livret pédagogique du dvd

Transcrição

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NIVEAU
B2
DU
CECR
Édito
Méthode de français
LIVRET PÉDAGOGIQUE
DU DVD
Évelyne BÉRARD
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Conception couverture : AVIS DE PASSAGE
Conception maquette intérieure et mise en page : CRÉAPASS PARIS
Production : A ProPos, www.apropos-productions.com – Producteurs exécutifs :
Annie Serres, Gérard Quéray – Conception/ Réalisation : Gérard Quéray –
Montage : Shay J. Katz – Scénariste/dialoguiste : André Lamelet
Crédits :
1 : Rougui Dia : un magazine de Mireille Dumas © MD Productions – 2 : Art Mengo : un film de Fabrice
Fenoll © Kabassa Prod ; Embargo, Marc Esteve/Art Mengo, © 2005 by Horchata Bemol & Strictly Confidential
France, Tous droits réservés pour le monde – 3 : François Léotard, Privatisation de TF1, journal Antenne 2, 20h00,
14/05/1986 ; Canal + Rousselet, 14/02/1994 ; La Cinquième, 13/12/1994 ; Conférence de presse du président Pompidou, RTF, journal télévisé 20h00, 2/07/1970 ; Arte, 24/04/1992 ; Conférence de presse du
président François Mitterrand, 21/11/1985 ; Inauguration de la Maison de la Radio, RTF, 1re chaîne, réalisateur Claude Dagues/INA, 2006 – 4 : Restons groupés : © 1997, StudioCanal/Little Bear Production/TF1
Films Production, Tous Droits Réservés – 5 : Les Passagers d’Orsay : Les films du tambour de soie – 6 : La
Commune de Paris : 13 Production – 7 : France Télévision Distribution ; Le corps de l’homme : Arte France
2001/Doc en Stock – 8 : La Terre vue du ciel : Montparnasse Productions – 9 : La maison intelligente : France
Télévision Distribution – 10 : Ressources humaines : Haut et Court.
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SOMMAIRE
Le numéro de page de la fiche d’activité est indiqué en gras (exemple : unité 1 → page 4), celui
de la transcription en maigre (exemple : unité 1 → page 29) et celui du corrigé en italique
(exemple : unité 1 → page 47).
Unité 1 - Opinions : Rougui Dia
(reportage) 2’50’’ ........................................................................................... 4 / 29 / 47
Unité 2 - Paroles, paroles : Art Mengo, Embargo
(interview et clip) 4’40’’ .......................................................................... 8 / 30 / 48
Unité 3 - Médias : Petite histoire de la télévision française
(documentaire) 4’34’’ ............................................................................ 10 / 31 / 49
Unité 4 - Voyages : Restons groupés
(film) 4’06’’ ..................................................................................................... 12 / 33 / 50
Unité 5 - Arts : Les passagers d’Orsay
(reportage) 4’25’’ ....................................................................................... 14 / 35 / 52
Unité 6 - Quelle histoire ! : La Commune (Paris, 1871)
(film) 5’02’’ ..................................................................................................... 16 / 36 / 53
Unité 7 - Un corps sain : Le corps de l’homme
(reportage) 2’53’’ ....................................................................................... 18 / 38 / 55
Unité 8 - Nature : La Terre vue du ciel
(documentaire) 4’07’’ ........................................................................... 20 / 39 / 56
Unité 9 - Et demain ? : La maison intelligente
(reportage) 3’12’’ ....................................................................................... 22 / 40 / 57
Unité 10 - En société : Ressources humaines
(film) 4’16’’ ..................................................................................................... 24 / 41 / 58
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MODE D’UTILISATION DU DVD
Insérez le DVD dans votre lecteur. Il se lance automatiquement.
Attendez la fin de l’introduction. Vous arrivez alors au menu principal : la « une » du journal Édito. Deux possibilités de lecture
vous sont proposées :
– Option 1 : la navigation thème par thème. Il vous suffit de cliquer sur le titre du thème choisi. Pour passer d’un titre à l’autre,
(ou au contraire, la flèutilisez la flèche orientée vers la droite
che orientée vers la gauche
) : quand le titre du thème choisi
s’illumine, cliquez sur OK ou sur Play. Vous pourrez alors regarder l’extrait du journal télévisé, suivi du document vidéo (reportage, clip, etc.). Si vous souhaitez accéder directement au document sans visionner le journal, cliquez sur la flèche
. Si vous
souhaitez revenir au journal à partir d’un document vidéo, cliquez sur la flèche
. Pour revenir au menu principal en cours
de visionnement, appuyez sur Menu. À la fin de chaque document vidéo, vous êtes automatiquement renvoyé au menu principal.
!
!
!
!
– Option 2 : le visionnement en continu du DVD. Cliquez sur le
titre Édito pour lancer l’ensemble de la vidéo, c’est-à-dire le journal télévisé et les documents vidéo. De la même façon, vous
pouvez accéder au document vidéo ou au journal télévisé suivant ou précédent en utilisant les flèches
ou
. Pour revenir au menu principal en cours de visionnement, appuyez sur
Menu.
!
Pour sortir du DVD, appuyez sur ■ .
4
!
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! FICHES D’ACTIVITÉS
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Opinions : Rougui Dia
Première partie : JOURNAL TÉLÉVISÉ (JUSQU’À 00’54’’)
Visionner jusqu’à 00’25’’ sans le son.
1. Pourquoi s’agit-il d’un journal télévisé ?
2. Il y a un présentateur et une présentatrice, que fait le troisième personnage ?
Visionner de 00’26’’ à 00’54’’ sans le son.
3. Où sommes-nous maintenant ?
a. Sur le plateau.
b. Dans un studio.
c. Dans la régie du journal télévisé.
4. Qui sont les deux personnes ?
5. Observez l’homme, il fait beaucoup de gestes parce qu’…
a. il est content.
c. il est en colère contre quelqu’un.
b. il est furieux.
d. il est comme ça.
6. Imaginez ce que disent la présentateur et la présentatrice.
Visionner jusqu’à 00’25’’ avec le son.
7. La jeune fille (Sandrine) est :
a. présentatrice.
b. journaliste.
c. maquilleuse.
8. Est-ce qu’elle devrait être là ?
❑ Oui. ❑ Non.
9. « On est à l’antenne » signifie :
a. Le journal a commencé.
b. Il y a une mauvaise réception.
10. Pourquoi est-ce que le réalisateur est furieux ?
11. Comment parle-t-il de Sandrine ?
12. Quand il dit « c’est bien les bonnes femmes, ça », c’est :
a. gentil.
c. méprisant.
b. macho.
d. flatteur.
13. Qu’est-ce qu’il reproche aux femmes ?
14. « Vous n’avez rien dans le ciboulot » veut dire :
a. Vous n’avez rien dans le cœur.
c. Vous n’avez rien dans la bouche.
b. Vous n’avez rien dans la tête.
15. Pourquoi est-ce que tout le monde a entendu son « numéro de macho » ?
16. Quel sujet lance la présentatrice ?
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Fiche photocopiable - © Les Éditions Didier, 2007
Visionner de 00’26’’ à 00’54’’ avec le son.
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Deuxième partie : REPORTAGE (DE 00’55’’ À 2’50’’)
Visionner la même séquence avec le son.
6. Rougui Dia est originaire du …, elle a … ans, elle est … .
7. Pourquoi est-ce qu’elle a relevé un challenge ?
8. À qui s’adresse Rougui ?
9. Qu’est-ce qu’elle fait ?
1 Opinions
1. Caractérisez la femme que vous voyez.
2. Où travaille-t-elle ?
3. Quel est son métier ?
4. Avec qui travaille-t-elle ?
5. À votre avis, c’est un grand restaurant ?
ÉDITO : FICHE ÉTUDIANT
10. Il y a combien de cuisiniers ?
11. Quelle est l’originalité de Rougui ?
12. Est-ce qu’elle est autoritaire ?
13. Est-ce qu’elle a mauvais caractère ?
14. Qu’est-ce qu’elle dit d’elle ?
15. Quel travail Rougui aurait voulu faire ?
16. Pourquoi peut-on comparer l’armée et son travail de chef de cuisine ?
17. Pourquoi Rougui Dia a de la chance d’avoir rencontré Armen Petrossian ?
18. Armen Petrossian est … .
19. Il dirige « une grande maison », qu’est-ce que cela veut dire ?
20. « On saute le pas » veut dire ici :
a. On marche trop vite.
c. On dépasse les préjugés.
b. On fait quelque chose d’inhabituel.
21. Quelles conséquences a eu la présence de Rougui pour les clients ?
22. Est-ce que cela pose un problème pour Cécile Petrossian ?
23. Les parents de Rougui sont arrivés en France il y a longtemps ?
24. Dites où elle a passé son enfance.
25. Combien a-t-elle de frères et sœurs ?
26. Qu’est-ce que sa mère lui a appris ? Qu’est-ce qu’elle lui a transmis ?
27. Est-ce qu’elle est fière de sa fille ?
Prolongement :
– Pour vous, est-ce qu’il y a des métiers qui sont plutôt réservés aux hommes ? aux
femmes ?
– Dans votre pays, y a-t-il une égalité pour accéder aux différents métiers ?
– Pensez-vous que certains domaines sont réservés aux hommes : la politique ? les carrières scientifiques ? les arts ? Donnez votre point de vue.
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Paroles, paroles : Art Mengo, Embargo
1. Dans cette séquence, nous voyons le présentateur et la présentatrice, quand ils parlent, ils :
a. lisent leurs notes.
c. disent leur texte de mémoire.
b. lisent le prompteur.
2. Le présentateur regarde la présentatrice comment ?
a. Il est mal à l’aise.
c. Il a un problème avec la présentatrice.
b. Il est content.
3. Qu’est-ce qui se passe avec le prompteur ?
4. Qui dirige le prompteur ?
5. La présentatrice fait cela à votre avis :
a. parce qu’elle est de mauvaise humeur.
b. parce qu’il lui a dit quelque chose qui l’a vexée.
c. parce qu’il a fait quelque chose qu’elle n’apprécie pas.
6. De quelle fête parle le présentateur ?
a. Saint Antonin.
c. Saint Séverin.
b. Saint Valentin.
7. C’est la fête de quoi ?
8. À quel moment a-t-elle lieu ?
9. Quel est le thème de la série de reportages ?
10. Qu’est ce qui s’est passé la veille entre le présentateur et la présentatrice qui sont
femme et mari ?
11. Comment est-ce que la présentatrice se venge ?
12. L’assistante du réalisateur trouve cela normal ?
13. Pourquoi est-ce que le présentateur dit « Enlève ton pied ! » ?
14. Remettez les reportages dans l’ordre où ils sont annoncés :
a. Visite des cuisines d’un grand chef parisien.
b. Chanson d’Art Mengo à l’occasion de la sortie de son album Entre mes guillemets.
c. Visite à Saint-Valentin pour la fête des cœurs dans les rues.
d. Visite de la maison du peintre Monet à Giverny avec son jardin d’eau et ses nymphéas*.
Deuxième partie :
INTERVIEW DU CHANTEUR ART MENGO (DE 00’54’’ À 1’33’’)
Visionner l’interview avec le son.
1. Choisissez trois adjectifs pour caractériser Art Mengo.
énergique – sympathique – passionné – sérieux – triste – réservé – ouvert
2. À votre avis, quel genre de musique fait-il ?
Visionner à nouveau l’interview avec le son.
3. Ce qui caractérise l’album Entre mes guillemets, c’est une situation :
a. d’urgence.
b. d’indolence.
c. de chance.
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*Fleur aquatique, nénuphar.
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4. À quoi voulait-il échapper ?
5. Quelles affirmations reprennent ce que dit Art Mengo ?
a. À force de faire les choses, on invente toujours.
b. À force de faire les choses, on prend des habitudes.
c. À force de faire les choses, c’est difficile de se renouveler.
d. À force de faire les choses, on a plus de créativité.
6. Pour Art Mengo, qu’est-ce qui est le plus important dans son métier ?
a. Écrire des chansons.
b. Faire une tournée, faire de la scène pour rencontrer les gens.
Troisième partie : CHANSON EMBARGO (DE 1’34’’ À 4’40’’)
Visionner de 1’33’ à 2’43’’ avec le son.
1. Quelles sont le couleurs du clip ?
2. Quelle est l’atmosphère de la chanson ?
3. Quel est le thème de la chanson ?
4. De qui parle-t-il dans la chanson ?
5. Quels sont les instruments présents dans cette chanson ?
6. À quoi vous fait penser le mot « embargo » : blocus, cargo, embarras, plus de communication, crise ?
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2 Pa r o l e s , p a r o l e s
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Visionner à nouveau cette séquence.
7. Remettez dans l’ordre. Art Mengo saura :
a. retrouver le bonheur caché.
b. devenir plus tendre.
c. être le livre de chevet (préféré) de la personne aimée.
8. Est-ce que l’on peut dire qu’Art Mengo est prêt à tout pour retrouver la personne aimée ?
9. Complétez cette partie :
Devenir plus tendre et la nuit voir l’invisible, …
En fouillant les moindres replis de ses silences, …
Tous ses petits grains de folie, ses ouragans …
Quitte à perdre un peu de ma vie, j’ai tout mon temps, …
Visionner la fin de la chanson avec le son.
10. Soulignez les mots de la chanson qui forment une rime en « -eux » :
bleus, yeux, ceux, deux, vœu, jeu, vieux.
11. Il y a plusieurs mots avec le son [o], soulignez-les :
embargo, tempo, legos, gros, fluo, cargo, porto, morceaux, mengo.
12. Quel est le mot qu’Art Mengo refuse ?
13. Pourquoi ?
14. Pourquoi Art Mengo a-t-il appelé cette chanson Embargo ?
15. Est-ce que ces phrases vous semblent représenter Art Mengo ?
Voix douce et personnalité discrète, Art Mengo est un artiste solitaire qui de sa ville fétiche,
Toulouse, envoie quelques messages mélancoliques qui sont devenus autant de tubes.
« Parler d’amour » comme il le dit lui-même, est le moteur principal du travail d’Art
Mengo. Aidé par une voix légèrement éraillée, cet artisan chanteur nous offre d’entrer dans
son univers de douceurs et de mélancolie.
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Médias : Petite histoire de la télévision française
Visionner le journal télévisé avec le son.
1. Quel sujet annonce la présentatrice ?
a. L’amour.
c. Le salon de la presse et des médias.
b. La naissance des bébés tigres.
2. Le réalisateur est comme d’habitude :
a. sympa.
c. de bonne humeur.
b. furieux.
d. triste.
