBN 978 85 660 1010 7
1. Guia de Ouro Preto 2. Cidades 3. Minas Gerais 4. Título
Indices de Catalogue Systématique
CDD 918.1
1. Guia de Ouro Preto
2. Cidades
3. Minas Gerais
Il s'agit de la première édition de ce guide des services, les éditeurs ont eu du mal à le rendre le plus utile et
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Imprimé en Brasil
2014
Brève Histoire de Ouro Preto
Ouro Preto naît de l’aventure du défrichement et occupation de l’intérieur du territoire
brésilien dans la période coloniale, dans les dernières années du XVIIe siècle, par des
explorateurs paulistas à la recherche d’or et de pierres précieuses. Le Rio das Velhas,
qui rassemble l’or libéré par l’alluvion de la Serra do Espinhaço, guide le drapeau de
Antônio Dias de Oliveira à proximité de ses sources, dans la Cachoeira das Andorinhas, et dès lors, l’or rencontré, au début dans les batées et mines de diamants, attire
et propage l’activité d’exploitation tout le long des côtes de la Vallée du Tripuí. Le bandeirante paulista Antônio Dias, qui avait des nouvelles de la région et de l’Itacolomi,
arriva le 24 juin 1698. Rapidement surgissent les premières implantations humaines,
qui auront une croissance telle que quelques années plus tard, en 1711, sous le nom
déjà de Vila Rica, la Couronne Portugaise, dans une tentative de contrôle plus rigoureux du territoire, promeut son élévation à villa, par acte du 8 juillet de la même année.
Ouro Preto offre au visiteur intéressé un circuit naturel, qui est le chemin historique
tracé par la propre formation de sa maille urbaine. En ligne continue, ce chemin
naturel commence dans le quartier Padre Faria, traverse toute la ville, passant par ses
principales attractions touristiques, et termine dans le quartier Cabeças, à la hauteur
de la sortie pour Belo Horizonte. Des petites variations, d’un côté et de l’autre du
parcours, permettent de connaître tout l’ensemble urbain, les principaux monuments
et constructions et, surtout, voir et sentir concrètement l’évolution de la ville depuis ses
débuts en 1698. Son emplacement dans des terrains inadéquats et de géologie
instable, aux marges et aux différents niveaux du “canyon” du Tripuí, où les chemins
suivent les courbes de niveau des élévations, si d’une part il engendre le caractère
intimiste de la ville coloniale - rues étroites et tortueuses et conurbation de constructions
– d’autre part, il dénonce la difficulté première dans la coexistence entre préservation
architectonique et urbanistique et vie urbaine active. Est peuplé, en principe, un axe
longitudinal qui relie les villes épiscopales primitives, ayant comme limites, d’un côté,
Padre Faria e, de l’autre, Rosário, Pilar et Cabeças, celles-ci s’unissant dans la Colline de Santa Quitéria, actuelle Place Tiradentes.
L’or des premières collectes, mélangé au Palladium, est appelé “ouro preto”. Il
devient monnaie, renforce l’économie et l’épargne populaire et favorise l’expansion urbaine rapide, avec des constructions résidentielles. L’ostentation économique stimule l’essor culturel dans l’architecture civile et religieuse, dans les ornements
des églises, chaires et autels, dans la sculpture, la musique et la littérature. On
estime que, vers 1720, la région compte une population de 20 mille habitants.
Cependant, la coexistence dans la villa en cours de développement culturel sera
toujours difficile, avec l’administration coloniale portugaise, toujours attentive quant
à sa cinquième partie de l’or et disposée à réprimer toute tentative d’autonomie.
Les sentiments, aspirations, valeurs et identités centrés sur Vila Rica et sa complexité se mélangent dans l’esprit du mineur: aventurier, audacieux et libertaire,
ayant une pointe d’introversion, propre au repli de celui qui cherche or et richesses.
Dans l’exploitation minière, la main d’œuvre esclave, qui rend propice l’amalgame racial, est intense. Dans ce contexte, naît et fleurit le sentiment nativiste,
précurseur du désir d’indépendance, un sentiment de distinction et différence, de
non identification avec les européens, qui se transforme en conscience et réaction
contre l’injuste réalité coloniale.
