Keramik ohne Grenzen

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Keramik ohne Grenzen
Keramik ohne Grenzen
Im Jahre 1748 gründete François Boch eine bescheidene Töpferwerkstatt in Audun-leTiche, um alltägliches Geschirr herzustellen.
Im Jahre 1767 errichteten seine Söhne eine zweite Niederlassung in Siebenbrunnen
(Stadt Luxemburg), das zu dieser Zeit unter österreichischer Herrschaft war. Die
Kaiserin Maria-Theresia gewährte das Privileg, diese Werkstatt Königlich-Kaiserliche
Manufaktur zu nennen.
Dominique und Jean-François Boch errichteten ein Waisenhaus in Eich, einer
Gemeinde der Umgebung Luxemburgs, wo sich die Fabrik von Siebenbrunnen
befand.
Jean-François Boch gründete eine dritte Fabrik in Mettlach im Jahre 1809.
Das Saarland war zu dieser Zeit französisches Gebiet.
Um eine Konkurrenz zu vermeiden, verbündete sich Boch im Jahre 1836 mit dem
Metzer Nicolas Villeroy, Besitzer der Keramikwerkstatt Wallerfangen (Vaudrevange).
Unter dem Namen Villeroy & Boch sind die Produkte unserer Region in der
ganzen Welt bekannt.
“Pot-pourri” heißen diese
Gefäße mit gelöchertem
Deckel. So konnte sich
der Duft der darin
aufbewahrten Kräuter
und Blumen im ganzen
Haus ausbreiten
(Ende des 18.
Jahrhunderts).
Céramique sans frontières
En 1748, François Boch créa une modeste poterie à Audun-le-Tiche pour faire de la vaisselle
d'usage courant.
En 1767, les fils de François Boch ont construit un second établissement à Septfontaines
(Luxembourg-Ville), sous occupation autrichienne à l'époque. L'impératrice Marie-Thérèse
accorda le privilège de la nommer Manufacture Royale et Impériale.
Dominique et Jean-François Boch érigaient un orphelinat à Eich, cette commune des environs
de Luxembourg où se trouvait la Faïencerie de Septfontaines.
Jean-François Boch fonda une troisième usine à Mettlach en 1809, la Sarre étant un
département français à l'époque.
Pour éviter la concurrence, Boch s'allia avec le Messin Nicolas Villeroy, propriétaire de la
faïencerie de Vaudrevange (Wallerfangen) en 1836.
Sous le nom deVilleroy & Boch, les produits de notre région sont connus
à travers le monde entier.
Dans la partie allemande vous trouverez quelques exemples illustrés de ces produits.
Parmi eux le “Pot-pourri”,
un récipient au couvercle
percé de trous. Le parfum
des herbes et des fleurs
que ces pots contenaient
se répandait ainsi dans
toute la maison. (Fin du
18e siècle).