3. Qui a changé l’ordre de la programmation du journal ?
4. Pourquoi ?
5. Quand est-ce qu’on décide de l’ordre des sujets du journal ?
6. Qu’est-ce que l’équipe du journal voulait faire ?
a. Faire plaisir au réalisateur.
c. Ménager sa susceptibilité.
b. Lui faire une farce.
d. Lui créer des problèmes.
7. Le réalisateur aurait voulu :
a. qu’on ne lui dise rien.
b. qu’on le prévienne.
8. Pour l’assistante du réalisateur, il est … .
Deuxième partie : DOCUMENT (DE 1’17’’ À 4’34’’)
1. Pourquoi est-ce que le document est en noir et blanc ?
2. Connaissez-vous la première personne que l’on voit ?
3. À votre avis, il s’agit :
a. d’une conférence. b. d’une inauguration. c. d’une séance à l’Assemblée nationale.
4. Comment est le bâtiment que l’on voit ?
5. Le connaissez-vous ?
6. Quel est l’événement célébré ?
a. La création de la RTF (radiodiffusion télévision françaises).
b. L’installation de la RTF dans un nouveau bâtiment.
c. La création d’une nouvelle chaîne de télévision.
7. En 1963, il y avait une chaîne de télévision : à votre avis, elle était publique ou privée ?
8. Remettez dans l’ordre les objectifs fixés par le directeur de la RTF :
a. étendre les émissions régionales
b. prendre une place sur le réseau mondial de communication par satellite
c. créer une deuxième chaîne de télévision
d. développer la télévision en couleurs
9. Pourquoi est-ce que le président Georges Pompidou regarde peu la télévision ?
a. Parce qu’il n’aime pas les programmes.
c. Parce qu’il travaille beaucoup.
b. Parce qu’il veut préserver son équilibre nerveux. d. Parce qu’il préfère la radio.
10. Est-ce que l’ORTF (Office de radiodiffusion télévision française) représente la France ?
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c. C’est une conférence de presse.
b. à l’Assemblée nationale.
14. François Mitterrand annonce qu’il va :
a. libérer les ondes.
c. interdire les télévisions privées.
b. créer des télévisions privées.
15. Quelle décision annonce François Léotard ?
a. La création de TF1.
c. La suppression de TF1.
b. La privatisation de TF1.
16. Quelles obligations aura la chaîne ?
3 Médias
c. ministre de la Culture.
11. En 1985, François Mitterrand était :
a. Premier ministre.
b. président de la République.
12. a. C’est une réunion du gouvernement.
b. C’est une réunion électorale.
13. Dans la deuxième partie, nous sommes :
a. dans une université.
17. La deuxième décision concerne quelle chaîne ?
18. Cette chaîne a des abonnés, ce qui veut dire … .
19. Elle a combien d’abonnés ?
20. Elle fait combien de bénéfices ?
21. Elle a été lancée par qui ?
22. Quelle est la troisième décision prise par François Mitterrand ?
23. Qu’est-ce que le présentateur du journal télévisé annonce ?
24. Le gouvernement a la priorité sur un canal de télévision libre ?
25. Quel est le nom de la chaîne culturelle ?
26. La chaîne proposera un mélange des programmes de … .
27. Qui est Jérôme Clément ?
28. Quelle est sa conception de la télévision ?
29. Qu’est-ce qu’il n’y aura pas sur ARTE ?
30. De quelle façon veut-il utiliser la télévision ?
❑ Oui. ❑ Non.
31. D’après les images, quel type de chaîne présente-t-on ?
32. À votre avis, quels programmes y a-t-il sur cette chaîne ?
a. variétés
b. sports
c. sciences
d. histoire
33. Comment s’appelle la chaîne ?
34. C’est une chaîne à dominante … .
35. Quels domaines seront traités ?
Visionner jusqu’à la fin sans le son.
36. Quels sigles avez-vous repérés ?
37. Qu’est-ce qui va se développer ? Quelle sera la conséquence ?
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Voyages : Restons groupés
1. Décrivez le personnage qui arrive sur le plateau.
2. À votre avis, quel sport pratique-t-il ?
3. Il s’appelle :
a. Edgar Lambert.
c. Édouard Lambert.
b. Édouard Lebert.
4. Pourquoi est-il habillé ainsi ?
Vrai Faux
Il arrive de Megève.
❑
❑
Il vient de Genève.
❑
❑
Il y avait des embouteillages au retour des vacances.
❑
❑
Il est en vacances.
❑
❑
Il est toujours habillé comme ça.
❑
❑
5. Que lui demande le réalisateur ?
6. Est-ce qu’il fait ce que lui demande le réalisateur ?
Visionner jusqu’à la fin du journal télé avec le son.
7. De quoi va parler Édouard ? De quel type de tourisme ?
8. Que lui demande le réalisateur ?
9. Quel est le titre du film ?
10. Où est-ce que l’action se déroule ?
11. Qui sont les personnages du film ?
Deuxième partie : FILM (DE 1’08’’ À 4’06’’)
1. Quelle est la première image ?
2. Où se passe la première scène ?
3. Il y a combien de personnes ?
4. Qui est la personne qui accueille le groupe à son arrivée ?
5. Que demande la jeune fille ?
6. Le couple est en voyage de noces.
❑ Oui. ❑ Non.
7. Pour elle, c’est son premier mariage.
❑ Oui. ❑ Non.
8. Pour lui, c’est son 3e mariage.
❑ Oui. ❑ Non.
9. Pourquoi la femme dit-elle : « j’espère que cette fois, c’est la bonne » ?
10. Comment s’appelle le guide ?
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11. Qui est la personne qui parle avec Mathias ?
a. Un guide comme lui.
c. Un ami.
b. Un touriste.
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12. Qu’est-ce qu’il apprend à Mathias ?
a. Que la société Dream Tours a fait faillite.
c. Qu’elle n’existe plus.
b. Qu’elle doit de l’argent partout.
13. Est-ce que Mathias croit ce que dit son collègue ?
14. « C’est une de tes blagues » veut dire :
a. C’est une plaisanterie.
c. C’est génial.
b. C’est impossible.
15. À qui téléphone-t-il pour vérifier ce qu’il vient d’apprendre?
a. À Dream Tours.
c. À un ami.
b. À son patron.
16. Qu’est-ce que le patron de Dream Tours lui demande ?
17. Quel est le problème de Mathias ?
18. Qu’est-ce que les touristes admirent ?
19. Pourquoi est-ce que le touriste proteste ?
20. Quelle excuse donne Mathias ?
21. Mathias téléphone à Max, le patron de Dream Tours : où se trouve Max ?
22. Qu’est-ce que Max fait croire à Mathias ?
4 Vo ya g e s
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23. Que fait le touriste ?
24. Qu’est-ce qu’il pense de l’organisation générale ? de la qualité des transports ?
de l’hébergement ?
25. Est-ce que sa femme est d’accord ?
26. Qu’est-ce qu’il pense de Mathias ?
27. Sa femme pense la même chose de Mathias ?
28. Pourquoi ont-ils tous des sacs en papier sur la tête ?
29. Pourquoi se mettent-ils à courir vers le bus ?
30. Quelles sont les réactions des touristes ?
31. Est-ce que les touristes apprécient le paysage ?
32. Ils courent vers le bus :
a. parce qu’ils ont peur.
c. parce qu’ils sont contents.
b. parce que leurs valises ont été fouillées et volées.
33. Le touriste :
a. félicite Mathias.
c. veut rentrer en France.
b. le menace de porter plainte.
34. Que veut l’épouse du touriste ?
Visionner jusqu’à la fin avec le son.
35. Finalement, les touristes ont-ils l’air content ?
36. Comment se termine le film ?
Prolongement :
– Imaginez quelques-unes des difficultés qu’ont eues les touristes après le vol de leurs
effets personnels.
– Après ce film, dites pourquoi vous aimez ou vous n’aimez pas les voyages organisés.
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Arts : Les passagers d’Orsay
Visionner le journal télévisé sans le son.
1. Comment les présentateurs sont-ils ?
2. Outre le réalisateur et son assistante, qui se trouve dans la régie ?
3. Est-ce que c’est normal qu’elle soit là ?
4. Imaginez ce qu’elle dit au réalisateur.
5. Est-ce que le réalisateur a l’air content ?
6. Où est-ce que Sandrine pose sa trousse de maquillage ?
7. Qu’est-ce qui se passe sur le plateau ?
8. La présentatrice annonce une rubrique :
a. sportive.
b. artistique.
c. économique.
9. Quels musées connaissez-vous à Paris ?
10. Le musée d’Orsay vient :
a. de restaurer trois œuvres.
b. de vendre trois œuvres.
c. d’acquérir trois œuvres.
11. Que fait Sandrine dans la régie ?
a. Elle veut maquiller le réalisateur.
b. Elle teste un nouveau produit (un fond de teint).
c. Elle veut aider le réalisateur.
12. Qu’est-ce qui se passe quand Sandrine pose sa trousse sur la console ?
13. Trouvez l’équivalent de « Il suffit qu’on soit un tantinet professionnel pour se faire
engueuler » :
a. Il suffit d’être très professionnel pour se faire remarquer.
b. Il suffit d’être un peu professionnel pour se faire disputer.
c. Il suffit d’être un peu professionnel pour se faire renvoyer.
14. Où se trouve le musée d’Orsay ?
15. Que dit le réalisateur pour montrer qu’il est en colère ?
Deuxième partie :
REPORTAGE AU MUSÉE D’ORSAY (DE 00’44’’ À 4’25’’)
1. Décrivez ce que vous voyez.
2. Quelle impression vous donne ce musée ?
3. Quelles œuvres avez-vous remarquées ?
4. Avez-vous repéré des visiteurs ? Comment sont-ils ?
5. Comment la première femme qui parle trouve le lieu ?
6. Qu’est-ce qu’elle n’aime pas ?
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10. Imaginez ce que dit l’homme.
11. Comment l’attitude des visiteurs s’adapte-t-elle parfois à la position des statues ?
12. À votre avis, pourquoi voit-on des photos de la femme quand elle était jeune ?
13. Pourquoi est-ce que l’homme peut venir tous les jours ?
14. Pourquoi est-ce que la température est constante dans le musée ?
15. Pour lui, les hommes sont … .
16. Pourquoi est-ce qu’il aime venir au musée ?
17. Pourquoi la femme connaît-elle le musée depuis longtemps ?
18. Qu’est-ce qui s’est passé en 1944 ?
19. Qui était logé dans le musée en 44 ?
5 Ar ts
7. D’après la deuxième femme, est-ce que les gens influencent sa façon de voir les tableaux ?
8. Pourquoi a-t-elle été touchée par les premières personnes qu’elle a vues en arrivant ?
9. Pensez-vous que l’on peut tout voir dans ce musée ?
Faire des arrêts sur image sur les tableaux :
Paul Gauguin, La Seine au pont d’Iéna, 1875
Alfred Sisley, Le Pont de Moret, 1963
Gustave Courbet, L’Homme blessé, 1844-54
Jean-François Millet, Les Glaneuses, 1857
20. Connaissez-vous des peintres français ? Lesquels ?
21. Décrivez chaque tableau.
22. Lequel préférez-vous ? Pourquoi ?
23. Que font les femmes dans le tableau de Millet ?
24. Qu’est-ce que l’homme a fait ?
25. Pourquoi est-ce que la femme aime le tableau ?
26. Que fait-elle pour le regarder ?
27. Qu’est-ce qu’il représente pour elle ?
28. La deuxième femme aime les peintres … .
29. Est-ce que les deux femmes sont d’accord sur la sculpture ?
30. L’une la trouve … et l’autre … .
31. Que représente la sculpture ?
32. Savez-vous qui est Camille Claudel ?
33. Qu’est-ce qui est émouvant pour l’homme ?
34. Qu’est-ce qui est arrivé à Camille Claudel ?
35. Que représente la sculpture ?
36. Est-ce que la femme aime cette sculpture ?
37. Qu’est-ce qui étonne les deux jeunes ?
38. Pour l’homme, qu’est-ce ce qui est étonnant dans la démarche de l’ours ?
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Quelle histoire ! : La Commune (Paris, 1871)
1. Décrivez l’invité, imaginez son métier et pourquoi il est invité.
2. À votre avis, pourquoi le réalisateur vérifie ses fiches l’air étonné et jette des regards à la
caméra ?
3. Imaginez un dialogue entre le présentateur et l’invité.
4. Imaginez ce que dit le réalisateur.
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1. Faire un arrêt sur image sur les quatre couples. Les décrire.
Comment sont-ils habillés ? À quelle époque les situez-vous ?
2. Lire le texte.
Contre quel pays Napoléon III est-il entré en guerre ?
Est-ce que ce pays existe toujours ?
À quelle époque a commencé la guerre ?
Pourquoi est-ce que les Parisiens ont eu faim et froid ?
Est-ce que beaucoup de gens sont morts ?
Que font les chômeurs ?
À votre avis, qu’est-ce que la Garde nationale ?
Faux
❑
❑
❑
❑
❑
Faux
❑
❑
❑
❑
Faux
❑
❑
5. Le présentateur présente l’invité :
Vrai
Il est professeur.
❑
Il est décorateur.
❑
Il est chirurgien.
❑
Il travaille à la Cité des sciences.
❑
Il travaille à l’université.
❑
6. Le réalisateur trouve le spécialiste :
Vrai
branché (à la mode).
❑
arriéré.
❑
maniéré.
❑
affairé.
❑
7. Comment s’appelle le spécialiste en réalité ?
a. Albert Philibert.
c. Antoine Colbert.
b. Antoine Vibert.
8. Le présentateur explique son erreur comment ?
9. En réalité, Antoine Colbert est … .
10. Le réalisateur était sûr que :
Vrai
l’invité était décorateur.
❑
l’invité n’était pas historien.
❑
11. Donnez un équivalent pour « ce guignol » :
a. cet humoriste
c. cet artiste
b. ce rigolo
12. Que fait le présentateur pour sortir de cette situation ?
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Lire le texte de 2’22’’ à 2’46’’.
13. Qu’est-ce que la Garde nationale ?
14. Est-ce qu’elle est sous les ordres du gouvernement de Thiers ?
15. Pourquoi est-ce que Thiers a peur de la Garde nationale ?
16. Qu’est-ce qu’il ordonne à son armée ?
3. Pourquoi est-ce que les enfants pleurent ?
4. Qu’est-ce que les gens ont dû manger pendant le siège de Paris ?
5. Faire un arrêt sur image sur le couple et les deux enfants. À votre avis, est-ce que ce sont
des gens riches ? Est-ce qu’ils ont l’air heureux ?