L’inconfidência Mineira
L’insurrection, connue comme ‘Inconfidência Mineira’, en 1789, a été le rêve
de poètes, de pères et militaires, qui parlaient de république, de progrès, fabrique
de fer et université. À Vila Rica, principal noyau du mouvement, les idées des encyclopédistes et penseurs français, qui ont conduit à la Révolution Française, ainsi
que l’esprit démocratique et libertaire de l’Indépendance Américaine de 1776 ont
inspiré les inconfidentes.
L’Inconfidência Mineira a été précurseur du mouvement de l’Indépendance Brésilienne, qui a lieu trente ans après la pendaison de Joaquim José da Silva Xavier - le
Tiradentes, à Rio de Janeiro, le 21 avril 1792. Tiradentes, leader principal, sous-lieutenant du Régiment de Cavalerie de Vila Rica, propagandiste principal de la révolte,
coupable déclaré, passionné de l’idée d’émancipation, a été le seul condamné à
la peine de mort, tandis que les autres inculpés ont été déportés en Afrique et les
coupables ecclésiastiques envoyés à Lisbonne. Tiradentes ne blâma personne: calme, résigné, quand pour tous, moins pour lui, arriva le pardon de la peine de mort.
Dans les écrits de Cláudio Manoel da Costa et, en particulier, de Tomás Antônio
Gonzaga, exposants de l’’Arcádia Mineira et inconfidentes’, on note l’esprit rebelle,
d’évidente inspiration illuministe. Les “Cartas Chilenas”, de Gonzaga, alors auditeur
de Vila Rica, poèmes satiriques apocryphes, fournissent des informations essentielles
pour la compréhension de la société des dernières années du XVIIIe siècle.
Tomás Antônio Gonzaga a écrit le livre de poèmes Marília de Dirceu, en style
arcadien. Le nom fait référence à la passion de Gonzaga, de l’âge de 40 ans, pour
Maria Joaquina Dorotéia de Seixas, très jeune et belle. La désapprobation de cette
relation de la part de la famille de la jeune fille l’éloigne d’elle et inspire l’œuvre,
l’appelant Marília, et à soi-même, Dirceu. La famille finit par céder et le mariage fut
marqué. Avant le mariage, Gonzaga fut arrêté avec l’accusation de participer à l’Inconfidência; il fut emmené à Rio de Janeiro, emprisonné et quelques années après,
exilé à Mozambique. Ils ne se sont plus revus. Fidèle au souvenir du fiancé, Marília
de Dirceu a vécu à Ouro Preto jusqu’à la fin de sa vie. Elle fut enterrée à la Matrice
de Nossa Senhora da Conceição, église qu’elle fréquentait.
Le Changement de La Capitale
Avec l’inauguration de la nouvelle capitale, Belo Horizonte, en décembre 1897, Ouro Preto perd position et population. On calcule que
jusqu’à 12 mille personnes, fonctionnaires et parents, se sont transférés
à la nouvelle capitale et la vieille ville commence une nouvelle période
d’abandon. La ville a stagné pendant des décennies, mais c’est cette
stagnation même qui sera le facteur de sa préservation, conservant ses
anciennes grandes maisons, qui demeurent inchangées justement parce
que la population n’avait pas de ressources pour de nouvelles interventions ou défigurations.
Patrimoine Culturel
Ouro Preto fut déclarée Monument National en 1933, mas ce sont les modernistes Brésiliens les responsables qui relancent Ouro Preto dans le scénario
culturel brésilien, et redécouvrent que dans l’ancienne Vila Rica se trouvaient
les racines d’une culture originale brésilienne, un véritable musée, avec une
collection précieuse d’œuvres d’art, aux caractéristiques et esthétiques propres,
ainsi qu’un ensemble urbain préservé du XVIIIe siècle, une histoire peuplée de
héros et martyrs, poètes et lettrés, hautaine et libertaire, participante et influente
dans tous les grands épisodes de construction de la nationalité brésilienne. En
1938, elle fut classée par le IPHAN et en 1980, l’UNESCO inscrit Ouro Preto
dans la liste des villes ayant le titre de “Patrimoine Culturel de l’Humanité”.