6. En quelle année a commencé la Révolution française ?
7. Pourquoi l’homme dit-il que c’était une révolution de bourgeois ?
8. Le baron Haussmann a fait des travaux dans quelle partie de Paris ?
9. Qu’est-ce qu’on peut trouver dans les magasins des beaux quartiers ?
10. Pour l’homme, est-ce que les choses ont changé ?
11. Qu’est-ce qu’il ne voudrait pas pour ses enfants ?
12. Qu’est-ce qu’il pense faire pour changer les choses ?
6 Q u e l l e h i sto i re !
17. Que doivent faire les soldats ?
18. À qui font-ils face ?
19. Est-ce qu’ils tirent ?
20. Finalement, que se passe-t-il ?
21. N’y a-t-il rien d’anachronique ?
22. Pourquoi est-ce que les femmes sont inquiètes ?
23. Que fait le gouvernement de Thiers ?
24. Où est-ce que la Garde nationale s’installe ?
25. La Garde nationale a pris le pouvoir mais que veut-elle organiser ?
26. Qui va constituer le gouvernement ?
27. De quoi seront libérés les gens ?
28. Faire des arrêts sur image sur les portraits. Est-ce que les personnages sont immobiles
comme au début ?
29. Quelle est l’impression qui se dégage de ces images ?
30. Pourquoi est-ce que les gens sont heureux ?
31. Quel est le chant qu’ils chantent à la fin ?
Prolongement :
– Est-ce que vous connaissiez cet épisode de l’histoire française ?
– Quels sont les grands événements que vous connaissez ?
– Vous pouvez faire une recherche sur Internet. Vous trouverez des chansons liées à cet
événement ainsi que des œuvres littéraires sur :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Commune_de_Paris_(1871)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Temps_des_cerises
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UNITÉ 7
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Un corps sain : Le corps de l’homme
1. Qui se trouve dans la régie ?
2. Qu’est-ce qu’elle fait ?
3. Est-ce que le réalisateur a l’air content ?
4. Imaginez ce que dit l’assistante du réalisateur.
5. Qu’est-ce que Sandrine veut faire au réalisateur ?
6. Pourquoi ?
7. Est-ce que le réalisateur apprécie ?
8. Et pourtant, qu’est-ce qu’il dit ?
9. Pourquoi est-ce que l’assistante du réalisateur est un peu fâchée ?
10. Que doit faire Sandrine aujourd’hui ?
11. Quel sera le sujet de la rubrique aujourd’hui ?
12. Pourquoi est-ce que Sandrine fait une entrée remarquée sur le plateau ?
13. Quelle excuse trouve-t-elle ?
14. Est-ce que c’est normal qu’il y ait des câbles ?
1. Quel est le thème du reportage ?
2. Ce sont des publicités pour quels produits ?
3. Est-ce qu’une des publicités a attiré votre attention ? Laquelle ?
4. Quels cosmétiques utilisez-vous ?
5. Où se trouve le jeune homme ?
6. Qu’est-ce qu’il fait ?
7. Relevez les chiffres concernant les hommes et les cosmétiques.
8. Où est-ce que va Éric chaque mois ?
9. « Se faire bichonner » veut dire :
a. Se faire hydrater.
b. Se faire soigner.
c. Se faire faire des soins du visage.
d. Se faire cajoler.
e. Se faire disputer.
10. Qu’est-ce qu’on lui fait dans l’institut de beauté ?
11. Combien paie-t-il ?
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Visionner de 00’53’’ à 1’49’’ sans le son en faisant des arrêts sur image
sur les publicités.
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12. Est-ce qu’Éric trouve cela normal ?
13. Est-ce qu’Éric cache ses rendez-vous à l’institut à ses collègues de travail ?
14. Est-ce que certains collègues d’Éric sont ironiques ?
15. Qu’imagine-t-il que certains de ses collègues pensent ?
16. Est-ce qu’il aime discuter de ce sujet ?
17. Que veut dire le mot « tabou » dans cette situation ?
18. Que fait l’esthéticienne ?
19. Combien y a-t-il de clients hommes dans cet institut ?
20. Est-ce que ces clients sont nouveaux ?
21. Comment sont les hommes que l’on voit ?
7 U n co r p s s a i n
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22. À votre avis, qui est l’homme qui parle ?
23. Que fait le deuxième homme ?
24. Est-ce qu’il est jeune ?
Visionner de 1’55’’ à la fin avec le son.
25. Quand les hommes vieillissent, que se passe-t-il ?
26. Que fait cet ancien PDG pour garder la forme ?
27. Quel est son secret ?
28. À quoi sert la DHEA ?
29. Que pense Claude Marin de la DHEA ?
30. Qu’est-ce que lui apporte la DHEA ?
31. Pour Claude Marin, que représente le corps et comment faut-il le traiter ?
Prolongement :
– Que pensez-vous des hommes comme Éric ?
– Est-ce que vous allez dans un institut de beauté ?
– Pensez-vous que cela soit indispensable ?
– Qui fixe la tyrannie de l’apparence ?
– Peut-on arrêter le vieillissement ?
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Nature : La Terre vue du ciel
1. Que se passe-t-il sur le plateau ?
2. Quelle est la solution trouvée ?
3. De quel événement va-t-on parler ?
4. Savez-vous ce qu’est une éclipse ?
5. Que se passe-t-il ?
6. Quel mot emploie le réalisateur pour parler du technicien ?
7. « Abruti » veut dire :
a. brute.
b. imbécile.
c. intelligent.
8. Que fait la présentatrice ?
1. Quel est le thème du reportage ?
2. Qu’est-ce que vous avez retenu comme couleurs ? comme formes ?
3. De quoi parle Albert Jacquard ?
4. Savez-vous qui est Albert Jacquard ?
5. Qu’est-ce que vous avez vu ?
6. Essayez d’identifier les lieux que vous voyez.
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7. Quelle est la caractéristique de la Terre ?
8. Comment est la Terre ?
Bleue comme …
Blanche comme …
Ronde comme …
Belle comme …
9. Combien d’habitants y a-t-il sur la terre ?
10. Identifiez les villes mentionnées qui se trouvent :
au Japon : …
au Nigeria : …
en Inde : …
en Égypte : …
au Brésil : …
en Chine : …
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8 Nature
11. Imaginez quels phénomènes naturels ont pu provoquer de tels dégâts :
a. un orage
b. un glissement de terrain
c. un tremblement de terre
d. un tsunami
e. un arc-en-ciel
f. une éclipse
g. une tempête
h. l’éruption d’un volcan
i. une inondation
j. une invasion de sauterelles
k. un cyclone
Visionner la même séquence jusqu’à la fin avec le son.
12. Que s’est-il passé en France ?
13. À quel moment ?
14. Quelle est la manifestation de la puissance des éléments ?
15. Où est passé ce cyclone ?
16. Comment s’appelle-t-il ?
17. Que s’est-il passé en Turquie ?
18. Quelle est la conséquence de ce tremblement de terre ?
19. Qu’est-ce qui recommence toujours ?
20. D’où voit-on la Terre ?
21. À quelle image sont associées, dans ce texte poétique, la joie et la souffrance sur la
Terre ?
Prolongement :
– Vous êtes chargé(e) de préparer la prochaine campagne de publicité de Greenpeace.
Visionnez plusieurs fois le reportage sans le son et écrivez un commentaire pour accompagner les images : vous devrez mettre en valeur la beauté de la planète Terre et mettre en
garde contre l’action des hommes et les risques naturels.
– Quelles sont les images qui vous ont le plus marqué ?
– Quelles sont celles que vous avez le plus aimé ?
– Peut-on éviter les catastrophes naturelles ?
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Et demain ? : La maison intelligente
1. Quel est le thème du reportage du jour ?
2. Qu’est-ce que les nouvelles technologies apportent dans notre vie quotidienne ?
3. Que se passe-t-il sur le plateau ?
4. Que pense le réalisateur ?
1. Décrivez la scène : que fait l’homme ? Quelle est la particularité de sa maison ?
2. Que fait-il pour entrer ?
3. Qui l’accueille ?
4. Qu’y a-t-il sur le mur ?
5. Que fait-il après son arrivée ?
10. Quelle est la situation en France ?
11. Sur quel projet travaillent les ingénieurs d’EDF?
12. Pourquoi est-il important d’améliorer les logements existants ?
13. Quel exemple d’innovation est présenté ?
14. Quel est l’inconvénient de faire ses courses par Internet actuellement ?
15. Avec le sas de livraison, quel sera l’intérêt de ce système ?
16. Quel est le système qui permet de gérer automatiquement les commandes ?
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6. En quelle année sommes-nous ?
7. Dites ce qui est automatique dans la maison.
8. Qui voit-il sur le mur ?
9. Que peut-il faire sur la table ?
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17. Où sommes-nous ?
18. À quoi ressemble cette maison ?
19. Quelle est sa caractéristique ?
20. Comment est gérée cette maison ?
21. Les écrans de télévision permettent de voir quoi ?
22. Que voit-on dans la salle de bains ?
23. Pourquoi est-ce que tout est facile dans cette maison ?
24. Pendant la vidéo de la recette de cuisine, qui voit-on apparaître sur l’écran ?
25. À votre avis, que dit le livreur ?
26. Pourquoi est-ce que le piano est sur le mur ?
27. D’où vient l’énergie dans cette maison ?
28. Qu’y a-t-il sur la terrasse ?
9 Et demain ?
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Prolongement :
– Décrivez la maison de vos rêves.
– Décrivez une maison où tout serait automatisé.
– À votre avis, est-ce que la maison du futur n’a que des avantages ?
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En société : Ressources humaines
1. Quel est le problème sur le plateau ?
2. Est-ce que le réalisateur répond au présentateur ?
3. Pourquoi ?
4. Que fait l’assistante du réalisateur ?
1. Où se passe la première scène ?
2. Quelles sont les personnes présentes ?
3. Qui arrive ?
4. Imaginez qui sont ces personnes.
5. Qui est-ce qui arrive ?
6. Qui sont les personnes qui l’accueillent ?
7. Où le jeune homme va-t-il travailler ?
8. Que va-t-il faire ?
9. Où se passe cette scène ?
10. Comment s’appelle le jeune stagiaire ?
11. Avec qui parle-t-il ?
12. Qui entre ?
13. Quel est le sujet de la discussion ?
14. Comment est le jeune stagiaire ?
15. Mettre en place les 35 heures par semaine oblige à quoi faire ?
16. Comment le jeune stagiaire voit-il les 35 heures ?
17. Est-ce que le patron a l’air content ?
18. Qui sont les deux personnages ?
19. Imaginez un dialogue.
20. Qui se trouve dans le bureau ?
21. Pourquoi est-ce que la secrétaire apostrophe le jeune homme ?
22. En utilisant l’ordinateur du directeur des ressources humaines, qu’apprend le jeune
homme ?
23. Que se passe-t-il pour son père ?
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27. Que se passe-t-il dans la première scène ? Que font les deux personnes ?
28. Pourquoi est-ce que les ouvriers ne peuvent pas entrer ?
29. Quelle est la réaction du père de Franck face aux ouvriers en grève ?
30. Quel est le problème de Franck ? De quoi a-t-il honte ?
31. Pour Franck, qui lui a mis dans la tête cette honte ?
32. Comment Franck parle-t-il de son avenir ?
33. À votre avis, pourquoi y a-t-il autant de violence dans ses paroles ?
34. Finalement, que va faire Franck ?
10 En société
24. Le père de Franck est content :
a. parce que le patron lui propose un poste.
b. parce qu’il part à la retraite.
25. Que veut-il faire pour marquer sa joie ?
26. Pourquoi est-ce que Franck est fâché ?
Prolongement :
– Relevez trois verbes familiers en rapport avec le monde du travail et expliquez-les.
– Essayez de résumer l’histoire que vous venez de voir.
– Quel est le problème social qui est posé ?
– Pourquoi est-ce que le jeune homme se sent aussi mal ?
Troisième partie : JOURNAL TÉLÉVISÉ (DE 3’20’’ À 4’16’’)
Visionner la fin du journal avec le son.
1. Que pensent le présentateur et la présentatrice du réalisateur ?
2. Que dit l’assistante du réalisateur pour calmer les choses ?
3. Pour la présentatrice, comment s’est passé ce journal ?
4. Comment le présentateur veut-il se venger ?
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! TRANSCRIPTIONS
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UNITÉ 1
(journal télévisé)
PRÉSENTATRICE : Madame, Mademoiselle, Monsieur…
PRÉSENTATEUR : …bonsoir !
VOIX OFF : Sandrine, on est à l’antenne !
SANDRINE : Hein ? Quoi ?
PRÉSENTATEUR : On est en direct, là, tout le monde te voit !
SANDRINE : Oh ! merde ! Euh… zut ! Excusez-moi !
RÉALISATEUR : Mais d’où elle sort, celle-là ? mais qui a engagé une gourde pareille ?
Ah ! c’est bien les bonnes femmes, ça, jamais là quand on a besoin d’elles et toujours là
quand il faut pas ! Quoi ? C’est de ma faute si vous n’avez rien dans le ciboulot ?
ASSISTANTE RÉALISATEUR : Non. Mais t’as oublié de fermer ton micro…
RÉALISATEUR : Ah ! C’est pas vrai !
ASSISTANTE RÉALISATEUR : La France entière a entendu ton numéro de macho !
RÉALISATEUR : Oui, bon, ça va, ça va, envoie plutôt le premier sujet.
PRÉSENTATRICE : Après une belle démonstration de notre réalisateur, passons sans plus
attendre à notre première rubrique sur la condition de la femme en milieu professionnel.
(reportage)
VOIX OFF : Quel sacré challenge a relevé Rougui Dia : originaire du Sénégal, cette jeune
femme de 30 ans est devenue le chef de cuisine d’un prestigieux restaurant parisien.
ROUGUI DIA : Cédric, tu as eu le… Pour la plaque anniversaire… Celle-ci, on la débarrasse… Pourquoi vous avez descendu ça ? Cédric !
CUISINIER : Oui, chef ?
ROUGUI DIA : Tu feras la plaque anniversaire.
CUISINIER : Oui, chef.
VOIX OFF : Mais que pensent ses collègues cuisiniers ?
CUISINIER 1 : Il y a ses origines qui… qui reviennent dans la… dans ses créations qu’elle
fait, et je pense que ça ajoute un piment à la cuisine.
CUISINIER 2 : Elle crie pas, elle crie pas, mais elle sait se faire obéir.
CUISINIER 1 : Elle a son caractère, donc il faut pas trop trop la chercher non plus, mais
bon, comme elle dit, c’est une peste.
ROUGUI DIA : Ben, moi qui avais voulu faire l’armée, c’est parfait, c’est… on est dans le
cadre où justement, il faut travailler un peu, où il y a la hiérarchie, où ça devrait être
très… très très dur.
VOIX OFF : La chance de Rougui Dia est d’avoir rencontré Armen Petrossian.
ARMEN PETROSSIAN : Des grandes maisons comme nous, à partir du moment où on saute
le pas, et on donne l’exemple, et ben, les autres, ils ont plus peur : si eux ils l’ont fait,
pourquoi pas nous ?
VOIX OFF : Si ni sa qualité de femme, ni ses origines étrangères n’ont dérangé ses collègues, les clients, eux, ont parfois manifesté une certaine gêne.
CÉCILE PETROSSIAN : C’est vrai que les gens étaient surpris, alors bon, c’est… c’est comme
tout, il y en a, je suis sûre, qu’on a perdu sûrement des clients par notre choix, mais on
en a gagné d’autres, donc l’un dans l’autre, c’est comme ça.
VOIX OFF : Il y a presque cinquante ans justement, les parents de Rougui arrivaient en
T R A N S C R I PTI O N S
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France. C’est dans un milieu modeste, en région parisienne, que Rougui a grandi entourée de ses six frères et sœurs. Sa mère, Aïsatou, n’est pas étrangère à sa passion pour la
cuisine.
MÈRE : C’est moi qui lui ai transmis cette passion, je lui ai appris les bases de la cuisine.
FRÈRE : Elle lui a appris donc les bases quoi de la cuisine.
MÈRE : Bravo à ma fille, félicitations.
UNITÉ 2
PRÉSENTATEUR : À une semaine de la fête des amoureux, la rédaction a…//
PRÉSENTATRICE : …la rédaction a décidé de consacrer une série de reportages au thème de
l’amour.
PRÉSENTATEUR : Ainsi chaque jour, nous nous…//
PRÉSENTATRICE : …nous nous intéresserons à un événement artistique, touristique ou gastronomique.
PRÉSENTATEUR : Nous irons à Saint-Valentin, petit village de l’Indre, devenu le rendez-vous
incontournable des amoureux grâce à sa fête des cœurs dans les rues.
RÉALISATEUR : Dis donc, tu peux me dire à quoi ils jouent là ?
ASSISTANTE RÉALISATEUR : C’était leur anniversaire de mariage hier soir…
RÉALISATEUR : Et alors ?
ASSISTANTE RÉALISATEUR : Ben, il l’a oublié, elle se venge, normal !
PRÉSENTATEUR : Nous irons également visiter la maison du peintre Monet à Giverny avec
son jardin d’eau et ses nymphéas légendaires.
RÉALISATEUR : Normal, et tu trouves ça normal, toi ?
ASSISTANTE RÉALISATEUR : Ben oui, pourquoi ? Pas toi ?
PRÉSENTATEUR : Nous visiterons également les cuisines d’un très grand chef parisien qui
nous révélera les secrets d’un velouté de fruits parfumé à la cannelle, à la menthe et au
piment. (À la présentatrice, plus bas, sur un ton énervé) Enlève ton pied, enlève ton
pied !
Nous débuterons cette série de clins d’œil grâce au chanteur Art Mengo dont l’album,
Entre guillemets*, sort aujourd’hui.
(interview et clip)
ART MENGO : Ce qui caractérise cet album, cette… cette situation d’urgence dans laquelle
je me suis mis volontairement, d’une part pour échapper à toute méthodologie, à force de
faire des choses, on prend des tics, on a une façon de faire qui fait qu’on se renouvelle
peu, donc je voulais échapper à ça, et surtout, j’avais envie de m’arrêter le moins de
temps possible pour faire le plein de nouvelles chansons et pouvoir reprendre la route,
parce que finalement, c’est ce qui rend palpable ce métier, c’est d’aller porter l’émotion
en direct sur scène, aller voir les gens, partir à leur rencontre…
*Erratum : le titre exact de l’album d’Art Mengo est : Entre mes guillemets.
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(chanson « Embargo »)
Lui redire que la terre est ronde
Et que tout bouge, j’apprendrai
Je me fous de tout l’or du monde
Et du reste, mais je voudrais
Qu’elle lève cet embargo
Qui me prive de nous deux
Qu’elle me souffle les mots
Pour nous sortir de l’eau peu à peu
Devenir « plus tendre est la nuit »
Voir l’invisible, je verrai
En fouillant les moindres replis
De ses silences, j’essaierai
Tous ses petits grains de folie
Ses ouragans, j’essuierai
Quitte à perdre un peu de ma vie
J’ai tout mon temps, j’attendrai
Reconstruire au lego
Notre histoire en morceaux n’est qu’un
jeu
Comme les avions-cargos
J’ai le cœur plus gros que les yeux
Être son livre de chevet
Et s’il est un mot que je fuis
C’est le mot fin, à jamais
Et s’il est un mot que je fuis
C’est le mot fin, à jamais
Être son livre de chevet
Retrouver le bonheur enfoui
Où qu’il se terre, je saurai
Paroles : Marc Estève,
Musique : Art Mengo
Entre mes guillemets, 2006
UNITÉ 3
PRÉSENTATRICE : L’amour, un thème que nous retrouverons demain, mais à présent passons à… Mais à présent, ouvrons une page sur le prochain salon de la presse et des
médias qui se tiendra dans la capitale.
RÉALISATEUR : Mais qu’est-ce qu’elle raconte ?
PRÉSENTATRICE : À cette occasion, l’une de nos équipes de reporters s’est glissée au cœur
même de la rédaction d’un journal national.
RÉALISATEUR : On a dit le salon de la presse et des médias en clôture du journal, c’est pas
compliqué, bon sang !
PRÉSENTATRICE : Vous verrez ainsi à quel point méthode et rigueur sont fondamentales.
RÉALISATEUR : Mais qu’est-ce qu’elle fait en conférence de rédaction ? Elle dort !
ASSISTANTE RÉALISATEUR : Non, tu voulais terminer sur une note plus bucolique avec le
reportage sur la naissance des bébés tigres au Parc de la Tête d’Or.
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RÉALISATEUR : Pas du tout ! C’était une proposition lancée comme ça.
ASSISTANTE RÉALISATEUR : Tout le monde a voulu ménager ta susceptibilité en te faisant
plaisir.
RÉALISATEUR : Ma susceptibilité, dis tout de suite que je suis caractériel ! J’ai rien
demandé, moi !
ASSISTANTE RÉALISATEUR : Mais on a tous convenu de faire comme tu voulais.
RÉALISATEUR : Oui, bon, ben dans ces cas-là, on prévient.
ASSISTANTE RÉALISATEUR : T’es pas caractériel : t’es malhonnête.
PRÉSENTATRICE : Excusez-nous, il semblerait que nous ayons un petit problème en régie.
Allô ? (On entend à travers le combiné du téléphone un cri strident et le réalisateur qui
lance d’un ton énervé : « Tu le lances, ce sujet ? »)
Bien, je crois que le problème n’est pas d’ordre technique. Mais regardons ensemble
notre sujet.
(document)
1963
ROBERT BORDAZ : Mon général, cette maison n’est pas seulement pour nous un nouveau
siège social plus grand et mieux conçu, elle doit surtout permettre à la RTF de mieux
accomplir son rôle de service public, investi par l’État, de mission d’intérêt général. Dès
maintenant, la RTF doit créer une seconde chaîne de télévision, étendre largement ses
émissions régionales. Dans un avenir plus lointain, elle devra assurer le développement
de la télévision en couleurs et notre place sur le réseau mondial de communication par
satellite.
1970
GEORGES POMPIDOU : Contrairement à ce que vous croyez, je suis très loin d’être le premier
téléspectateur de France : d’abord, parce que mes horaires de travail me permettent très
difficilement de regarder la télévision et puis, d’une façon générale, et cela depuis bien
des années, je tiens à ménager mon équilibre nerveux.
L’ORTF, qu’on le veuille ou non, c’est la voix de la France, c’est considéré comme tel à
l’étranger et c’est considéré comme tel par le public.
1985
FRANÇOIS MITTERRAND : J’ai décidé, et le gouvernement avec moi, la libération, oh ! le
terme est un peu excessif peut-être, des ondes, car elles n’étaient pas prisonnières, mais
en fait d’élargir d’une façon considérable, les télévisions privées.
1986
FRANÇOIS LÉOTARD : TF1 sera privatisée, l’importance de son audience lui permettra de
faire face à la concurrence tout en supportant un niveau d’obligation de contribution à la
création au moins égal au niveau actuel.
FRANÇOIS MITTERRAND : Une deuxième décision : Canal Plus. Ils vont atteindre sans doute
800 000 abonnés à la fin de l’année, c’est une grande réussite.
VOIX OFF : Novembre 1984, André Rousselet lance Canal Plus : près de 4 millions
d’abonnés en France, plus d’un milliard de bénéfices.
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Page 33
FRANÇOIS MITTERRAND : Troisième décision : la création d’un programme éducatif et culturel européen.
1992, Journal télévisé
En France, une nouvelle chaîne de télévision pour les Français. Le gouvernement a en
effet annoncé hier à l’Assemblée qu’il avait décidé d’utiliser son droit de préemption sur
le canal de la 5 et c’est la chaîne Arte qui a été choisie. Quel programme ? Et bien, ce
sera un mix des programmes de la 7 et d’une chaîne culturelle allemande.
JÉRÔME CLÉMENT : La télévision, c’est pas seulement un robinet à reality show, à variétés
ou à jeux télévisés, c’est aussi une façon de voir le monde, d’expliquer, et ce que nous
voulons montrer, c’est qu’on peut utiliser cet instrument d’une façon originale, aussi bien
dans la production que dans la programmation.
1994
VOIX OFF : Il n’y aura ni sport, ni variétés sur la Cinquième, mais une succession d’émissions courtes, une sorte de grand album d’images où chacun ira chercher ce qu’il veut.
Par exemple : les sciences, la médecine, les langues, les nouvelles technologies, l’histoire, les métiers.
FRANÇOIS MITTERRAND : Avec l’arrivée des câbles, des cassettes, des satellites, il y aura
bientôt des dizaines de programmes télévisés qui seront à la disposition des téléspectateurs.
UNITÉ 4
FRANÇOIS MITTERRAND : Une quatrième décision : la concession des deux chaînes privées,
la Cinquième et le Multivilles à dominante musicale.
PRÉSENTATEUR : Passons maintenant à la rubrique tourisme avec Édouard Lambert, notre
spécialiste, qui nous rejoint sur ce plateau.
RÉALISATEUR : Mais on se fout de qui ici ? C’est quoi cette tenue ?
ASSISTANTE RÉALISATEUR : Il était à Megève pour le week-end.
PRÉSENTATRICE : Il est vrai que les grèves n’ont en rien facilité le retour des vacanciers en
ce week-end de février. De forts ralentissements de la circulation se sont fait sentir. Alors,
Édouard, il semblerait que vous en soyez d’ailleurs l’une des victimes.
ÉDOUARD : Absolument Catherine, ce qui explique ma tenue quelque peu décontractée
aujourd’hui.
ASSISTANTE RÉALISATEUR : Les lunettes de soleil quand même, tu trouves pas ?
RÉALISATEUR : Tu m’étonnes ! (au micro, connecté à l’oreillette de l’invité) Édouard, retire
tes lunettes ! Tu nous feras ta star un autre jour.
PRÉSENTATRICE : Alors, Édouard, de quelle genre de vacances allez-vous nous parler
aujourd’hui ?
ÉDOUARD : De voyages organisés, Catherine.
RÉALISATEUR : Édouard, le téléspectateur doit voir tes yeux !
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ÉDOUARD : Mais pour mieux illustrer cette rubrique et vous donner un aperçu de vacances,
nous allons visionner un extrait du film Restons groupés, une comédie relatant les mésaventures d’un groupe de touristes dans le sud des États-Unis.
(film)
Fond sonore : L’Amérique, de Joe Dassin
TOURISTE 1 : Vous partez souvent en voyage organisé, vous ?
TOURISTE 2 : Tous les ans, mais cette fois-ci, c’est spécial, c’est notre voyage de noces.
TOURISTE 3 : Moi, c’est mon quatrième et lui, son troisième. Alors j’espère que cette fois,
c’est la bonne.
MATHIAS : Ben bienvenue chez Dream Tour, moi c’est Mathias et je vais être votre guide.
COLLÈGUE DE MATHIAS : Mathias, t’es pas au courant ? Qu’est-ce que tu fais là ?
MATHIAS : Non, quoi ? Ben… qu’est-ce que je fais là ?
COLLÈGUE DE MATHIAS : Mais écoute, c’est la cata, Dream Tour a des ardoises partout, on
se fait virer de tous les hôtels.
MATHIAS : Quoi ?
COLLÈGUE DE MATHIAS : Et moi, ça fait deux jours que je paye tout de ma poche pour pas
affoler les clients.
MATHIAS : Mais arrête, c’est encore une de tes blagues.
COLLÈGUE DE MATHIAS : Mais arrête, arrête, c’est la panique à Paris, il paraît que la boîte
est au bord de la faillite.
MATHIAS : Oui, alors, qu’est-ce qui se passe, Max ?
MAX : Écoute-moi Mathias, tout ce qu’il faut, c’est que tu tiennes deux jours.
MATHIAS : Deux jours ?
MAX : T’inquiète pas, je te jure, tout va s’arranger.
MATHIAS : Et comment je vais faire pour payer les frais, moi ?
MAX : Écoute, tu te démerdes, Mathias, c’est toi qui es sur place. Tu te débrouilles, t’improvises.
TOURISTE 2 : Oh là là ! mes enfants, la largeur des rues, hein, c’est formidable, hein !
TOURISTE 4 : Ce que c’est beau !
TOURISTE 5 : Arrête, c’est mortel !
TOURISTE 2 : Ah non, non, ah non, non, non, non, non, alors là il y a dossier, hein, on va
pas se trimbaler deux semaines dans ce tas de ferraille !
MATHIAS : Pas de panique, l’autocar prévu est en panne, on en récupère un autre à Las
Vegas, voilà. Bon allez, on y va, on est en retard maintenant.
MATHIAS : Oui, c’est Mathias.
MAX : Ah Mathias, oui, oui, oui, oui, tout va bien, tout va bien. Comme prévu dans deux
jours tout sera réglé, oui.
TOURISTE 3: Génial !