Trois siècles après, avec son noyau historique du VIIIe siècle encore assez
préservé, bien qu’affligée par les problèmes de l’occupation dans des terrains
escarpés et instables, Ouro Preto continue à enchanter les visiteurs et “surprend
par l’unité de l’ensemble, image d’une civilisation modelée dans les aspérités
de la serra et de la pierre, née du travail et de la bonne fortune, dans des
circonstances historiques déterminées, fille des batailles du peuple contre les
tyrannies, du sentiment national contre le despotisme”. (SALES, Fritz Teixeira.
Vila Rica do Pilar; 1965).
Le Baroque
Le baroque a été un style artistique qui a surgi en Italie, au XVIIe siècle,
et s’est caractérisé par les œuvres recherchées et luxueuses. Au Brésil, il était
associé notamment à la religion catholique, mais a incorporé des éléments
des cultures indigène et africaine, en plus d’adopter de la matière première
brésilienne, comme la pierre de savon. En plus des arts plastiques, le style s’est
également manifesté dans la littérature, la musique et le théâtre. Minas Gerais
était à l’époque une région enrichie par l’or. Ici s’est concentré une grande
partie de la production artistique du baroque. La version de ce style artistique
qui s’est développée dans la région devint connue comme baroque de Minas.
Le Rococo
Le rococo fut un mouvement artistique qui a surgi en France, au début du
XVIIIe siècle. Le terme vient du français rocaille, qui se réfère aux petits grains de
verre coloré, aux coquilles. Dans l’architecture, il a été utilisé dans l’ornementation d’intérieurs, ayant recours aux arabesques, enlacements, fleurs et volutes.
Sa marque est l’adoucissement des formes, leur conférant légèreté et élégance, cherchant à atteindre la délectation visuelle. Il révéla un goût prononcé
pour l’exotique, tel que l’usage d’éléments décoratifs orientaux.
Au Brésil, le rococo est considéré comme étant une des phases du baroque,
pour s’être développé parallèlement à la survie de ce style. À la fin du XVIIIe siècle,
le rococo a dominé effectivement la décoration interne des églises de Minas, où
la lourde opulence baroque fit place au luxueux raffinement des compositions ornementales sur fond clair, avec les rocailles asymétriques comme thème principal.
Antônio Francisco Lisboa -Aleijadinho
Il est né en 1738, à Ouro Preto, il a rencontré et fréquenté un groupe
formidable de constructeurs, maîtres maçons, artisans, sculpteurs sur bois et ornemanistes, peintres, musiciens, natifs ou portugais. Aleijadinho est considéré
comme l’artiste brésilien le plus important de la période coloniale. Il a reçu du
père les premières notions de dessin, architecture et sculpture. Avant d’atteindre l’âge de 50 ans, il est affligé d’une maladie dégénérative, qui déforme et
atrophie son corps, déclenchant la perte progressive du mouvement des doigts
des mains et des pieds. Il commence à travailler avec les instruments liés à ses
mains par ses esclaves, qui le portent jusqu’à son lieu de travail. Dans l’ensemble de son œuvre, se distinguent les projets des églises de São Francisco
de Assis, à Ouro Preto; les 66 images de cèdre des Passos da Paixão et les
12 prophètes de pierre de savon, pour le Sanctuaire du Senhor Bom Jesus de
Matosinhos, à Congonhas do Campo, Minas Gerais.
Manuel da Costa Ataíde
Manuel da Costa Ataíde est né en 1762, dans la ville de Mariana.