MATHIAS : Ouais…
TOURISTE 2 : Organisation générale, il y en a plus, NULLE, allez, NULLE, qualité des
transports, ha ! ha !, voyons, la qualité des transports, NULLE, l’hébergement, ben tiens,
l’hébergement, c’est NUL ! Je remplis le questionnaire de satisfaction.
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MATHIAS : Levez les pieds si vous avez peur de… Encore quelques secondes. 1, 2, 3 !
TOURISTE 2 : Oh là là là là ! Alors là, oui, hein, alors là, ça, ça va en jeter sur la télé 16/9,
hein mamour ?
TOURISTE 3 : Et tes yeux, non, tu t’en sers jamais de tes yeux ?
TOURISTE 3 : Attendez, c’est à moi, ça, qu’est-ce que ça fait là ?
TOURISTE 6 : Mais c’était là.
TOURISTE 3 : C’était au fond de ma valise.
GROUPE DE TOURISTES : Ah, non ! Ah non !!
TOURISTE 2 : Je vous préviens, hein, je filme tout et je porte plainte ! Vous êtes là pour
nous protéger et tous les jours, vous nous enfoncez un peu plus, tous les jours !
TOURISTE 4 : C’était pas normal d’avoir du bol comme ça.
TOURISTE 3 : Ça n’est plus possible, Mathias, ça n’est plus possible. Moi, je veux des
vacances normales comme tout le monde avec les repas à heure fixe, avec les visites prévues et je veux un vrai bus avec une vraie clim.
UNITÉ 5
PRÉSENTATRICE : Ouvrons à présent une page artistique, et plus précisément avec le musée
d’Orsay, qui vient d’acquérir trois nouvelles œuvres, François.
PRÉSENTATEUR : Tout à fait, Catherine, trois œuvres majeures qu’un public averti…
RÉALISATEUR : Et qu’est-ce que tu fais dans cette régie ?
SANDRINE : Qui ? Moi ? Je teste un nouveau fond de teint, je voulais voir ce que ça donnait à l’image. Ben, là, on se rend pas vraiment compte…
RÉALISATEUR : Enlève cette trousse de ma console !
SANDRINE : Et voilà ! Il suffit qu’on soit un tantinet professionnel pour se faire engueuler.
PRÉSENTATRICE : Je vous propose de suivre notre reporter dans les coulisses de ce prestigieux musée situé sur les bords de Seine.
RÉALISATEUR : Ne bouge plus, ne respire plus, un mot, un mouvement, et je te….
ASSISTANTE RÉALISATEUR : Jérôme !
RÉALISATEUR : Quoi encore ?… Le sujet, envoie le sujet !
TOURISTE 3 : Déjà !
TOURISTE 2 : On peut pas laisser passer ça, ce type est un incapable, il faut l’empêcher de
nuire !
TOURISTE 3 : Mais… c’est de la délation !
TOURISTE 2 : Mais pas du tout ! Pas du tout ! J’estime que je fais mon devoir de touriste,
excuse-moi !
(reportage)
FEMME 1 : C’est plutôt joli, enfin… c’est harmonieux, c’est… il y a que le public qui ne
me plaît pas, mais à part ça, c’est très bien.
FEMME 2 : Je regarde beaucoup les gens. Les gens mettent aussi des couleurs, des
taches, à chaque fois je vois les tableaux que j’aime différemment, comme les gens. Les
premières personnes que j’ai vues ce matin, ils venaient au musée pour la première fois.
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Ils me touchent aussi parce qu’il y en a qui disent : « Ah ! On n’est là que pour une fois
dans notre vie, il faut qu’on voie tout, tout, tout ! » Les pauvres ! Les pauvres !
HOMME 1 : Puis, j’ai une carte, donc je peux venir au musée d’Orsay tous les jours. Ici, la
température, c’est toujours pareil, parce qu’on protège les œuvres d’art. Et nous, nous, on
est en quelque sorte une œuvre d’art aussi. Et quand on arrive dans le musée, on oublie
ses soucis, et dès qu’on ressort dehors, les soucis, ils reviennent, mais on est quand
même resté deux heures sur vingt-quatre sans soucis.
FEMME 2 : Vous savez, c’est un vieil amour pour moi, ce musée. J’y dansais quand j’étais
jeune, c’était en 44 quand les Alliés sont arrivés. Les soldats étaient logés au musée là,
au musée
HOMME 1 : Il y a un tableau qui s’appelle Les Glaneuses, ben c’est un tableau que… que
j’ai vécu personnellement. J’ai fait les… cette chose-là, de glaner.
FEMME 2 : Là, je me fais le cadeau, je vais jusqu’au bout et je me retourne vers mon petit
bonhomme. Là, on peut parler de choc, de vrai choc, c’est vraiment notre enfance, résumée. Incroyable. C’est un tableau silencieux !
FEMME 1 : J’aime vraiment beaucoup les impressionnistes, et je vous dis, je ne suis pas
très très qualifiée en peinture.
FEMME 2 : Vous auriez commandé ça, vous ?
FEMME 1 : Je trouve ça magnifique, ça ne vous plaît pas ?
FEMME 2 : Moi, je trouve ça complètement ridicule, mais ça me plaît dans le ridicule.
FEMME 1 : On n’a pas les mêmes goûts.
HOMME 2 : J’adore cette stèle, cette sculpture. Camille Claudel qui s’est dépeint en
essayant de se raccrocher à l’homme de sa vie finalement, l’homme qui l’abandonne, il
s’en va, il la quitte là. Moi, ça m’émeut. Mais voyez, c’est la détresse de cette femme qui
me touche, ce qu’elle a supporté pendant de longues années ensuite, écrasée par sa
famille, enfermée dans un asile de fous, c’est terrible. Il faudrait prendre quelque chose
de plus gai.
FEMME 2 : Regardez s’il est beau, mais il est formidable, cet ours !
JEUNE HOMME 1 : C’est marrant ses yeux !
JEUNE HOMME 2 : Ouais.
JEUNE HOMME 1 : La peau tirée vers le front.
JEUNE HOMME 2 : Ouais.
HOMME 1 : De toute façon, c’est un animal qui… qui marche. Les jambes arrières, l’ours,
il est en train de… presque de courir. Par contre, les deux jambes avant, et ben, il est
presque arrêté là. C’est vraiment spécial, hein, comme ours. Normalement, il y a des
moustaches aussi là.
UNITÉ 6
PRÉSENTATEUR : De l’art à l’histoire, il n’y a qu’un pas, que nous franchirons en compagnie
de notre invité, le professeur Jean Philibert, historien, maître de conférences à l’université Paris IV, et auteur d’un essai sur la Commune.
RÉALISATEUR : Tu le trouves pas un peu maniéré, et sacrément branché pour un historien ?
ASSISTANTE RÉALISATEUR : T’as toujours eu un petit côté conservateur.
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PRÉSENTATEUR : Jean Philibert, bonjour !
INVITÉ : Je m’appelle Antoine Colbert.
PRÉSENTATEUR : Ah ! c’est probablement une erreur de fiche, mais rassurez-nous, vous
êtes bien historien ?
INVITÉ : Pas du tout.
RÉALISATEUR : Ah ! j’en étais sûr, je sais pas pourquoi, mais j’en étais sûr, ah ! Quelqu’un
peut me dire ce que ce guignol fait sur le plateau ?
INVITÉ : On m’a invité pour parler de mon travail : plasticien décorateur.
PRÉSENTATEUR : Eh bien, si la régie veut bien lancer le sujet prévu, nous… nous allons tenter de remédier à ce petit désagrément.
RÉALISATEUR : T’as raison, Gaston ! Ah ! ah ! ah !
FEMME 1 : Dès cinq heures du matin, les mères sont là, les pauvres, avec leurs enfants sur
les bras, des enfants qui pleurent, mais c’est triste, vous savez, les gens n’ont pas mangé
pendant le siège, ils ont mangé des rats, des… des racines, mais c’est affreux ce qu’ils
ont vécu.
HOMME 1 : La révolution de 89, c’était une révolution de bourgeois, ça a rien changé pour
les gens comme nous. Pareil : les travaux du baron Haussmann dans les beaux quartiers.
Ah, oui ! On passe devant les vitrines, il y a des splendides costumes, des jambons qui
pendent au plafond, mais c’est pour qui, ça ? Nous, on n’aurait pas assez de trois vies de
dur labeur pour se payer ces choses-là. Nous, on est là, dans la même misère que toujours. Et ça, je veux pas que mes enfants ils aient à vivre ça toute leur vie. C’est pour ça
que je veux faire quelque chose, je sais pas encore quoi, mais participer à la Garde nationale, je pense que c’est un bon début.
(film)
(Texte écran)
En juillet 1870, l’empereur Napoléon III entreprend une guerre contre la Prusse qui se
termine par un échec et provoque sa chute. Au cours des six mois de siège par les
Prussiens, les Parisiens ont enduré le froid et la faim. Le taux de mortalité a doublé. Les
nombreux chômeurs s’engagent dans la Garde nationale.
(Texte écran)
La Garde nationale est une armée populaire locale qui fonctionne sur un mode démocratique. Elle constitue un véritable contre-pouvoir politique face au gouvernement de
Thiers.
Le 18 mars 1871, Thiers envoie son armée reprendre les canons détenus par la Garde
nationale à Montmartre : il veut empêcher que ces armes soient utilisées contre le gouvernement.
FOULE : Ces canons sont à nous ! Ces canons sont à nous !
MILITAIRE : C’était une dernière sommation ! Nous allons faire usage de la force !
Dispersez-vous !
FEMME 2 : Moi, je suis catastrophée, la guerre vient de finir, c’est la paix et puis d’un seul
coup, ça éclate, je comprends pas pourquoi.
FEMME 3 : J’ai très peur, je suis inquiète, je trouve que ça frise la guerre civile.
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(Texte écran)
Devant la pression populaire, le gouvernement de Thiers a fui à Versailles. La Garde nationale prend alors le pouvoir : elle s’installe à l’Hôtel de Ville, occupe les ministères et prévoit la tenue d’élections d’une Commune de Paris le 26 mars.
FEMME 4 : Maintenant, il faut constituer un gouvernement populaire composé… d’ouvriers et de révolutionnaires, c’est-à-dire des gens comme nous qui souffrent et qui,
effectivement, peuvent donner au peuple les moyens de se… de prendre son destin en
main, de se gouverner lui-même et d’acquérir une autonomie pour sortir définitivement
de l’esclavage dans lequel on est plongé.
REPORTER HOMME : Derrière cette porte, il y a un couloir et au bout de ce couloir se trouve
la salle où se réunissent actuellement une vingtaine de membres du comité central de la
Garde nationale, dont Édouard Moreau.
REPORTER FEMME : Et oui, la Garde nationale n’a aucune intention de conserver le pouvoir
et met tout en œuvre pour organiser des élections mercredi prochain.
FEMME 5 : Y en a assez ! Y en a assez ! On a gagné !
HOMME 2 : On a gagné ! On a gagné !
HOMME 3 : Oh ! Quelle belle journée, je suis heureux, tu sais, tout, tout va changer !
FEMMES : C’est formidable, c’est magnifique, tout va changer et enfin Paris est à nous !
FEMME AVEC ENFANT : Vive la France !
ÉLUS DE LA COMMUNE : Paix et travail, c’est là que réside notre avenir. La commune que
nous fondons ici sera le modèle de toutes les communes.
TOUS : Aux armes, citoyens !
Formez vos bataillons !
Marchons, marchons !
Qu’un sang impur...
Abreuve nos sillons !
UNITÉ 7
SANDRINE (en régie) : Je t’assure qu’un bon massage facial te fera du bien.
RÉALISATEUR : Mais fiche-moi la paix ! Je suis parfaitement calme !
SANDRINE : Et puis ça va te retendre un peu la peau du visage, regarde-moi comme elle
est fatiguée, cette peau !
RÉALISATEUR : C’est toi qui me fatigues !
ASSISTANTE RÉALISATEUR : Mais Sandrine, qu’est-ce que tu fais là, on te cherche partout !
SANDRINE : Qui moi ?
ASSISTANTE RÉALISATEUR : Tu passes à l’antenne dans quinze secondes ! C’est bien toi qui
animes la rubrique santé-beauté, non ?
SANDRINE : Han ! Mon Dieu ! Ce que je suis gourde parfois !
RÉALISATEUR : Oui, et c’est pas peu dire, hein !
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(reportage)
VOIX OFF : Aujourd’hui, un homme sur quatre met une crème tous les jours. Le marché
des cosmétiques masculins explose : plus 60 % en un an.
Éric vient tous les mois se faire bichonner dans un institut de beauté.
ÉRIC : Très agréable.
VOIX OFF : Son programme : nettoyage de peau et hydratation, pour un budget de 120
euros. Une coquetterie qu’il revendique.
ÉRIC : Je ne cache pas dans mon agenda les rendez-vous à l’institut. Je lis parfois des
sourires narquois, j’adore m’engouffrer dans la discussion et démontrer que j’assume
totalement ce plaisir et j’ai la conviction que le tabou, les suspicions de manque de virilité ou de dimension féminine dans la démarche sont en train de tomber.
VOIX OFF : Les tabous tombent, mais pas les masques.
ESTHÉTICIENNE : Ça va être un petit peu froid.
VOIX OFF : Dans cet institut pour femmes, 5 % des clients sont des hommes, une clientèle
qui n’existait pas il y a encore deux ans. Pas forcément bronzés, ni toujours musclés, les
hommes sont en train de découvrir la tyrannie de l’apparence.
PROFESSEUR BEAULIEU : Les hommes, un jour, en se regardant devant la glace, prennent
brutalement conscience de leur vieillissement, se disent : « Comment ? J’ai cette tête,
c’est pas possible, il faut faire quelque chose ».
VOIX OFF : Claude Marin peut se vanter d’avoir conservé un joli swing. Oui, mais ce que
vous ne savez pas, c’est que ce PDG encore actif a un petit secret de bien-être. Contacté
il y a un an par le professeur Beaulieu, Claude Marin a accepté de tester la nouvelle molécule anti-vieillissement, la célèbre DHEA.
CLAUDE MARIN : Je crois pas que ce soit une espèce de… une jouvence miraculeuse, le
coup du docteur Faust, le retour à l’éternelle jeunesse, pas du tout, mais j’ai le sentiment
de vieillir bien et c’est déjà formidable.
Je crois que le corps est un moyen de transport, est d’abord un moyen de transport. Le
négliger est une bêtise, c’est même un peu scandaleux.
PRÉSENTATEUR : Passons maintenant à une rubrique plus légère, mais qui concerne néanmoins beaucoup d’hommes aujourd’hui, le… (Sandrine trébuche et ses produits de
beauté s’éparpillent sur la table.)
SANDRINE : On n’a pas idée de laisser traîner des câbles partout !
PRÉSENTATEUR : Vous êtes sur un plateau de télévision, Sandrine !
PRÉSENTATRICE : Et bien, en attendant que notre charmante maquilleuse, aujourd’hui
chroniqueuse, se remette de ses émotions, je vous propose que nous commencions
directement cette rubrique par notre prochain sujet.
UNITÉ 8
PRÉSENTATEUR : Retrouvons à présent Stéphane Louvier, notre correspondant à Édimbourg
à quelques jours de l’éclipse qui devrait être la plus… (Le plateau est plongé dans le
noir.)
RÉALISATEUR : Oh ! Non, c’est quoi encore ? Ici la régie, on peut savoir ce qui se passe ?
Quelqu’un peut me répondre ?
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TECHNICIEN : C’est une panne !
RÉALISATEUR : Non ? sans blague ? Il y en a pour longtemps ?
TECHNICIEN : Ben, on cherche !
RÉALISATEUR : Oui, ben, en attendant, trouvez-moi une solution et vite ! Avec un abruti
pareil, on va de surprise en surprise.
ASSISTANTE RÉALISATEUR : Ben, tu crois pas si bien dire ! (Faible éclairage sur le plateau)
PRÉSENTATRICE: Chers téléspectateurs, en attendant que nos techniciens rétablissent le
courant, je propose que nous regardions notre prochain sujet.
(document)
(Texte écran)
Elle est bleue, elle est belle, surtout elle est petite.
Et nous ne la quitterons pas.
Albert Jacquard
VOIX OFF : Cela a peut être commencé comme ça, dans le fracas et la tempête.
VOIX OFF ENFANT : Bleue comme la mer, blanche comme la neige, elle tourne jour et nuit.
Le soleil la réchauffe, elle revit sous la pluie. Ronde comme une orange, belle comme
une image, elle tourne, elle tourne, elle tourne.
VOIX OFF HOMME : 6 milliards à vivre dans d’immenses mégalopoles : Tokyo, Lagos,
Bombay, Le Caire, Sao Polo, Shanghai.
Par un coup de vent formidable, un soir de Noël, la nature se rappelle à l’homme. En
France, des forêts entières sont ravagées. Par un autre coup de vent encore plus formidable, elle réaffirme sa puissance. Un cyclone du nom de Mitch traverse le Honduras,
balaie le golfe du Mexique, soulève maisons et bateaux. En Turquie, la terre tremble, ce
n’est ni la première, ni la dernière fois. Là, une ville entière est détruite.
VOIX OFF ENFANT : Tu me montres la terre, tu me dis que tout recommence toujours, la vie
après la mort, la paix après la guerre, l’ordre après le chaos. Tu me dis que c’est le cosmos qui commande. Je te réponds que la terre est belle, vue du ciel. Tu me dis encore,
oui, regarde, rêve, la terre est une musique faite de rires et de larmes, elle est une étoile
dans le ciel.
Elle tourne, elle tourne, elle tourne.
UNITÉ 9
PRÉSENTATEUR : Et bien, chère Catherine, passons maintenant à notre dossier. (écho)
RÉALISATEUR : Oh ! c’est pas vrai, c’est la journée ! mais qu’est-ce qui se passe encore ?
PRÉSENTATRICE : Notre dossier du jour concerne ces nouvelles technologies qui nous rendent sans cesse la vie plus confortable dans notre environnement quotidien.
PRÉSENTATEUR : En effet, Catherine, grâce à ces nouvelles technologies, la maison est
devenue… (écho)
RÉALISATEUR : Non, on veut ma peau… Oh ! C’est sûr ! Quelqu’un veut ma peau !
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La maison du futur se trouve au bout du quai sur l’île d’Odaiba. De l’extérieur, elle a
l’aspect d’une simple maison cossue, mais elle est bourrée d’électronique. À l’entrée, la
carte à puce reconnaît la personne et ouvre la porte. Tout est contrôlé par ordinateur.
L’énergie distribuée dans la maison est régulée selon l’occupation des pièces. Les écrans
de télévision offrent bien sûr une centaine de chaînes mais permettent aussi de voir ce
qui se passe dans chaque pièce et autour du bâtiment. Sécurité d’abord, mais aussi
respect de l’environnement : la salle de bains devient une oasis où les écrans vous
transportent dans des paysages de rêve. Position de douche assise pour les grandsparents qui vivront aussi dans cette maison familiale. Maison du moindre effort : même
le siège des toilettes se soulève tout seul. La batterie de cuisine se présente d’elle-même
quand la ménagère se met à l’œuvre et les placards sont faits pour occuper le moins
d’espace possible. Les recettes de cuisine sont sélectionnées sur l’écran mais sont interrompues par l’image de celui qui sonne à la porte.
Dans la chambre des enfants, le piano se joue sur écran mural et occupe ainsi moins
d’espace. À l’étage, les capteurs solaires fournissent 80 % de l’énergie qui fait fonctionner la maison et surtout, la terrasse est un jardin.
(reportage)
VOIX OFF : Faites travailler un peu votre imagination, vous êtes en 2030, vous rentrez du
boulot, c’est votre chien virtuel qui, après vous avoir identifié, vous ouvre la porte. Le mur
du hall vous projette les images des membres de votre famille qui cherchent à vous joindre. La lumière s’allume toute seule et votre robot aspirateur vous accueille gaiement. La
table du séjour vous permet de sélectionner les communications que vous souhaitez établir et en quelques secondes, votre interlocuteur apparaît sur la fenêtre virtuelle.
En France, les ingénieurs d’EDF réalisent un travail de prospective comparable. Partant
du principe que 90 % des logements qui seront utilisés en 2030 sont déjà construits
aujourd’hui, ces ingénieurs essaient d’imaginer les équipements nouveaux qui devraient
améliorer le confort tant sur le plan psychologique que sensoriel.
Exemple d’innovation : le sas de livraison. Aujourd’hui déjà, vous pouvez commander des
courses par Internet mais vous devez être présent pour la livraison. Demain, le livreur
chargera les marchandises dans trois tiroirs, pour surgelés, produits réfrigérés ou température ambiante. Le livreur n’accède qu’à l’extérieur de l’appartement, le déchargement
se fait par l’intérieur. Les tiroirs ne pouvant s’ouvrir que d’un côté à la fois, la sécurité est
garantie. Un lecteur de codes-barres gère vos stocks et peut même passer automatiquement une nouvelle commande.
UNITÉ 10
PRÉSENTATRICE : Il semblerait que nous ayons un petit problème de retour avec votre micro
(écho).
PRÉSENTATEUR : Allô, la régie ? La régie, vous m’entendez ? Allô !
RÉALISATEUR : Demande-lui de se taire, ou je fais un malheur !
ASSISTANTE RÉALISATEUR : J’envoie le prochain sujet, ça calmera les humeurs !
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(film)
FRANCK : Salut, maman !
MÈRE : Bonjour, mon grand. Ça va ? Tu as fait un bon voyage ?
FRANCK : Ouais.
MÈRE : Ben, tu dis pas bonjour à ton fils ?
FRANCK : Salut, papa.
PÈRE : Bonjour, mon grand.
PÈRE : Salut Patrick, tiens je te présente mon fils, il va faire les… il va faire un stage dans
les bureaux.
PATRICK : Ah, oui, c’est bien, ça.
DRH* : Je vous présente Franck Verdot, monsieur Rouet, notre stagiaire.
DIRECTEUR : Restez assis, restez assis.
FRANCK : Bonjour, Monsieur.
DIRECTEUR : Bonjour.
DRH : Écoutez, on entamait le dossier des 35 heures.
Directeur : Grand sujet, ça ! Qu’est-ce que vous en pensez ?
FRANCK : Il est sûr que l’organisation du temps de travail doit être repensée globalement :
on travaillera moins, donc il faudra travailler mieux. Moi, je vois ça comme un défi,
comme un challenge et je le trouve d’autant plus excitant que justement, c’est pas gagné
d’avance.
DIRECTEUR : Et bien, c’est parfait, nous allons gagner ça ensemble !
SECRÉTAIRE : Non, mais attends, où tu vas là ?
FRANCK : J’ai besoin d’un ordinateur et j’ai pas le temps là, d’attendre.
SECRÉTAIRE : Mais… c’est son ordinateur personnel !
FRANCK : Betty, c’est vous qui avez tapé cette lettre ? C’est une lettre à l’inspection du travail, ils virent 12 personnes.
SECRÉTAIRE : Ils virent ton père ! Mais… ils t’avaient même pas prévenu ?
FRANCK : Non.
PÈRE : Le patron, qu’est-ce qu’il t’a dit ?
FRANCK : Il était ravi, il m’a même proposé un poste.
PÈRE : Mais c’est formidable, ça ! Pourquoi tu l’as pas dit plus tôt ? Allez, on va ouvrir une
bouteille, hein ?
FRANCK : T’ouvres rien du tout, parce que moi on m’embauche, toi on te jette. Ta
machine, elle saute, toi tu sautes avec. T’es vieux, c’est fini.
DIRECTEUR : Comment ça se fait ?
OUVRIER : La porte est bloquée.
DIRECTEUR : Vous allez voir !
OUVRIÈRE : Attends Jeannot ! Tu vas pas continuer à bosser, non ?
OUVRIER : Tes enfants là, ils prennent des risques et toi, tu fais rien !
*DRH : directeur des ressources humaines.
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FRANCK : Arrête ! Hé ! Ho ! Tu me fais honte, tu comprends? Tu me fais honte, mais c’est
pas grave, parce que la honte, je l’ai depuis tout petit, la honte d’être ton fils, la honte
d’être le fils d’un ouvrier, puis la honte aujourd’hui d’être un étudiant qui a honte d’être
fils d’un ouvrier.
FEMME : Eh ! Il y a pas de quoi avoir honte, hein ?
FRANCK : Mais c’est à lui qu’il faut dire ça, c’est pas à moi, c’est lui qui m’a mis ça dans
la tronche !
OUVRIÈRE : Faut pas exagérer, non.
FRANCK : La honte de sa classe ! Je serai jamais ouvrier, j’aurai un travail intéressant, je
gagnerai de l’argent, j’aurai des responsabilités, j’aurai le pouvoir, le pouvoir de te parler
comme je te parle maintenant, le pouvoir de te virer si je veux comme on te vire maintenant.
PRÉSENTATEUR : Eh bien, ce n’est pas sans mal que nous terminons ce journal.
PRÉSENTATRICE : Chers téléspectateurs, j’espère que vous nous excuserez pour tous ces
désagréments.
PRÉSENTATEUR : Madame, Mademoiselle, Monsieur…
PRÉSENTATRICE : …bonsoir !
J’ai cru que… on ne viendrait jamais à bout de ce journal, à croire que ce réalisateur le
faisait exprès !
PRÉSENTATEUR : Ah ! Ah ! Tu appelles ça, un réalisateur, toi ? Ben je te trouve bien indulgente. C’est un bon à rien, oui !
ASSISTANTE RÉALISATEUR : Tu te fais du mal, Jérôme, tu devrais couper le retour plateau.
RÉALISATEUR : Au point où j’en suis…
ASSISTANTE RÉALISATEUR : Je suis sûre qu’il pense pas ce qu’il dit.
PRÉSENTATRICE : Je crois que c’est le pire journal de ma carrière.
PRÉSENTATEUR : Rassure-toi, celle de ce réalisateur va s’arrêter là, tu peux me faire
confiance.
PÈRE : Coucou ! Un, deux, trois, coucou !
ENFANT : Un, deux, trois, coucou !
OUVRIER : Alors, qu’est-ce que tu vas faire maintenant ?
FRANCK : Je prends le train demain, je rentre à Paris.
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Première partie :
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UNITÉ 1
1. C’est un journal télévisé parce qu’il y a un titre pour le lancer, deux présentateurs, un
plateau de télévision et une image graphique en arrière-plan caractéristique de ce type
d’émission.
2. Elle maquille les présentateurs.
3. c : Nous sommes dans la régie du journal télévisé.
4. Les deux personnes sont le réalisateur et son assistante.
5. b et c : Il est furieux et il est en colère contre quelqu’un.
6. Ils annoncent le sujet du reportage.
7. c : La jeune fille (Sandrine) est maquilleuse.
8. Non, elle ne devrait pas être sur le plateau.
9. a : Le journal a commencé.
10. Il est en colère parce que la maquilleuse ne devrait pas être là, vu que le journal a
commencé.
11. Il parle de Sandrine de façon méprisante : « celle-là », « gourde » (bête, maladroite).
12. b et c : C’est macho et méprisant.
13. Il reproche aux femmes de ne jamais être là quand on a besoin d’elles et d’être là
quand il ne faut pas.
14. b : Vous n’avez rien dans la tête.
15. Parce qu’il a oublié de fermer son micro.
16. Elle lance une rubrique sur la condition de la femme en milieu professionnel.
1. C’est une femme de couleur, elle est jeune, elle a l’air dynamique.
2. Elle travaille dans les cuisines d’un restaurant.
3. Elle est chef de cuisine.
4. Elle travaille avec des cuisiniers.
5. Oui.
6. Sénégal / 30 ans / chef de cuisine dans un grand restaurant parisien
7. C’est un challenge parce que ce n’est pas évident d’être chef de cuisine pour une
jeune femme d’origine étrangère ; c’est un métier où l’on trouve surtout des hommes.
8. Elle s’adresse aux cuisiniers.
9. Elle organise le travail, elle donne des ordres.
10. On voit deux cuisiniers et une cuisinière.
11. Elle utilise ses origines dans sa cuisine.
12. Non, mais elle sait se faire obéir.
13. Elle a son caractère, il ne faut pas l’embêter.
14. Elle dit qu’elle est une peste.
15. Elle aurait voulu travailler dans l’armée.
16. Comme dans l’armée, le travail en cuisine est très hiérarchisé, il y a un cadre bien
défini et c’est dur.
17. Parce qu’il lui a donné son poste de chef de cuisine.
18. PDG
19. « Une grande maison » est un restaurant prestigieux.
20. c : On dépasse les préjugés.
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Deuxième partie :
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21. Certains clients sont partis mais d’autres sont arrivés.
22. Non, parce que cela s’équilibre.
23. Ils sont arrivés il y a presque 50 ans.
24. Elle a passé son enfance dans un milieu modeste, en région parisienne.
25. Elle a six frères et sœurs.
26. Sa mère lui a appris les bases de la cuisine, elle lui a transmis la passion de la cuisine.
27. Elle est très fière de sa fille.
UNITÉ 2
Première partie :
1. b : Ils lisent le prompteur.