Connu comme maître Ataíde, il a été un des peintres et doreurs brésiliens les
plus importants de son époque. Ce créateur expressif de la période baroque
de Minas Gerais a légué à la postérité divers panneaux et tableaux élaborés
dans 18 sanctuaires de Minas; son héritage plus célèbre est la peinture de
l’élévation de Marie au ciel dans la voûte de l’Église de São Francisco de
Assis, à Ouro Preto. Ataíde a doré et donné une couleur de chair aux œuvres
de Aleijadinho, lesquelles ont occupé un espace important dans l’Église du
Bom Jesus de Matosinhos, à Congonhas do Campo.
Un des traits dominants dans sa production est l’usage de colorations
fortes, particulièrement le bleu, couleur préférée. Dans ses travaux, les créatures angéliques, madones et êtres sanctifiés apparaissent revêtus de qualités
typiques des civilisations africaines.
Textes extraits de WERKEMA, Mauro. Histoire, Art et Rêve dans la Formation de
Minas (2009) et Ouro Preto: 300 ans d’Histoire, Art et Civisme dans: Ouro Preto
300 ans d’Image (2011).
Données Géographiques
Services
Index
11
Où Rester
Où Manger
Où Acheter
Succursales de Banques et Bureaux de Poste
Loueurs de Voitures
Agences de Tourisme Réceptif
Stations Service
Services Mécaniques
Taxis
Entreprises de Transport
Urgence/Imprévu
Hôspital/Premiers Soins
Pharmacies/Drogueries
13
15
19
20
21
21
22
22
22
23
23
23
23
Attractions Naturelles
24
Événements
25
Églises et Chapelles
Chapelle de Bom Jesus das Flores do Taquaral
Chapelle de São João
Chapelle de São José
Chapelle de São Sebastião
Chapelle do Padre Faria - Notre-Dame du Rosaire de Mulâtres Padre Faria
Chapelle de Notre Seigneur de Bonfim
Chapelle Notre-Dame de la Piété
Chapelle Notre-Dame des Douleurs Mont Calvaire
Chapelle Santana
Église do Bom Jesus de Matosinhos - São Miguel et Âmes
Église de Notre-Dame das Mercês et Pitié - Mercy d'en Haut
Église Notre-Dame de la Miséricorde et des Grâces - Mercy Bas
Église Notre-Dame du Mont Carmel
Église Notre-Dame du Rosaire
Église de Santa Iphigénie - Notre-Dame du Rosaire de la Croix - Haute de Padre Faria
Église de Saint François de Paule
Église de Saint François d'Assise
Basilique de Notre-Deme du Pilar
Sanctuaire de Notre-Dame de la Conception de Antônio Dias
27
28
29
30
31
32
33
34
35
36
37
38
39
40
41
42
43
44
45
Musées
Musée Aleijadinho
Musée Maison des Contes
Musée Maison de Inconfidentes
Musée Maison Guignard
Musée de la Pharmacie
Musée de l'Inconfidência
Maison Pilar - il appartient au Musée de l’Inconfidência
Musée des Réductions
Musée d'Arte Sacré de Ouro Preto (Basilique du Pilar)
Musée de Science et Technique de l’École de Minas de l’UFOP - Ancien Palais des Gouverneurs
Musée du Thé
Musée de l'Oratoire
Musée Ouvert - Cidade Viva
47
48
49
50
51
52
53
54
55
56
57
58
59
Attractions, Centres Culturels, Foires, Théâtres et Places
Maison da Baronesa
Maison de Tiradentes - Association Commerciale
Maison de Tomás Antônio Gonzaga
Centre Culturel Communautaire Casa do Padre Faria
Centre Culturel et Touristique de la FIEMG
Centre des Arts et Convention de UFOP - Parc Métallurgique Augusto Barbosa
Station Ferroviaire – Promenade en Train
Foire d’Pierre de Savon
Place Tiradentes
Guilde Littéraire Tristão de Ataíde - GLTA - Salle Ivan Marquetti
Ciné-Théâtre Vila Rica
Théâtre Municipal-la Maison de l'opéra
Fondation d’Art de Ouro Preto - FAOP
Institut Fédéral de Minas Gerais - IFMG
Université Fédérale de Ouro Preto - UFOP
Grand Hôtel - Oscar Niemeyer
Étapes de la Passion
61
62
63
64
65
66
67
68
69
70
71
72
73
74
75
76
77
Places, Fontaines et Ponts
Place de la Alegria - Place Silviano Brandão
Place du Coimbra
Place et Fontaine Marília de Dirceu
Fontaine de la Place Frei Vicente Botelho
Fontaine de la Rua da Glória
Fontaine Alto da Cruz
Fontaine de les Contos
Fontaine Alto das Cabeças
Fontaine de la Place Tiradentes
79
79
80
80
81
81
82
82
83
Fontaine du Pilar
Pont de les Contos
Pont du Antônio Dias
83
84
84
Parcs Écologiques
Le Parc d'état d'Itacolomi
Le Parc Municipal da Cachoeira das Andorinhas
Le Parc Vale dos Contos
86
87
88
Mines d'Or
Mine
Mine
Mine
Mine
Mine
Chico Rei
Jejê
Santa Rita
Velha
Passagem (Mariana)
90
91
92
93
94
Belvédères
Belvédèr Morro São Sebastião
Belvédèr UFOP
Morro da Forca
96
96
96
Sites Archéologiques et Ruines
Morro da Queimada
Ruines de l’Ancien Palais
Ruines du Moulin en Pierre
Ruines du Palais des Gouverneurs
98
99
100
101
Districts
Amarantina
Antônio Pereira
Cachoeira do Campo
Glaura (Casa Branca )
Chapada (sub-district)
Engenheiro Correia
Lavras Novas
Miguel Burnier
Rodrigo Silva
Santa Rita de Ouro Preto
Santo Antônio do Leite
Santo Antônio do Salto
São Bartolomeu
103
105
107
111
113
114
115
120
121
123
125
128
130
10
Guide Ouro Preto
Données Géographiques
1.245,114 km²
Altitude moyenne
1.116 metros
Point le plus haut
Pico do Itacolomi - 1772 metros
Emplacement
La ville se situe dans la Serra do Espinhaço, dans
la Zone Métallurgique de Minas Gerais (Quadrilatère Ferreux). Elle se trouve dans la Région Centrale de la ‘Macrorregião Metalúrgica e Campo
das Vertentes’ de Minas Gerais.
Coordonnées Géographiques
Latitude sud: 20° 23’ 28” ; Longitude
ouest: 43° 30’ 20”
Limites do município
Sud: Catas Altas da Noruega,
Itaverava, Ouro Branco e Congonhas
Ouest: Belo Vale e Moeda
Est: Mariana
Nord: Itabirito e Santa Bárbara
Distance jusqu’à la capitale de l’état
Belo Horizonte
96 km
Température
Entre 6 et 28°C. Aux mois de juin et juillet, la
température peut atteindre 2°C.
Climat tropical d’altitude. Pluviosité moyenne
de 2.018 mm/an, avec une distribution irrégulière. Des Pluies concentrées en été.
Fleuves
Sources du Rio das Velhas, Piracicaba, Gualaxo do Norte, Gualaxo do Sul, Mainart et
Ribeirão Funil
Terrain
Plano: Plat: 5%; Ondulé: 40%;
Montagneux: 55%.
Population de la Commune
(Recensement IBGE/2010)
Population du siège et des districts
(Recensement IBGE/2010)
Minerais existants dans la commune
Guide Ouro Preto
70.227 habitantes.
Ouro Preto (siège): 40583; Amarantina:
3545; Antônio Pereira: 4441; Cachoeira do
Campo: 8857; Engenheiro Correia: 380;
Glaura: 1373; Lavras Novas: 915; Miguel
Burnier: 779; Rodrigo Silva: 1070; Santa Rita
de Ouro Preto: 4236; Santo Antônio do Leite:
1683; Santo Antônio do Salto: 1051; São
Bartolomeu: 729.
Or, hématite, dolomite, tourmaline, pirite, grenat, muscovite, topaze et topaze impérial. La
topaze impérial est un minerai qui n’est rencontré qu’à Ouro Preto, particulièrement dans le
district de Rodrigo Silva.
11
Données Géographiques
Superficie de l’unité territoriale

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