2. a et c : Il est mal à l’aise. Visiblement, il a un problème avec la présentatrice.
3. Le prompteur va trop vite.
4. Normalement, c’est le présentateur mais ici, la présentatrice appuie sur son pied pour
l’accélérer.
5. a, b et c : Les trois solutions sont possibles !
6. Il parle de la Saint-Valentin.
7. C’est la fête des amoureux.
8. Elle a lieu le 14 février.
9. Les reportages portent sur l’amour.
10. C’était leur anniversaire de mariage et le présentateur l’a oublié.
11. Elle coupe la parole au présentateur et elle appuie sur la pédale du prompteur pour
faire défiler le texte plus rapidement (et empêcher le présentateur de le lire).
12. Oui.
13. Parce qu’il n’arrive plus à lire le prompteur qui défile trop vite.
14. c, d, a, b
Deuxième partie :
1. Réponse libre.
2. Sa musique est plutôt poétique, mélancolique.
3. a : C’est une situation d’urgence.
4. Il voulait échapper à toute méthodologie, à toute habitude.
5. b : À force de faire les choses, on prend des habitudes.
c. À force de faire les choses, c’est difficile de se renouveler.
6. b : Le plus important est de faire une tournée, de faire de la scène pour rencontrer les
gens.
Troisième partie :
1. Les couleurs dominantes sont le noir, le blanc, le jaune et le rouge.
2. L’atmosphère est poétique, douce, en demi-teinte, mélancolique, nostalgique.
3. La chanson porte sur l’amour en crise.
4. Il parle de la femme aimée.
5. La guitare et le bandonéon.
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6. blocus, plus de communication, crise
7. b, c, a
8. Oui, il est prêt à tenter de voir l’invisible, à écouter les silences de celle qu’il aime, à
accepter ses moments de folie, ses colères, à perdre un peu de sa vie.
9. je verrai / j’essaierai / j’essuierai / j’attendrai
10. yeux, deux, jeu
11. embargo, lego, gros, cargo, morceaux
12. Il refuse le mot « fin », il le fuit à jamais.
13. Parce qu’il refuse la fin de son histoire d’amour.
14. Réponse libre.
15. Réponse libre.
UNITÉ 3
Première partie :
1. c : Elle annonce le salon de la presse et des médias.
2. b : Il est furieux.
3. Les présentateurs et l’assistante du réalisateur.
4. Parce que le réalisateur avait suggéré de terminer avec un reportage sur la naissance
des bébés tigres au Parc de la Tête d’Or (zoo à Lyon).
5. Pendant la conférence de rédaction.
6. a et c : Ils voulaient faire plaisir au réalisateur et ménager sa susceptibilité.
7. b : qu’on le prévienne
8. Pour l’assistante du réalisateur, il est malhonnête.
1. Parce qu’en 1963, la télévision était en noir et blanc.
2. C’est le général De Gaulle, président de la République de 1959 à 1969.
3. b : Il s’agit d’une inauguration.
4. C’est un bâtiment circulaire avec une tour au milieu.
5. C’est la Maison de la Radio.
6. b : On fête l’installation de la RTF dans un nouveau bâtiment.
7. Elle était publique.
8. c, a, d, b
9. b et c : Parce qu’il veut préserver son équilibre nerveux et parce qu’il travaille beaucoup.
10. Oui.
11. b : Il était président de la République (1981-1995).
12. c : C’est une conférence de presse.
13. b : Nous sommes à l’Assemblée nationale.
14. a et b : Il annonce qu’il va libérer les ondes pour créer des télévisions privées.
15. b : François Léotard, ministre de la Culture et de la Communication, annonce la privatisation de TF1 qui était la première chaîne publique.
16. TF1 devra financer la création au même niveau qu’avant.
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Deuxième partie :
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17. La deuxième décision concerne Canal +.
18. Cette chaîne a des abonnés, ce qui veut dire qu’elle est payante
19. Elle a 4 millions d’abonnés.
20. Elle a fait un milliard de bénéfices.
21. Elle a été lancée par André Rousselet.
22. Il annonce la création d’un programme éducatif et culturel européen.
23. Il annonce la création d’une nouvelle chaîne de télévision.
24. Oui.
25. Arte.
26. La chaîne proposera un mélange des programmes de la 7 (chaîne culturelle) et d’une
chaîne culturelle allemande.
27. C’est le directeur d’Arte.
28. La télévision peut être une façon de voir et d’expliquer le monde.
29. Il n’y aura pas de reality show, de variétés ni de jeux télévisés.
30. Il veut utiliser la télévision d’une façon originale.
31. D’après les images, c’est une chaîne culturelle, qui va proposer des documentaires
(sur l’histoire, les arts…).
32. c et d : sciences et histoire.
33. La Cinquième.
34. C’est une chaîne à dominante éducative.
35. Elle traitera de science, de médecine, de langue, des nouvelles technologies, d’histoire et des métiers.
36. TNT : Télévision numérique terrestre, i-télé, la 5
La 3 (Régions) Paris, Île-de-France, Centre
La 4
2 3 4 5 Ô France télévisions, les télés publiques
37. Les cassettes, le câble, les satellites vont se développer et permettront l’accès à des
dizaines de programmes télévisés.
UNITÉ 4
Première partie :
1. C’est un homme jeune. Il porte un bonnet, un anorak et des lunettes de soleil.
2. Il pratique le ski.
3. Il s’appelle Édouard Lambert.
4. Il arrive de Megève et il y avait des embouteillages au retour des vacances.
5. Il lui demande d’enlever ses lunettes.
6. Non, il enlève son bonnet.
7. Édouard va parler des voyages organisés.
8. Il lui demande à nouveau d’enlever ses lunettes.
9. Restons groupés.
10. L’action se déroule dans le sud des États-Unis.
11. Les personnages sont des touristes français.
Deuxième partie :
1. La première image montre un avion qui décolle.
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2. La première scène se passe dans l’avion.
3. On voit un couple et une jeune femme.
4. La personne qui accueille le groupe est un guide (on le reconnaît à sa pancarte et on
peut lire sur son tee-shirt : « I am your guide », qui signifie « je suis votre guide » en
français).
5. Elle demande au couple s’ils partent souvent en voyage organisé.
6. Oui.
7. Non.
8. Oui.
9. Parce qu’ils ont déjà fait plusieurs expériences de mariages qui ont échoué.
10. Il s’appelle Mathias.
11. a : C’est un guide comme lui.
12. a et b : Il lui apprend que la société Dream Tours a fait faillite et qu’elle doit de
l’argent partout.
13. Non, il ne le croit pas.
14. a : C’est une plaisanterie.
15. a et b : Il téléphone à Dream Tours, à son patron.
16. Il lui demande de tenir deux jours.
17. Il ne sait pas comment il va payer les frais : hôtel, transport…
18. Ils admirent la largeur des rues.
19. Il proteste parce qu’il ne veut pas rouler pendant 15 jours dans ce vieux bus.
20. Mathias leur dit que le bus prévu est en panne et qu’ils changeront de bus à Las
Vegas.
21. Max se trouve dans une voiture de police : il a été arrêté.
22. Il lui fait croire que, dans deux jours, tout sera arrangé et que tout va bien.
23. Il remplit le questionnaire de satisfaction.
24. Il pense que tout est nul.
25. Elle trouve que c’est un peu tôt pour juger.
26. Il pense que c’est un incapable et qu’il faut l’empêcher de nuire, c’est-à-dire de
continuer son métier de guide.
27. Non, elle dit à son mari que c’est de la délation, qu’il dénonce à tort Mathias.
28. Ils ont des sacs en papier pour avoir un effet de surprise en découvrant le paysage.
29. Ils courent vers le bus parce qu’ils voient toutes leur affaires éparpillées sur le sol
devant le bus.
30. Un touriste menace Mathias, sa femme manifeste de la lassitude et tombe dans les
bras du guide et la touriste assise pleure.
31. Oui, car ils poussent tous un « Oh ! » admiratif en découvrant le paysage. Le touriste
semble avoir un seul objectif : projeter le panorama sur sa télévision grand écran pour
impressionner.
32. b : Ils courent vers le bus parce que leurs valises ont été fouillées et volées.
33. b : Le touriste le menace de porter plainte.
34. Elle veut des vacances normales, des repas à heure fixe, les visites prévues, un vrai
bus avec une vraie climatisation.
35. Oui, ils ont le sourire et se quittent en s’embrassant.
36. Comme ils s’embrassent, on peut en déduire que certains restent sur place, les
autres rentrent en France. (On a un nouveau plan sur le départ de l’avion.)
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UNITÉ 5
Première partie :
1. Ils ont l’air content.
2. Sandrine, la maquilleuse.
3. Non : une maquilleuse ne travaille pas en régie.
4. Elle lui parle de maquillage.
5. Non, il n’a pas l’air très content.
6. Elle la pose sur la console.
7. L’éclairage est déréglé, il y a des variations de lumière.
8. b : La présentatrice annonce une rubrique artistique.
9. Réponse libre : le Louvre, Beaubourg, le musée d’Orsay sont les plus connus.
10. c : Le musée d’Orsay vient d’acquérir trois œuvres.
11. b : Elle teste un nouveau produit (un fond de teint).
12. L’éclairage du plateau est déréglé.
13. b : Il suffit d’être un peu professionnel pour se faire disputer.
14. Il se trouve sur les bords de Seine.
15. « Ne bouge plus, ne respire plus. »
Deuxième partie :
1. On voit une horloge, une verrière, des œuvres d’art, des touristes…
2. Il est bien conçu, clair, harmonieux.
3. Libre.
4. Il y a des touristes, des gens très divers, ils ont des appareils photo.
5. Elle trouve le lieu joli et harmonieux.
6. Elle n’aime pas le public.
7. Oui. La 2e femme regarde les tableaux mais elle observe aussi les gens. Ils mettent
dans son regard des taches, des couleurs qui modifient à chaque fois sa façon de voir les
tableaux.
8. Elles l’ont touchée parce qu’elles venaient pour la première fois au musée et elles voulaient tout voir.
9. C’est très difficile, il y a trop d’œuvres.
10. Réponse libre.
11. Certains visiteurs imitent l’attitude des statues, comme la jeune femme blonde
assise. L’homme à l’appareil photo, lui, se contorsionne : il cherche le meilleur angle de
vue pour photographier la statue.
12. On peut imaginer qu’elle parle de sa jeunesse.
13. Il peut venir tous les jours parce qu’il a une carte : il est abonné.
14. La température constante permet de préserver les œuvres d’art.
15. Pour lui, les hommes sont en quelque sorte des œuvres d’art.
16. Il aime venir au musée parce qu’il oublie ses soucis pendant deux heures.
17. Elle le connaît depuis longtemps parce qu’elle y est venue en 1944 pour danser.
18. C’était la fin de la guerre, les Alliés (Américains, Anglais) ont libéré Paris.
19. Les soldats.
20. Réponse libre.
21. Réponse libre.
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22. Réponse libre.
23. Elles glanent, elles ramassent le blé qui est resté dans le champ après la moisson.
24. Lui aussi, il a déjà glané.
25. Elle l’aime parce qu’il provoque un choc en elle.
26. Elle va au fond de la salle et elle se retourne.
27. Le petit bonhomme représente son enfance en résumé.
28. La deuxième femme aime les peintres impressionnistes.
29. Pas du tout.
30. L’une la trouve magnifique et l’autre complètement ridicule.
31. La sculpture représente une femme à genoux qui essaie de retenir un homme qui part.
32. C’était une artiste, une sculpteuse (1864-1943). Elle était la sœur de l’écrivain Paul
Claudel et la maîtresse du sculpteur Auguste Rodin.
33. Il est ému par la détresse de la femme, quand il pense à tout ce qu’elle a supporté.
34. Elle a été écrasée par sa famille et enfermée dans un asile de fous.
35. Un ours.
36. Oui, elle la trouve formidable.
37. Les deux jeunes sont étonnés par les yeux et la peau du front de l’ours.
38. Quand on regarde les pattes arrières, on dirait qu’il court et quand on regarde les
pattes avant, on dirait qu’il est arrêté.
UNITÉ 6
1. Réponse libre : L’invité est un homme de 35-40 ans, porte une tenue décontractée et
à la mode. Il a l’air un peu embarrassé. C’est peut-être un artiste qui vient parler de son
œuvre.
2. Apparemment, ce que répond l’invité ne correspond pas aux attentes du présentateur.
3. Le présentateur pose des questions à l’invité sur son nom, son métier.
4. Il a l’air content ou il se moque du présentateur.
5. Il est professeur et travaille à l’université.
6. Il le trouve branché (à la mode) et maniéré.
7. c : Il s’appelle Antoine Colbert.
8. Il pense qu’il s’est peut-être trompé de fiche.
9. En réalité, Antoine Colbert est plasticien décorateur.
10. Le réalisateur était sûr que l’invité n’était pas historien.
11. b : ce rigolo.
12. Il demande de lancer le sujet.
Deuxième partie :
1. Les personnes posent de façon très statique. On voit des hommes, des femmes et des
enfants.
Ils sont habillés avec des vêtements anciens : des coiffes et des jupes longues pour les
femmes, des chemises amples pour les hommes. Le dernier couple a l’air plus aisé :
l’homme porte un costume et un nœud papillon. Ce sont des vêtements caractéristiques
du XIXe siècle.
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2. Napoléon est entré en guerre contre la Prusse. Ce pays n’existe plus : c’est un ancien
état d’Allemagne du Nord. À partir de 1870, son histoire se confond avec celle de
l’Allemagne.
La guerre a commencé en juillet 1870.
Comme Paris a été assiégé par les Prussiens, les Parisiens n’avaient plus de nourriture et
plus de quoi se chauffer.
Le taux de mortalité a doublé.
Les chômeurs s’engagent dans la Garde Nationale.
La Garde nationale est une armée populaire pour défendre Paris.
3. Les enfants pleurent parce qu’ils ont faim.
4. Les gens ont dû manger des rats et des racines.
5. Non, ils semblent pauvres et ils ont l’air triste.
6. La Révolution française a commencé en 1789.
7. Parce que ce n’est pas le peuple mais les bourgeois qui ont initié la révolution contre
les aristocrates et leur privilèges.
8. Haussmann a tracé des boulevards dans les beaux quartiers.
9. On peut trouver des costumes splendides et des jambons.
10. Non, la vie n’a pas changé pour les gens de sa condition : il lui faudrait trois vies de
travail pour acheter ce qui se vend dans les magasins des beaux quartiers.
11. Il ne veut pas que ses enfants vivent la même vie que lui.
12. Il pense entrer dans la Garde nationale.
13. La Garde nationale est une armée populaire, qui s’est organisée à partir de comités
dans chaque arrondissement de Paris. Elle représente le peuple de Paris, affamé et
exploité.
14. Non, elle s’oppose au gouvernement de Thiers (qui représente la bourgeoisie).
15. Thiers a peur de la Garde nationale car elle possède des canons, en particulier à
Montmartre.
16. Thiers ordonne à son armée d’aller reprendre les canons à Montmartre.
17. Les soldats doivent reprendre les canons, par la force si c’est nécessaire.
18. Les soldats font face à la Garde nationale et au peuple.
19. Non, les soldats ne tirent pas.
20. Finalement, les soldats baissent leurs armes et sympathisent avec la foule.
21. À cette époque, il n’y avait pas de micro, mais ce document raconte l’histoire de la
Commune de Paris sous la forme d’un reportage d’actualités, comme si on était contemporain des événements.
22. Les femmes sont inquiètes parce qu’elles ont peur qu’une guerre civile éclate.
23. Le gouvernement de Thiers a fui à Versailles.
24. La Garde nationale s’installe à l’Hôtel de Ville de Paris.
25. Elle veut organiser des élections d’une Commune de Paris le 26 mars.
26. Le gouvernement sera constitué d’ouvriers et de révolutionnaires.
27. Les gens seront libérés de l’esclavage.
28. Non, les gens sont maintenant en mouvement, ils manifestent leur joie.
29. Les images expriment la joie et l’espoir.
30. Les gens sont heureux car avec une commune gouvernée par le peuple, ils sont sûrs
que les choses vont changer pour eux, que leurs conditions de vie vont s’améliorer.
31. Ils chantent La Marseillaise, l’hymne national.
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UNITÉ 7
Première partie :
1. Sandrine, la maquilleuse, est dans la régie.
2. Elle masse le du visage du réalisateur.
3. Oui, il a l’air plutôt content.
4. Elle n’a pas l’air très contente : elle fait peut-être des reproches à la maquilleuse.
5. Elle veut lui faire un massage facial.
6. Le massage retendra sa peau, qui est fatiguée.
7. Il n’a pas l’air très mécontent.
8. Il dit que Sandrine le fatigue.
9. Parce que Sandrine ne devrait pas être là.
10. Elle doit animer la rubrique santé-beauté.
11. On parlera d’un sujet qui concerne les hommes.
12. Elle se prend les pieds dans les câbles et tombe sur la table en éparpillant les produits de beauté qu’elle tenait à la main.
13. Elle dit que ce n’est pas normal de laisser traîner des câbles partout.
14. Oui, il y toujours des câbles sur un plateau de télévision.
1. Le reportage porte sur les cosmétiques et les soins de beauté pour les hommes.
2. Ce sont des publicités pour des gels pour le visage et les cheveux des hommes, et des
produits de rasage.
3. Réponse libre.
4. Réponse libre.
5. L’homme se trouve dans un institut de beauté.
6. Il se fait faire des soins.
7. Un homme sur quatre met une crème tous les jours. Les ventes de cosmétiques masculins ont augmenté de 60 % en un an.
8. Éric va chaque mois à l’institut de beauté.
9. c et d : « Se faire bichonner » veut dire ici « se faire faire des soins du visage ».
L’expression veut dire, de façon générale, « se faire cajoler ».
10. On lui fait des soins : nettoyage de la peau et hydratation.
11. Il paie 120 euros par mois.
12. Oui, il assume ce plaisir.
13. Non, ses rendez-vous à l’institut sont notés dans son agenda.
14. Oui, certains ont des sourires narquois (moqueurs).
15. Il sait que certains collègues pensent que les soins du visage sont réservés aux femmes
et qu’un homme qui fréquente un institut est un homme efféminé, qui manque de virilité.
16. Oui, il adore en discuter et montrer qu’il assume cela.
17. Un tabou est quelque chose « sur lequel on fait silence par crainte ou par pudeur »
(Le Petit Robert). Ici, le tabou est le fait pour un homme de prendre soin de son corps :
les hommes qui prennent soin d’eux ont pendant longtemps caché cette pratique, considérée socialement comme le signe d’un manque de masculinité. « Les tabous tombent »
signifie que la conception que la société se fait du rapport de l’homme à son corps est en
train de changer.
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Deuxième partie :
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18. Elle lui applique un masque.
19. 5 % des clients sont des hommes.
20. Oui, cette clientèle n’existait pas il y a deux ans.
21. Ils ne sont pas toujours bronzés ni musclés, mais soucieux de leur apparence.
22. C’est un médecin.
23. Il joue au golf.
24. Non, il n’est plus très jeune (environ 70 ans ?).
25. Les hommes se rendent compte tout à coup que leur apparence a changé, que leur
visage n’est plus le même.
26. Il fait du sport : du golf.
27. Sur la proposition du professeur Beaulieu, il a accepté de tester la DHEA, molécule
anti-vieillissement.
28. Cette molécule sert à retarder le vieillissement. La DHEA (dehydroepiandrostérone)
est une hormone stéroïde, produite par la glande surrénale. C’est un composant essentiel
de la plupart des fonctions physiologiques.
29. Il ne croit pas que c’est un produit miracle, une « jouvence miraculeuse ».
La fontaine de Jouvence, symbole d’immortalité, dérive de la mythologie biblique et classique. Elle prendrait sa source directement dans le jardin d’Éden. Son eau guérit et qui
s’y baigne rajeunit. De nos jours, le mythe de la fontaine de Jouvence persiste. Il est associé à la recherche médicale qui tente d’inverser le processus de vieillissement.
30. Il a l’impression de vieillir bien.
31. Le corps est un moyen de transport qu’il ne faut pas négliger.
UNITÉ 8
Première partie :
1. Il n’y a plus de lumière.
2. Un technicien apporte une lampe électrique aux présentateurs pour qu’ils puissent lire
leur texte.
3. On va parler d’une éclipse.
4. Une éclipse est le « passage d’un corps céleste dans la pénombre (éclipse partielle) ou
l’ombre (éclipse totale) d’un autre » (Le Petit Robert). On distingue les éclipses du soleil
(lorsque la lune passe devant le soleil pour l’observateur terrestre : il peut faire nuit en
plein jour) et les éclipses de lune.
5. Il y a une panne d’électricité.
6. Il le traite d’« abruti ».
7. b : « abruti » veut dire « imbécile ».
8. Elle lance le sujet.
Deuxième partie :
1. Le reportage présente des images de la terre vue du ciel.
2. Les couleurs : bleu, vert, blanc, noir.
Les formes : des cercles, des formes allongées, des formes arrondies…
3. Il parle de la Terre.
4. C’est un scientifique (généticien) et essayiste français.
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5. Réponse libre : un orage, des mers, des fleuves, des arbres, des montagnes, des
canyons, des gens, un pont, des immeubles, la foule...
6. Réponse libre.
7. Elle tourne sans arrêt.
8. La Terre est…
bleue comme la mer
blanche comme la neige
ronde comme une orange
belle comme une image.
9. Il y a 6 milliards d’habitants.
10. Identifiez les villes mentionnées qui se trouvent :
au Japon : Tokyo
au Nigeria : Lagos
en Inde : Bombay
en Égypte : Le Caire
au Brésil : Sao Paulo
en Chine : Shanghai
11. On peut imaginer qu’il y a eu une tempête (les arbres sont couchés, abattus), un
cyclone, un tremblement de terre ou un glissement de terrain (les maisons sont effondrées), une inondation, un orage ou un tsunami (l’eau recouvre tout, les maisons sont
noyées).
12. Il y a eu une tempête, beaucoup d’arbres ont été abattus.
13. C’était un soir de Noël (en 1999).
14. Un cyclone dévastateur.
15. Il est passé au Honduras et dans le Golfe du Mexique.
16. C’est le cyclone Mitch.
17. Il y a eu un tremblement de terre (il y en a déjà eu plusieurs dans cette région).
18. Une ville entière est détruite.
19. La vie après la mort, la paix après la guerre, l’ordre après le chaos.
20. On la voit du ciel.
21. Elles sont associées à une musique faite de rires et de larmes.
UNITÉ 9
Première partie :
1. Le reportage porte sur les nouvelles technologies dans notre environnement quotidien.
2. Elles nous apportent un plus grand confort.
3. Il y a un écho sur la voix des présentateurs.
4. Il est sûr que quelqu’un lui en veut, que quelqu’un veut sa peau (c’est-à-dire, ici, lui
faire perdre son poste).
CORRIGÉS
Deuxième partie :
1. Il rentre chez lui après une journée de travail ; dans la maison, tout est automatique.
2. Il attend devant la porte : apparemment, il est identifié et celle-ci s’ouvre.
3. Un chien virtuel.
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4. La photo d’une jeune fille.
5. Il contacte ses proches.
6. Nous sommes en 2030.
7. La lumière et l’aspirateur se mettent en marche automatiquement.
8. Il voit les photos des membres de sa famille qui ont essayé de le joindre. Ici, c’est la
photo de sa fille.
9. Il peut contacter des personnes, dont le visage apparaît alors sur la fenêtre virtuelle.
10. Les ingénieurs d’EDF mènent le même type de recherches.
11. Il essaient d’imaginer de nouveaux équipements pour améliorer le confort psychologique et sensoriel des futurs occupants de logement.
12. Parce que 90 % des logements qui seront utilisés en 2030 existent déjà.
13. On présente un sas de livraison.
14. Il faut être présent pour réceptionner les courses apportées par le livreur.
15. Le livreur pourra déposer les produits dans le sas de livraison même si la personne est
absente. Le sas est composé de trois tiroirs : le livreur répartira ainsi les produits surgelés, réfrigérés et à température ambiante.
16. C’est un lecteur de codes-barres qui identifie les produits manquants et les commande automatiquement.
17. Nous sommes au Japon, sur l’île d’Odaiba.
18. Elle a l’apparence d’une maison normale, plutôt cossue, bourgeoise.
19. La maison fonctionne en grande partie grâce à l’électronique.
20. Elle est gérée par ordinateur.
21. Ils permettent de visionner de nombreuses chaînes de télévision, mais de voir aussi
ce qui se passe dans les pièces de la maison et autour de la maison.
22. Les écrans montrent des paysages de rêves.
23. Tout est facile car tout est automatique : dans la salle de bains, la douche est adaptée pour les personnes âgées et le siège des toilettes se soulève automatiquement. Dans
la cuisine, les ustensiles se présentent automatiquement lorsque la cuisinière se met aux
fourneaux et les recettes sont consultables sur l’écran.
24. On voit apparaître une vidéo du livreur qui sonne à la porte.
25. Il salue et dit ce qu’il vient apporter.
26. Cela permet de gagner de la place.
27. Elle est issue à 80 % des capteurs solaires.
28. Un jardin.
Première partie :
1. Il y a un écho dans le micro de la présentatrice.
2. Non.
3. Il est exaspéré, il en a assez du présentateur.
4. Elle envoie le sujet.
Deuxième partie :
1. La scène se passe sur le quai d’une gare.
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2. On voit un homme et une femme âgés, une femme et un homme plus jeunes et des
enfants.
3. Le jeune homme : il porte une valise et il embrasse les autres personnes.
4. Ce sont sûrement des membres de sa famille.
5. Le jeune homme : il vient de descendre du train.
6. Il est accueilli par sa mère, son père, peut-être sa sœur et les enfants de celle-ci.
7. Il va travailler dans une usine, la même où travaille son père.
8. Il va faire un stage dans les bureaux.
9. La scène se passe dans le bureau d’un responsable.
10. Il s’appelle Franck Verdot.
11. On peut penser qu’il s’agit du responsable du personnel ou du directeur des ressources humaines.
12. C’est le directeur de l’usine, monsieur Rouet.
13. Ils parlent de l’application des 35 heures.
14. Il a l’air très sérieux, volontaire, motivé : le patron apprécie ce qu’il dit.
15. Mettre en place les 35 heures oblige à revoir l’organisation du travail car pour pouvoir
travailler moins, il faudra travailler mieux, être plus efficace.
16. Pour lui, c’est un défi, un challenge : ce n’est pas facile, ce n’est pas gagné d’avance
mais c’est justement cela qui est motivant.
17. Oui, il a l’air satisfait des réponses du jeune homme.
18. Le jeune homme et une employée de l’usine, peut-être une secrétaire.
19. Réponse libre.
20. Une secrétaire et Franck.
21. Elle est un peu choquée parce que Franck va utiliser l’ordinateur du responsable du
personnel ou du directeur sans lui avoir demandé l’autorisation.
22. Il apprend que 12 personnes vont être licenciées.
23. Son père est sur la liste : il va être licencié.
24. a : Il est content parce que le patron propose un poste à son fils.
25. Il veut ouvrir une bouteille de vin pour fêter cela.
26. Il est fâché et agressif parce que son père va être licencié : comme il est âgé, il ne
retrouvera pas de travail.
27. C’est la nuit, on voit deux personnes : l’une placarde des feuilles sur une porte en
verre, l’autre utilise une machine. Ils préparent peut-être une grève ou une manifestation.
28. Ils attendent dehors parce que la porte est bloquée.
29. Il continue à travailler.
30. Il a honte d’être le fils d’un ouvrier, d’être un étudiant qui a honte d’être le fils d’un
ouvrier.
31. C’est son père.
32. Il gagnera de l’argent, il aura des responsabilités, il aura le pouvoir d’humilier les gens
et de les renvoyer, comme le directeur des ressources humaines.
33. La violence des paroles de Franck traduit son malaise. Il a du mal à trouver sa place
dans la société : il appartient à la fois au monde des ouvriers par ses origines, et en même
temps, il est passé de l’autre côté de la barrière grâce à ses études. Il fera partie de ceux
qui décident, qui dirigent. Cette violence traduit aussi sa révolte face à la passivité de son
père qui refuse de se battre, et la difficulté de communiquer avec lui.
34. Il va rentrer à Paris.
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Prolongement :
Trois verbes familiers :
Bosser : travailler
Virer : renvoyer, licencier
Jeter : mettre à la porte
Troisième partie :
1. Ils pensent que c’est un bon à rien, que tous les problèmes sont de sa faute.
2. L’assistante conseille au réalisateur de ne pas écouter ce que les présentateurs disent,
elle est sûre qu’ils ne pensent pas ce qu’ils disent de lui.
3. C’est le pire journal de sa carrière.
4. Il veut tout faire pour que le réalisateur soit licencié.
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